immigration : inassimilables familles sahéliennes

immigration : inassimilables familles sahéliennes

Hugues Lagrange :

Regardons les taux de fécondité : partout dans le monde, ils se sont effondrés autour de deux enfants par femme. Partout, sauf au Sahel, où ils sont restés à sept, tandis qu’ils sont à quatre sur les côtes de l’Afrique (note de l’Observatoire  : et à 1,3 pour les européens de souche..). Or, venue du Sahel, la dernière vague migratoire a conservé en France des taux de fécondités voisins. Eduquer sept enfants ou quatre, ça fait une différence considérable.

Deuxième variable : l’écart d’âge entre les époux, plus de douze ans pour les familles de migrants sahéliens, proche de ce qu’on observe au Mali. Avec un tel écart, une femme, surtout si elle ne travaille pas, si elle est peu éduquée, se trouve dans une condition subordonnée.

 Je regarde ensuite les résultats, corrigés de manière anonyme, en CE2, en 6e, au brevet ; je regarde enfin les infractions sanctionnées par un procés verbal au parquet. Je tiens compte du milieu social, car la socialisation repose sur 3 pieds : structure familiale, type de traditions et de valeurs, et milieu social.

Et je suis obligé de constater qu’à milieu social égal la structure familiale n’est pas neutre.

Conclusion de l’Observatoire : la France reçoit une vague d’immigration inassimilable, dont les habitudes ne sont pas compatibles avec la société et l’économie moderne. Nous créons des déracinés et des malheureux qui ne trouvent dans notre pays rien d’autre que des aides sociales. Compte tenu de nos déficits, on peut se demander pour combien de temps…

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