Karl Marx et la nature humaine

Karl Marx et la nature humaine

L’humanité a discrètement commémoré le deuxième centenaire de celui qui a donné son nom au marxisme, la pire idéologie qui ait jamais existé.

Avec ce romantisme rhénan que Wagner magnifiera, Marx a nourri sa pensée des idées révolutionnaires ayant fleuri partout dans le monde, spécialement à l’époque dite « des lumières » qu’a suivi l’avènement de l’industrie et des grands moyens de communication.

C’est ainsi que le marxisme a prétendu répondre, au fil de sa dramatique histoire, à l’attente des êtres humains les plus démunis, encouragés par les héritiers de ces utopies qui font oublier à l’homme les hasards de sa naissance.

Portée par l’extrême misère d’un prolétariat de fraîche date, le marxisme a rapidement enfanté le communisme, qui suscitera à son tour, par réaction, ces autres fléaux que sont le fascisme et le nazisme. Mais le marxisme n’est pas pour autant exempt de ce qui est reproché à ces idéologies qu’ils ont si largement contribué à faire naître et qui, sur bien des points, lui ressemblent.

Le marxisme et ses résultats, sont au plus haut point contestables, pour trois raisons majeures :

1) Absence d’éthique :

La lutte des classes à outrance, avec pour objectif la prise de pouvoir par le prolétariat, est une incitation à la haine, aussi incompatible avec l’humanisme qu’ignorante des réalités de la condition humaine. La lutte des classes s’est donc traduite par des guerres civiles aux innombrables victimes. Et ces guerres civiles, fondées sur l’incompréhension, l’intolérance et la haine, perdurent en certains endroits de la planète.

2) Dépendance, corporatisme et nouvel obscurantisme :

C’est le marxisme qui a engendré le syndicalisme avec ses dogmes aussitôt consolidés par ceux du religieux et du politique, qui ont vite opéré leur OPA, partiellement réussie comme en attestent les liens étroits existant entre les principaux syndicats, d’une part, et l’Église ainsi que les partis politiques, d’autre part.
Ces mariages peuvent apparaître comme autant d’alliances face au progrès scientifique et technique. Ce qui n’empêche pas ceux qui se considèrent sans vergogne comme des progressistes, de créditer la lutte des classes des moindres avancées sociales, alors qu’elles sont avant tout le fruit de ce progrès scientifique et technique.

3) Ignorance des dimensions démographique et environnementale, inhérentes à tout processus économique et social :

L’homme est, avant toute autre considération, un consommateur qui, par différence avec les autres êtres vivants, s’invente des besoins – ce que Marx semble avoir ignoré.
Il est pourtant évident que le meilleur moyen de priver les profiteurs de la main-d’œuvre qui les enrichit serait qu’elle cesse de proliférer.
Comment ceux qui ont le plus à se plaindre de leur sort peuvent-ils s’obstiner à condamner leur descendance à une existence qui ne peut être que pire que la leur, en raison de leur nombre sans cesse croissant ?
Mais le peuple est, pour le marxisme comme pour tous les pouvoirs, un instrument dont la force s’affirme d’abord par le nombre.
Pas une Église, pas un parti, pas un syndicat, qui ne cherche à augmenter sa puissance par le nombre de ses fidèles, de ses membres ou de ses adhérents.
Faute de pouvoir échapper à des inégalités résultant d’un sort aveugle, auquel nul être vivant ne peut échapper à sa naissance, quels que soient les aléas de son existence par la suite, ne devons-nous pas limiter notre ambition à en compenser les effets, sans pour autant vouloir la mort de l’autre ?
Plutôt que cela, le marxisme, imitant tous les pouvoirs, n’a su, jusqu’à son déclin, qu’accroître ses troupes, fournissant ainsi à ceux qui les exploitent, un effectif sans cesse grandissant.
L’analyse à laquelle se livre Marx de la population humaine n’a de réaliste et d’utile que le fait de souligner que chacun d’entre nous est plus ou moins dépendant de tous les autres.
En revanche, son invention de l’AIR (armée industrielle de réserve), qu’il organise et représente arbitrairement, est d’un parti pris n’ayant d’égal que son ignorance, voire son refus puéril de la condition humaine !

La version longue de cet article est disponible ci-dessous pour les abonnés :

L’humanité a discrètement commémoré le 2ᵉ centenaire de celui qui a donné son nom au marxisme, dont ont dérivé tant de doctrines socio-politiques. Mais qu’en penser concernant leur incidence sur la condition humaine ? Voici en tout cas résumé un point de vue qui considère le marxisme comme la pire théorie qu’y ait jamais existée.

Avec ce romantisme rhénan que Wagner magnifiera avec tambours et cuivres, pour le plus grand plaisir du prophète d’un autre ordre, Marx a nourri sa pensée des idées révolutionnaires ayant fleuri partout dans le monde depuis que la société des hommes y règne et plus spécialement à l’époque dite “des lumières” qu’a suivi l’avènement de l’industrie et des grands moyens de communication et de propagation des idées. Et cette pensée s’est développée, en dépit – ou profitant – des désordres qui ont agité le monde depuis. C’est ainsi que le marxisme a prétendu répondre, au fil de sa dramatique histoire, à l’attente des êtres humains les plus démunis, encouragés par les héritiers de ces utopies qui font oublier à l’homme les hasards de sa naissance, dans ce qu’ils ont de fondamental et de plus incontournable.

Portée par l’extrême misère d’un prolétariat cristallisé de fraîche date, grossi de millions de serfs vivant un autre temps aux confins de l’Europe, le marxisme a rapidement enfanté le communisme, qui suscitera à son tour, par réaction, ces autres fléaux qui perdurent en certains endroits de la planète, après notamment le fascisme du Caudillo, celui du Duce, puis le nazisme. Mais le marxisme et ses schismes n’en sont pas pour autant exempts de ce qui est reproché à ces idéologies qu’ils ont si largement contribué à faire naître et qui sur bien des points leur ressemblent.

Si la misère la plus profonde et la révolte qu’elle peut susciter peuvent être considérées comme les raisons de son avènement, il n’en demeure pas moins que le marxisme, de même que ses résultats, sont au plus haut point contestables, pour trois raisons majeures :

1° – Absence d’éthique.

La lutte des classes à outrance, avec pour objectif la prise de pouvoir par le prolétariat – qu’elle préconise comme le seul moyen de parvenir à davantage de justice sociale – est ni plus ni moins qu’une incitation à la haine, aussi incompatible avec l’humanisme qu’ignorante des réalités de la condition humaine. La lutte des classes s’est donc traduite par des guerres civiles aux innombrables victimes, dont une centaine de millions de morts, soit davantage que ceux qu’ont provoquées les deux guerres mondiales du XXe s. Et ces guerres civiles, fondées sur l’incompréhension, l’intolérance et la haine, perdurent en certains endroits de la planète, promettant de naître ailleurs.

2° – Dépendance, corporatisme et nouvel obscurantisme.

C’est le marxisme qui a incontestablement généré le syndicalisme avec ses dogmes aussitôt consolidés par ceux du religieux et du politique, qui ont vite opéré leur OPA, partiellement réussie comme en attestent les liens étroits existant entre les principaux syndicats d’une part et l’Église ainsi que les partis politiques d’autre part.

Ces mariages peuvent d’ailleurs apparaître comme autant d’alliances face au progrès scientifique et technique, et à l’enrichissement qu’il génère, au motif qu’il contribue au développement du capitalisme. Ce qui n’empêche pas ceux qui se considèrent sans vergogne comme des progressistes, de créditer la lutte des classes des moindres avancées sociales, alors qu’elles sont avant tout le fruit de ce progrès scientifique et technique. Quoi qu’il en soit, en échange “d’avantages acquis” – dogme syndical entre tous – d’une manière ou d’une autre, le peuple s’est vu coiffé d’un pouvoir supplémentaire, comme si ceux qu’il subissait déjà ne lui suffisaient pas, ce qui est loin de répondre à la promesse d’émancipation promise par Marx.

3° – Ignorance des dimensions démographique et environnementale, inhérentes à tout processus économique et social.

L’homme est avant toute autre considération un consommateur qui par différence avec les autres êtres vivants, s’invente des besoins ; ce que Marx semble avoir ignoré, de même qu’il ne semble pas avoir conçu que si la pauvreté a pour limite le zéro de la richesse, cette dernière n’en a pas d’autres que l’appétit de ceux qui la convoitent et les ressources de la planète dont elle est tirée. Que n’a-t-il été guidé par l’évidence voulant que le meilleur moyen de priver les profiteurs de la main d’œuvre qui les enrichis, serait qu’elle cesse de proliférer et avec elle ses besoins, dont la satisfaction contribue à l’enrichissement de la société, à commencer par les plus ambitieux de ses membres ? Comment ceux qui ont le plus à se plaindre de leur sort peuvent-ils au contraire s’obstiner à condamner leur descendance à une existence qui ne peut être que pire que la leur, en raison de leur nombre croissant sans cesse ? Mais le peuple est pour le marxisme comme pour tous les pouvoirs, un instrument dont la force s’affirme d’abord par le nombre. Pas une église, pas un parti, pas un syndicat, qui ne cherche à augmenter sa puissance par le nombre de ses fidèles, de ses membres ou de ses adhérents.

Faute de pouvoir échapper à des inégalités résultant d’un sort aveugle auquel nul être vivant ne peut échapper à sa naissance, quels que soient les aléas de son existence par la suite, ne devons-nous pas limiter notre ambition à en compenser les effets, sans pour autant vouloir la mort de l’autre ?

Plutôt que cela le marxisme, imitant tous les pouvoirs, n’a su jusqu’à son déclin qu’accroître ses troupes, fournissant ainsi à ceux qui les exploitent, un effectif sans cesse grandissant. De ce point de vue, l’analyse à laquelle se livre Marx de la population humaine n’a de réaliste et d’utile que de souligner son caractère universel, en ce sens que chacun d’entre nous est plus ou moins dépendant de tous les autres. Par contre, sa classification et son invention de l’AIR (armée industrielle de réserve), qu’il organise et représente arbitrairement, non sans ce romantisme déjà évoqué et un sens de l’organisation bien germanique, sont d’un parti-pris n’ayant d’égal que son ignorance, voire son refus puéril de la condition humaine, telle que l’illustre si parfaitement la pyramide sociale.

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Comments (27)

  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Karl Marx,

    né en Allemagne,
    enterré en Angleterre au cimetière est de Highgate à Londres.
    Vraiment un type international.

    Dommage qu’il n’ait pas été mis en conserve.
    On pourrait en distribuer un morceau aux fidèles les plus méritant(e)s lors des congrès des partis communistes.
    ” Hoc est enim corpus meum…”

    27 mai 2018 à 11 h 13 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Raoul,

    Ci-dessous le post de ce cher ‘Albert:
    “Etonnant de bêtises …
    Vous n’avez pas lu Marx, c’est évident, mais les raccourcis que vous faîtes semblent indiquer que vous n’avez même pas ouvert un manuel d’histoire de lycée.”

    Et ci-dessous ma réponse:

    Vous aviez évoqué un “Jaures” pouvant se cacher sous l’étiquette “Albert” dans l’en-tête de votre post. J’étais arrivé à la même conclusion.
    Chacun(e) de nous a une manière particulière d’écrire, c’est un peu notre ADN sémantique et grammaticale.
    Si vous observez bien “faîtes” dans la phrase d’Albert vous y verrez l’accent circonflexe incongru sur le “i”.
    Or ce petit capuchon je l’avais souvent rencontré dans les écrits du dit “Jaures”. C’est un trait marquant que je n’ai jamais vu dans les écrits des autres intervenants.
    Je vous laisse la liberté d’en conclure ce qui vous semble correct.

    D’autre part nous avons toutes et tous un ADN biologique. Je me demande souvent si quelque part dans cette chaîne ne se cache pas le gène de “Caïn” responsable de l’envie et de la jalousie plus ou moins exprimé selon les individus.
    À ce titre il serait intéressant de faire une analyse ADN d’un individu comme MéchantCon et d’un moine trappiste.

    Peut-être un jour cela sera possible et nous y verrions plus clair.
    Le communisme serait enfin expliqué d’une manière scientifique.

    27 mai 2018 à 10 h 33 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    j’ ai survolé d’ un oeil très distrait et même fort las cet article; un de plus dans la masse de ceux qui nous mettent en garde contre la ” tentation ” … marxiste

    ce qui a choqué ma rétine heureusement en cete circonstance encore connectée à ma mémoire c’ est de voir attribuée à Karl Marx ” la maladie infantile du communisme ” ***

    même avec de très, très lointains souvenirs sur la question, je peux sans risque , attribuer ce petit livre, lui aussi très rouge, à un certain Lénine, dans lequel ce redoutable agitateur-stratège révolutionnaire critiquait les ” communistes ” purs ” et ” intransigeants sur la doctrine ” de la troisième internationale , qui refusaient de prendre le pouvoir autrement que par la Révolution et ne savaient pas profiter des institutions que la démocratie met fort gentiment à leur entière et ” libre ” disposition

    la question est : Mélenchon est il frappé par cette maladie ? le P.C.F. répond oui !

    *** mais que fait le rédacteur en chef ? il ne relit pas les articles ?

    24 mai 2018 à 20 h 58 min
    • Gérard Pierre Répondre

      Relisez moi bien !

      Je n’ai jamais attribué à Karl Marx La Maladie Infantile du Communisme ! …… Je faisais référence au communisme, et non au marxisme, et sur d’autres commentaires passés je rappelais que ce livre était de Lénine et que Staline en fut ” l’exécuteur ” testamentaire !

      Ce livre, qui figure toujours dans ma bibliothèque, fut l’une de mes lectures AVANT même mai 68 !

      25 mai 2018 à 0 h 31 min
    • Gérard Pierre Répondre

      Si vous me lisez posément, vous constaterez qu’à aucun moment je n’attribue à Karl Marx La Maladie Infantile du Communisme !

      Je l’évoque à propos du communisme, comme je l’ai d’ailleurs rappelé dans des commentaires précédents. Ce livre de Lénine, qui figure toujours dans ma bibliothèque, fut l’une de mes lectures AVANT MÊME mai 68. Staline fut ‘’l’exécuteur‘’ testamentaire, si je puis dire, des écrits de son « maître » !

      Je le confirme : vous étiez distrait !

      25 mai 2018 à 0 h 39 min
  • Gérard Pierre Répondre

    Comme pour l’islam, …… et comme pour le national-socialisme, …… le marxisme (pour la version ‘’penseur‘’ ) et le communisme (pour sa déclinaison ‘’acteur‘’), …… relèvent tous les trois du même procédé manipulatoire parfaitement analysé par le triangle de Karpman !

    ¤ Tous les trois se présentent d’abord en VICTIMES !
    – Victimes des Juifs, des Chrétiens, des ‘’associateurs‘’, des incroyants, etc … pour les premiers,
    – Victimes de la ‘’juiverie internationale‘’, des ‘’métèques‘’, de la finance et des « races inférieures » pour les seconds,
    – Victimes du « grand capital » pour les troisièmes !

    ¤ Les victimes s’intronisent alors en SAUVEURS !
    – Elles organisent la société entre hommes et femmes, entre croyants et incroyants, entre maîtres et esclaves, et la charia est alors là pour maintenir et surtout FIGER « l’ordre social »,
    – Elles organisent leur Heimat und Vaterland entre Aryens décrétés race supérieure et Juifs proclamés Untermenschen,
    – Elles instaurent la ‘’dictature du prolétariat‘’ !

    ¤ Elles passent ensuite à l’acte en se muant en PERSÉCUTEURS !
    – En étêtant, égorgeant, émasculant, pendant, pulvérisant, étripant, …… au nom d’un démiurge supposé se régaler de ces sacrifices et, les yeux bordés de reconnaissance, attendant l’arrivée post mortem de ses zélés serviteurs pour leur offrir dans « un autre monde » les délices dont ils ont été frustrés durant leur existence terrestre,
    – En ‘’concentrant‘’ dans des camps spécialisés les éléments indésirables qu’ils traitent alors comme de la matière organique dans un soucis ‘’d’écologie‘’ raciale et d’assainissement, dans l’esprit typiquement « traitement de déchets »,
    – En éliminant physiquement les tenants des classes sociales ne pouvant entrer, même au chausse-pied, dans la catégorie des prolétaires, … en commençant par la famille Romanov exécutée à bout portant !

    Ce qui est historiquement extraordinaire, c’est le fait que, dans ces trois cas, des écrits très connus, …… le coran, Mein Kampf, La Maladie Infantile du Communisme, …… décrivent en détail les éléments de victimisation, les arguments du sauvetage et les méthodes de persécution !

    Or, bien que ces écrits soient parfaitement connus, peu de dirigeants politiques les ont lus intégralement, …… et le peu qui les a lus n’a guère accordé de crédit à leurs contenus !

    Résultat : des centaines de millions de morts annoncées et réalisées !

    « Il y a deux Histoires : l’Histoire officielle, menteuse qu’on enseigne, l’Histoire ad usum delphini [*] puis l’Histoire secrète, où sont les véritables causes des événements, une histoire honteuse.» – Honoré de Balzac.

    [*] à l’usage du Dauphin.

    24 mai 2018 à 18 h 04 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Résultat : des centaines de millions de morts annoncées et réalisées !

      Et nous ne sommes pas encore au bout du tunnel.
      Beaucoup de frustré(e)s croient encore aux vertus salvatrices de ces 3 ouvrages,
      Les futurs bouchers sont parmi nous et n’attendent que leur heure.

      24 mai 2018 à 18 h 49 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        vous n’ avez pas de ” vision ” , attention je ne dis pas de ” visions ”

        la France Insoumise a pris ” phi ” pour s’ identifier par un ” logo ”

        hors phi est, vous le savez, le symbole mathématique du … nombre d’ or

        F.I. nous promet donc un nouvel ” âge d’ or ” où tout ne sera qu’ harmonie et suites … mathématiques plus étonnantes les unes que les autres

        c.q.f.d.

        26 mai 2018 à 8 h 26 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          Les communistes en URSS étaient convaincus de la nature scientifique de leurs expérimentations. Le logo φ des insoumis est un peu le prolongement de cette croyance.
          À défaut de vision je vas essayer de faire un petit “Gedankenexperiment” sans boule de crystal.
          Je vois un Grand Soir
          Suivi de Lendemains qui chantent
          Aboutissant aux Surlendemains des raffles
          Et aux gémissements et lamentations.

          Stop je me pince c’est un cauchemar ou un “Hirngespinst”.
          Quod erat non demonstrandum.

          26 mai 2018 à 9 h 59 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Hallo Albert, lieber Zeitgenosse

    Je vous ramène à la surface pour permettre aux autres intervenants de suivre le débat.
    //Etonnant de bêtises …
    Vous n’avez pas lu Marx, c’est évident, mais les raccourcis que vous faîtes semblent indiquer que vous n’avez même pas ouvert un manuel d’histoire de lycée.//

    Je suppose que votre remarque me concerne. Elle est courte mais peu argumentée.
    Sur ce site il est permis de tout critiquer, une bonne dose de “pourquois” et de “comments” serait cependant la bienvenue.

    En ce qui concerne les raccourcis c’est vous qui les prenez.
    En effet j’ai bien lu “Das Kapital” du dénommé Karl Marx dans ma jeunesse et dans sa langue originale soit en allemand. Mais je dois avouer que je préfère les oeuvres de Schiller ou de Goethe.

    L’allemand et son pendant autrichien sont comme par hasard ma langue maternelle et paternelle.
    Karl Marx et moi-même sommes des Rhénans, lui est né dans le Rhin inférieur et moi dans le Rhin supérieur. Les Rhénans ont tous des caractéristiques qui les différentient un peu des autres Germains.

    Falls für Sie deutsch keine Fremdsprache ist, könnten wir die Diskussion in dieser Sprache fortsetzen.
    Bis auf bald.
    mfG / HansImSchnoggenLoch

    24 mai 2018 à 11 h 34 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      et les Rothschild étaient des … Francs ( – coniens ) ( sic )

      24 mai 2018 à 18 h 19 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        Rothschild kommt nicht aus dem Frankenland sondern aus dem jüdischen Ghetto von Frankfurt a.M. in Hessen.

        Changement de thème:
        Si vous observez d’une manière forensique “vous faîtes” dans le post de ce cher Albert, cela devrait vous rappeler quelque chose.

        24 mai 2018 à 18 h 34 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          ” quelqu’ un ” ?

          28 mai 2018 à 8 h 15 min
          • HansImSchnoggeLoch

            Lisez mon post adressé à Raoul plus haut.

            28 mai 2018 à 9 h 35 min
          • quinctius cincinnatus

            d’ accord j’ ai bien compris qu’ il était comment dire votre ” contemporain ” … mais ils sont … nombreux vos ” contemporains “

            28 mai 2018 à 12 h 57 min
          • HansImSchnoggeLoch

            Il me semble que vous n’avez pas lu le mail adressé à Raoul mais celui adressé à Albert.

            28 mai 2018 à 14 h 21 min
          • quinctius cincinnatus

            pour la bonne raison qu’ il n’ était pas encore apparu sur mon écran !

            maintenant c’ est fait … sans chapeau

            merci monsieur Homes

            29 mai 2018 à 7 h 45 min
          • HansImSchnoggeLoch

            J’avais posté ma réponse à Raoul le 27 mai. Votre première question était apparue le 28 mai.
            Il y a un mystère que seuls les 4V connaissent.

            29 mai 2018 à 9 h 27 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Pour éviter le communisme je préconise le degré d’activité zéro.
    Cela consiste tout simplement à ne plus rien entreprendre du tout.
    Quand il n’y aura plus à rien à prendre chez le voisin, la doctrine de ce cher Karl aura vécu.

    Pendant l’ère DDR (Allemagne de l’Est) il était courant de dire:
    Ils font semblant de nous payer et nous faisons semblant de travailler.
    On a vu où tout cela a mené.

    PS: Une consolation “Karl-Marx-Stadt” est redenue “Chemnitz” après la “Wende”.
    En Russie “Leningrad” est redevenue “St Petersburg” et “Stalingrad” a été nommée “Volgograd”.
    L’histoire sait se venger parfois.

    23 mai 2018 à 11 h 24 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      oui, certainement même, mais Poutine est bien moins aimé, et pas même estimé, que ne l’ ont été, et le sont encore, Lénine , Staline ou Trotski

      23 mai 2018 à 14 h 49 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        Admirateurs de Lénine , Staline ou Trotski

        Oui à Caracas, La Havane, Pyongyang et peut-être à Pékin.
        En Russie par une poignée de nostalgiques qui ne font heureusement plus la pluie ni le beau temps.
        Nous en avons aussi en France ne l’oubliez surtout pas.

        23 mai 2018 à 18 h 19 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          je voulais parler des ” journalistes ” et autres ” intellectuels ” véritables sangsues des finances publiques, donc du contribuable, sans oublier cela va de soi, ” nos créatifs ” syndicalistes tous bien plus staliniens que bien de nos députés rescapés ” communistes ” ( une vieille marque dont on a peine à quitter l’ étiquette bien qu’ elle ne soit plus très séduisante auprès de la clientèle même populaire qui maintenant semble préférer préfère le bolivarisme pour son côté exotique qui fait rêver à des sable chaud et à des plages de sables fins ; un peu un catalogue de tour operator bas de gamme )

          23 mai 2018 à 21 h 20 min
  • Albert Répondre

    Etonnant de bêtises …
    Vous n’avez pas lu Marx, c’est évident, mais les raccourcis que vous faîtes semblent indiquer que vous n’avez même pas ouvert un manuel d’histoire de lycée.

    23 mai 2018 à 10 h 39 min
    • Raoul Villain Répondre

      A “Albert” (Troll auxiilliaire ou contractuel de l’éjecté “Jaurès” – dans les Lycées, c’est le plus souvent ce que l’on croise-).

      C’est une institution de “Gôche” de se croire supérieur. Jadis, on disait que les Centristes pouvaient tenir leur Congrès dans une cabine téléphonique, je pense que la somme des QI de l’ensemble des électeurs de Gauche montrerait une absence de signal: coma cérébral. Au lieu de feuilleter en dilettante les dernières inepties des fossiles de “68”, posez vous quelques questions: financer Mr Pleynel (6000 € par mois relève-t-il de l’intérêt général ?) ? Comment expliquer que la MRIFEN ait financé des associations proches de Mr Hollande et que cette “complémentaire” ait spolié des milliers d’adhérents ? Des nullités comme Cohn Bendit, Sauvageot, Mélenchon and so on méritent-t-il leur niveau de revenu et de patrimoine ? (Celui de ce “cher” Jean-Luc est public…jugez par vous même – je doute que ce soit à votre portée). Mme Garrido est-elle “une avocate pauvre” (Déclaration de ce cher Jean-Luc) justifiant l’attribution d’un appartement HLM ?

      Je m’arrête là, je vous réponds parce que les gens de votre espèce me débectent. Pour ma part encore quelques années de travail et je me barre. Prévenez vos gendarmes (fiscaux) que je serais armé…(Boris Vian, je cite parce que je doute fort que votre “culture” soit à la hauteur de vos prétentions qui ne sont que du “vent”). Je m’arrête là, ” je vais cracher sur la tombe”…de Marx.

      26 mai 2018 à 21 h 02 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        ” cracher sur la tombe de Marx ” …et vous gaspillerez bien inutilement votre salive ! gardez là plutôt pour une parole qui soit raisonnée

        27 mai 2018 à 7 h 31 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          sans compter que vous seriez immanquablement poursuivi pour anti-sémitisme à expression salivaire … alors je ne vous dis pas ! … ne faites surtout pas comme Boris Vian … n’ allez pas pisser sur sa tombe

          30 mai 2018 à 12 h 21 min
          • Raoul Villain

            Vous avez entièrement raison QC. Je vais vous faire une confidence: je n’ai pas compté une seule fois les jours restants au service militaire. Mon départ de France se chiffre encore en années, si toutefois Dieu me prête vie, et il m’arrive pourtant parfois de faire défiler celles-ci, je ne sais si c’est par envie ou par jeu, sur ICal. J’ai toujours respecté tout le monde quelle que soit la couleur ou la religion. On ne refait pas l’Histoire et je ne sais pas ce que j’aurai fais pendant la Seconde guerre mondiale. Sans doute rien. Y-avait-il d’ailleurs un bon côté ?
            C’est vrai que je vais être condamné: je suis anti-français. Je ne supporte plus la bêtise et la rapacité de ce peuple qui est pourtant le mien. Les regards envieux (qu’est-ce qui chez moi peut donc bien susciter l’envie ?). Je ne supporte plus le racket fiscal, les réglementations tatillonnes et imbéciles, je ne supporte plus de payer pour stationner en ville et demain sans doute pour entrer en centre ville. Je ne supporte plus: “Moi Président”, même si on a changé de masque grimaçant aussi je vais arrêter là le syntagne.

            Je le répète, vous avez entièrement raison: mon discours n’est pas raisonné. Est-il toutefois raisonnable de ne pas l’écrire.

            30 mai 2018 à 18 h 58 min

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