La colonisation française a été un bienfait pour l’humanité

La colonisation française a été un bienfait pour l’humanité

Oui, un bienfait. Il en a été ainsi de la colonisation européenne, assumée également par la Grande-Bretagne, le Portugal, l’Espagne et l’Italie. On ne peut donc que s’étonner qu’Emmanuel Macron, président de la République française, ait cru bon à l’occasion de la commémoration de la libération du camp d’Auschwitz de se livrer sur ce thème à quelques réflexions pour le moins ambiguës.

L’Afrique noire, avant la colonisation, n’était qu’un vaste ensemble chaotique. Les pays et leurs populations très diverses étaient dirigés par la chefferie. Un chef de tribu, toujours fondée sur la race, faisait la loi et souvent la guerre à ses voisins. Il n’y avait de loi que la sienne. C’était le désordre organisé, des guerres incessantes entrecoupées de famines et d’épidémies. Le chef de tribu avait le droit de vie et de mort sur tous ses sujets et il ne s’en privait pas, surtout dans certaines régions où se pratiquait le cannibalisme.

La colonisation, pour commencer, implanta une administration. Par des recensements périodiques, on savait qui était qui. On construisit des écoles où, pour la première fois, les enfants apprenaient une langue autre que l’arabe enseigné dans les écoles coraniques des régions islamisées. La colonisation créa partout des infirmeries, que l’on appelait dispensaires, avec un infirmier dans chaque chef-lieu qui s’efforçait d’enseigner l’hygiène – et qui, en tout cas, ne vendait pas les médicaments comme c’est le cas aujourd’hui. Des hôpitaux furent construits où des médecins venus de France prodiguaient leurs soins. Les grandes épidémies reculèrent et furent, pour l’essentiel, éradiquées, surtout en Afrique de l’Ouest.

Des voies de communication furent ouvertes partout, avec routes et ponts, et, en Afrique de l’Ouest, avec le chemin de fer. J’ai demandé un jour à un vieil Africain d’un village situé tout à fait à l’est de l’Oubangui Chari comment il avait fait pour se rendre à Bangui à 1 200 km de son village. Il m’a répondu, étonné par la naïveté de ma question : « À pied, aller et retour ! » Des ports furent aussi construits dans les principales agglomérations côtières.

Justice et police firent disparaître l’insécurité générale et notamment l’anthropophagie qui était courante en Afrique centrale.

Du chaos millénaire on passa à une vie organisée. Ce n’était certes pas parfait et je pourrais dire pourquoi, mais c’était un immense progrès.

Il va sans dire, mais il vaut mieux encore le dire (et en insistant), que cette colonisation a été secondée et souvent précédée par les missions chrétiennes dont le dévouement et l’efficacité étaient admirables. Souvent les premiers postes coloniaux ont été établis aux côtés des missions.

Puis s’imposa à partir de 1945 l’ère des indépendances. On en revint alors, et immédiatement, à la situation d’avant, avec guerres, pagaille et corruption. J’en donnerai ci-après deux exemples.
1) Au Soudan du Sud, depuis des décennies, les tribus se battent entre elles. Le Nord islamisé attaque le Sud christianisé et animiste et, loin de faire face à l’ennemi commun, l’islam, les ethnies du Sud se battent aussi entre elles. Ce chaos se développe sous le signe du pétrole que les Chinois se réservent sur fond de corruption tous azimuts.
2) Au Nigéria, l’État le plus peuplé et le plus riche d’Afrique noire, un tiers du territoire au nord-est est entre les mains de l’islam radical. « Boko Haram » fait régner sa loi. On tue et on viole. On envoie des commandos au sud pour massacrer des chrétiens dans les églises et pour en tuer d’autres au Tchad et au Cameroun voisins et francophones. L’armée nigériane ayant prouvé qu’elle était totalement impuissante, les choses ne peuvent que s’aggraver. Tout le Sud étant plutôt chrétien, peuplé de Yorubas et d’Ibos, l’avenir est prometteur !

Le continent africain, c’est aussi l’Afrique du Nord qui fut envahie par les Arabes au VIIIe siècle, étant jusqu’alors pacifique et prospère. Rome avait su développer tout le rivage méditerranéen de l’Afrique du Nord.

Il n’est pas question de retracer ici l’histoire de cette vaste région. Il y faudrait des bibliothèques entières.

Je me limiterai donc à dire que, livrée à l’anarchie, cette vaste région du littoral méditerranéen islamisé fut livrée aux émirs qui se battaient entre eux avec pour spécialité les raids « barbaresques » consistant à enlever des femmes sur les rivages de l’Europe et jusqu’en Irlande. Ce fut la cause de la conquête militaire française et d’une colonisation qui développa l’Algérie, la Tunisie et le Maroc. Des administrateurs qualifiés – formés après 1945 par l’ENA – y furent envoyés jusqu’aux indépendances. Et, comme chacun sait, s’imposa notamment au Maroc un gouverneur général, le maréchal Lyautey, qui fonda toute son action sur le respect des croyances et des coutumes des populations qu’il avait mission d’administrer, sachant élever au rang des plus hautes vertus la modération et l’équité.

Je pense aussi à un homme exceptionnel, de la même trempe que le maréchal Lyautey : le P. Charles de Foucauld qui exerçait son apostolat aux portes du Sahara. Il fut assassiné par des pillards senoussis. Qu’est-ce que cette haute figure du christianisme et cet officier qui reste l’honneur de l’armée, ont à voir avec Auschwitz ? On reste navré, je devrais dire indigné, que des propos de politiciens, y compris au plus haut niveau, aient été proférés pour plaire à leurs interlocuteurs et gagner quelques voix. Ce sont des réflexions qui, bien sûr, ont été exploitées contre la colonisation et contre la France elle-même.

Ceci constaté, aussi profitable qu’ait été la colonisation pour les colonisés, il est permis de dire que la France n’a rien gagné à cette vaste entreprise, hormis l’importation de quelques produits d’Indochine. Il aurait été sans doute plus sage d’agir comme la Suisse qui a su rester chez elle. Ainsi aurait-on évité pertes, dépenses et problèmes et surtout les réflexions malheureuses d’un chef d’État dont la mission n’est pas de nuire à l’État qu’il préside. On aurait peut-être aussi évité l’invasion des ex-colonisés qui se trouvent beaucoup mieux chez l’ex-puissance coloniale que chez eux. Ils y sont déjà des millions à profiter de la générosité des colonialistes tant décriés !

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Comments (3)

  • BRENUS Répondre

    A propos de la “colonisation” de l’Afrique noire (je mets le mot colonisation entre guillemets tellement il est ridicule dans les faits), je recommande aux amateurs de cette sorte d’histoire le livre d’ Henri Crouzat architecte français qui a bati en son temps l’hopital principal de Lomé (Togo) , entr’ autres travaux et qui s’est essayé avec bonheur au roman ; AZIZAH DE NIAMKOKO. Livre réaliste, bien plus véridique que toutes les conneries de chercheurs bons a rien et dans lequel l’auteur rappelle ses vérités aux uns et aux autres. Savoureux et bien écrit. Vous ne vous ennuierez pas. Et si vous aimez les expressions africaines – les vraies – vous allez vous cultiver.

    20 février 2020 à 18 h 05 min
  • Gérard Pierre Répondre

    Je ne peux m’empêcher de ressortir un texte que j’avais écrit début 2012 pour un autre site, avant l’élection de François Hollande à la présidence de la république. Interpellé par un dénommé Egomis, résident en Algérie et particulièrement exigeant en matière de repentance, je lui avais répondu ceci :

    [La France devrait, selon vos dires « … / / commencer d’abord par reconnaître et
    faire repentance pour ces crimes et enfumages qu’elle a perpétrés en Algérie » ! ! !

    Connaissez-vous vraiment le sujet ?

    Votre propos ressemble, à s’y méprendre, à ceux tenus par un « fruit des urnes »
    des primaires socialistes, selon lequel il serait temps, je le cite : « que la France
    présente ses excuses pour les 132 ans de colonialisme en Algérie ! ! ! »

    Ce monsieur, pur produit formaté dans l’une des fermes modèles de la fonction
    publique, …… qui avoue ne jamais lire un livre, et donc à fortiori un livre
    d’histoire, …… n’aura rien de plus urgent à faire après son hypothétique accession
    à la présidence de la République Française, que d’aller humilier notre pays en allant
    s’agenouiller devant un homme, …… que Pierre Messmer accusa d’avoir planifié
    en 1962 le massacre des harkis, …… pour lui demander pardon ! ……

    PARDON DE QUOI, …… ?

    Pardon d’avoir débarqué en 1830 à Sidi-Ferruch pour chasser le colonisateur
    ottoman qui affamait depuis plusieurs siècles les ancêtres du mafieux président
    algérien devant lequel il envisage de se prosterner, pillant leurs maigres biens et les
    réduisant à la famine et à la maladie ?

    Pardon d’avoir libéré les esclaves chrétiens européens, ravis sur les bateaux
    croisant en Méditerranée, entassés dans des bouges pour satisfaire les bas plaisirs
    des potentats locaux ?

    Pardon d’avoir défriché, drainé, asséché et fertilisé un sol à l’abandon depuis des
    siècles et d’avoir perdu à l’époque 106 « colons » sur 450, morts de maladie en
    Mitidja ?

    Pardon d’avoir construit des villes modernes là où il n’y avait rien ?

    Pardon d’avoir créé une agriculture prospère et exportatrice, alors qu’aujourd’hui
    l’Algérie doit importer des produits de la terre ?

    Pardon d’avoir créé une industrie métallurgique là où il ne se trouvait que des
    cailloux ?

    Pardon d’avoir construit 12 grands barrages ?

    Pardon d’avoir implanté un immense réseau de postes et de télécommunication ?
    …… d’avoir développé l’hôtellerie et le tourisme ? …… d’avoir créé une industrie
    chimique, développé le gaz et l’électricité ?

    Pardon d’avoir installé un réseau ferroviaire considérable et 54000 kilomètres de
    routes (non compris les pistes) ?

    Pardon d’avoir construit 23 ports, 34 phares, 23 aéroports, …… ?

    Pardon d’avoir livré des gisements de gaz et de pétrole, installations d’exploitation
    comprises, à un pays qui ne s’était jusque là jamais intéressé au Sahara ?

    Pardon d’avoir apporté aussi la médecine, les nombreux dispensaires et hôpitaux et
    d’avoir permis à 2 millions d’autochtones qu’ils étaient en 1872 d’avoir 9 millions
    de descendants en 1962 ? …… d’avoir éradiqué la peste, le choléra, la variole, le
    typhus et bien d’autres joyeusetés du même acabit ?

    Pardon d’avoir apporté l’enseignement ? …… ce qui fit dire à Belkacem Ibazizen,
    fils d’un instituteur kabyle : « La scolarisation française a fait faire aux Arabes un
    bon de mille ans ! » ?

    ET PUIS QUOI ENCORE ?

    Sur un million de Pieds Noirs, 20.000 seulement étaient des « colons » dont 40%
    exploitaient moins de 10 hectares.

    Les 12.000 autres (45.000 en comptant leurs familles) ne représentaient que 4,5% du total de la population Pied Noir ! …… Les 95,5% restants étaient des ouvriers, des employés, des techniciens, des fonctionnaires, des commerçants, souvent bien moins payés qu’en métropole !

    Si le prétendant socialiste à la magistrature suprême lisait autre chose que des
    fiches résumées, …… comme par exemple les livres de l’écrivain algérien
    Boualem Sansal, il pourrait, tout comme vous, découvrir qu’il a écrit :

    « En un siècle, à force de bras, les colons ont, d’un marécage infernal, mitonné un
    paradis lumineux. Seul l’amour pouvait oser pareil défi, … Quarante ans est un
    temps honnête, ce nous semble, pour reconnaître que ces foutus colons ont plus
    chéri cette terre que nous, qui sommes ses enfants. »

    C’est également lui qui écrivait déjà avec lucidité :

    « Trente ans après l’indépendance, nous voilà ruinés, avec plus de nostalgiques que
    le pays comptait d’habitants et plus de rapetoux qu’il n’abritait de colons.

    Beaucoup d’Algériens regrettent le départ des Pieds Noirs. S’ils étaient restés, nous
    aurions peut-être évité cette tragédie. »

    Il rejoint en cela la journaliste Malika Boussouf qui écrit également :

    « Si les Pieds Noirs n’étaient pas partis en masse, l’Algérie ne serait peut-être pas
    dans l’état désastreux dans lequel elle se trouve. »

    Dans les fiches résumées du prétendant, lui en a-t-on seulement glissé une qui lui
    aurait permis d’apprendre par exemple, au hasard, que :

    Ferhat Abbas, président de la république algérienne, du temps du G.P.R.A., avait
    reconnu :

    « La France n’a pas colonisé l’Algérie. ELLE L’A FONDÉE. »

    C’est le 14 octobre 1839, et par décision du ministre de la guerre, que le nom
    ‘’Algérie‘’ fut attribué pour la première fois à cette partie de l’Afrique du Nord. Il
    n’y a jamais eu auparavant dans l’Histoire de pays ainsi nommé !

    Et pour en terminer après cela, qui a dit, cher monsieur Egomis :

    « Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai! Il faut dire ouvertement qu’en effet
    les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures parce qu’il y a un
    devoir pour elles. Elles ont un devoir de civiliser les races inférieures. »

    Vous donnez votre langue au chat monsieur Egomis ? …… c’est l’aïeul spirituel du
    prétendant, …… Jules Ferry, …… au cours d’un discours tenu devant les députés
    le 28 juillet 1885, discours transcrit au Journal Officiel.

    Quels furent les apôtres de l’extension aux « peuples inférieurs » des bienfaits
    civilisateurs de la France républicaine ?

    Réponse ………… Victor Hugo, Gambetta, Jaurès.

    Alors, monsieur Egomis, je vous repose la question : …… PARDON DE QUOI ?

    Ah oui ! …… des crimes !

    Là encore, êtes-vous bien sûr de savoir de quoi vous parlez ?
    Vous souvient-il de la façon dont débuta la « guerre d’Algérie » le 1er novembre
    1954 ? …… par l’assassinat d’un instituteur, Guy Monnerot, dans les gorges de
    Tighanimine dans les Aurès. C’est glorieux n’est-ce pas ?

    Ceux qui prirent la décision de déclencher ce conflit prirent alors TROIS
    INITIATIVES :

    * Celle du choix du moment …… un jour de fête religieuse chrétienne,

    * Celle du choix du théâtre d’action : l’ensemble du territoire des trois
    DÉPARTEMENTS de notre province algérienne.

    * Celle du choix des MOYENS ! …… ces gens là choisirent LE TERRORISME,
    l’ÉGORGEMENT, LES ATTENTATS AVEUGLES, LE PLASTICAGE LÂCHE,
    LE CRIME GRATUIT, L’ÉMASCULATION, L’ÉNUCLÉATION, …… etc !
    Ils n’épargnèrent d’ailleurs pas les peuplades musulmanes fidèles à la France. Elles
    constituaient d’ailleurs LA MAJORITÉ DES AUTOCHTONES !

    En février 1956, qui choisit finalement la voie de la recherche d’une victoire
    militaire en Algérie ? Réponse …………. le président du conseil socialiste Guy
    Mollet.

    Qui donna les pleins pouvoirs au général Massu en janvier 1957, pour mener et
    gagner la bataille d’Alger ?

    Réponse ………. le gouverneur général socialiste Robert Lacoste.

    Nous les avons combattus, en leur empruntant parfois leurs propres méthodes [seul
    moyen de se faire respecter par cette engeance], …… MAIS SANS JAMAIS LES ÉGALER ! ……

    Ils furent néanmoins militairement vaincus sur le terrain.

    Si De Gaulle n’avait pas été aussi pressé de jeter l’Algérie aux orties en
    l’abandonnant aux assassins sans foi ni loi du FLN, dépourvus de toute légitimité
    ainsi que de toute éthique politique et morale, l’indépendance aurait pu s’envisager
    sous de meilleurs auspices. Beaucoup d’officiers français préparaient les conditions
    d’un transfert de souveraineté plus serein et plus acceptable pour tout le monde,
    …… SURTOUT POUR LES ALGÉRIENS ET POUR LES PIEDS NOIRS !……

    On sait ce qu’il en fut !

    Le FLN ne respecta pas les accords d’Évian. Il « génocida » les harkis, les
    moghaznis, les tirailleurs ainsi que bon nombre d’Européens qui eurent la faiblesse
    de croire en leur humanité.

    Alors que l’ensemble de la classe politique française cesse de se balader avec sa
    repentance ridicule en bandoulière, avec des états d’âne [*] qui n’ont pas lieu d’être !

    LA France N’A ABSOLUMENT RIEN A SE FAIRE PARDONNER ! …… RIEN !

    [*] non, ce n’est pas une faute d’orthographe]

    Quelques mois plus tard, j’ai eu la surprise de voir ce texte me revenir en boomerang. Il avait été transmis à un site, par un Alsacien qui eut le correction de ne pas s’en attribuer la rédaction. Quelques passages furent même repris ensuite par des personnes s’en servant elles-mêmes pour étayer leur argumentaire.

    Curieusement, mon texte circula partout sans que personne s’aperçoive d’une faute de frappe malencontreuse : j’avais écrit ”émusculation” au lieu de « émasculation » !

    Il n’est interdit à personne de faire parvenir ce texte à notre Président ! … dans la mesure où je peux encore faire quelque chose pour mon pays je serai heureux d’avoir contribuer à tenter de rectifier bien des …… malentendus ! ! !

    19 février 2020 à 19 h 50 min
  • KAVULOMKAVULOS Répondre

    Macron ne cesse de dévaloriser la France dès qu’il pose un pied en Afrique. Mais qu’attendiez vous d’un zigoto qui n”est, selon la formule populaire, “pas fini”. Un gosse attardé en quelque sorte à qui des ravis de la crêche ont cru comme au messie. C’en est à pleurer.
    Ceci posé, je dois approuver la première partie de l’article pour la raison suivante : il y a des décennies, de par ma profession j’ai fait de nombreux voyages et séjours dans une partie de l’ Afrique de l’Ouest. C’était l’époque où l’on pouvait s’arrêter dans un village africain pour la nuit, s’il était tard, et dormir éventuellement sur une natte avant de repartir. Bonjour les piqures de moustiques et autres ainsi que le paludisme, mais confiance totale de se retrouver entier le lendemain. Ainsi, l’occasion m’a été donnée de parler avec de vieux Africains authentiques, ceux là, pas les blackos genre (très) Con-rad qui crachent sur la France. Alors j’ai appris que l’antropophagie sévissait assez bien dans le secteur, avant les “blancs”. La formule pour les désigner était – et est sans doute encore- “il a mangé l’homme”.
    Maintenant les “racisés” de toutes sortes peuvent toujours dire que le “blanc” , en interdisant cela, a commis un attentat à la culture de leurs ancêtres. pourquoi pas ? Le tout est de le savoir et ne pas se laisser culpabiliser par des connards ignares.
    Pour les curés missionnaires, soyons honnêtes, il y avait de tout : certains étaient appelés des baisouilleurs d’africaines.

    12 février 2020 à 17 h 37 min

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