La confusion règne sur tout l’échiquier politique !

La confusion règne sur tout l’échiquier politique !

La situation politique de notre malheureux pays est étrange. Nulle part ne semble émerger un dirigeant digne de ce nom, portant un programme de réforme ambitieux et au service de la France et des Français.
À gauche, les divisions atteignent des sommets, avec le psychodrame en­gendré par la loi El Khomri, qui cristallise l’opposition de toute l’aile gauche de la majorité, désireuse de faire monter la pression à un an d’importantes échéances électorales.

Mais le plus dangereux pour François Hollande n’est pas tant l’agitation de ses « frondeurs », ni même celle des Verts, des communistes et des syndicats.

En orfèvre de la « synthèse » radicale-socialiste, il sait admirablement comment désamorcer ce genre de situation, en offrant un strapontin à tel leader de la contestation ou en obtenant un soutien de tel syndicat « réformiste ».

Le principal danger, pour lui, vient de Manuel Valls, son propre Premier ministre.

On sait que les relations entre les deux hommes sont assez tendues. Mais les tensions ont monté d’un cran ces dernières semaines, à mesure que progressait l’impopularité du chef de l’État. En effet, si la tendance ne s’inverse pas rapidement, Manuel Valls serait le seul à pouvoir mener la campagne pour 2017.

Certes, son positionnement « social-libéral » et sécuritaire est loin de faire l’unanimité à gauche. Mais les caci­ques du PS voient bien qu’ils n’auraient pas beaucoup de choix si François Hollande se trouvait dans l’impossibilité de se présenter.

Et tout le monde parie que le chef de file du PS sera, au deuxième tour, celui de toute la gauche, selon le modèle imposé naguère par François Mitterrand.

Cependant, ce modèle pourrait fort bien ne pas survivre à la campagne de 2017. Car Manuel Valls est aussi la bête noire de la gauche radicale et il permettra peut-être l’union de cette dernière. D’ailleurs, il pourrait même ne pas être au deuxième tour, faute d’avoir réussi l’union de la gauche au premier.

Pour nous, électeurs de droite, ce scénario serait une bénédiction. Pour la première fois depuis 1981, la gauche sociale-démocrate et la gauche marxiste-léniniste seraient à nouveau séparées (comme avant le programme commun).

En attendant, les satisfactions ne viennent pas vraiment de notre propre camp.

À ma grande surprise, le récent séminaire du Front national n’a pas été l’occasion de tendre la main à la droite conservatrice et souverainiste, comme le demandaient les alliés du FN, Karim Ouchikh (président du SIEL) et Robert Ménard (maire de Béziers, élu avec le soutien du FN). Mani­festement, les dirigeants du FN font le pari qu’ils peuvent gagner seuls, alors que les départementales et les régionales ont montré le contraire.

Du côté de l’ex-UMP, c’est la foire d’empoigne. La primaire ressemble de plus en plus au concours Lépine des programmes les plus éloignées des électeurs de droite. On ignore tout du positionnement politique du dirigeant du parti, Nicolas Sarkozy (qui, après avoir fait une campagne très droitière en 2007, a gouverné à gauche, avant de se droitiser pour la campagne de 2012, et de faire les yeux doux au centre aujourd’hui…). Quant au favori, Alain Juppé, il an­nonce une campagne largement à la gauche de Manuel Valls.

L’immense avantage de cette situation désastreuse, c’est que les Français commencent à comprendre que les partis politiques sont une machine à leur mentir pour acquérir des prébendes.

78 % des Français déclarent qu’ils pourraient voter pour un candidat qui ne serait ni issu d’un parti, ni soutenu par un parti.

Le problème, c’est que le temps manque. Je ne suis pas sûr que la France, malgré son extraordinaire capacité de résistance, ait encore les moyens de s’offrir 5 ans de socialisme (que le quinquennat soit animé par François Hollande, Manuel Valls, Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé, qu’il soit de gauche dure ou de gauche molle, de fermeture à droite ou d’ouverture à gauche !).

En tout cas, s’il y a une chose qui sau­te aux yeux, à la veille de 2017, c’est que la réforme de 1962 sur l’élection du chef de l’État au suffrage universel a été une erreur. Car cette ultra-personnalisation de la vie politique française empêche les véritables élites du pays (les élus locaux, les chefs d’entreprise, les hauts fonctionnaires patriotes, et, de façon générale, les « notables ») de peser comme elles le devraient sur la politique du pays. Ces institutions que l’on appelle encore, par habitude, la Ve République, mériteraient bien d’être remisées au placard des fausses bonnes idées !

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Comments (23)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    ce que dit Mr Martin M. de M. est partiellement vrai , ce que dit le camarade @Jaurès est partiellement … faux … et vice versa !

    par exemple la révolte de la farine n’ intéressa que les villes et presque exclusivement Paris … alors que

    la France était avant tout un pays rural ; ce monde paysan n’ était pas aussi homogène qu’ on le dit et surtout qu’ on le pense dans les milieux de … gauche : manouvriers, cultivateurs, métayers, laboureurs, régisseurs, artisans, hommes de loi etc … des petites ” capitales ” de ” pays ” … étaient des identités sociales bien différentes et ces identités sociales variaient également en quantité d’ une province l’ autre

    il faut aussi tenir compte du fait que la ” petite époque glaciaire ” ( celle qui causa en partie la perte de … Napoléon en Russie ) n’ arrangea certainement pas les choses tout autant que la … spéculation qui venait de faire son apparition sous la Régence

    bref l’ Histoire est beaucoup plus complexe qu’ on ne l’ enseigne de façon ” doctrinaire ” d’ un côté comme de l’ autre tout aussi

    19 mars 2016 à 9 h 20 min
    • Jaures Répondre

      Ce que vous dîtes est inexact, Quinctius.
      Les révoltes ont éclaté partout au nord de la Seine car tout le nord était concerné par les mauvaises récoltes. C’est la Bourgogne qui a d’abord été touchée, puis le bassin parisien (rural à l’époque) et le Nord.
      Si les émeutes avaient lieu en ville, c’est que là était stockée la farine pour alimenter les marchés. A Paris, c’est la Halle aux blés qui est attaquée et les émeutiers n’étaient pas des urbains mais essentiellement des paysans affamés.
      Des témoignages de l’époque sont recueillis dans l’ouvrage de Jean Nicolas “La rébellion française”.

      19 mars 2016 à 15 h 15 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        les ” manifestations ” paysannes ” débutèrent au printemps 1789 et ne se terminèrent certainement pas après la législation adoptée entre le 4 et le 11 août … dans le sud-ouest de la France, par exemple, elles se prolongèrent jusqu’ en 1791.

        leur cause : la ” paysannerie ” n’ ignorait pas que les taxes, les droits, les loyers, les dîmes, les services, tous paiements en monnaie ou en nature, étaient dus et encore plus souvent perçus par la bourgeoisie des ( ” grandes ” ) villes ce qui alarma la dite bourgeoisie , d’ autant que les réformes de juillet 1787 ( mais oui 1787 ) créant des assemblées rurales composées d’ élus ” locaux ” excluaient de celles ci les propriétaires de terres résidant à la … ville … de plus en plus les gens des campagnes avaient l’ impression que les Etats Généraux avaient sacrifié leurs intérêts au seul profit de ceux des gens des villes

        les manifestations paysannes n’ eurent donc pas pour origine la farine

        20 mars 2016 à 14 h 34 min
        • Jaures Répondre

          La “guerre des farines” date de 1775. C’est l’une des manifestations des multiples famines et disettes sous l’Ancien Régime.
          J’ai fait allusion à cela en réponse à MDdeM qui prétend que la révolution aurait été fomenté par des “loges maçonniques” alors que les causes en sont bien plus profondes avec la misère comme principal terreau.

          20 mars 2016 à 15 h 20 min
          • quinctius cincinnatus

            voici ce que dit le frère trois points Louis Blanc in

            Histoire de la Révolution française

            tout d’ abord il confirme qu’ il y eût une ” conspiration ” menée par le frère du roi et que cette conspiration eût un précédent : … la guerre des farines

            pour ce qui concerne les paysans voici ce qu’ il dit des ” émeutiers ” de Paris :

            ” … et d’ autres émeutiers surgissent à Paris et pillent les boulangeries ; ils crient à la disette et à la cherté du pain; on découvre dans ceux qu’ on arrête des ” aigrefins ” déguisés en paysans et des portefaix les poches … pleines d’ argent “

            21 mars 2016 à 14 h 38 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    Là où l’ on peut dire qu’ il n’ y a pas confusion ( des genres ) c’ est bien dans le Brésil ” progressiste ” de Rousseff ( par ailleurs fille d’ un immigré ukrainien, enfin … russe, au plus beau passé stalinien ) : on y nomme ministre un ancien président ” travailleur ” pour qu’ il échappe à une arrestation dans une affaire de pots de rhum !

    17 mars 2016 à 7 h 34 min
  • Chris Répondre

    J’approuve le dernier paragraphe de l’article de Guillaume de Thieulloy.

    Je reste persuadé qu’il y a des personnalités capables de prendre les affaires de la France en main,hélas,elles ne se manifesteront pas,car elles se doutent qu’elles n’auront pas toute la liberté d’agir.Ces personnalités hommes ou femmes peu importe feront l’objet de pressions de toutes parts.Il faudra que ces gens soient dotés d’une solide santé psychologique,mentale et physique et faire preuve d’un charisme hors norme.Donc,ce n’est pas pour demain.A moins que…..

    16 mars 2016 à 16 h 41 min
  • trividic Répondre

    La position sécuritaire de Valls ???? En paroles certes mais pour le reste c’est le néant

    16 mars 2016 à 12 h 35 min
  • MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS Répondre

    Vous ne voyez personne émerger parce que vous ne regardez que dans les partis républicains. Votre homme est ailleurs que dans les combats politiciens. Il est individuel ! Et plutôt dans le parti du Royaume de France que dans celui, général, de l’appropriation du Pays par des bons à riens, nuls, et donc hyper prétentieux, candidats “naturels” du système ! Cherchez mieux, à la manière des Tibétains, leur DALAÏ-LAMA. Cherchez votre Roi !

    16 mars 2016 à 9 h 52 min
    • Bistouille Poirot Répondre

      Désolé, les rois, nous avons donné, les républicains , nous donnons. On ne veut plus donner..

      17 mars 2016 à 16 h 17 min
      • MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS Répondre

        Alors plus de voies publiques d’aucune sorte, ni défense nationale ou locale, ni arbitrages minimaux nécessaires. Donc, l’anarchie ! Etes-vous donc anarchiste ?
        Il est toujours nécessaire de contribuer aux nécessités minimales, réellement, collectives. Le poids des impôts tout compris était sous Louis XVI en constante diminution vers… 10% ! Actuellement nous sommes à 132,56 % ! Y-a pas photo !
        Louis XVI diposait de 30.000 fonctionnaires pour 30 millions d’habitants. Il y en actuellement plus de 5.640.600 officiellement pour 67 millions d’habitants.
        LOUIS XVI diposait de 3.000 gendarmes sur tout le territoire et il y avait très peu de crimes et délits ! Il y en a actuellement 150.000 et les crimes et délits sont légions avec 72000 prisonniers dans les prisons ! Du jamais vu !
        Comparez et restez raisonnable…
        MERCI !

        17 mars 2016 à 16 h 35 min
        • Jaures Répondre

          “Louis XVI diposait de 30.000 fonctionnaires pour 30 millions d’habitants.”
          Alors vous ne comptez pas les militaires: 155 000 sous Louis XVI (300 000 en “pied de guerre”).
          Que veut dire “il y avait très peu de crimes et délits” ?
          La police d’alors tenait des statistiques ? On sait que les affaires criminelles de l’époque se déroulaient au sein de la même famille ou entre familles du même village pour des questions relationnelles et de patrimoine. Rappelons-nous que les 2 ou 3 décennies que vivaient 90% du peuple se déroulaient sur le même territoire communal.
          Et l’Etat n’avait guère de médecins et d’enseignants à rémunérer.
          Enfin, la situation économique sous Louis XVI n’était pas florissante: Etat en faillite (guerre d’Amérique), chute du prix du blé, famines, dépenses somptuaires de la Cour, …
          Les révolutions ne naissent pas de rien.

          17 mars 2016 à 18 h 01 min
          • MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS

            Vous ne savez rien. Lisez le Francis BLUCH sur l’Etat du Royaume avant le coup d’Etat maçonnique. C’est contre ce coup d’état qu’il y a eu une REVOLUTION armée partout en France.

            Le train de vie de l’Etat était entièrement payé par les revenus du domaine royal. Aucun impôt. L’impôt était réservé à la guerre depuis des siècles ! La guerre contre l’Angleterre, déclarée par elle, fut gagnée. Elle coûta 2 Milliards de Livres Tournois dont 900 millions furent payés sur les revenus du domaine royal. LOUIS XVI ne demanda donc que la moitié des dépenses de guerre aux Etats-Généraux, alors qu’il avait le droit de réclamer la totalité qui était due par le Peuple. Il n’y a eu aucune révolution populaire pour les difficultés climatiques et de récolte. Ce furent 2000 loges maçonniques implantées par l’Angleterre en France qui firent ce qu’on appelle aujourd’hui de l’AGIT-PROP et la finance de ce coup d’Etat fut ce que l’on appelle “la cavalerie de St-Georges = pièces d’or anglaises ! Thomas JEFFERSON vînt en France en 1786 tout organiser ! Le Duc d’Orlkéans, frère du Roi voulait la Couronne, il marcha dans le Coup d’Etat conditionné par sa maîtresse : une anglaise. Etc… Lisez les vrais livres d’histoire. Conseil amical.

            17 mars 2016 à 18 h 18 min
          • Jaures

            “qu’il avait le droit de réclamer la totalité qui était due par le Peuple” Ben voyons ! Le peuple avait réclamé la guerre en Amérique !
            “furent payés sur les revenus du domaine royal”. Mais qui fournissait ce revenu ? Il ne tombait pas du ciel ! Ce n’est pas le Roi qui cultivait ses terres.
            Vous pouvez nier que les années 1780 furent des années de disette et de famine. Vous pouvez croire que “la guerre des farines” de 1775 n’a jamais existé, c’est votre droit.
            La vérité est qu’il n’y a jamais eu dans l’Histoire de révolutions ou même de révoltes sans causes sociales graves. Et à l’époque, la cause sociale grave n’était pas l’âge de départ en retraite mais simplement la présence ou non de pain à l’heure du repas.
            Des loges maçonniques ? Pourquoi pas des extra-terrestres ?

            17 mars 2016 à 19 h 21 min
  • Jaures Répondre

    “Nulle part ne semble émerger un dirigeant digne de ce nom, portant un programme de réforme ambitieux et au service de la France et des Français”.
    Et bien qu’attendez-vous M de Thieulloy ! La voie est libre ! Proposez aux Français votre projet de société et peut-être les 78% d’électeurs hors système seront pour vous.

    15 mars 2016 à 15 h 53 min
    • toni Répondre

      Plutôt Jaurès vous allez vous débrouiller vous et vos collègues pour nettoyer le foutoir dans lequel on se trouve, c est aussi marrant d entendre dire parci par la un gouvernement de gauche faire une politique de droite.
      Mais en aucun cas je vais me lever a 6h30 du matin pour nettoyer le merdier actuel.

      16 mars 2016 à 7 h 20 min
      • Jacky Social Répondre

        @toni: “On ne resoud pas les problemes avec ceux qui les ont crees”. A. Einstein. En plus, Jaures et cie ont voulu ce foutoir. Car ils veulent le pouvoir et rien dautre. Qu’est ce qu’ils se fichent pas mal des valeurs de la France, des talents de la France et d’ailleurs de la France entiere. Leur ego est bien trop grand pour la France. Tout ca se fait sous couvert de solidarite et de lute contre la soi-disant pauvrete. Ca marche toujours et ca marchera toujours tant qu’il y aura des blaireaux pour les ecouter.

        16 mars 2016 à 8 h 07 min
  • Le Ket Répondre

    Si la confusion règne “sur tout l’échiquier politique”, il ne règne certainement pas dans l’esprit de la population qui, mais un peu tard, “ouvre les yeux”.

    Après J.CHIRAC qui a signé le décret du regroupement familial en avril 1976 jusqu’à E.VALLS instituant le mariage pour tous, en 40 ans les gouvernements successifs ont TOUS favorisés les minorités agissantes qui, contre l’immense majorité des citoyens remisés au placard, ne représentaient que 3 à 5% des électeurs !

    Mais la confusion ne règne pas dans les cerveaux des citoyens bernés par les pourriticards, citoyens qui au fil des ans n’ont constaté aucune amélioration dans leur vie quotidienne, surtout ces 20 dernières années :

    1) le chômage n’a pas diminué, alors que tous les barons du Régime nous avaient vanté un Traité de Maastricht qui nous apporterait un futur radieux et un bien-être assuré.

    2) les impôts sont devenus démotivants et insupportables.

    3) la bureaucratie, nationale et européenne étouffe toute envie d’entreprendre.

    4) la drogue est en vente “libre” aux portes des écoles.

    5) l’insécurité ne cesse de se développer, à tel point que des élus conseillent aux femmes de ne plus circuler sur la voie publique à la nuit tombée !

    6) la corruption des élus n’a pas disparue, malgré les déclarations répétées des élites qui devaient s’y atteler.

    7) malgré Schengen et les accords européens, l’immigration n’a pas été contrôlée et bien au contraire conduit depuis des années à une véritable invasion.

    8) lassé des vaines promesses (qui selon Ch. Pasqua “n’engagent que ceux qui y croient”) et outré par les mensonges successifs de ceux qui nous ont gouverné, le peuple exprime son profond mécontentement, à longueur des manifestations.

    Nul doute que la mafia socialaud-écolo-libéro-démocrato-capitaliste va payer chèrement et vilainement ses dérives, lors des prochaines consultations électorales au printemps de 2017 en avril, mai et juin (soit 4 rendez-vous aux urnes).
    Et si l’on assiste d’ici-là à de nouveaux attentats, un krach financier ou une nouvelle crise économique, alors une cinglante défaite s’annonce pour les laquais du Nouvel Ordre Mondial !

    15 mars 2016 à 13 h 38 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      sans doute ! sans doute ! le Ket mais … le Français est pusillanime ( on l’ a d’ ailleurs ” éduqué” pour qu’il le soit ) et les véritables victimes ne descendront pas dans la rue , elles se terreront pour éviter de recevoir encore d’ avantage de mauvais coups !

      15 mars 2016 à 13 h 57 min
    • Jacky Social Répondre

      @Le Ket: bravo pour vote lucidite. Tout est dit. Rien a redire. Belle synthese. Merci.

      16 mars 2016 à 10 h 55 min
    • Bistouille Poirot Répondre

      OUI LE KET Bien vu dans le rétroviseur, également devant le pare choc, mais au delà et à la vitesse où nous allions, quelques uns prétendent encore que nous rentrons dans le mur alors que nous en rebondissons sans trop savoir de quelle façon nous atterrirons ni même imaginer ce qu’il en restera.
      Travaillez pour mieux avoir à dire ou cherchez sur internet un programme auquel j’ai participé (“Force-France-Vie” avec Jean Claude Martinez) sans pour autant être d’accord sur tout mais c’est là, la rançon d’une oeuvre bâtie en équipe. Qu’en pensez-vous ? nous avons fait avec les moyens du bord pendant plus de deux ans…

      17 mars 2016 à 16 h 34 min
      • Le Ket Répondre

        @ Bistouille Poirot = nous sommes pas loin du fond du gouffre, avec 2.200 milliards de dettes publiques qu’il va falloir quand même éponger un jour.

        J’ai connu J-C Martinez, quand il était député européen : un intellectuel remarquable, possédant une expérience certaine dans le domaine financier et comptable. Il prônait la suppression totale des impôts des personnes physiques et une relance par la consommation, ceci fin des années 90′.

        Dommage que de tels élus aient été écarté de la vie publique, car le rassemblement de gens expérimentés serait positif au vu des catastrophes qui s’annoncent.

        17 mars 2016 à 17 h 22 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” la confusion règne sur tout l’ échiquier politique … ”

    vite AlphaGo !

    15 mars 2016 à 12 h 33 min

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