La France face à l’immigration

La France face à l’immigration

Certains de nos médias commencent enfin à reconnaître, semble-t-il, que l’immigration musulmane ne serait pas tout à fait pour la France cette chance qu’ils ont tellement encensée.

Emmanuel Macron lui-même note subitement, du bout des lèvres pourrait-on dire, que cette immigration poserait un problème.

On se doute cependant que le personnage ne s’exprime que par calcul électoral pour essayer de conserver des électeurs qui, eux, s’interrogent de plus en plus sérieusement sur la question.

Pour notre part, nous ne répéterons jamais suffisamment que ce phénomène migratoire correspond à une réelle invasion colonisatrice programmée.

L’OCI (Organisation de la Coopération Islamique) en a établi le projet et plusieurs chefs d’État musulmans l’ont ouvertement énoncé.

Un tel envahissement hostile devrait donc être combattu, sans l’ombre d’une hésitation, avec toute la rigueur et la détermination nécessaires.

Cette invasion pèse en effet de plus en plus considérablement sur les secteurs fondamentaux que sont, entre autres, l’économie nationale, la sécurité générale, la santé, la justice, l’enseignement, la liberté d’information et d’expression.

Un état de fait qui compromet au final, ni plus ni moins, l’existence de la France.

Ceci est d’ailleurs d’autant plus réaliste que les électeurs musulmans, assujettis pour la plupart à la sphère islamique, et donc enclins à être cornaqués par les islamistes radicaux, vont devenir arithmétiquement majoritaires si, par malheur, rien n’était entrepris pour endiguer un processus qui paraît pour l’instant irréversible.

Seule la mise en place d’un plan draconien appliqué sans restriction par des serviteurs d’État dignes de ce nom, fondamentalement patriotes, aurait une chance de modifier la donne. Ce plan pourrait être bâti autour des douze décisions suivantes :

  • Suspension de l’immigration et du regroupement familial.
  • Arrêt du transfert de migrants en Méditerranée.
  • Révision drastique de l’AME et des allocations aux associations litigieuses.
  • Renvoi effectif des clandestins et des malfaiteurs étrangers dans leur pays d’origine.
  • Arrêt de la construction de mosquées.
  • Renvoi des imams étrangers nocifs.
  • Rétablissement de l’ordre en ce qui concerne toute manifestation religieuse dans le domaine public.
  • Élimination progressive des zones de non-droit.
  • Contrôle étroit et fermeture éventuelle des écoles coraniques.
  • Rétablissement d’une justice pragmatique et efficace.
  • Retour de la discipline dans tous les établissements d’enseignement.
  • Interdiction de la binationalité aux candidats à l’accès aux responsabilités nationales

Un tel plan paraîtra certainement abrupt, disproportionné et même chimérique pour certains.

Mais l’heure n’est plus aux considérations émotionnelles et aux tergiversations. Le danger est là, bien tangible et d’un niveau extrêmement élevé.

L’heure doit être celle de l’action de l’État et du combat.

Il reste maintenant à savoir si mes compatriotes choisiront la soumission et la condition d’un citoyen de seconde zone, ou, s’ils deviendront dans leur majorité suffisamment lucides pour s’impliquer avec bon sens et résolution dans la réhabilitation et la sauvegarde des valeurs fondamentales d’une nation qu’on appelle encore la France et qui est encore leur Patrie.

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Comments (2)

  • OMER DOUILLE Répondre

    A pratiquement tous les points de proposition cités dans l’article, il sera quasi impossible de répondre par un accord. Si vous avez suivi mercredi soir sur LCP (chaine 13) l’émission animée – ou plutot accaparée – par Myriam Ancaoua et qui portait sur l’émigration et l’AME, vous seriez assis. Il faut dire que face à François Coppé qui tentait de tenir un discours raisonnable, l’animatrice ci-dessus, loin d’être impartiale, avait convoqué de hautes figures de l’humanitarisme : Obono de LFI qui braillait sans vouloir lacher le crachoir pour empêcher Coppé de répondre, un zozo bobo et la haute figure du sieur Pierre Henry de l’assos “France terre d’asile” qui sortait la grosse artillerie, discours duquel il ressortait que l’AME n’avait enregistré que “38 cas de fraude” , ( c’est dire si le boulot est bien fait). Le même Henry présentait l’ AME comme une mesure de salubrité publique car elle évitait la propagation de maladies graves, répétait que “c’est notre devoir” , qu’il n’y a qu’a règler le problème des migrants (illégaux) porte de la Chapelle, cette cour des miracles, etc… Le cout, ce n’est pas le problème pour lui et Obono : évidemment quand on émarge comme lui à l’assos subventionnée en 2013 à 50 millions d’euros d’argent public, ce n’est pas très perceptible. Même si, selon un article du Monde signé Paul Guidici du 6.12.2013 , le cher Henry s’était vu reprocher par un “collectif des salariés et amis de FTDA” d’agissements suspects entrainant une enquête de l’IGA . A noter que toujours le même Henry, bien que réclamant plus de largesses pour ses protégés à un député LREM, s’est entre temps accolé à ce mouvement (pour obtenir un peu de chaleur, il vaut mieux de rapprocher du soleil, même si l’on prétend être froid). L’émission s’est terminée comme on pouvait s’y attendre : les pro-immigration et ce qui va avec noient tout sous une logorrhée ininterrompue . Avec la bénédiction de l’ “animatrice” dont on n’a pas à se poser la question de ses sensibilités sociétales.
    Pour les incrédules, tapez le nom de l’homme au grand coeur dans GOOGLE et cherche l’article le concernant associé à celui du Monde : imparable. Comme quoi le “charity business” ça vaut le détour. Parfois même le détournement.

    26 septembre 2019 à 0 h 51 min
  • BRENUS Répondre

    La réponse à la question formulée au dernier paragraphe a déjà sa réponse pour qui veut bien ouvrir les yeux/ ” No future for the natives”.
    Informez vous sur le sort des lemmings et comparez…..

    25 septembre 2019 à 17 h 51 min

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