La France sous perfusion socialiste

La France sous perfusion socialiste

Lorsque l’on considère le système social ultra-protecteur de la France, on ne peut manquer à la fois de s’en réjouir et de s’en apeurer.

D’année en année, on voit émerger des propositions électoralistes de plus en plus coûteuses, au nom de principes et de valeurs dites « républicaines », sans cesse bafouées – valeurs qui nous entraînent irrémédiablement vers le bas.

Une part croissante du budget part, comme le suggère Macron, en « soins palliatifs sans lendemain, au détriment de dépenses constructives porteuses d’avenir ».

Est-ce à dire que la France, grande malade, a atteint un tel état de gravité qu’il ne lui faut plus que mourir tranquille, sans plus se battre ?

Apparemment non, puisque le même Macron veut lui faire jouer le rôle de chef d’orchestre de la culture et du bien-être universel dans un monde en pleine effervescence dans tous les domaines imaginables.

D’où nous vient cette contradiction de vouloir vivre à minima, sans risque et sans peur, et de vouloir diriger et contrôler le monde ?

D’une maladie socialiste bien connue : l’égalitarisme et d’une protection sociale de plus en plus insensée, contre-productive et ruineuse, réclamant des soins médicaux et sociaux de moins en moins supportables.

Dernier exemple : le salaire minimum garanti, vielle idée utopique ramenée au goût du jour, comme si c’était la panacée du futur !

C’est vouloir ignorer cette loi universelle que, dans la vie « rien n’est gratuit, tout se paie ».

Les choses n’arrivent pas parce qu’on les désire, mais parce que l’on travaille dur pour les avoir.

À vouloir trop nous délivrer de cette rude contrainte, nous ne faisons pas nécessairement no­tre bonheur, mais nous entrons dans une véritable pathologie de paresse résignée et de dépendance outrancière très dangereuse.

L’égalité est un mythe attrayant qui escamote la vraie question : pour que la France continue à tenir son rang dans le concert des nations, que lui faut-il en premier lieu, une masse indifférenciée de citoyens sous injection égalitaire peu travailleuse et peu créative vivant sur les dos de prêteurs étrangers, de contribuables de moins en moins aisés et de leurs descendants ou, au contraire, une multitude de gens dissemblables recherchant dans une économie saine des « niches » novatrices dans les innombrables courants du modernisme le plus avancé ?

La réponse à cette question conditionne l’école de demain, le plus beau cadeau que l’État fait au citoyen.

Cette école devrait être le filtre non doctrinaire permettant à tous de mieux réussir dans la vie, chacun dans sa voie propre, et de faire émerger les talents, au lieu de les mélanger dans une soupe populaire égalisatrice.

En outre, il serait souhaitable de ne plus donner à « la République », une part déraisonnable dans l’histoire de France expliquée à nos enfants, car elle n’en est qu’une toute petite partie et certainement pas la plus glorieuse.

Il ne faut jamais dédaigner le passé, car il recèle encore pour nous d’innombrables surprises !…

 

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Comments (24)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    conseil de lecture ( bis repetita placet )

    ” Impostures intellectuelles ” ( Odile Jacob 1997 et livre de poche biblio essais )

    environ 10 euros

    par

    Alan Sokal professeur de physique à l’ Université de N.-Y. et

    Jacques Bricmont professeur de physique théorique à l’ Université de Louvain

    les grands penseurs francophones ( type Baudrillard , Deleuze, Lacan, Kristeva etc … ) y sont joyeusement étrillés comme étant tout à fait inaptes à comprendre les notions les plus simples de la physique moderne sauf à les utiliser de façon disons fantaisiste … idéologique )

    après ceux qui sur le blog et dans les ” 4V² ” se prennent pour des penseurs y regarderont , s’ ils sont lucides et honnêtes , à deux fois avant que de citer des sources pures qui sont surtout des marécages intellectuels

    18 février 2017 à 16 h 25 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    en pratique une perfusion est faite pour sauver des vies ; le socialisme serait donc plutôt une injection létale comme dans certaines prisons américaines

    16 février 2017 à 14 h 54 min
  • nusbren Répondre

    Qui a dit que le PS était asséché financièrement? Il continue à payer ses tireurs à la ligne pour venir flooder sur les sites de droite. Ne parlons même pas du contenu totalement absurde et mensonger des écrits: le tout est de tenir la page, comme d’autres le crachoir. N’est ce pas “mon cher” jocrisse?

    15 février 2017 à 0 h 21 min
  • Raoul Villain Répondre

    « Pour nous, au contraire, il ne s’agit pas de réformer l’école, de l’améliorer, de la démocratiser, car, tout simplement, c’est un objectif utopique, irréalisable : l’école est par essence, par nature, par origine un appareil de sélection sociale, de diffusion de l’idéologie bourgeoise. Cette école-là, elle n’est pas amendable, il faudra la détruire. » (Rouge hebdomadaire, 29 mars 1974) Edwy Plenel Histrion trotskyste.

    Grâce à lui et à des neuneus comme Jaurès c’est chose faite. Vive le socialisme !

    10 février 2017 à 16 h 46 min
    • Jaures Répondre

      Et quelle école a formé les Plenel et autres trotskystes des années 70 ?

      10 février 2017 à 22 h 02 min
      • Raoul Villain Répondre

        Pas celle de Bourdieu, de Belkacine, du SGEN ou de la FCPE c’est un fait !

        11 février 2017 à 14 h 33 min
        • Jaures Répondre

          Eh bien laquelle ? Qui étaient les profs qui ont diplômé les Plenel, July, Krivine, et consorts ? Et qui avaient formé ces profs ?
          Et avant, qui avait formé les membres de la Division Charlemagne ?

          11 février 2017 à 15 h 34 min
          • Raoul Villain

            “Parmi ceux-ci, l’école apparaît depuis trente ans comme le terrain d’expérience où tous ces slogans se sont coalisés pour la métamorphoser. La loi d’orientation de 1989, bréviaire de la pensée 68, a destitué le professeur de sa mission hiérarchique d’instruction pour en faire l’animateur d’un «lieu de vie» démocratique, érigeant l’épanouissement de l’enfant en préoccupation principale, en lieu et place d’un savoir à transmettre. Cet héritage du spontanéisme et du rousseauisme vague de 68 qui fait de l’élève la mesure de lui-même (il «s’autodiscipline», «s’autoévalue» et de «grandes consultations» l’interrogent sur la prochaine réforme) a produit un catéchisme pédagogique dont l’obsession est de bannir toute interdiction et toute sanction (ni zéro ni redoublement). De réduire toute distance avec le présent: mieux vaut apprendre le français sur le mode d’emploi d’un presse-purée ou sur une affiche publicitaire plutôt qu’avec La Fontaine ou Hugo. Et de célébrer la nouveauté contre le «traditionnel». Soumis de la base au sommet à ce nouveau credo, le ministère de l’Education nationale évite d’en faire le bilan, alors que le pourcentage d’étudiants d’origine populaire admis à l’ENA, à Normale sup et à l’X a baissé de moitié entre 1968 et 1990”

            La génération gâtée Conan Eric L’Express 24/05/2001

            11 février 2017 à 16 h 53 min
          • Jaures

            Mon pauvre Raoul ! Savez-vous combien il y a d’enfants issus des classes populaires (ouvriers et agriculteurs) à l’ENA ? 4 ! 5 les bonnes années ! Ce qui veut dire (si les chiffres de votre article étaient exacts, mais les avez-vous seulement vérifiés ?) qu’en 1968 ils étaient 8 ou 10. Soit moins de 10% ! Voilà qui est révélateur !
            Et vous ne répondez pas à la question. Si la génération 68 a accouché d’un “bréviaire” éducatif absurde, quels professeurs ont amené cette génération à cette pensée boiteuse ? Ceux de la génération précédente déjà pervertie ?
            Et pour votre gouverne, la Finlande qui est bien mieux classée que la France au PISA applique en grande partie ce “catéchisme”: pas de notes avant le collège et ensuite possibilité de les négocier, le 0 est exclu, aux examens, les notes sont sur 10 et chaque élève est assuré d’avoir au moins 4 (il faut 5 pour être admis).
            Qu’en pensez-vous ? Et essayez de produire une idée par vous-même, sans aller chercher une opinion dans un article ou une tribune.

            11 février 2017 à 17 h 45 min
          • Raoul Villain

            Une autre étude conduite en 1995 par MM. Claude Thélot et Michel Euriat22(*), et ciblée sur quatre grandes écoles prestigieuses (Polytechnique, l’Ecole normale supérieure, HEC et l’ENA), constitue une « référence » dans l’analyse de la diversité sociale. Cette analyse aboutit à un constat apparent de « régression » dans le recrutement social de l’élite scolaire : en effet, alors que 29 % des élèves de ces écoles étaient d’origine « populaire »23(*) au début des années 1950, ils ne sont plus que 9 % quarante ans plus tard.

            Source: Diversité sociale dans les classes préparatoires aux grandes écoles : mettre fin à une forme de « délit d’initié »
            rapport du Sénat
            * 22 « Le recrutement social de l’élite scolaire en France. Evolution des inégalités de 1950 à 1990 », Michel Euriat, Claude Thélot, Revue française de sociologie, 1995.
            * 23 C’est-à-dire de père paysan, ouvrier, employé, artisan ou commerçant.

            Encore une contre-vérité de votre part.
            Après le mythe soixante-huitard le mythe finlandais:
            source inconnue (j’ai zappé trop vite et je ne retrouve plus l’auteur: toutes mes excuses à celui-ci)
            15 ans : l’expulsion du Paradis

            “La Finlande est réputée avoir une école à la fois très performante et très égalitaire. Nous verrons plus bas ce qu’il faut en penser. Mais même si cela était le cas, il ne faudrait pas oublier que ce paysage idyllique s’assombrit brusquement dès qu’on franchit le cap des 15 ans. Une sélection brutale envoie alors près des deux tiers des élèves en lycée professionnel et seuls les meilleurs peuvent accéder aux lycées généraux (il n’y a que deux secteurs en Finlande : études générales et formation professionnelle). Cette sélection s’est d’ailleurs fortement aggravée dans les dernières années suite à la baisse des résultats dans l’école obligatoire que j’ai déjà évoquée dans « Finlandisation de la Finlande ». C’est ainsi que, en 2000, 43 775 élèves entraient en seconde générale et 57 223 en seconde professionnelle. En 2008, ces chiffres sont devenus 38 744 pour les premiers et 61 895 pour les seconds. L’aggravation de la pression sélective répond sans aucun doute à la volonté des chefs d’établissement (puisque ce sont eux qui décident) de maintenir le niveau d’exigences. On ne peut guère le leur reprocher, bien au contraire. Mais les thuriféraires du modèle finlandais qui, chez nous, en chantent continument les louanges devraient tenir compte de ces éléments : les résultats du primaire et du collège sont en baisse et la sélection à 15 ans se renforce alors même qu’elle était déjà bien plus violente que chez nous (il y a en France environ 150 000 élèves en seconde pro pour 400 000 en seconde générale et technologique : les proportions sont donc inversées par rapport à la Finlande). Et un deuxième tour d’écrou a lieu après le bac, au moment d’entreprendre des études supérieures. Pris dans son ensemble, le système éducatif est donc bien plus malthusien qu’on n’imagine : la politique scolaire et universitaire ferme d’une main ce qu’elle donnait de l’autre et le laxisme au niveau du primaire et du collège a pour contrepartie une sévérité accrue à partir de 15 ans : le rêve est fini, les temps deviennent durs, il faut retrousser les manches.”

            Il est cocasse de votre part de vous voir revendiquer des idées personnelles. Un porte-voix de la propagande socialiste officielle bas de gamme qui se prend pour un intellectuel de haut vol ! Vous êtes un cuistre Jaurès vous êtes le seul à vous prendre au sérieux.

            11 février 2017 à 18 h 11 min
          • Jaures

            Mon cher Raoul, quand vous faites un copier-coller, ne vous arrêtez pas en chemin. Allez jusqu’au bout ! Je le fais pour les lecteurs de bonne foi (l’article qu’a copié Raoul figure sur le site du sénat):
            “Toutefois, rapporté aux évolutions des catégories populaires dans la structure sociale française24(*), ce constat dissimule, selon les auteurs de l’étude, une très légère ouverture sociale, qui reste cependant moindre que celle que connaît, dans la même période, le reste du système scolaire et l’université : « compte tenu de leur importance respective dans la société française, les jeunes d’origine populaire vers 1950-1955 avaient 24 fois moins de chances que les autres d’être dans l’une de ces quatre grandes écoles. Aujourd’hui ils en ont 23 fois moins (…). Pour le dire en une phrase, l’inégalité de présence et, sans doute, d’accès à l’université s’est beaucoup réduite, l’inégalité d’accès aux grandes écoles prestigieuses est restée stable ou a décru légèrement. »

            Idem concernant la Finlande. Qui a dit qu’il n’existe pas de sélection en Finlande ? Où ai-je écrit que n’importe qui pouvait devenir chirurgien ou ingénieur en aéronautique sans le moindre effort ? C’est ridicule. Apprendre demande un effort. La question est de savoir comment on stimule cet effort.
            Les lycées professionnels en Finlande n’ont rien à voir avec les nôtres. Les passerelles avec l’université sont bien plus développées. Aller en lycée professionnel n’est pas là bas un échec. Le problème en France n’est pas celui de la répartition entre lycéens en étude générale ou professionnelle mais le fait que 150 000 jeunes sortent du système scolaire sans diplôme.
            C’est là que le système Finlandais basé sur des petits effectifs en classe, la gratuité totale, une formation de haut niveau et permanente des professeurs, une détection et une prise en charge précoce des élèves en difficulté, une évaluation encourageante,…doit être considéré avec attention.

            11 février 2017 à 21 h 52 min
          • Raoul Villain

            Les gens de bonne foi savent sans doute mieux lire que vous (ce n’est pas difficile).

            “rapporté aux évolutions des catégories populaires dans la structure sociale français” ce qui signifie qu’on corrige les chiffres (c’est un peu comme les sondages redressés)” pour mieux les déformer car le constat est patent. L’article cité plus haut donne la bonne proportion, l’étude sociologique la confirme. Depuis la mise en place de l’école gauchiste: les enfants des classes populaires ont eu moins accès et dans des proportions importantes aux grandes écoles. Il est vrai qu’ils intéressent peu et que l’on préfère les discriminations positives tournées vers des électorats prometteurs. Les gens sérieux et de bonne foi comprendront que vous avez une fois de plus parlé pour ne rien dire, sans argument étayé et avec une mauvaise foi qui dénote votre très grand manque de culture.
            Je ne reviendrai pas sur la Finlande, tout est dit dans l’article et votre verbiage prouve que, comme sur les autres sujets, vous n’avez à votre portée que des éléments de langage militants dénués de tout fondement.

            12 février 2017 à 10 h 06 min
  • Jaures Répondre

    “Les choses n’arrivent pas parce qu’on les désire, mais parce que l’on travaille dur pour les avoir.”
    Si seulement c’était vrai ! Chaque jour nous donne des exemples du contraire. Et certains programmes électoraux aggraveraient encore la situation: F.Fillon comme Mme Le Pen souhaitent exonérer encore un peu plus les héritiers. Déjà notre système scolaire, bien loin d’être aussi égalitariste qu’on le prétend ici, favorise les élites qui se reproduisent: les enfants qui réussissent sont ceux des profs et de cadres supérieurs. La droite et les populistes souhaitent que se reproduisent également entre elles les élites financières: Mme Le Pen par exemple, propose que les donations aux enfants soient exonérées de taxes jusqu’à 100 000€ tous les 5 ans. Cela permettra aux enfants bien nés de démarrer à 20 ans avec un capital de 500 000€ net d’impôts. Les enfants de salariés devront eux se trouver un poste dans un fast food pour payer leurs études. Salaire qui lui sera taxé, bien entendu. Or on sait qu’un étudiant en difficulté financière a trois fois moins de chances de réussir au delà de Bac + 2 qu’un étudiant sans problèmes financiers.
    Question de travail uniquement dîtes-vous ?
    La proposition de B.Hamon de tester le revenu universel sur les 18/25 ans prend ici tout sons sens.
    Que ceux qui imaginent que quelqu’un se contenterait de 700€/mois et jouirait de ce pactole dans l’oisiveté essayent de vivre avec un tel revenu. On verra combien de temps ils tiendront.

    9 février 2017 à 15 h 58 min
    • Christophe Répondre

      Votre message est caricatural,Jaures!Vous semblez oublier comme beaucoup de gens que la vie est diverse.La situation personnelle de chacun d’entre nous,qu’elle soit professionnelle ou extra professionnelle est mouvante.Les revers de fortune peuvent survenir chez des gens qui,au départ possédaient toutes les (pré)dispositions pour évoluer sans trop d’encombres,mais il y a beaucoup d’incertitudes dans la vie c’est ainsi Jaures! C’est ce qui en fait aussi sont attrait.Je ne suis pas sûr que d’avoir une vie “balisée”soit la solution.
      Quant à la proposition de Monsieur Hamon que vous approuvez,moi je n’en veux pas.Vivre avec le R.S.A ce n’est pas drôle!Croyez-moi!
      Pour conclure je livre à votre réflexion une formule de Voltaire peu connue:”Le travail éloigne de nous trois grand maux,l’ennui,le vice et le besoin.”

      10 février 2017 à 10 h 30 min
      • Jaures Répondre

        Christophe, mon propos n’est pas de dire que tout serait écrit. Loin de là. Ce que je constate, c’est que certaines mesures contribuent à la reproduction des élites financières ou intellectuelles. Bien entendu que l’on peut jouer de malchance ! Mais avouez que partir, comme mon exemple ci-dessus, avec 500 000€ à 20 ans ou rien du tout ne vous met pas exactement sur la même ligne de départ. De fait, on constate statistiquement que les enfants de profs ou de cadres supérieurs occupent très majoritairement les places dans les grandes écoles ou en médecine.
        Cela ne veut pas dire que l’on ne peut parfaitement s’accomplir sans avoir fait les Mines ou Polytechnique mais qu’une certaine classe travaille à s’en faire un domaine réservé. La nécessité de travailler pour de nombreux étudiants issus des classes populaires les incite à raccourcir leur durée d’étude.
        Vous avez tout à fait raison de dire que “vivre avec le RSA ce n’est pas drôle”. C’est pourquoi je dis que personne ne se contentera par pure paresse de 700€ par mois mais qu’au contraire, cette allocation pour les jeunes les aidera dans leurs études ou leur volonté de se mettre à leur compte. Le revenu de base n’est pas un frein au travail mais au contraire une manière de libérer les ambitions.

        10 février 2017 à 11 h 53 min
        • Raoul Villain Répondre

          Pour avoir une vision objective des assistés visionner “Rue des allocs” (M6 Replay). Les clopes et la Kro voilà la destination des 700 euros généreusement distribués par Tout en K Hamon. Belle libération des “ambitions”.

          10 février 2017 à 17 h 26 min
          • Jaures

            Vieille rengaine, Raoul ! Autrefois on disait qu’il ne fallait pas augmenter le salaire des ouvriers car ils iraient le boire.
            Faites le test au lieu de vous repaitre de la misère des autres: essayez de vivre avec 700€ mensuels durant deux ou trois mois. On verra si vous survivez en vous nourrissant de bières et de cigarettes.

            10 février 2017 à 21 h 58 min
    • Raoul Villain Répondre

      Puisque l’on ne peut pas vivre avec 700 € par mois pourquoi alors diable les fournir. Votre comparaison avec les ouvriers est risible et prouve une fois de plus que vous avez autant de QI qu’une huître. Je me suis toujours efforcé de travailler pour vivre, et dans mon plus jeune âge pour moins de 700 €. Mais je comprends votre indéfectible “solidarité de classe” entre parasites on se comprend ! Il est à noter que le reportage de M6, pourtant très gauchisant, a failli être interdit d’antenne. Visiblement les “travailleurs” sociaux et autres pleureuses du social tiennent à garder leur fonds de commerce et leurs privilèges. Comme par exemple permanent socialiste à 2,5 fois le SMIC par mois ou permanente à la Mairie de Paris à 3000 € par mois comme la fifille à Plenel. La démagogie et le populisme cela rapporte plus aux “coeurs saignants” des “grandes âmes” qu’aux pauvres eux-mêmes.

      11 février 2017 à 14 h 30 min
      • Jaures Répondre

        Si vous aviez un peu de lettres, je vous dirais qu’avec 700€ “on ne peut pas vivre, mais on vit quand même”.
        Les étudiants démunis se démènent pour moins que cela afin de payer leur chambre du CROUS (215€) ou à un privé (jusqu’à 650€/mois pour 15m2). Comment font donc vos héros de M6 pour s’en sortir ? La réalité est qu’ils abandonnent prématurément leurs études, sauf ceux qui ont de quoi qui ne voient pas ces portes se refermer.
        Mais puisque vous avez travaillé pour moins de 700€ et bien vécu avec ce revenu, expliquez nous donc ! Si avec si peu on peut se loger, manger, se vêtir, se soigner, étudier, se déplacer, se chauffer, communiquer,…la France est un pays parfait ! Les smicards sont des nantis et on se demandent pourquoi il serait nécessaire de se former ou d’entreprendre quand un salaire d’hôtesse de caisse à temps partiel est largement suffisant ! Donnez-nous vos méthodes et astuces de notable du minimum vital !

        11 février 2017 à 15 h 28 min
        • Raoul Villain Répondre

          “Et qui avaient formé ces profs ?” ” On se demandent” Etes vous sûr d’avoir des “lettres”? Faut-il vous renvoyer à vos chères études avec la cantine gratuite comme en Finlande?

          Ne pleurez pas trop sur les caissières, il n’y en aura bientôt plus: les caisses automatiques les remplaceront.

          Trêve d’inepties: le “revenu universel” est une argutie de plus pour acheter les voix des tocards, des faignéants et des assistés chroniques. Toute une cohorte de clients, de courtisans et d’obligés qui font les beaux jours des tocards dans votre genre (encore qu’en la matière vous êtes loin d’avoir décroché le Jackpot comme les “Ayrault” du peuple à la tête d’un équivalent capital de 9 millions d’euros).

          Puisque vous avez des lettres (sic) vous vous interrogerez sur le socialisme municipal qui nourrit toute une faune de roitelets et leur piétaille fonctionnarisée. Vous pourrez aussi peut être nous justifier votre propre contribution à la prospérité nationale qui consiste à troller un site qui ne convient pas à nos chers amis gauchos.

          11 février 2017 à 17 h 07 min
          • Jaures

            “faignéants” ? Je vous ai déjà dit que pour donner des leçons, même dans la science des ânes, il faut être irréprochable sous peine d’être ridicule. Vous l’êtes.
            Vous ne nous avez pas expliqué votre vie aisée avec 700€/mois. N’avez-vous pas trouvé un article sur internet à copier-coller, comme d’habitude ? Vous me décevez.
            Je ne trolle pas: je m’exprime sur un site où le débat est libre. Il est sûr qu’avec des intervenants comme vous le débat peine à prendre de la hauteur.
            Revenez quand vous aurez une idée personnelle. Je vous garde ma confiance.

            11 février 2017 à 18 h 01 min
      • Raoul Villain Répondre

        Trêves de foutaises. Vous êtes incapable de vous exprimer sur quoi que ce soit vous êtes un nul. Allez évangéliser les caissières, inutile de leur dire que vous êtes un des responsables de la disparition de leur emploi. Vous trollez: samedi et dimanche compris; vous n’êtes capable de rien d’autre. Une bouche inutile. Puisque nous en sommes aux explications: comment justifiez vous votre très grande “disponibilité” et vos faramineux émoluments?

        11 février 2017 à 18 h 21 min
        • Jaures Répondre

          Tiens ! Pris en faute (d’orthographe) Raoul s’énerve et devient inquisiteur !
          Plutôt que d’essayer de me cerner (vous n’y arriverez pas) essayez de produire une ou deux idées personnelles et de ne pas sombrer dans l’invective à la première contradiction.
          J’ai dit essayez…autant que faire ce peut.

          11 février 2017 à 21 h 58 min
          • Raoul Villain

            Vous cerner n’est pas difficile: un neneu payé par le PS ou la CGT (ou les deux) pour troller un site de droite. Cela est révélateur du niveau de ces deux entités puisque votre discours est creux et vide et se borne à nous fourguer la lubie du moment: “Mariage pédéraste” ou “Revenu universel”. A part ça c’est des idées “personnelles” en provenance de votre “cerveau” au moins équivalent à celui d’Alain ou de Montaigne. Mieux vaut vous taire sur les fautes d’orthographe, vous colleriez au brevet !

            12 février 2017 à 10 h 14 min

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