La France toujours dans le délire fiscal

La France toujours dans le délire fiscal

La vague de déclarations sur une plus forte imposition des plus hauts revenus touche aujourd’hui la France, avec Bertrand Delanoë emboîtant le pas à Nicolas Sarkozy. Cette réflexion est d’autant plus légitime que le curseur a été placé bien loin et qu’avec les niches fiscales, les super-riches paient proportionnellement moins d’impôts que les classes moyennes et que les milieux aisés.

Mais le vrai problème de la France demeure sa proprension à la dépense publique et sociale. Avec plus de 50% du PIB en dépenses publiques, arriver à l’équilibre, c’est tout simplement communiser l’économie !

Baisser les dépenses publiques et sociales, notamment celles destinées aux immigrés illégaux, demeure une priorité structurelle si l’on veut que la France redevienne un pays compétitif et donc pourvoyeur d’emplois.

S’il convient d’imposer les plus riches, ce n’est pas pour rétablir les comptes, mais pour alléger les impôts de la classe moyenne et des créateurs de valeur ajoutée. Comment peut-on croire dans la dynamique économique d’un pays quand la tranche marginale d’imposition sur le revenu à 30% commence dès 26 500 euros de revenus nets annuels ?

Partager cette publication