La vérité sort parfois de la plume des lecteurs

La vérité sort parfois de la plume des lecteurs

J’ai reçu d’un lecteur une lettre dont je donne ci-après l’intéressante substance. Ce lecteur veut bien me dire qu’il prend connaissance de mes chroniques avec intérêt.

Elles lui paraissent pertinentes et argumentées, mais, me dit-il, généralement en-dessous de la vérité. La réalité en France, me dit-il, est beaucoup plus mauvaise que celle que vous décrivez. Peut-être s’agit-il chez vous de prudence. Et il est vrai, poursuit-il, que la liberté d’expression est chez nous très limitée.

Une démonstration nouvelle vient d’en être apportée par l’affaire du préfet Girot de Langlade. Un magistrat consulté à ce sujet a déclaré à la presse qu’une plainte doit faire l’objet d’une enquête impartiale et d’un jugement. Elle peut s’avérer sans fondement et même carrément calomnieuse. Or, la hiérarchie du préfet, avant même que la moindre enquête ait été menée, a pris une sanction publique contre ce haut fonctionnaire qui, déjà à deux reprises, avait l’objet de plaintes rejetées par le tribunal parce qu’injustifiées.

Il s’agit donc là de toute évidence, de la part de la hiérarchie de ce préfet, de racisme anti-blanc, sous la dictature du « politiquement correct », encouragée par des associations subventionnées par le contribuable, dont l’une au moins a servi de caisse à un parlementaire socialiste pour lui permettre d’acheter des montres de milliardaire… au nom de la « solidarité sociale » !

Motif du « crime ». Le préfet Girot de Langlade s’est laissé aller à dire qu’il y avait beaucoup de Noirs en France, ce qui est aussi évident que dire qu’il y a de l’eau dans la Seine. On sait aussi qu’a été créée une organisation également largement subventionnée chargée de dénoncer tout Français qui aurait fait preuve de « discrimination » à l’égard d’un immigré de couleur. Je comprends, poursuit mon lecteur, que dans un tel climat de racisme officiel anti-blanc, on fasse attention.

Quoi qu’il en soit, que l’on ose parler ou que l’on se taise, ces aberrations n’empêchent pas la France mal gouvernée d’aller très mal pour trois raisons principales.

La première est l’extrême complexité d’un appareil d’État tentaculaire. Dans les sociétés antiques et primitives, une langue secrète était inventée que seuls pratiquaient le souverain et ses grands-prêtres, afin de sacraliser le pouvoir et de se distinguer de la plèbe. Il en est ainsi en France, avec ses centaines de milliers de textes officiels, souvent contradictoires et incompréhensibles. Le dernier exemple précis que l’on peut en donner est particulièrement significatif : un seul article portant sur la réforme de la taxe professionnelle compte 107 pages (pas lignes, je dis bien pages), si bien que le député rapporteur général de la commission des finances de l’Assemblée nationale lui-même a déclaré que pas plus de 20 personnes en France pouvaient comprendre quelque chose à ce charabia.
C’est là un signe de la décadence profonde où est engagée la France, dirigée par des politiciens et des fonctionnaires aux ordres aussi dogmatiques que prétentieux.

Deuxième cause de l’état alarmant de la France : le poids d’une fiscalité multiforme et écrasante qui ruine le pays en faisant fuir sa richesse alors qu’on pratique par démagogie électoraliste une redistribution massive notamment aux immigrés du tiers-monde qui, chaque jour, déferlent plus nombreux chez nous. Ce qui n’empêche nullement 14 % de ceux qui vivent en France d’être sous le seuil de pauvreté, soit plus de 8 millions d’individus dans un pays en faillite financière où la dette globale de l’État s’élève à 2000 milliards d’euros. La preuve évidente de l’échec total d’une politique ubuesque.

Enfin, troisième cause, la plus grave, de l’effondrement à terme d’un pays livré au mensonge et à la démagogie : la fin de l’identité française. On sait, écrit encore mon lecteur, que les Français dans leur majorité ne voient pas plus loin que leurs prochaines vacances, et les hommes politiques que la prochaine élection. Mais lorsqu’on va au-delà de l’analyse à court terme pour passer à l’analyse historique, force est de constater que, sur la base de 200 000 à 300 000 immigrés venant pour la plupart du tiers-monde, plus l’accroissement naturel de ces populations immigrées, au nombre déjà de quelque 10 millions en France, la majorité de la population vivant dans notre pays sera dans quelques décennies, disons un siècle, africaine, orientale et musulmane.

À partir de ce moment-là, la minorité encore authentiquement française prendra peur et cherchera un sauveur qui alors agira de façon draconienne. Mais ce sera trop tard. Il en résultera une guerre civile ethnique, avec l’intensité de la guerre d’Espagne. L’Algérie pourrait bien, dans cette hypothèse, tenir en France le rôle que tient le Pakistan dans la guerre en Afghanistan en fournissant armes et effectifs. Le nombre des victimes et les destructions seraient considérables. À la guerre des races s’ajouterait la guerre des religions. À la célèbre question posée en 1944 : « Paris brûle-t-il ? », cette fois-ci, on pourra répondre : « Oui, Paris brûle. Sa cathédrale et ses musées. »

D’ores et déjà, dans les banlieues est de Paris, on observe une sorte d’insurrection quasi-permanente et au sein même de la capitale, des campements d’Afghans, d’Irakiens et autres, se sont créés, où l’on se bat au couteau et où on vole aux alentours. Partout, la délinquance est en augmentation. Une constatation s’impose finalement : les gouvernants qui auront contribué à ce résultat dramatique et irréversible sont des criminels.

Voilà, cher Monsieur, conclut mon lecteur, ce qu’il faut dire et développer. Il y faut de la lucidité et du courage, des vertus qui, dans la France d’aujourd’hui, présentent, hélas ! beaucoup de risques…

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Comments (32)

  • Jaures Répondre

    Cher Daniel, j’entends bien vos arguments implacables mais j’aimerai que vous releviez dans une seule de mes phrases ce qui donnerait à penser que je suis raciste (c’est à dire que je crois en l’existence de races humaines et que je pense que certaines sont supérieures à d’autres), colonisateur (c’est à dire que j’encourage certaines civilisations à en dominer d’autres, à s’approprier leurs territoires et leur patrimoine) ou criminel (c’est à dire à inciter à la violence voire au meurtre).

    Je vous en serai reconnaissant.

    15 septembre 2009 à 11 h 21 min
  • Daniel Répondre

    Jaurès: 

    Vous démontrer que vos discours sont racistes, colonisateurs ou criminels ne pose pas de problèmes,  c’est déjà fait mille fois. Ce qui pose problème, c’est votre incompréhension des arguments qui vous sont opposés.  Ces arguments vous sont expliqués de multiples façons et selon l’angle de vue des divers intervenants au fur et à mesure de vos dérobades. Ils sont compris globalement de tous, ce à partir de quoi le débat peut évoluer. Mais vous, réactivité au sens: zéro.  Par expérience, ils sont compris des socialistes sincères et honnêtes et les plus honnêtes reconnaissent qu’ils avaient des préjugés et une forme d’intolèrance. Quand on leur démontre qu’ils sont racistes de fait (et non plus en paroles! ) c’est à dire participant à un crime collectif par ignorance, certains s’effondrent…  et pire. Ce qui n’est pas le but. .  Ces arguments sont même compris des islamistes au point qu’ils fuient le débat aprés les premières argumentations; vous pouvez le constater. Il faut une femme convertie mais d’une autre culture pour défendre courageusement ses espoirs récents. Mais chez vous, le terrain est sec, froid et aride, rien ne pénètre, rien ne pousse. Mort !.  Je pense que nous devons vous considérer et vous traiter comme l’irresponsable que vous avez choisi d’être sur le plan matériel et qui correspond hélas trop bien à votre incompréhension. Je vous parlerai avec plus d’indulgence mais vous conseille fortement de consulter plutôt que de rechercher sans cesse ce rôle  de yoyo de service qui ne vous apporte même pas une petite remise en question de vos certitudes, c’est à dire un début d’émotion, c’est à dire un début de Vie. 

    14 septembre 2009 à 23 h 15 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    << Par contre, si vous dîtes que la théorie doit être confortée par la pratique, cela relève d’un materialisme dont je me sens assez proche>>
    Il était inutile de le préciser, cela suintait de toutes les jointures de votre prose passée et présente. Il est quand même assez bizarre de voir un matérialiste invétéré s’occuper de problèmes philosophiques, seriez-vous enfin sur le chemin de Damas?

    14 septembre 2009 à 21 h 25 min
  • Jaures Répondre

    Encore une fois, je ne comprends pas, cher Daniel, pourquoi vous opposez savoir et connaissance.

    Vous savez qu’il existe plus d’un milliard de Chinois mais vous ne pourrez jamais les connaître tous. Cela ne vous empêche pas d’intégrer ce savoir à votre reflexion sur le monde. De même, avant de connaître mes filles, il faut que vous sachiez qu’elles existent. Ce savoir vous permet de m’interpeler (ainsi que d’autres) à ce sujet.

    On voit que savoir et connaissance sont liés et d’ailleurs, sont des concepts basiques de la philosophie: "Connais toi toi même" disaient les 7 sages, "ma seule certitude est de ne savoir rien" affirmait (dit-on) Socrate. Kant écrivait que nous ne pouvons accéder qu’aux phénomènes, la chose-en-soi (noumène), donc la connaissance,nous restant inaccessible. 

    Opposer "savoir" et "connaissance" est un non-sens, ce qu’il faut c’est interroger son savoir et douter de ses connaissances.

    De même, réduire la culture à l’expérience demande à être précisé.  Si cela veut dire qu’on ne peut parler que de ce qu’on a expérimenté, cela est réducteur: qui, par exemple, peut dire qu’il a expérimenté une assymptote ? Par contre, si vous dîtes que la théorie doit être confortée par la pratique, cela relève d’un materialisme dont je me sens assez proche. Si vous dîtes que l’on ne peut tenir un discours qu’à partir des connaissances réelles que l’on a d’un sujet, je vous suis également. Mais l’évaluation de ces connaissances n’est pas aisée.

    Par ailleurs, je n’ai jamais écrit que les riches sont méchants et les pauvres gentils. Ce qui me gène n’est pas qu’il y ait des riches, mais qu’il existe des pauvres. Sinon, je fais mien le mot de Cioran "Il faut aider les pauvres mais ne pas oublier qu’ils sont faits avec la même boue que les autres."

    Maintenant, il va vous falloir me montrer en quoi le discours ci-dessus est "raciste", "colonisateur" et "criminel".

    14 septembre 2009 à 11 h 59 min
  • Daniel Répondre

    Jaurès:  "Je n’opposerai cependant pas expérience et culture, ni connaissance et savoir."   

    J’ai  écrit :  Leur apprendre à chercher la Vérité, toujours,   et accorder de l’importance à l’expérience plutôt qu’à la culture, à la connaissance plutôt qu’au savoir.  Avant de faire des choix professionnels, bien sentir qui on veut être

    Hé bien,  je prenais des gants pour ne pas choquer vos habitudes culturelles.  Mais c’est un tort car la culture, auparavant fruit de l’expérience a été  récupérée par des cultureux  formés aux croyances de l’Education Nationale. Ils ont développé cette croyance pour répondre à leur nature raciste:  le savoir prévaut sur la connaissance. De ce raisonnement simpliste mais satisfaisant pour un énarque découle que celui qui possède le savoir est supérieur. Cela produit dans la réalité que l’élite  n’a pas à assumer la responsabilité personnelle de ses décisions qui porteraient tort à ses concitoyens … puisque l’élite, intrinséquement supérieure ne peut qu’élever ses concitoyens.  Ce raisonnement de bon colonisateur est le vôtre. Cela transparait dans vos argumentaires qui révèlent une culture du savoir mais manquent dangereusement d’expériences assumées. 

    Compte tenu des crimes impunis que cette croyance  a engendré en France, il est souhaitable de ramener les têtes de ces dangereux rêveurs dans la réalité:  vous êtes responsables de vos actes car c’est aux fruits que vous produirez que nous reconnaitrons votre savoir. Le savoir est stérile , de même que la culture, mais au final c’est la connaissance issue de l’expérience qui confirmera ou infirmera le savoir.  

    Savoir/connaitre: nous "savons" que vos filles existent parce que vous avez évoqué leur existence mais nous ne les  "connaissons" pas. 

    Vous dites partager l’essentiel des idées que je vous ai proposées en réponse à votre question sur l’égalité des chances.  Mais non, désolé, votre intervention n’exprime que des arguments tirés du principe inverse: vous êtes trop conditionné par votre regard politisé riche/méchant  contre pauvres/gentils.  Où on voit les limites de la culture/savoir sans âme qui détruit la France comme une mécanique sourde et aveugle .

    13 septembre 2009 à 23 h 44 min
  • Jaures Répondre

    Cher Daniel, je  partage la quasi totalité des idées exprimées par votre post. Je n’opposerai cependant pas expérience et culture, ni connaissance et savoir.

    Un leitmotiv revient régulièrement dans votre texte: "il faut les aider". On sait en effet qu’un enfant ne se construit pas tout seul, et c’est là que réside l’inégalité des chances. Certains bénéficieront d’un milieu culturel riche, d’écoute, de soutien, de possibilité de s’isoler pour rêver et réfléchir ("une chambre à soi" comme écrivait Virginia Woolf qui avait tout compris de son importance).

    Pour d’autres, ce sera le désert culturel, la promiscuité, l’indisponibilité des parents,…

    L’égalité des chances, ce serait permettre à chacun de s’épanouir socialement, d’étudier, d’échanger. C’est pourquoi je pense qu’il est nécessaire d’investir largement pour que les enfants des milieux populaires accèdent à l’éducation (jusqu’à l’excellence) et à la culture (jusqu’à la création).

    Qu’on ne confonde pas égalité et identité. L’idée de l’égalité des chances n’est pas d’uniformiser. D’ailleurs, éduqué, un enfant exprime d’autant mieux  sa personnalité, sa singularité.

    Mais il faut pour cela que ceux qui détiennent les clés de l’Education acceptent de les partager. Que les beaux quartiers ne cumulent pas les écoles suréquipées, les lycées luxueux et les Grandes Ecoles performantes (Neuilly en possède 3 pour aucune à Aubervilliers avec une population plus importante).

    A Pour mon pays: je ne nie pas l’existence de l’immigration. Elle a toujours existé et posé les mêmes problèmes. On les a simplement oubliés. Qui se souvient des quartiers où s’entassaient les Italiens (les Ritals disait-on alors) ? Qui se souvient des émeutes du début des années 70 dans les bidonvilles occupés par les Portugais ? Aujourd’hui, les immigrés de l’époque ont souvent pris la relève de leur patron (regardez les patronymes des garages ou entreprises de bâtiment) et une bonne part de la première génération d’immigrés d’Afrique s’est intégrée (regardez le nombre de profs de math maghrebins !). Le problème est la main-d’oeuvre sous-qualifiée qui, avec la crise de l’emploi, a du mal a s’intégrer mais leur en vouloir est injuste: ce sont souvent (comme l’avait dit R.Barre il y a quelques années) nos entreprises qui sont allée les chercher par bateaux pour concurrencer les ouvriers Français un peu trop revendicatifs.

    Pour le reste, et pour faire vite, il est juste qu’il existe une criminalité en France contre laquelle il faut lutter. Mais le taux est le même que dans les pays voisins et bien enférieur à celui des Etats Unis.

    Enfin, ce n’est pas l’impôt qui me gène, mais son usage. Vous voulez récupérez vos impôts ? Faites des études, envoyez vos enfants à l’école, fréquentez avec eux les médiathèques, les parcs publics, les musées, les théâtres, utilisez les transports en commun. Battez-vous pour que l’argent de l’Etat aille à la Justice et à la Recherche plutôt qu’aux restaurateurs ou se perde dans les niches fiscales.

     Par contre, je ne vous souhaite pas qu’une longue maladie vous permette en quelques mois de récupérer vos cotisations d’une vie.

    13 septembre 2009 à 16 h 33 min
  • Pour mon pays Répondre

    Une lettre qui détient tout ce qui doit être dit haut et fort. Une question à Jaurès: Comment pensez vous et sur quoi vous basez vous pour dire des choses pareille? Où vivez vous pour ne pas vous rendre compte qu’en France il y a des millions d’immigrés, une criminalité galopante et une fiscalité débordante et j’en passe? Pourquoi des personnes comme vous s’acharnent elles à détruire leur propre pays? Est ce par simple idéologie? Mais oui bien sur vous vous appelez Jaurès! Je ne comprends pas une telle idéologie suicidaire…

    13 septembre 2009 à 0 h 02 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Le ps français et les Afghans ont un point commun, ils savent tous deux merveilleusement bien truquer les urnes. Et après cela les socialistes ne se gênent même pas de faire la morale à Brice Hortefeux.
    Quant à ce dernier, il pourra aller jouer au bridge avec le préfet Girod de Langlade si jamais il devait démissionner de son poste.

    12 septembre 2009 à 20 h 00 min
  • fradet Répondre

    c’est exactement ce que je ne cesse de dénoncer depuis…1975!

    vox clamat in deserto

    Il n’y a pas que les politiciens qui sont criminels ou la gauche mais aussi nombre d’élites bourgeoises situées plutôt à droite aveugles à tout ce qui n’est pas leur intérêt immédiat …pour certaines que je connais le seul problème est " nos familles ont déjà tout prévu…notre seul problème est de prendre l’avion…"

    12 septembre 2009 à 19 h 28 min
  • Anonyme Répondre

    Bonjour,

    Je tiens à réagir quant au courrier du lecteur du 8 septembre, enfin quelqu’un qui dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas, bravo !

    Et oui effectivement on se pose des questions quant au devenir de la France et des français et je suis d’accord aussi pour dire que la population française risque d’être fortement minoritaire dans quelques dizaines d’années et non dans un siècle.

    je souhaite rajouter par ailleurs que contrairement à ce qu’il dit je ne fais pas partie de la majorité des français qui ne se préoccupent que de leurs prochaines vacances, et je pense beaucoup à l’avenir de mon enfant et j’en ai même peur.

    j’ai une anecdote à vous faire part illustrant les propos du lecteur quand il parle de " racisme anti blanc " Un jour un français a porté plainte pour racisme contre une personne d’origine étrangère qui l’a traité de sale blanc ou sale français.  Verdict : ce n’est pas raciste !! Alors il s’agit de quoi… ?

    Et oui le racisme n’est qu’à sens unique : un français n’a pas le droit d’être raciste (ce qui est normal) et n’a pas le droit de dire ce qu’il pense (ce qui n’est pas normal), en revanche, un maghrébin ou africain en a le droit et ce sur notre propre sol !!!

     

    12 septembre 2009 à 15 h 40 min
  • Daniel Répondre

    "Ceci constitue donc une seule proposition gratuite et pourtant suffisante. Le seul barrage est la mauvaise foi … Mais le suicide n’est pas un choix interdit." 

    Je rajoute…  à condition de ne pas vouloir le faire payer par les autres et/ou de ne pas vouloir y entrainer les autres.  Chacun est libre de choisir sa prison mais pas libre d’y enfermer aussi les autres…   Tel l’Islam,  le socialisme, mais aussi le libéralisme mal compris posé sur les fondations du socialisme.  Et chaque génération propose à ses enfants  sa propre prison culturelle comme étant l’expression de la liberté maximum.      

    12 septembre 2009 à 15 h 10 min
  • PASTOUT Répondre

    Jaures

    Vouloir l’égalité pour tous, c’est ouvrir un fabrique d’aïgris, chaqu’un pouvant considérer qu’il n’a pas eu de chance et ansi jalouser perpétuellement son voisin.

    Inspirez vous du dernier post de Daniel, plein de bon sens ce serai plus positif pour tout un chaqu’un et donnerai l’espoir à tous.

    Bonne journée

    12 septembre 2009 à 14 h 05 min
  • Magny Répondre

    Egalité des chances : déjà rien que l’énoncé est inepte . L’égalité est une posture qui ne peut se retrouver que dans une production humaine artificielle telle que la justice . Rien de plus , rien de moins .   

    Rien n’a jamais été égal à autre chose , jamais , depuis toujours et pour toujours .

    12 septembre 2009 à 12 h 42 min
  • Daniel Répondre

    Jaurès:   "Quant à me battre au nom d’une éthique, je vous en soumets une et suis prèt à en débattre avec vous. Que pensez-vous de "l’égalité des chances". Que chacun dispose au départ des mêmes droits et soutiens pour réussir sa vie sociale. Que proposez-vous pour atteindre cet objectif ?"

    Vous avez écrit vous mêmes (approximativement) que les enfants pouvaient transformer une difficulté en un avantage. Dés lors, l’égalité des chances ne se situe plus en premier où elle est placée habituellement au niveau pragmatique des décisions d’Etat avec subventions, contrôleurs et autres planqués irresponsables qui vivent du désordre qu’ils sont sencés réduire . Dans l’ordre d’importance, la première question semble être:  comment pourrait-on obtenir que notre culture forme nos enfants à penser qu’ils sont capables d’affronter les difficultés avec foi et confiance en eux mêmes?  Et d’appliquer cette règle quelle que soit la taille de la difficulté ou le type de problème. Financier, psychologique, sentimental etc…   Car il ne s’agit pas de résoudre les problèmes à la place de nos enfants (et de quiconque) en leur collant des réponses prémachées à des types de problèmes puisqu’il n’existe pas 2 circonstances totalement identiques.

    Les aimer consiste à les vouloir responsables et heureux d’assumer leur vie en responsable parce que capables de se mesurer eux mêmes avec une mesure juste. Heureux d’être responsables parce que  réussissant par eux mêmes à transformer un problème apparent en réussite concrête:  ceci en leur apprenant à penser par eux mêmes. Donc libres. Mais conscients de l’importance des autres puisque toute erreur d’appréciation de la valeur de l’autre devient un  facteur d’erreurs pour soi même.  Ainsi lucides sur leurs capacités mesurées à leurs difficultés, ils  comprendraient que toute compétition ne peut être que par rapport à soi même, pour le plaisir (mieux: pour la joie)   et que la rivalité avec des gens différents ne peut être qu’un leurre à évacuer .  

    Leur apprendre à chercher la Vérité, toujours,   et accorder de l’importance à l’expérience plutôt qu’à la culture, à la connaissance plutôt qu’au savoir.  Avant de faire des choix professionnels, bien sentir qui on veut être

    En fait, on devrait plutôt parler ainsi: il faut les aider à se rappeler qu’ils sont des humains. Et qu’à ce titre, ils en ont toutes les qualités, toutes les possibilités, à une condition principale: qu’ils aient la volonté de vivre. Quel que soit le point de départ, l’aventure peut être belle parce que l’esprit peut tout :  l’égalité des chances est donc la réalité permanente , sauf travail de destruction par l’Education Nationale.   On leur souhaiterait de débarrasser la société de tous les prèjugés des générations précédentes dont l’égalité est une honte pour l’esprit, comme la notion de droit est une offense à la liberté autant qu’à la fraternité.      

    Ceci constitue donc une seule proposition gratuite et pourtant suffisante. Le seul barrage est la mauvaise foi … Mais le suicide n’est pas un choix interdit.  

    12 septembre 2009 à 0 h 36 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<Quant à me battre au nom d’une éthique, je vous en soumets une et suis prèt à en débattre avec vous. Que pensez-vous de "l’égalité des chances". Que chacun dispose au départ des mêmes droits et soutiens pour réussir sa vie sociale. Que proposez-vous pour atteindre cet objectif ?>>
    Le sujet proposé n’est pas une éthique, la façon de traiter le sujet peut être éthique ou pas. La finalité de ce sujet est de la pure utopie socialiste. Comment un diminué physique de naissance pourrait-il déjà avoir les mêmes chances qu’un individu qui dispose de tous ses moyens, peut importe qu’il soit riche ou pauvre. Je pense personnellement qu’un jeune pauvre ayant de la volonté est mille fois mieux armé qu’un jeune riche ne pensant qu’à profiter de sa situation. Il n’est pas rare de voir un fils ou une fille dilapider en quelques années la fortune qu’un père ou une mère ou les deux à la fois ont mis une vie entière à amasser. Eh oui, la roue peut tourner, rien n’est assuré en ce monde…
    Les chances de réussite pour tous sont meilleures de nos jours qu’elles ne l’étaient jamais. Ce ne sont pas les structures de soutien qui manquent mais plutôt la volonté des postulants à s’accrocher.
    Pourquoi une majorité d’écoliers et lycéens sondés veulent-ils devenir fonctionnaire? Parce qu’ils ont senti que c’est la planque qui leur permettra de "buller" toute leur vie. Le goût de l’effort c’est pour les rares autres, ceux qui vont créer des entreprises et qui financeront de leur travail toute cette clique de planqués.

    11 septembre 2009 à 17 h 53 min
  • VITRUVE Répondre

    AVE Guillermo
    c’est vous qui rentrez de 4 mois de vacances, Jaures nous a tenu compagnie cet été, vérifiez!
    VALE

    11 septembre 2009 à 12 h 04 min
  • Daniel Répondre

     Georges: 

    Pas trouvé la pétipion.   Mais il est déjà soutenu par le Ministre Brice Hortefeux qui vient d’énoncer une vérité:  un momo pour jouer le rôle de la mouche du coche, c’est sympa.  Mais c’est quand il y en a trop que ça devient un problème!  Si les ministres commencent à dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas!!!    On sent que ça commence à déborder. 

    Merci de nous faire connaitre la pétition pour soutenir le ministre .  Et qu’un vrai débat s’ouvre sur le Coran, maintenant que la majorité des Français commence à voir les musulmans pour ce qu’ils sont. 

    10 septembre 2009 à 22 h 41 min
  • Jaures Répondre

    Cher Daniel, vous êtes mal informé. Les syndicats, en tous cas le mien, demandent les mêmes droits pour tous. Les différences de statuts, bien souvent, ont pour origine des luttes ayant abouti. Sans luttes, les travailleurs n’obtiennent rien. Il n’y a pas de contre-exemples.

    Quant à me battre au nom d’une éthique, je vous en soumets une et suis prèt à en débattre avec vous. Que pensez-vous de "l’égalité des chances". Que chacun dispose au départ des mêmes droits et soutiens pour réussir sa vie sociale. Que proposez-vous pour atteindre cet objectif ?

    10 septembre 2009 à 17 h 26 min
  • George Répondre

    Un gouvernement  scandaleux, méprisant et magouillard!!!
    Venez soutenir le prefet:
    http://www.soutenirpaulgirotdelanglade.info/Petition

    10 septembre 2009 à 7 h 27 min
  • Daniel Répondre

    Lambda: 

     Un tribunal représentant le peuple sans prétention à aucun pouvoir d’application d’une sanction, donc à priori fictif,    qui analyserait les problèmes de société au filtre des valeurs que la démocratie prétend servir, (liberté, égalité, fraternité pour l’essentiel) qui proposerait une instruction argumentée, complète, avec l’évaluation financière des conséquences des mensonges ou des non décisions des professionnels de la politique, et qui indiquerait la valeur de la sanction qui devrait dans de tels cas être requise,  pourrait avec le temps devenir influent. Ces jugements fictifs pourraient  constituer une référence morale. Emanant du peuple, ce serait une manière de redonner la parole au peuple pour entendre son avis dont on a oublié qu’il est le seul légal même si dans ce cas, ces représentants du peuple s’en tiendraient dans un premier temps à faire connaitre ce que produirait une véritable démocratie comme condamnations de telle et telle personne. Un début pour un outil qui pourrait être affiné.

    Vous écrivez   "Je suis toujours stupéfait d’entendre des gens vouloir "juger selon le droit" des individus qui, justement, ne respectent pas le droit."  

    Vous savez que le droit entre les mains des professionnels devient souvent tordu. Et on peut faire dire au droit à peu prés tout et son contraire. Un tribunal du peuple dirait la vision du peuple qui en a marre d’être berné et  traduirait les lois selon l’intérêt du peuple et les valeurs démocratiques. 

          "Un pouvoir qui ne respecte pas la démocratie – et c’est le cas en France (et dans beaucoup d’autres pays), ne peut être jugé selon des lois démocrates. De telles personnes n’ont pas à être jugées, il faut définitivement les empêcher de nuire."     

    Bien, mais comment les empêcher de nuire?

    9 septembre 2009 à 22 h 56 min
  • Daniel Répondre

     

    Mon cher Jaurès: 

    Le pouvoir appartient déjà au peuple et non à une personne ou un petit groupe formant une caste . Mais le peuple est tellement divisé  par des gens aux consciences monnayables pour quelques petits privilèges grace aux syndicalistes/marionnettes d’Etat,   que le peuple a perdu  la possibilité d’user de ce pouvoir.  Il est d’ailleurs remarqué, et remarquable (de malhonnêteté) que des syndicats demandent des protections particulières pour des catégories de citoyens et non pour tous les Français… par exemple pour la vieillesse.  Cela en dit suffisamment sur le sens moral qui anime les syndicalistes qui se prêtent à cette discrimination qu’ils veulent légale, croyant ainsi échapper au jugement de l’histoire.   Les syndicats en assurant la division du peuple, assurent n’importe quel pouvoir en place d’une longue carrière quels que soient les dégats et les crimes.  Les agitations des syndicalistes servent en premier un peu les syndicalistes en général,  beaucoup quelques uns dont la fortune est connue, mais protègent très efficacement les pouvoirs en place. 

    Les traitres au peuple, mêlés au peuple,  constituent la meilleure garde des irresponsables au pouvoir quel que soit leur bord.

    Quant à vous, vos interventions sur ce site sont une démonstration permanente de ce rôle que vous jouez à l’extérieur. Chacune de vos interventions est avant tout destinée à diviser et surtout pas à analyser, ou tenter de comprendre, ou soupeser des arguments qui pourraient être développés pour un bien être commun. Rassembler les Français sur une éthique reconnue comme incontournable est nécessaire pour que chacun puisse vivre dans la dignité.  Mais cela ne fait pas l’affaire de ceux qui vivent de la destruction. Continuez  donc à pratiquer votre cynique et sinistre besogne, ce que vous faites semblant de ne pas comprendre , vos filles risquent de le comprendre fort bien  le moment venu.  

    9 septembre 2009 à 21 h 45 min
  • Guillermo Répondre

    @ Jaurès

    Alors c’est la rentrée des classes ? Je m’attendais bien à te revoir après tes 4 mois de vacances sabbatiques ?

    9 septembre 2009 à 21 h 29 min
  • Anonyme Répondre

    De nouveau, je recommande les travaux de Nicolai SENNELS qui expliquent très bien la situation.

    Et si l’Algérie s’amuse à entretenir une guerre civile en France, moi je compte sur nos amis Espagnols qui ont été envahis durant plusieurs centaines d’années avant la Reconquista et qui ne se laisseront pas faire à nouveau, notamment en coulant tout navire ennemi trafiquant en méditerrannée.

    Monsieur Lambert a prouvé suffisamment son courage par divers articles autour du sujet et je crois que son lecteur est authentique.  Il y en a qui ne peuvent pas s’empêcher de préjugér et faire des procès d’intentions ici….

    Et je vois que Joresse ironise sur les milions d’immigrés, acharnement fiscal, Etat tentaculaire, criminalité galopante, patin couffin, qu’il juge probablement comme des illusions sans fondement.

    Le socialisme est un poison provoquant pauvreté, misère et guerres (cf seconde guerre mondiale, et autres conflits suivants).  Le capitalisme est le seul système économique constructif mais qu’il faut sacrément réguler en faisant sévèrement respecter les règles sinon c’est la jungle.

    Quant à ce c… de Hulot, dites lui merci pour la taxe carbone qui, comme la vignette auto, ne rendra jamais à ses destinataires les sommes perçues qui disparaîtront ailleurs… Mais ce ne sera pas perdu pour tout le monde.

    9 septembre 2009 à 21 h 12 min
  • GREGOIRE Répondre

    Très bien, cette lettre. Mais ce que son auteur prédit arrivera bien avant un siècle, et même certainement dans les dix prochaines années.

    9 septembre 2009 à 18 h 21 min
  • PELTIER Répondre

    Le Préfet a dit tout haut une vérité criante que je constate dans ma ville.En disant qu’il y en a beaucoup ou même trop c’est évident.Où se trouve la "parité" dont on nous a parlée au nom de l’égalité.On a dit aux Français il faut faire venir des étrangers parce que les Français ne veulent pas faire le "sale" boulot! Ah bon !c’est çà le sale boulot? Pas étonnant qu’il y ait tant de chomeurs!!!!!français ,de souche et non gagnant comme au LOTO   sans mise de fonds.

    9 septembre 2009 à 17 h 44 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<c’est quand votre prochaine manif ?>>
    Cela reste sutout une spécialité de Jaures. Nous sommes à la rentré et les marches vont reprendre d’ici peu. Marcher est d’ailleurs une occupation agréable qui permet d’esquiver le travail. Voir le film socialo "J’ai mal au travail"

    9 septembre 2009 à 17 h 27 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<Fais ce que je dis, mais ne fait pas ce que je fais!>>

    La vérité sortirait-elle parfois de la plume ou du clavier des lecteurs? En voulez vous, en voilà…
    Il serait intéressant de calculer le nombre de milliers de km effectués ainsi que les centaines de tonnes de kérosène que ce zèbre et son équipe ont consommées pour tourner ses films documentaires.
    A quand la mise à prix de la tête de ce criminel de l’environnement?


    Nicolas Hulot à son arrivée – en hélicoptère ! – au "Salon des sports aériens" de Saint-Hilaire-du-Touvet (Isère) en septembre 2006

    9 septembre 2009 à 15 h 01 min
  • Jaures Répondre

    On voit que ce jeune lecteur assidu est parfaitement apte à s’abonner aux 4V et à en reprendre les traditionnels refrains (milions d’immigrés, acharnement fiscal, Etat tentaculaire, criminalité galopante, patin couffin,…).

    Comme ses éditorialistes préférés, il part d’un fait divers tronqué. Le préfet aurait dit "Il y a trop de noirs ici, on se croirait en Afrique". Ce qui ne choque pas notre jeune lecteur qui aurait trouvé tout à fait judicieux que ce même préfet s’exclame en croisant un Israelite: "Il y trop de juifs ici, on se croirait à Auschwitz". Mais le préfet nie avoir tenu ces propos et prétend être victime d’une cabale. Il n’y a donc personne à défendre sur ce dossier.

    Cher Daniel, pardonnez moi de casser l’ambiance, mais avant de juger qui que ce soit, il va vous falloir prendre le pouvoir: par les urnes (combien d’électeurs les 4V ?) ou par la force (c’est quand votre prochaine manif ?).

     

    9 septembre 2009 à 14 h 56 min
  • THOMAS Répondre

    Mon très cher Monsieur,

    Je partage totalement votre point de vue, la seule solution est d’organiser à terme son expatriation de ce pays gouverné par des individus ne souhaitant que la disparition de la population de souche, dans le but très probable de mieux exploiter.

    J’espére simplement que mon intervention ne sera pas filtré par le modérateur des 4 vérités, car voyez-vous, même ici, la liberté de parole est encadrée, pour l’avoir vécu!

     

    9 septembre 2009 à 14 h 55 min
  • Anonyme Répondre

    ce lecteur c’est pas vous même par hasard?
    pourquoi vous cachez vous derriere un lecteur?
    Dites le simplement: La france aux (blanc) français!

    9 septembre 2009 à 14 h 16 min
  • Lambda Répondre

    <<<<<< On pourrait commencer par un tribunal sans prétention à aucun pouvoir.  >>>>>>>
    Pour ma part, je n’en vois pas trop l’utilité. Et comment serait constitué un tel tribunal ? Où et par qui ? Nous en sommes arrivés là parce que le pouvoir en place s’est verrouillé dans un système totalitaire, et ce, grâce à la démocratie, laquelle est détruite au fur et à mesure que le pouvoir se fait de plus en plus pesant. Je suis toujours stupéfait d’entendre des gens vouloir "juger selon le droit" des individus qui, justement, ne respectent pas le droit. Un pouvoir qui ne respecte pas la démocratie – et c’est le cas en France (et dans beaucoup d’autres pays), ne peut être jugé selon des lois démocrates. De telles personnes n’ont pas à être jugées, il faut définitivement les empêcher de nuire. Et c’est après seulement que l’on pourra remettre en place une démocratie ou autre chose, si on trouve quelque chose de mieux. A ce propos, d’ailleurs, il est curieux que le progrès si époustouflant de ces dernières années n’ait rien apporté dans le domaine politique, où les vieilles lunes sont toujours d’actualité : il serait peut-être temps de réfléchir à la question…

    9 septembre 2009 à 9 h 14 min
  • Daniel Répondre

    Oui , les gouvernants qui ont organisé ces crimes sont des criminels et des traitres. Le peuple doit se pencher sur les textes de lois qui lui permettent de reprendre le contrôle légal des tribunaux de justice. On a commencé à punir les dictateurs sanguinaires … ailleurs. Nous devons passer à l’étape suivante: punir les dictateurs/voleurs/ qui pratiquent un crime plus indirect, moins visible, mais au terme:  un crime.

    On pourrait commencer par un tribunal sans prétention à aucun pouvoir. Il décortiquerait les faits cachés au peuple (souverain) par les professionnels de la politique et leurs conséquences sur l’aggravation de la pauvreté, la réduction de la durée de vie de certaines catégories , l’augmentation de la délinquance tout en empêchant la légitime défense etc….  On pourrait établir une charte du comportement d’un homme digne de ce nom qui déterminerait l’augmentation de la responsabilité individuelle réelle en fonction de la prétention au pouvoir sur autrui. On pourrait imaginer que la rémunération ne puisse en aucun cas être évaluée autrement que par les résultats positifs pour autrui.  On pourrait imaginer que la reconnaissance pour un sercice puisse trouver d’autres voies que le fric.  

    On pourrait établir des liens entre les choix qui ont servi à l’enrichissement perso tout en dégradant la situation générale et tirer les leçons.  Etablir des liens, définition de l’Intelligence… On pourrait essayer d’être intelligent, réellement,   collectivement, pour le plaisir.

    On pourrait et on peut… 

    9 septembre 2009 à 8 h 06 min

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