La barbarie et ses complices
“Les organisations antiracistes n’ont rien à dire. Non, elles ne voient pas où est le problème,
quand un paisible géographe de 23 ans se fait lyncher et poignarder sans motif, vendredi soir en plein centre de Grenoble, par des voyous qui venaient de se faire expulser d’un
tramway par des contrôleurs. […] Si le Mrap, Sos Racisme, la Licra, le Cran, la Halde, avaient un minimum d’honnêteté intellectuelle, leurs représentants se seraient précipités pour
dénoncer cet acte de haine pure, de discrimination avérée, de racisme gratuit. Or ces donneurs de leçons, s’ils ont l’indignation immédiate dès qu’il s’agit de culpabiliser
la société d’accueil, n’ont jamais un mot pour dénoncer les actes de rejet contre cette même société.Les antiracistes avalisent une contre-société à qui ils pardonnent les dérives les plus odieuses […] Il y
a un an, un même silence avait accompagné la révélation, par une vidéo détournée, de l’agression d’un jeune étudiant par quatre adolescents dans un bus parisien de nuit (le Noctilien) au cri
de “Sale Français !”. La victime, étudiant à Sciences Po Paris, s’était même empressée de défendre ses agresseurs en portant plainte contre celui qui avait diffusé cette scène. Ce que j’ai
appelé, par la suite, le “syndrome du Noctilien”, c’est-à-dire ce comportement politiquement correct qui justifie le fautif et accable le témoin, reste le ressort de ces mouvements
antiracistes qui se déshonorent à vouloir nier le nouveau racisme anti-blanc et anti-Français que la contre-société produit, victimisée par un unilatéral discours de l’excuse. […]
Ne serait-il pas temps de demander des comptes à ces mouvements antiracistes, généreusement subventionnés par l’argent public ?” via le Salon Beige