La France, n°1 de la naturalisation

La France, n°1 de la naturalisation

Les chiffres confirment la propension des institutions républicaines à nourir le remplacement de la population
française de souche par une population allogènes de français de papier :

 

Par rapport à ses voisins européens, la France figure toujours sur le podium du plus grand nombre d’octrois de
nationalité.

Selon les chiffres les plus récents fournis par l’institut de statistiques européen Eurostat, et qui ne traduisent pas de façon évidente l’évolution de la politique
d’immigration dans l’Hexagone, la France était même championne d’Europe en 2008, avec un peu plus de 137.000 acquisitions de la nationalité – parmi lesquelles environ 108.000
naturalisations par décret et par mariage -, devant le Royaume-Uni et l’Allemagne, qui pointent respectivement à 129.000 et à 94.000 acquisitions.(…)

Beaucoup d’expulsés sur le papier, moins dans les faits

Quant aux ressortissants de pays tiers que la France renvoie chez eux, elle ne se distingue pas par sa dureté, mais plutôt par son manque d’efficacité à faire
appliquer sa politique : 14.289 personnes se sont vu refuser l’entrée aux frontières extérieures de l’Hexagone en 2009, presque 2.500 de moins qu’en 2008. Un chiffre moyen à nuancer – il est, par
exemple, incomparable avec celui de l’Espagne qui s’élève à 387.000 -, mais qui reste inférieur à celui du Royaume-Uni (20.480). En revanche, la France est largement en tête si l’on
rapporte le nombre de personnes faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire et celles l’ayant effectivement quitté : 97.515 en 2008 pour les premières, 19.470 pour les
secondes
. […]

Le Point (via là)

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