Le rapport interdit dévoilé !

Le rapport interdit dévoilé !

Vu sur le net

Le rapport interdit dévoilé !

Le rapport parlementaire sur le financement des syndicats, présenté par le député Perruchot (Nouveau Centre) et censuré par la Commission d’enquête de l’Assemblée nationale pour la première fois depuis les débuts de la Ve République, est enfin disponible sur Internet.

Il peut être consulté sur le site : http://www.lepoint.fr/economie/argent-des-syndicats-le-rapport-interdit-16-02-2012-1431943_28.php

Tout avait pourtant été mis en œuvre pour que le contenu en soit tenu secret : et pour cause ! Le rapport dévoile les nombreuses combines qui permettent de financer avec l’argent publique, c’est-à-dire celui des contribuables, les organisations professionnelles salariales et patronales : détachements de permanents syndicaux rémunérés par l’Etat, emplois fictifs, mises à disposition de personnels et de locaux, subventions multiples (par exemple aux Comités d’entreprise), mise en coupe réglée de la formation professionnelle et des organismes sociaux au nom du paritarisme. Le tout au bénéfice des syndicats les moins représentatifs d’Europe puisque 8 % des salariés seulement sont syndiqués – et moins de 6 % dans le secteur privé.

La volonté de l’Etat de fonctionnariser le syndicalisme français apparaît clairement à la lecture du rapport. Les organisations patronales ne sont pas mieux traitées : finalement tous les acteurs du système, Etat, patronat et syndicats, s’entendent sur le dos des Français.

C’est cela qu’il fallait cacher à tout prix à la population ; car comment les politiques et les organismes sociaux oseront-ils désormais reprocher aux médecins et aux malades d’assécher les caisses de la Sécurité sociale ? Comment pourront-ils mettre en place de nouvelles mesures de restriction pour soi-disant « sauver nos retraites » ? Comment les syndicats auront-ils encore le front de prétendre que l’Education nationale manque d’enseignants ?

Les Français leur répondront à tous de commencer par nettoyer les écuries d’Augias, autrement dit de balayer devant leur porte. S’il faut une réforme, commençons par celle du paritarisme. Commençons par instaurer un contrôle indépendant de l’Etat (puisqu’il est complice) sur les organismes de Sécurité sociale, maladie, familles et retraites. Commençons par revoir de fond en comble le fonctionnement de la Formation professionnelle.

Le sujet est si chaud que le président de l’Assemblée nationale, l’UMP Bernard Accoyer, avait menacé d’un an de prison et de 15 000 euros d’amendes quiconque serait assez hardi pour dévoiler le contenu du rapport. L’hebdomadaire Le Point a passé outre l’oukaze et la menace, et fait son métier. Nous allons bien voir si le système osera sévir contre des journalistes coupables d’avoir rempli leur mission en informant les Français de ce que le pouvoir voulait leur cacher à tout prix : l’usage que font de leur argent ceux qui sont supposés les représenter à tous les échelons, politiques et syndicaux.

Quant à M. Accoyer, il faut espérer que les électeurs lui feront très bientôt comprendre qu’ils n’aiment pas être pris pour des veaux.

Pierre Menou

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Comments (32)

  • Toni Répondre

    Jaures a écrit : "La première partie du rapport montre bien la difficulté liée à l’organisation des syndicats d’appliquer une norme comptable commune."

    Il faut demander conseil aux marins de sea France ou aux frères Guerini, mr le syndicaliste. Leurs méthodes de gestion sont reconnus chaque jour dans la presse.

     

    21 février 2012 à 16 h 01 min
  • Anonyme Répondre

    @Daniel

        Le syndicaliste français est l’exemple-même du pompier pyromane. Par bêtise idéologique crasse, il détruit avec le plus grand soin l’outil de travail français, puis le mouchoir à la main, court au chevet des victimes de « plans sociaux », pour compatir avec une indignation faussement scandalisée.

        A l’image des psychologues étatiques tentant d’intéresser les témoins de violences graves à leur ridicule « cellule psychologique », les syndicalistes vont partout essayer de « remuer la merde » en expliquant aux travailleurs sinistrés à quel point ils se sont fait « arnaquer » pendant 30 ans par des patrons voyous, qui en guise de crotte sur la bouse (cerise sur le gâteau), les laissent maintenant  tomber comme des chaussettes trouées.

       Ces  patrons, qui les ont tout de même supportés et payés pendant 30 ans, commettent le pire péché mortel imaginable: voter avec leurs pieds en quittant la micro-galaxie infernale du socialo-syndicalisme français, osant partir (s’ils ne sont pas ruinés) au-delà de l’horizon, faire travailler des populations plus disposées à le faire, afin de sauver ce qui peut l’être de leur entreprise.

        Les jeunes ont ce qu’ils appellent un « plan cul » qui consiste à trousser un(e) partenaire. Les syndicats ont le « plan social », qui consiste à « détrousser le contribuable », puisque le plan consiste toujours en grand partie à faire appel à la « solidarité nationale », ce qui désormais, au vu des misérables comptes de la nation, signifie in fine, « faire cracher les Allemands au bassinet».

        Les syndicats français ont par exemple bel et bien tué la sidérurgie de Longwy en l’étranglant de leurs mains. La preuve la plus éclatante est qu’au Luxembourg, à quelques petits kilomètres de là, la même sidérurgie à réussi à survivre 30 ans de plus que celle de Longwy, avec le même minerai de fer, la même technologie, le même outil de travail, et des salaires PLUS ELEVES qu’à Longwy. Voir les hurlements syndicalistes de Radio Cœur D’acier, grassement subventionnée par les fonds secrets CGT, et monument historique de l’effrayante duplicité syndicale française.

    21 février 2012 à 14 h 32 min
  • Anonyme Répondre

    @wanadoo.fr

        Vous écrivez “être Chrétien à Abu Dhabi c’est en effet … Le Bonheur ! »

    En effet, vous devriez aller y voir par vous-mêmes. La cathédrale St Joseph ne désemplit pas. Il y a par exemple environ 30 000 personnes venant aux 10 messes du jour de Pâques. Il faut mettre des tentes de cirque à l’extérieur pour accueillir la foule.

    L’Evêque catholique d’Abu Dhabi n’est pas abonné aux 35 heures syndicales chères aux français. On peut le voir sur les articles suivants, très intéressants pour qui ne connait pas le contexte et s’en tient aux désinformations et omissions des médias français.

    http://www.30giorni.it/articoli_id_10139_l4.htm

    http://www.la-croix.com/Religion/S-informer/Actualite/Mgr-Paul-Hinder-Dans-la-peninsule-arabique-la-liberte-religieuse-n-est-pas-un-argument-_NP_-2011-06-21-661001

    J’ai souvent ici exprimé ma façon de penser, politiquement incorrecte, mais théologiquement correcte sur l’islam. J’admets cependant la nécessité et l’intelligence de l’attitude adoptée par les dirigeants catholiques du Moyen-Orient.

    Il faut aussi reconnaître l’exceptionnelle aptitude à la clairvoyance de Sheilkh Zayed bin Sultan Al Nahyan, fondateur de l’Emirat et de son successeur Sheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan, qui continue dans la voie découverte par son père. Tous deux sont d’authentiques bienfaiteurs de l’Eglise, alors-même qu’ils sont musulmans.

    Sheikh Nahyan Bin Moubarak Al Nahyan, ministre de l’Education, que j’ai rencontré, est un véritable humaniste, et une perle d’homme.

    21 février 2012 à 13 h 26 min
  • Toni Répondre

    Il serait souhaitable Mr Jaures que les syndicats ne soient financés qu’avec les cotisations des adhérents. Vous savez que vous vos syndicats ne représentez que 8% des salariés Mr Jaures …

    Si vous ne voulez rien changer, libre à vous, mais dans ce cas je trouve que l’équipe de France de la coupe du monde de 2010 (que j’ai critiquée à l’époque) est idéale pour représenter les gens de votre organisation.

    21 février 2012 à 13 h 24 min
  • François Répondre

      " Le gouvernement n’a pas voulu diffuser le rapport…" nous dit le désinformateur en chef…
     C’est vrai que les députés de droite se sont abstenus ( ce qui est scandaleux) mais les députés de gauche ont voté CONTRE son adoption, ce qui est encore pire…
      En gros, la droite n’était pas chaude, mais la gauche était farouchement contre l’adoption. Essayez tout de même de rendre à César ce qui lui appartient, messieurs les donneurs de leçons.

       Mais cette omerta ( il n’y a pas d’autre mot ) aura au moins un avantage: Les Français vont se méfier des syndicats et vont enfin comprendre qu’ils ne sont pas les oies blanches parées de toutes les vertus qu’on leur vantait. Comme l’affaire Vaneste aura l’intérêt de montrer que le lobby homo nous bourre le crâne de contre vérités depuis longtemps…

    21 février 2012 à 10 h 23 min
  • Anonyme Répondre

    @ Bourbonnaise : Je suis d’accord avec vos remarques sur la langue française. Merci. Et je suis aussi d’origine bourbonnaise. Le Rapport : ceux qui veulent le lire (il en vaut son pesant d’encre) feraient bien de prendre une bonne dose de Primpéran (anti-vomitif) car on parle de milliards ! Et l’évidence démontrant que les Français sont sodomisés depuis des années en aimant ça est consternante. Et là, une bonne dose d’antidépresseur (faites votre choix car les Français en ont toujours sous la main) est nécessaire. République bananière d’europe : la France en tête ! @ Qinctius cinncinatus : ces jeux de mots sont à l’humour ce que le Beaujolais est au Bourgogne ! Merci… Devant tant d’évidences de magouilles éventées depuis des mois voire des années, si les Français ne font pas un clash du siècle, c’est que vraiment c’est un peuple de glands drogués aux antidépresseurs qui mérite la fange puante dans laquelle il se roule. Et son destin est très mal barré. Les syndicats français sont premiers destructeurs de l’économie française pour plusieurs raisons déjà évoqués par des intervenants ici. Les syndicats sont certes utiles voire néessaires mais seulement s’ils sont apolitiques et fonctionnant uniquement et honnêtement avec l’argent de leurs cotisations, or ce n’est pas le cas. Déjà, là, les dés sont pipés. Leur gestion glauque de différentes organisations (SECU, Assedic, etc.) est catastrophique tout en puant la magouille ; d’autant que leurs dirigeants sont devenus de bons bourgeois. Quant à ceux qui ont vraiment besoin d’eux à titre individuel, ils n’ont souvent aucun soutien actif et efficace ; et je connais des cas. Pour finir, je suis d’accord avec Luc SEMBOUR.

    21 février 2012 à 10 h 05 min
  • Daniel Répondre

    Merci Sembour  pour vos précisions concernant la façade proprette du syndicalisme français ici représenté par la marionnette jaurès qui a perdu totalement le sens de la justice pour se mettre au service du dogme.  Syndicalisme qui est un outil essentiel pour  l’esclavagisme à la mode française, c’est à dire les Droits de l’homme qui réservent les privilèges  pour  les collabos et les miettes pour les ouvriers embarqués dans cette galère syndicale nauséabonde que Mitterrand a largement exploité pour sa carrière personnelle .

    Merci de mettre en évidence ce préjugé français " nous sommes civilisés et ceux qui n’ont pas notre immense culture  sont évidemment des sous développés".  Ce qui permet de ne pas analyser la réalité puisque aucune autre ne saurait être plus intelligente!.
    Il y a encore beaucoup de facettes à l’esclavagisme introduit grace aux incohérences des Droits de l’Homme, devenus pour les collabos une religion à leur niveau. Incohérences  qui ont installé  les plus stupides contresens, favorables aux escrocs de la politique mais dangereux pour la majorité des citoyens de ce pays qui ne savent plus par qui et comment desserrer l’étau. 

    20 février 2012 à 22 h 48 min
  • Jaures Répondre

    A Toni et les autres, merci de bien vouloir lire le rapport avant d’en faire des commentaires éclairés et d’éviter de sortir des chiffres (5-6 milliards) d’on ne sait où.
    "Le rapport est rébarbatif "écrit un intervenant. Certes. Tous ici s’attendaient à un réquisitoire limpide, à sens unique, touchant les syndicats ouvriers. Il n’en est rien. C’est la raison pour laquelle le gouvernement souhaitait ne pas rendre public ce rapport et se contenter d’en sortir quelques éléments isolés. Il souhaitait notamment ménager les syndicats agricoles comme la FNSEA.
    Que reste t-il à la lumière du rapport ? Les syndicats sont co-financés par l’Etat ? Bien sûr ! Et alors ? Rendent-ils un service d’utilité publique ? S’ils n’existaient pas qui assumeraient les fonctions aux Prud’hommes, dans la gestion de la sécurité sociale, l’assurance chômage,…Des fonctionnaires ? Des comptables ? Des Juges ? Qui les paieraient ?
    Alors qu’il existe un réel manque de transparence, c’est un fait. Que cela touche l’ensemble des syndicats, c’est patent. La première partie du rapport montre bien la difficulté liée à l’organisation des syndicats d’appliquer une norme comptable commune. Les syndicats ont une Histoire, un type d’organisation qui y est lié, des activités extrêmement diverses, parfois rémunérées, souvent bénévoles,…
    Bien entendu, pour les libéraux, tout serait mieux sans syndicats, sans indemnisation du chômage, sans sécurité sociale, sans prud’hommes,… C’est une démarche respectable qui n’est pas la mienne. Que ceux qui défendent ces idées présentent un candidat aux prochaines élections au lieu de tenter sans succès de mettre en cause les organisations qui défendent les travailleurs lequels, s’ils n’adhèrent pas en masse, sont bien contents de les trouver quand les conditions de travail se durcissent et que fleurissent plans sociaux et fermetures d’usines.

    20 février 2012 à 14 h 04 min
  • Anonyme Répondre

    @ sembourg
     
    être Chrétien à  Abu Dhabi  c’est en effet … Le Bonheur !

    20 février 2012 à 9 h 51 min
  • Toni Répondre

    Mr le syndicaliste, le rapport dénonce des situations d’insécurité juridique … Ne pensez vous pas que cela peut inquiéter légitimement un investisseur ?

    Votre comptabilité est vraiment confuse et opaque, je suggère qu’un juge d’instruction financier neutre (pas un memebre du syndicat de la magistrature) y jette un oeil.

    L’état autrement dit le contribuable finance (que 8% d’adhérents parmi les salariés) des organisations syndicales connues pour e**erder les gens avec des grèves incessantes. Je rappelle également que ces mêmes organisations ont détourné un bateau de la sncm fin 2005 … un acte de priraterie maritime … Plus tard un chef du comité d’entreprise de seafrance a agréssé un flic … J’ai aussi entendu parler de dirigents séquestrés dans leur bureau.

    Bon Mr le syndicaliste, je n’ai pas attendu le rapport Perruchot pour savoir que certains chefs syndicalistes sont des gangsters.

    20 février 2012 à 0 h 24 min
  • Anonyme Répondre

    @ quinctius cincinnatus.

    Pour l’esclavagisme, chacun voit midi à sa porte.

    Gagner 150 Euros nets par mois, à Abu Dhabi, avec tous transports, logement, et nourriture gratuits, c’est être un vrai privilégié quand on a toutes ses attaches à Bombay, à Colombo, ou Dhaka.

    Gagner 1500 Euros nets en France, le salaire médian français, c’est être un esclave du système socialo-étatique français.

    Personnellement, à choisir, je préfère servir le thé à Abu Dhabi.

    Je connais plus que très bien la situation. Je suis amicalement en relation avec un tea-boy chrétien Sri Lankais, devenu maintenant apprenti cuisinier au Fermont Hôtel. Il gagne royalement 250 Euros par mois (soit 1300 UAE Dhs), un pactole. A l’Emirate Palace Hôtel (propriété à 100% du richissime gouvernement Abu Dhabien) qui passe pour le plus luxueux de la planète, les salaires sont plus bas qu’au Fermont, privé.

    Tout tourne dans l’huile partout.

    Le syndicalisme français a un rôle quintuplement négatif :

    -il est complètement corrompu car il consomme directement l’argent frais du contribuable dans ses dépenses quotidiennes, au lieu de vivre des cotisations des syndiqués.

    -le train de vie scandaleux des privilégiés syndicalistes, n’a rien de comparable avec celui des travailleurs.

    -il travaille en opposition de phase directe avec tous les intérêts nationaux et sabote activement la machine économique, donc les emplois. Objectivement, le syndicaliste français est le pire ennemi du travailleur.  Pour masquer autant que possible cette évidence, le syndicaliste vole et plombe le contribuable, par tous moyens directs et indirects.

    -il pourrit la vie des usagers, qui sont systématiquement les seules victimes innocentes des journées d’inaction.

    -il pourrit directement et sans relâche la vie des travailleurs en leur certifiant qu’ils sont exploités, quel que soit leur salaire et même dans les cas où ce salaire est ridiculement trop élevé (cas uniquement observés dans l’économie non concurrentielle du secteur public).

        Il est évidemment démoralisant et négatif pour tout le monde de passer sa vie entière à travailler pour ce qu’on certifie sur tous les tons, être un salaire d’exploité. C’est humain et compréhensible.  Grâce à leur milliards et donc à leur impact médiatique important, les syndicats font passer ce message permanent de sape morale, qui est la cause de la célèbre aptitude des français à être dépités, impolis, « incivils », grincheux, peu souriants, prompts aux hurlements disproportionnés, incapables de débattre sans couper la parole. Comment être heureux quand on est si certain d’être un esclave exploité?

         Le bonheur humain est en bonne partie subjectif.

         La réalité est que la seule vraie exploitation, le seul vrai manque à gagner du français, provient du soutien  écrasant du secteur non concurrentiel qui est imposé à tous. Ce secteur est le fief syndicaliste par excellence.  

     

    20 février 2012 à 0 h 17 min
  • Anonyme Répondre

    @ R. Ed.

    Ne vous sentez pas obligé de vous excuser pour des "fautes bénignes"
    Dans ma vie , j’ai connu nombre de "certifiés primaires" qui en remontraient tant en compréhension qu’ en logique à d’arrogants et vaniteux "surdiplomés"
    Voltaire lui-même n’était pas un foudre d’orthographe
    D’ailleurs celle ci est surtout historiquement une "vertu" bourgeoise , c’est à dire "fixée" !

    19 février 2012 à 14 h 41 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    @ sembourg
    êtes vous un nostalgique de l’esclavage ?
    @ homère
    évitez les contrepèteries : ces jeux de mots sont à l’humour ce que les Bordeaux sont au Bourgogne !

    19 février 2012 à 13 h 41 min
  • HOMERE Répondre

    Curieux !

    Depuis que les 4 Vérités existent,nous avons eu droit à l’intervention la plus courte de ce cher Jaurès…!!!! serais ce en rapport avec le sujet ?  ne soyez pas mauvaises langues….

    Le ridicule score des syndiqués en France,qui ne permet pas l’auto financement est la vraie cause de ces dérives….la seule contribution des militants encartés rendrait les délégués et autres fonctionnaires syndiqués à l’état de pauvreté absolue,sous le seuil de la misère…et encore !!

    De là à contribuer publiquement à leur état de nanti et de profiteurs du système..il y a sûrement une limite……le SMIC me paraît être la bonne mesure ….Qu’en pensez vous ?

    Bien sûr les avantages en nature et autres quolifichets seraient inclus dans le SMIC….çà va de soi….

    19 février 2012 à 12 h 27 min
  • Anonyme Répondre

    N’oubliez pas que le grand ordinateur de tout ce fatras a pour nom Jacques Chirac. Un homme égaré à droite et qui ne l’a jamais revendiqué d’ailleurs. Sauf que Michel Rocard le situait beaucoup plus à gauche que lui-même.

    19 février 2012 à 12 h 06 min
  • Anonyme Répondre

    A Ferdinand-je l’ai téléchargé et ai commencé à le lire, mais il comporte 229 pages c’est un livre…

    19 février 2012 à 12 h 03 min
  • Anonyme Répondre
    A Bourbonnaise, lorsque vous conjuguez le verbe être à la troisième personne il s’écrit "est" et non "es", bien amicalement.
    Par contre ce qui est plus important c’est "l’argent public" savez-vous qu’il est fictif, car comment pourrait-il exister sans création de richesse? L’argent public est tout simplement de l’argent privé que l’impôt nous a soustrait.
    L’argent, enfin la monnaie fiduciaire qui traîne dans nos poches et sur nos comptes courants bancaires est la contrepartie de notre force de travail créative de richesse, s’il n’y a pas primairement cette création de richesse il n’y a pas de monnaie fiduciaire. Conséquemment l’Etat et ses représentants n’ont pas d’argent.
    19 février 2012 à 11 h 55 min
  • François Répondre

     Sembour parle à juste titre des sommes pharaoniques versées aux syndicats par tous les gouvernements qui se sont succédés. Entre 4 et 5 milliards par an!
     Pour donner une idée de ce que cela représente, le Charles de Gaulle a coûté 3 milliards.
      C’est à dire que quand notre marine peut se payer un porte avions tous les 30 ans, les syndicats peuvent s’en offrir trois tous les deux ans…Pour nous défendre dans le premier cas, pour nous emm… dans le second.
     

    19 février 2012 à 9 h 26 min
  • Anonyme Répondre

    Faute d’orthographe dans mon post précédent: il fallait écrire "tant soit peu".

    Le syndicaliste écrit  « les syndicats de salariés ont demandé que le rapport soit publié. C’est fait. »

    On ne sait pas quels syndicats, ni quand, ni où. Est-ce tous les syndicats, est-ce un vague syndicaliste ? Fût-ce une demande officielle et formelle de plusieurs « grands » syndicats regroupés ? Fût-ce une brève déclaration entre 2 portes, faite à mi-voix, à un journaliste unique, par un syndicaliste en état d’ébriété? Etc.

    « C’est fait ». Oui Tartuffe, mais certainement pas par un syndicat, ni par un syndicaliste en tant que tel.

    Le syndicalisme français est une énorme verrue cancéreuse au flanc de la société. Le niveau de vie français serait en 2012 celui de la Suisse si les syndicats avaient été dissous ou mis à leur juste place à la sortie de la dernière guerre mondiale. Les sommes directement englouties dans la corruption syndicale sont pharaoniques mais finalement négligeables à côté de celles qui n’ont pu être, ni gagnées, ni entrées dans le patrimoine français par leur faute. La pauvreté française, les bas salaires et la déroute économique, c’est avant tout l’œuvre des syndicats français.

    Une mesure simple, gratuite, immédiate, ne nécessitant aucun investissement est de suivre l’exemple des Emirats Arabes Unis: la grève, même pour 5 mn, y est illégale et automatiquement punie de prison. Les syndicats y sont assimilés à des organisations mafieuses.

    A ZADCO, une compagnie pétrolière d’Abu Dhabi, mon tea-boy indien avait été emprisonné puis déporté en Inde (comme tous ses collègues tea-boys de tous les autres étages de l’immeuble de la compagnie) pour avoir osé faire une grève de ½ heure. Personne ne s’était aperçu de leur grève mais leur employeur (un sous-traitant), l’avait déclarée aux autorités judiciaires.

    Résultat : encore aujourd’hui le thé est toujours chaud et à l’heure à tous les étages de ZADCO. A Bombay, la compétition est toujours aussi rude pour avoir la possibilité de venir travailler dans le moindre poste disponible aux UAE. Personne ne parle de syndicat. Que d’économies !

    19 février 2012 à 1 h 31 min
  • Toni Répondre

    Bonsoir,
    Homere a une excellente idée, quel est l’avis de Mr le syndicaliste Jaures à la lecture de ce rapport ?
    J’ai commencé à le feuilleter et le moins que l’on puisse dire est que le financement des organisations syndicales Françaises est vraiment opaque.
    Je note également que ce syndicaliste a un coté donneur de leçon qui commence à exaspérer beaucoup de gens ici.
    La sortie de ce rapport plus les affaires denis gauthier sauvagnac, sea france, celles des dockers du port de Marseille sont la preuve que les organisations syndicales françaises sont corrompues et composées de gangsters.

    Mais surtout une partie du rapport met en relief l’insécurité juridique et la comptabilité qui est faite avec un cahier et un stylo. Ce n’est pas sérieux c’est de l’amateurisme.

    Ce que je propose est de laisser FraisiBabar alias François Hollande passer en 2012. Avec Mr Jaures et Mr Vincent maire ps de saint-etienne président du comité de soutien à François Hollande dans la Loire, ils vont voir leurs beaux principes furieusement remis en cause par le FMI. Le FMI va aller chercher l’argent là où il se trouve …. C’est à dire dans la poche des syndicats et de gens comme les patrons de la cgt et de la cfdt ainsi que des autres organisations syndicales. La classe moyenne étant en train de s’évaporer à vitesse grand v en ce moment même … ces évènements se produiront d’ici la fin de cette année je pense.

    Mais avant cela, notre syndicaliste local continuera à croire à ces propos … Les graves évènements qui risquent d’arriver vont montrer le vrai visage de la gauche. Les familles riches expatriés en Suisse (Tattinger, Grand Frais, Mauboussin ….) ne sont pas prêtes de revenir en France et se moquent pas mal de la déchéance de nationalité Française. Ce sera notre perte et un gain pour la Suisse.

    L’autre chose à faire est de boycotter les aéroports français pour les gens qui habitent les zones frontalières, de boycotter autant que possible la sncf.

    Ce syndicaliste Jaures est du genre têtu, il va s’apercevoir que moi aussi …
    Ceci dit Denis Gauthier Sauvagnac a pas trop mal raisonné face à des interlocuteurs comme Mr Jaures.
    Une valise de billets semble pouvoir acheter la parole de dirigeants syndicaux. Ya bon l’argent des capitalistes tant maudit …

    18 février 2012 à 17 h 52 min
  • richa83 Répondre

    @ Ferdinand
    Téléchargé
    lu une quinzaine de pages… c’est assez rébarbatif!!!

    18 février 2012 à 15 h 25 min
  • Anonyme Répondre

     

    Il existe une loi de société s énonçant ainsi:

    Si un système suffisamment généralisé de subsistance quotidienne s’installe quelque part et perdure depuis plus de 5 ans, il est totalement impossible de l’éradiquer. Ceci est plus qu’une affirmation: c’est une LOI d’acier incontournable.

    Elle est vraie aussi bien pour les gangs californiens, que pour les Nomenklaturas communistes de l’ex-URSS, pour les oligarchies arabes, pour les systèmes mafieux japonais, pour le syndicalisme voyou français.

    Elle se vérifie toujours et en tout lieu. Seul un bouleversement sanglant peut espérer modifier un temps soit peu l’équilibre, mais systématiquement en remplaçant un système de racket par un autre, reprenant une partie notable des acteurs du système précédent, en général les jeunes seulement.

    Passer du système syndical français à un système syndical de type allemand ou anglo-saxon, impliquerait pour beaucoup trop de privilégiés une dégradation spectaculaire de leur niveau de vie. Il n’y a pas la moindre chance que cela ne se produise, car la capacité collective de nuisance de cette sous-société privilégiée, et son emprise sur les politiciens, l’administration, la justice et les médias est beaucoup trop forte pour être vaincue, voire simplement significativement menacée.

    Conclusion: le contribuable français est définitivement "maqué" et continuera servilement à aller au charbon comme les prostituées de la rue St Denis.

    18 février 2012 à 13 h 04 min
  • R. Ed. Répondre

    C’est exact sans "e".

    soi-même ,  pas de "t", un trait d’union et un chapeau (accent circonflexe) sur le "e".

     

     

    PS: je suis excusable, vu que j’ai passé mon certificat d’études primaires en 1959, l’instituteur nous apprenait encore à lire et à écrire à cette époque au lieu de s’évertuer à former de futurs gauchistes.

    18 février 2012 à 12 h 23 min
  • R. Ed. Répondre

    Le mot argent est masculin, sans doute une erreur de frappe.

    Mais " Une population normale se répartit ", un "t" au lieu d’un "r".

    18 février 2012 à 12 h 11 min
  • Jaures Répondre

    Cher Homère, les syndicats de salariés ont demandé que le rapport soit publié. C’est fait. Maintenant, avant tout commentaire, il importe de le lire intégralement et non de le commenter a priori, on comprendra ainsi que ce n’est pas par sympathie pour la CGT ou la CFDT qu’Acoyer avait voulu garder le rapport dans un tiroir.

    18 février 2012 à 11 h 48 min
  • oeildevraicon Répondre

    Bourbonnaise, bonsoir.

    C’est exacte, nous avons tendance à mélanger les "QUE et les C", j’ai moi aussi terminé "argent public"
    par un "que". Mais est-ce une raison pour donner des leçons lorsque soit meme on écrit :<es masculin>
    avec ES au lieu de EST.

    Salutations.

    Ferdinand…

    Oui! pour téléchargé et lu.

    Salutations

    18 février 2012 à 1 h 12 min
  • oeildevraicon Répondre

    C’est tout simplement consternant de voir ce que tous les partis y compris le chef de l’état, sont capables d’accepter pour acheter la paix sociale ou un mandat électoral!
    Encore une fois qui paie? Eh bien ces imbéciles du privé, ces retraités qui touchent une rente pour laquelle ils ont cotisé durant toute une vie de labeur,  ces cadres moyens et ces patrons de petits d’entreprises.
    Comment en 2012, peut-on encore prendre fait et cause pour ces syndicats qui ne représentent que eux memes?
     Les syndicats devraient vivre des seules subventions de leurs adhérents, tout comme les partis politiques de leur encartés et non des deniers publiques!
    Je n’ai pas à payer pour un sydicat ou un parti politique pour lequel je n’ai aucune affinité.

    17 février 2012 à 22 h 55 min
  • MANSON Répondre

    Il ne faut surtout pas oublier le financement des CE : EDF ; SNCF ; RATP ; qui ont tous fait l’objet de critiques de la Cour des Comptes, rapports enterrés depuis.

    17 février 2012 à 18 h 56 min
  • HOMERE Répondre

    On attend un commentaire avisé,et interessé de notre blogueur sentimental de la gauche bien pensante membre du syndicat de gauche (il n’y en a pas de droite)….vous avez reconnu notre Jaurès national….

    Plein les fouilles….curieuses !!

     

    17 février 2012 à 16 h 57 min
  • Ferdinand Répondre

    Ce qui est intéressant dans cet article, c’est la conclusion…
    Rassurez-vous, braves gens, ce rapport tombe au très très bon moment ! Dans quelques jours, un autre Vaneste, un autre Lepen, un autre Guéant vont lancer une pichenette, et hop, le monde en folie va entonner la dernière valse du jour à la mode : Pftt du rapport, dans 8 jours, il aura été totalement oublié, définitivement enterré, et les choses resteront dans l’état, les benêts de contribuables vont tout naturellement continuer de cracher au bassinet et  voter pour un pantin qui va continuer à les ruiner, syndiqué ou pas….
    Finalement, c’est presque amusant….
    Au fait, qui l’a téléchargé et l’a lu ?…
    Allez, le sondage est ouvert….

    17 février 2012 à 16 h 23 min
  • Bourbonnaise Répondre

    S’il vous plaît : “l’argent public” et non “publique” ! Le mot “argent” es masculin. Cette féminisation à outrance des adjectifs est exaspérante. Je vois de plus en plus écrire : “les Grecques” et “les Turques” au lieu de “Grecs” et de “Turcs”. Une population normale se répartir entre hommes et femmes. Et, dans ce cas, c’est toujours le masculin qui l’emporte sur le féminin. Révisons les bases de notre belle et chère langue française. Corrigez, par pitié !

    17 février 2012 à 15 h 48 min
  • François Répondre

      Monsieur Menou, puisque vous faites allusion aux écuries d’Augias, je vous rappellerais qu’Hercule ne les a pas nettoyées "en balayant devant leurs portes", mais en détournant une rivière pour les inonder…
      C’est à peu près le genre de moyen qu’il faudrait employer pour nettoyer le syndicalisme en France…

    17 février 2012 à 14 h 45 min

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