L’entente à droite a du plomb dans l’aile

L’entente à droite a du plomb dans l’aile

L’élection de Nicolas Sarkozy a pu laisser quelques espoirs à ceux qui, comme nous, aux « 4 Vérités », souhaitent une véritable entente à droite, sans exclusive. Le candidat Sarkozy avait en effet montré qu’il était beaucoup plus accueillant aux idées de la droite libérale, d’une part, de la droite nationale, d’autre part, que Jacques Chirac.

Malheureusement, ces espoirs se sont révélés chimériques. Dès son élection, le nouveau président a lancé son opération « d’ouverture à gauche », qui s’est révélée à la fois inefficace pour mener les réformes, et désastreuse du point de vue de la lisibilité politique.
Depuis quelques mois, Nicolas Sarkozy a, en outre, cédé aux pressions de la rue, sur les réformes de l’Éducation et dans les Antilles – où des gangs de casseurs viennent interdire aux non-grévistes d’ouvrir les magasins, sans que l’État se montre particulièrement zélé pour protéger les libertés publiques.

Et surtout, la crise survenant, les vieilles recettes périmées de la relance étatique, du gonflement du déficit pour soutenir la consommation, ont été remises à l’ordre du jour. La droite libérale n’a donc guère à se louer de l’actuelle présidence.

Du côté de la droite nationale, ce n’est guère mieux. La politique de contrôle des flux migratoires ne donne aucun résultat sérieux. Pire encore, la politique de « diversité » et de discrimination positive concourt un peu plus à rendre les Français étrangers chez eux.

Les libéraux étant assez peu organisés politiquement n’ont pas eu à rompre avec le président. Mais, le CNI, actuellement en pleine remontée, hésite fortement à le faire. Il n’hésite plus, en tout cas, à critiquer ouvertement l’UMP – dont il est toujours, aux dernières nouvelles, parti associé.
Du côté de la droite nationale, la rupture est consommée. Jean-Marie Le Pen, dans un récent entretien au Parisien, déclarait : « Ou on accepte le bras de fer et on fait respecter sa politique, ou on capitule. Mais, avec Sarkozy, on connaît la réponse : il a enfilé les bottes de Chirac. Il va diriger à gauche, en essayant de conquérir par le charme ce qu’il ne peut plus obtenir par l’autorité. »

Et surtout, il annonce qu’il hésiterait si le choix était entre Sarkozy et Aubry à la présidentielle. Et, aux dernières cantonales à Miribel (Ain), le FN a soutenu, au deuxième tour, le socialiste contre le candidat de droite (dans l’indifférence générale de la presse, soit dit en passant).
L’entente à droite est bien mal en point. Et la présidence Sarkozy est, de ce point de vue, une belle occasion gâchée !

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Comments (18)

  • sas Répondre

    Faur il ettre con pour avoir voté par un bavasseux, un avocat….pansant qu’il gèrerait ou avait une vue politique moyen et long terme sur la france….

    C’est un bateleur, un joueur de bonetau……il a été déà , vu , pesé, et jugé….ceux qui ce sont encore trompé , avait du  les années d ‘avant voté pour tonton….

    a CONS, CONs et demie…..

    sas

    nb) gardez en pour la fin du mandat , car sauf à le destituer immédiatement…il va y avoir des dégats..

     

    24 février 2009 à 12 h 08 min
  • Noël TOURNIER Répondre

    tout celà était hélas prévisible, même si j’avoue avoir voté pour M.Sarkozy au 2ème tour, au nom du "de deux maux…" j’en suis à le regretter
    Notre président pratique la "ruptitude", entendez la "rupture attitude" mais après la stratégie du coucou (vous savez, celui qui pique le nid du voisin) pour siphonner les voix du FN, il nous fait la politique des cocus!

    Alors, comme la gauche, on joue de la sémantique:

    on dit "ouverture" , ce n’est que le cache-sexe de l’incohérence politique

    on dit "diversité", et on efface d’une main ce que fait l’autre en matière d’immigration

    on dit "solidarité, justice" pour recycler les vieilles recettes qui justement ont ruiné ce pays!

    etc, etc…

    tout celà est révoltant, écoeurant, lamentable!

    23 février 2009 à 21 h 54 min
  • dagmar Répondre

    Du côté de la droite nationale, ce n’est guère mieux. La politique de contrôle des flux migratoires ne donne aucun résultat sérieux. Pire encore, la politique de « diversité » et de discrimination positive concourt un peu plus à rendre les Français étrangers chez eux.

    vous assimilez la droite nationale et la politique de discrimitation positive. Ce n’est pas JMLP qui l’a eu dans sonn programme élecrotale. Le "contrôle de floux migratoire n’existe pas, c’est un mot vide. Sous Sarkozy le mot "controle" signifie le "débordement". Le contenu a changé. C’est n’est pas non plus JMLP qui a orchestré ce glissement sémantique. C’est le contraire, lui a tout prévu. Aujourd’hui vous dites que les Français sont les étrangers chez eux??? Trop tard!!! Où etiez vous en 2007??? et même avant??? En 2002????????????????????????????????????????

    23 février 2009 à 15 h 35 min
  • sas Répondre

    A richard 83…..sas te confirme qu’il y a même des dockers payés 150 000 francs par mois….j’ai vu des feuilles de salaires ,moi même….le syndicaliste pulvar (pere de la journaliste audrey) avait dénoncé sur le port des focntionnaires de la préfecture et la chambre de commerce ayant double emploi sur le port aux vues de tous….

    …..des infirmières qui vienne tout les jour faire des piqouzes matin et soir, malgrés les grèves et le manque d essence….en mercedes 4x4x ML  et BMW 4X4 MX6….+ garde malade totalement financé par la sécu…..je vous raconte pas ce que peux couter ce type de retraité a la collectivité…..et le prix de revient d’une piquouze comme celle la à la securite sociale…..

    J e vous dis simplement que la maffia d’ici irrigue celle de france au plus haut niveau….et le combat actuel sur fond maçonique ,consiste a capter ces sources ocultes et honteuses de financement.s…et de passer en force un statut d’autonomie….comme dans le pacifique …avec ses dérives LAMENTABLES ET PERSISTENTES.

    C’est dopnc pour cette raison que tous ce pourrissement est l’action de fonstionnaires ou assimilés…le privé ne peut se permettre ce genre de fantaisie.

    ca c’est acté???? puis après quoi ?

    sas 

    22 février 2009 à 23 h 43 min
  • MAGNE Répondre

    Ce n’est pas du plomb , mais de la chevrotine que la " droite " a dans l’aile .

     

    22 février 2009 à 17 h 31 min
  • richa83 Répondre

    En parlant de gaudeloupe, je vous joint une copie d’un article de l’expansion….daté de 2006…imaginez ce qu’il en est en 2009!!

    il est vrai que ce n’est pas la peine d’aller en guadeloupe, l’histoire du port autonome de marseille ces dernières années est, elle aussi, édifiante!!!

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    La vie de nabab des dockers de Fort-de-France

    Yves-Michel Riols, envoyé spécial à Fort-de-France –  26/04/2006 19:43:00 – L’Expansion.com 

     

     

    Ils contrôlent l’unique port de la Martinique et ont un salaire moyen de 6000 euros par mois.

     

    Quel est le seul parking de la Martinique où l’on ne fait pas la différence entre les voitures de la direction et celles des salariés ? Réponse : celui du port de Fort-de-France. Si cette boutade fait sourire les Martiniquais, c’est qu’elle a du vrai. Un simple coup d’œil au parking en question le confirme d’ailleurs aisément : on dirait un showroom de 4X4 rutilants !

    Rien d’étonnant à cela : les 130 dockers du port de Fort-de-France sont la corporation la mieux payée de l’île. Leurs salaires, à la fois décriés et enviés, sont en effet hors normes. Ils oscillent entre 4 000 et 9 000 euros par mois pour 35 heures de travail par semaine. Soit nettement plus que le salaire moyen d’un docker de la métropole (3 000 à 3 500 euros).

    L’explication est très simple : les dockers contrôlent le poumon économique de la Martinique. « En dehors de quelques produits agroalimentaires, l’essentiel de ce qui est consommé sur l’île transite par le port de Fort-de-France, le seul du département », souligne Charles Apanon, le directeur de l’IEDOM en Martinique, la « banque centrale déléguée » à l’outre-mer. Les dockers le savent et ils en usent et en abusent. Les blocages quasi quotidiens de l’année 2003 ont certes disparu. Mais le trafic n’est jamais à l’abri de mouvements intempestifs. En mars, les portiqueurs ont débrayé pendant quinze jours pour demander une augmentation de… 1 200 euros par mois ! Pourtant, leur salaire mensuel moyen avoisine déjà 5 500 euros.

    La tactique est payante. La rémunération des dockers a doublé depuis la fin des années 90. « Comme la banane, le principal produit d’exportation du port, est une denrée très périssable, les dockers ont un énorme pouvoir de nuisance », insiste Jean-Charles Cren, président du syndicat des manutentionnaires du port de Fort-de-France. Il leur suffit de croiser les bras pendant quelques jours pour mettre en péril toute la filière bananière qui fait vivre près d’un salarié martiniquais sur cinq. Résultat : les revendications salariales des dockers sont sans limite et si on les refuse, c’est le blocage assuré. Dans ce cas, c’est toute l’économie de l’île qui est grippée au bout de quelques jours. Les organisations patronales sont particulièrement inquiètes. « A cause de la surrémunération des dockers, nous avons le port le plus cher du monde ! », insiste Patrick Lecurieux-Durival, président du Medef martiniquais. Or, dit-il, « on ne peut pas être en position de monopole et ne pas avoir de service minimum ».

    Un discours auquel reste insensible José-Jean Baptiste, le patron des dockers, surnommé « le dictateur ». Il a d’ailleurs été publiquement dénoncé au printemps 2005 par un autre syndicaliste. Marc Pulvar, le patron de la Centrale syndicale des travailleurs martiniquais (CSTM, gauche indépendantiste) n’a pas hésité à parler de la « mafia des dockers », soulignant notamment qu’un tiers d’entre eux font partie de la même famille élargie ; ils sont en effet recrutés parmi les enfants, les frères ou les cousins.

    Dès qu’un conflit se profile sur le port, les politiques restent muets. Au nom de la préservation de la paix sociale, des augmentations de salaires sont régulièrement accordées. « Mais quand on fait ça depuis 20 ans, on arrive à des coûts de manutention surréalistes », s’inquiète Jean-Charles Cren. Du coup, regrette-t-il, « 130 personnes vivent sur un petit nuage et prennent l’île en otage ».

     

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    22 février 2009 à 16 h 33 min
  • Albert Répondre

    La naïveté – pour ne pas dire l’imbécillité -des électeurs de droite m’a toujours confondu.

    Ils se sont fait avoir par De Gaulle  "Je vous ai compris"

    Par Giscard "Nous irons plus loin que le programme commun"

    Par Chirac ancien, vendeur non repentri de "L’Humanité" et champion de l’immobilisme sauf pour

    être au petits soins pour SOS racisme, la Halde la Licra et toutes les inventions de la Gauche

    Par Sarko aujourd’hui qui n’avait pas inscrit dans son programme les ministres pris chez ses adversaires, ou l’entourloupette pour effacer le non français au dernier référendum 

    Ajoutez l’impuissance congénitale contre les sydicats communistes ou les morveux de 15 ans manipulés.

    Et les horribles magouilles de toute sorte et de tout bord

    Je ne vois pas d’autre moyen que de commencer par fiche en l’air cet immonde régime

    20 février 2009 à 23 h 02 min
  • SAS Répondre

    Tellement qu’ils bavassent et tergiversent de conneries et d autres n’ayant aucun rapport avec la crise traversé en martinique ,guadeloupe et en france et les vraies causes……que ca me fait mal aux oreilles…

    et gageons que les solutions à la con , dont les 200 euros sans charges (patro et sala) ne changeront rien à la situation ,d’autant que nombre de patron dont moi le refusons C A T E G O R I Q U E M E N T…c’est non les augmentations (20%) c’est au mérite qu’on les donne…….sous la menace et à l ancièneté c’est dans la fonction publique qu’on pratique de la sorte…

    Quant à la fusion du conseil general et régional……soyons sure que tous le personnel des 2 assemblée sera conservé à grand frais….soit 80 % du budget de ses institutions innarables inventée par la gôôô^che et mise en place par un autre illustre fm : gaston deferre

    on vous vennir avec vos nez rouge messieurs….vous êtes à poil

    sas

    20 février 2009 à 22 h 26 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Il est fort à craindre que Sarkozy ne soit pas le président de la rupture comme il l’avait annoncé avant son élection. Les faits pencheraient plutôt pour un président gesticulateur et girouette.
    Pour s’opposer au diktat de la rue il faut une personne d’envergure et de fermeté, or Sarkozy vient de démontrer en quelques mois qu’il n’ a aucune des deux qualités.
    La déception des 53% des votants qui l’ont amenés au pouvoir est grande et la prochaine élection européenne va en révéler la profondeur.

    20 février 2009 à 21 h 35 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    "Les-4-Vérités"   – 20 02 09

    @JB : vous avez tout à fait raison, le CNI n’est plus (officiellement) un "associé  de l’UMP". Est-ce à dire qu’il a réellement retrouvé son "indépendance", ou, si l’on préfère, qu’il n’est plus le "vassal" d’un parti gouvernemental qui, avec le P.S., est responsable de la situation catastrophique de la France ? Je crains qu’il n’en soit rien. Pas seulement parce que deux de ses députés siègent encore au sein de l’UMP. On ne l’a vu que trop : aussi bien le CNI que le MPF de Philippe de VILLIERS ne manquent pas "d’aller à la soupe" dès qu’arrive une période d’élection …Même si la Présidente du CNI, Annick du ROSCOÄT (1) – comme le fait le Vicomte vendéen entre deux élections – s’efforce, dans ses interviews, de donner le change à son noyau fidèle d’électrices et d’électeurs. Seul moyen pour ces deux formations "de droite", de continuer à avoir une représentation à l’Assemblée nationale, voire même d’exister. Personnellement, je croirai à "l’indépendance" tant du CNI ("i" comme indépendants" !) que du MPF, le jour où non seulement ces deux formations refuseront toute alliance électorale avec l’UMP, mais encore aurons le courage de dénoncer  TOUS les gouvernements UMP comme étant co-responsables, avec ceux du P.S., , du naufrage prévisible du "FRANCE-TITANIC". Et je regretterai alors qu’ils ne l’aient pas fait plus tôt !

                                    Cordialement, Jean-Claude Thialet

    (1) celle-ci a donné  – dans "Minute" du 18 février – son "point de vue" après sa récente réception à l’Elysée. "Elle y est allée emplie d’espoir…" et "en est ressortie plutôt inquiète". Encore une déçue de Nicolas SARKÖZY ? Gageons qu’elle s’en remettra. Des élections sont proches…(A suivre)

    20 février 2009 à 17 h 51 min
  • JB Répondre

    Le CNI n’est plus parti associé de l’UMp depuis juin 2008. Il a retrouvé son indépendance et son entière  liberté de parole même si ses deux députés siègent au sein du groupe UMP.

    20 février 2009 à 14 h 37 min
  • sas Répondre

    HEHEHEH…….voilà la veritable bonne mauvaise idéé…..soupoudrer encore et encore…..redonner au voleurs initiés…..qui ont déjà tant piqué….580 MILLIONS D EUROS

    ben tien….et d où sa sort ? que va ton encore surtaxer pour compenser?

    En tous cas le message est clair , casser, brûler, tirer sur les forces de l ordre surémunéré…IL EN SERA TENNU COMPTE ET LES DENIERS DE JUDAS TOMBERONT……

    SAS vous prévoit des semaines à vennir en FRANCE TRES CHAUDES;ainsi seront nous obligé de faire comme israel contre le hamas….des tur a balles réeeles dans les foules encagoulées des banlieux…..legitimant ainsi les combat internationnaux du peuple élu….

    sas qui se marre 

    19 février 2009 à 20 h 58 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    "Les-4-Vérités"   –   19 02 09

    Il est à craindre que Nicolas SARKÖZY (ce sera sans doute le cas pour Barack Husseyn OBAMA) ait manqué le coche le soir même de son élection.. Lui qui voulait se faire "peuple", être avec les "gens", que n’a-t-il compris qu’il ne serait pas crédible en frayant avec les happy fews au Fouquet’s, en allant se détendre (1) à  bord du somptueux yacht d’un ami milliardaire. Et, malgré la "Crise", malgré la compassion qu’il prodigue dans ses discours et lors de ses déplacements, à l’égard des classes les plus pauvres, c’est plus fort que lui, il faut qu’il se vautre dans le luxe.

    Non content d’avoir revu à la hausse sa rémunération à deux reprises depuis son arrivée à l’Elysée (la seconde augmentation est de 180%) et de multiplier par trois le budget de l’Elysée, il montre régulièrement que, si les Français devaient (doivent !) se serrer la ceinture, ce n’était pas à lui, le "Premier des Français" de donner l’exemple. La preuve, la semaine dernière, lors de son déplacement à Val d’Isère, (pour encourager l’Equipe de France (2), ou pour se montrer avec la belle Carla et se détendre ?) au lieu de loger sur place, il a préféré descendre "Aux Fermes de Marie". Quand on sait que, dans cet établissement "le plus sélect de la plus sélecte des stations française", la "suite" dépasse largement les mille euros. Et que la moindre chambre atteint les 400,oo euros. Qu’il a fallu aussi loger la "suite" du couple présidentiel. Et que, pour des raisons de sécurité, le Palace avait dû fermer tout un étage pendant la semaine qui avait précédé la venue du couple présidentiel, on devine que, pour les contribuables, l’ardoise a été salée. Apparemment, Nicolas SARKÖZY ne connaît pas la crise. Même si lui et ses ministres n’ont que ce mot à la bouche ! Mais il est vrai que le Président qui trouve toujours le mot qu’il faut, pourra dire que c’est sa façon à lui de lutter contre la crise : faire, dans son train de vie, comme si celle-ci n’existait pas. Pour inciter les Françaises et les Français (notamment celles et ceux qui ont eu la bonne idée de voter pour lui !) à l’imiter en coninuant à dépenser de plus belle ! Une sorte de "Méthode Coué" revue et corrigée Sarközy !

                                                   Cordialement, jean-Claude THIALET

    (1) même si les électrices et électeurs qui n’avaient pas voté pour lui comprenaient qu’a près une campagne électorale épuisante, il était normal que "leur" nouveau Président aille se reposer quelques jours avant de prendre vses fonctions. Mais pourquoi pas, tout simplement, dans une des Rasidence affectées à la Présidence ? Au Fort bde Brégançon, ou au Château de la Lanterne (Versailes) qu’il devait "confisquer" au Premier Ministre dès sa prise de fonctions, pour mieux montrer, comme l’a si bien dit Jean-Louis BORLOO, quel était le véritable Premier Ministre ? A noter que Barack Husseyn OBAMA n’a pas fait mieux en laissant dépenser des millions de dollars (avec le trop-plein de son "trésor" de campagne ?) le jour de son investiture. Mais dans son ca, le "peuple" a profité du spectacle, sinon des buffets et du dîner de gala ! Les Français, eux, ont dû se contenter de la lecture de la Presse "pipole" …

    (2) une équipe de France à laquelle le couple présidentiel aura d’ailleurs porté la "scoumoune" (la poisse, pour celles et ceux qui préfèrent) car, ce jour là, nos skieuses et nos skieurs ont fait "chouffa" (tintin !) de médailles, et même pire !  

    19 février 2009 à 16 h 03 min
  • sas Répondre

    A jean claude…il est plus qu’évident que nos echanges terminent assurément sur les bureaux des rg et le resumé dans les pattes d un obscure porte drapeau de notre agité national….

    Pour la guadeloupe et la martinique terre de surconsommation…..donner 200 euros aux plus bas salaires, ne permettant même plus de faire la part entre méritant et tout vennant en matière de politique salariale,sans evoquer la prédation organisée et methodique des banques(CREDIT AGRICOLE CREDIT MARTINIQUAIS SODERAG SODEMA) et de certains barons locaux (plaintes penales completes et etayées: mais jamais de condamnation ni remboursements…) , et sans toucher au monopole captif des ces groupes qui financaient le RPR jusqu’à cette droite actuelle, le rôle létal  de la franc maçonnerie locale (65 loges) se substituant aux structures institutionnelles, ainsi que la surémunération des fonctionnaires…..

    C’est assurément le garrant de revoir la crise d’en peu de temps revenir par la fenêtre…..et faire en sorte avec la préssurisation des hypermarché que les seul petites part de marché occupées par les gens de couleurs ou autres que les barrons….tomberont desormais et certainement dans leurs escarcelles

    Ils n ont assurément RIEN réglé…..comme si la marche internationale pouvait etre jugulé ou stoppé par une poignée de grévistes de la fonction publique surémunéré honteusement…..c’est400 depot de bilan pour la guadeloupe et 8 000 emplois perdus…..

    CQFD SAS

    19 février 2009 à 12 h 12 min
  • Anonyme Répondre

    Mr Rouxel a raison. Nous comptions sur Nicolas Sarkozy pour prendre le pays en main, mais les espoirs ont été vains. La droite culturelle et conservatrice n’a plus ucun moyen d’être entendue, au détriment de la France et de son avenir.

    18 février 2009 à 22 h 25 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    "Les-4-Vérités"   – 18 02 09

    J’avoue que les premières lignes de l’article de Jean ROUXEL  – écrites au présent, comme si l’élection à la Présidence datait d’hier  – m’ont quelque peu déconcerté La suite m’a rassuré. Non sur Nicolas SARKÖZY (1), mais sur l’objectivité de Jean ROUXEL.

    Même si cet  article vient bien tard, il analyse parfaitement le personnage que 53 % (pourcentage qui ne fait pas réellement une majorité ) d’électrices et d’électeurs ont eu la mauvaise idée de placer à la magistrature suprême un Ministre de l’Intérieur de Dominique de VILLEPIN qui avait pourtant, à ce poste (comme d’ailleurs à celi de l’Economie et des Finances !) montré toutes ses "limites". Il est vrai que, entre Marie-Ségolène ROYAL, et Nicolas SARKÖZY, pour eux, il n’y avait pas "photo" ! … Mais n’avaient-ils pas la possiblité de voter … blanc ?

    Ce qui ressort de l’article de Jean ROUXEL reflète parfaitement la "triplicité" (le mot rime avec "duplicité" !) du Président de la République. Au cours de sa campagne électorale, il a réussi à embobiner et les électeurs de la Droite nationale, et les électeurs de la Droite libérale, et ceux de la Gauche qui se prétend "de progrès. Laissant ensuite ceux sur leur faim comme sur leur déception ceux qui avaient cru à la magie de son verbe. Nicolas SARKÖZY, depuis qu’il est installé à l’Elysée n’a fait que jouer au Président. Une sorte de président d’opérette qui, avec Carla à son côté, aurait certainement était parfait dans une France de conte de féées où auraientr coulé le lait et le miel. Et non une France atteinte depuis des années par une crise structurelle et n’aurait pas eu, de surcroît, à subir de plein fouet une crise conjoncturelle. Un Président qui aurait pu, comme il le faiit, se promener un peu partout dans le monde en même temps qu’aux cinq coins de l’Hexagne. Malheureusement, ce n’est pas pour parler de la pluie et du beau temps, tapoter la joue des bébés, flatter les anciens, etc…

    Et c’est là tout le malentendu de Nicolas SARKÖZY. Dans sa soif de paraître, dans sa soif d’êtere Président, il a  – volontairement ou non –  oublié la situation dans laquelle de trouvait le pays par la faute aussi bien de l’UMP (dont il est le pur produit !) et du P.S.. Et, pris sans doute au piège de ses propos et de ses promesses de campagne électorales, il s’est imaginé   – continue sans doute à s’imaginer – qu’en prodiguant tour à tour des paroles de compassion et des promesses, il pourrait tenir au moins les cinq ans de son mandat. Hélas ! la Crise internationale a précipité le naufrage du "FRANCE-TITANIC". Et, manifestement, le capitaine que se sont donné une partie des Françaises et des Français certain 6 mai, ne sait manifestement plus ou donner de la tête..  A le voir, on dirait une guêpe qui s’agite dans un globe rempli de sucre, sans savoir comment se sortir du piège. La seule question que je me pose est de savoir : combien de temps encore Niciolas SARKÖZY continuera-t-il à faire bonne figure devant les micros et les caméras ? Manifestement, après les limogeages qui ont suvi certaine manifestation à Saint-Lô, il commence à s’énerver … Il n’est pas le seul. Je pense à toutes celles et tous ceux qui, habitués à voir l’Etat les aider et les assister sans compter, s’impatientent de plus en plus. La Guadeloupe n’est pas la seule à gronder, hélas ! 

        Cordialement, Jean-Claude Thialet   

    (1) si certains articles publiés dans ce niuméro des "4-Vérités" lui sont rapportées, je doute que Nicolas SARKÖZY les apprécie !

    18 février 2009 à 18 h 40 min
  • Christophe Répondre

    Lors de l’élection présidentielle de 2007,je ne me suis pas déplacé pour le second tour,j’ai bien fait

    et je ne regrette pas!!

    18 février 2009 à 17 h 17 min
  • HEFF Répondre

    Liberté économique : la France 64ème, entre la Roumanie et l’Ouganda :

    http://www.libres.org/francais/conjoncture/020309_liberte_economique.htm

    18 février 2009 à 16 h 38 min

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