Les intellectuels et les progrès du Front national

Les intellectuels et les progrès du Front national

Tout le monde le sait, ce sont nos intellectuels et nos écrivains de gauche qui ont été, et sont encore largement, le moteur de cette poussée gigantesque qui fait, encore et encore, basculer le monde dans la contestation permanente, l’anarchie, le communisme, le nihilisme et l’athéisme.

Comment cela ? Tout simplement par le maniement habile du langage et Dieu sait qu’ils écrivent bien, que c’est un ravissement de les lire, qu’on se laisse vite séduire par leurs rêves idéalisés !

L’ennui, c’est que, s’ils disent bien, ils pensent faux ou plutôt souvent à côté de la plaque.

En quelques mots bien ajustés, ils démolissent sans jamais reconstruire.
Ainsi, ils s’indignent contre « les petits bourgeois » que nous sommes presque tous. Ils leur reprochent de vouloir se construire un « petit bonheur égoïste mesquin » : « le mythe de la chaumière heureuse » et de ne pas suffisamment participer à « une responsabilité sociale », laissée volontairement floue.

Ils prêchent « pour une réalité charnelle plurielle », l’amour libre, la désunion. Ils combattent la famille et ses préoccupations et veulent la faire voler en éclats. Ils saccagent l’école. Tout ordre qui ne les dirige pas directement au pouvoir (qu’ils s’imaginent mériter de droit) les importune et ils ne cessent de le vilipender, le rendant responsable du mensonge, de l’exploitation, de la cupidité.

Ils appellent sans cesse de leurs vœux « un monde nouveau » forgé avec le ciment de leurs élucubrations, basé sur rien d’autre que des mots, des mots, des mots…

Avec leur langage ambigu, chargé de clichés irréels, ils affrontent une réalité qu’ils ne con­naissent pas et surtout qu’ils ne veulent pas connaître, com­me en témoigne leur cécité plus que cinquantenaire sur les mé­faits du communisme moribond, en dépit de toutes les preuves qu’ils avaient sous les yeux.

Et pourquoi cela ? Parce qu’ils postulent que l’homme, avant d’être de chair et de sang, est « une conscience » sensible à des valeurs éternelles puisées à je ne sais quel vieux fonds de sagesse républicain qu’ils se sont donnés mission de défendre partout, comme s’ils en étaient les seuls détenteurs.

Mais, hélas, derrière leur morale sectaire, c’est l’enfermement de nos vies dans leurs rets fantasmatiques qui est en jeu. Ils cherchent sans scrupule le pouvoir suprême qui est le pouvoir sur les esprits.

Heureusement, en dépit de leur verve éblouissante, l’objet, la matière brute, le réel dans ce qu’il a de plus concret, finissent par s’imposer.

Il arrive inéluctablement un moment où les pieux mensonges, les métaphores ambiguës, les rhétoriques plates en faveur de « l’homme nouveau » s’affaissent. Et nous en sommes là. Les Français ont plus que leur content des discours creux, des bonnes intentions. Ils en ont assez des impôts et de la pau­vreté, du chômage, des lois et des normes paralysantes, de ces « grands bourgeois » méprisant leur vie de « petits bourgeois » et les souillant de leurs repentances malvenues et avilissantes, de se voir préférer des « migrants » trop envahissants que l’on n’a plus les moyens d’accueillir décemment…

Ils ne se laissent plus prendre à cette grande mystification internationale qui consiste à tout détruire pour des lendemains mirifiques qui ne viendront ja­mais. Ils veulent des actes con­crets compréhensibles allant dans le sens de leur intérêt immédiat. Ils ne croient plus au chant des sirènes. Les jeunes surtout en ont mare des vieilles lunes, du rabâchage d’un passé sordide disparu depuis longtemps dans les décombres de l’histoire.

Voilà pourquoi le Front national progresse sans arrêt. Il représente la seule issue nouvelle encore crédible vers un possible renouveau.

Partager cette publication

Comments (110)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    En France on parle d’ autant plus haut et fort du ” dialogue social ” que tout le monde entend ( bien ! ) qu’ il s’ agit d’ un ” dialogue de sourds ” …

    écouter Martinez c’ est une souffrance, un supplice, que je n’ infligerai pas même à … @ Jaurès !

    14 mars 2016 à 12 h 30 min
    • Jaures Répondre

      C’est que vous ne connaissez pas la question.
      Chaque année se déroulent des dizaines de milliers de négociations qui se terminent dans plus de 8 cas sur 10 par un accord unanime.

      14 mars 2016 à 14 h 54 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      l’ accord unanime est souvent une capitulation … celle ci est alors obtenue sous l’ effet une pression ” amicale ” … le plus souvent … celle des ” pouvoirs ” publics … on dit alors soit que le pays est ( bien ) ” dirigé “, soit que les rapports y sont en permanence conflictuels

      chacun sur ce blog comprend sans peine que vous défendiez votre tranche de … bavette du boeuf cégétiste puisqu’ elle est votre seule source de … subsistance !

      14 mars 2016 à 16 h 13 min
      • Jaures Répondre

        “l’ accord unanime est souvent une capitulation “.
        Encore une fois, vous ne connaissez pas la question.
        Un accord salarial est un donnant-donnant qui permet une adaptation de l’entreprise et qui concerne des aspects dont vous n’avez même pas idée.
        Si les 2 parties signent c’est que l’accord est bon.
        Quand vous achetez une voiture et que vous trouvez un accord après avoir négocié le prix, avez-vous le sentiment d’avoir capitulé ?

        14 mars 2016 à 17 h 47 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          lorsque j’ achète une voiture ( la mienne une Lancia a … 17 ans et 250.000 kms et tourne encore comme un véhicule neuf ) je la choisie pour l’ usage que je veux en faire et n’ en discute pas le prix

          14 mars 2016 à 20 h 52 min
          • Jaures

            Vous ne discutez jamais un prix ? Vous ne faites jamais jouer la concurrence ? Vous n’avez jamais revendiqué avec vos collègues une hausse du tarif de la consultation ?

            15 mars 2016 à 9 h 44 min
  • lechartier Répondre

    Je ne donnerai pas d’avis pour ne pas être “classé”. Je trouve simplement que ledit “jacky social” devrait être interdit d’expression. Il abruti dès qu’on le lit et ne supporte pas qu’on puisse penser autrement que lui. En somme bien que probablement il se prétende anti-fa c’est un fachiste pur et dûr, peut-être pire que Staline ou Béria. Je laisse aux lecteurs le soin de la classer

    14 mars 2016 à 10 h 06 min
    • Jacky Social Répondre

      Et Kasparov, c’est un facho aussi? Selon vous, je devrais etre interdit d’expression. Si c’est le cas, il y en a quelques-uns avant moi, non? Moi, mon chartier, je ne demande rien a personne et surtout ne veut rien du gouvernement. Vous, c’est le contraire. Le fascisme c’est vouloir toujours plus de gouvernement, plus d’état, plus de regles et toujours moins de liberte.

      Fascism, by definition, means: “…a political movement that employs the principles and methods of Fascism, the philosophy, principles, or methods of a governmental system that forcibly suppresses opposition and criticism, and emphasizing an aggressive Nationalism and often racism.”

      Je suis a l’oppose du fascisme car oppose a l’etatisme outrancier que nous connaissons. Utilsez au moins les insultes qui conviennent si vous souhaitez me denigrer.Pour moi, vous etes libre.

      14 mars 2016 à 10 h 17 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    au d’ Jack

    ” toute supériorité est un exil ”

    Montherlant

    P.S. évitez la pensée et l’ expression scatologique s.v.p. sauf lorsqu’ il y a …matière à le faire !

    14 mars 2016 à 9 h 40 min
    • Jacky Social Répondre

      @QC: que voulez-vous me dire avec Montherlenvers? Parlez en clair. Pour le reste, faites de meme. Sur ce site, je n’ai pas le monopole de la grossietrete, n’est-ce pas QC?

      14 mars 2016 à 9 h 53 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        vous vous êtes plaint d’ avoir été la victime d’ un ostracisme ( professionnel ? ) ; c’ est pour cela que je cite Montherlant ce qui m’ amène au second point qui est :

        ne pas confondre grossièretés ” gratuites ” et ” insultes ” ( qui ne sont souvent que des noms d’ oiseaux )

        14 mars 2016 à 12 h 36 min
        • Jacky Social Répondre

          @QC: J’etais parmi un nid de camarades “democrates et tolerants” sans le savoir. Je n’aurais jamais cru que le double-langage etait a ce point-la. Tous ces beaux discours s’arretent une fois que l’on n’est pas d’accord. Leurs opinions en general n’ont aucune influence car je considere que les gens sont libres. Evidemment, du moment qu’ils assument leurs positions et qu’ils n’essaient pas de m’imposer leurs vues en me les faisant payer par ailleurs.

          14 mars 2016 à 13 h 15 min
          • quinctius cincinnatus

            votre nid était plutôt un ” nid de vipères ” !

            14 mars 2016 à 13 h 32 min
          • quinctius cincinnatus

            je veux dire un ” noeud ” de vipères

            14 mars 2016 à 13 h 32 min
  • Jacky Social Répondre

    Garry Kasparov: Hey, Bernie, Don’t Lecture Me About Socialism. I Lived Through It.
    10 March 2016

    Why my rant against the Democratic candidate’s prescription for America went viral.

    2016 seems like a strange time to be arguing the merits of socialism in an American presidential campaign. But it’s also strange for the prospective leaders of the free world to be talking about the KKK and their appendages, so clearly this year is not like any other. While the latter topics are, thankfully, beyond my purview, I have a great deal of interest in socialism.

    Last week I expressed some of these thoughts on Facebook after hearing a clip of “democratic socialist” candidate Senator Bernie Sanders on Super Tuesday. This was already a rarity, considering how little time the networks have left after their blanket coverage of Donald Trump’s latest outrages. My post on the nature of socialism was 113 words long, a quick response to critics of a cartoon I had posted of Bernie Sanders wearing a baseball cap reading “Make America Greece Again.”

    My goal was to remind people that Americans talking about socialism in the 21st century was a luxury paid for by the successes of capitalism in the 20th. And that while inequality is a huge problem, the best way to increase everyone’s share of pie is to make the pie bigger, not to dismantle the bakery. Much to my surprise, my little rant went viral, as the saying goes. Instead of the usual few hundred Facebook shares, this paragraph quickly reached tens of thousands. By the next morning it had reached several million people, more than any of the day’s political posts by the leading candidates. A week later and it has over 3,000 comments, 57,000 shares, and a 9.3 million reach that is in the category usually reserved for photos of pop stars and kitten videos.

    My conclusion that “the idea that the solution [to inequality] is more government, more regulation, more debt, and less risk is dangerously absurd” apparently had great resonance, and I think I know why. There is a growing consensus that America has deep troubles, and no one can agree on solutions. Everyone agrees that Washington should change, and some want the government to do much more while others want it to do much less. Many of the traditional economic numbers say that America is doing fine, and yet polls say that Americans—especially Sanders supporters—are angry about the present and fearful about the future.

    I often talk about the need to restore a vision of America as a positive force in the world, a force for liberty and peace. The essential complement to this is having big positive dreams at home as well, of restoring America’s belief in ambition and risk, of innovation and exploration, of free markets and free people. America transformed the 20th century in its image with its unparalleled success. American technology created the modern world while American culture infused it and American values inspired it.

    In recent decades that storyline has flipped. The tireless work ethic and spirit of risk-taking and sacrifice have slowly eroded. This complacency was accelerated by the end of the Cold War and it has proved very difficult to overcome in the absence of an existential enemy to compete with. The booming innovation engine of job creation has fallen behind the accelerating pace of technology that replaces workers. The result has been slower growth, stagnant wages, and the steady shift of wealth from labor to capital. In such situations many people turn to the government for help and the siren song of socialism grows louder.

    I respect and even like Bernie Sanders. He’s a charismatic speaker and a passionate believer in his cause. He believes deeply in what he is saying, which is more than what can be said about nearly every other 2016 candidate, or about politicians in general. I say this while disagreeing vehemently with nearly everything he says about policy. The “revolution” rhetoric of Senator Sanders has struck a chord with many Americans, especially the young voters who are realizing that their own lives are unlikely to match the opportunities and wealth of their parents and grandparents. They are being left behind in a rapidly changing world. It is a helpless, hopeless feeling.

    The problem is with the proposed solutions. A society that relies too heavily on redistributing wealth eventually runs out of wealth to redistribute. The historical record is clear. It’s capitalism that brought billions of people out of poverty in the 20th century. It’s socialism that enslaved them and impoverished them. Of course Senator Sanders does not want to turn America into a totalitarian state like the one I grew up in. But it’s a valuable example of the inevitable failure of a state-run economy and distribution system. (Check in on Venezuela for a more recent example.) Once you give power to the government it is nearly impossible to get it back, and it will be used in ways you cannot expect.

    The USSR collapsed because it couldn’t compete over time, despite its massive resources and devout ideology. The Soviets put a man in space before America but couldn’t keep up the pace against an innovating, free-market competitor. My Facebook post went around the world on technology created in America. The networks, the satellites, the software, nearly every ingredient in every mobile device and desktop computer, was invented in the USA. It is not a coincidence that the most capitalist country in the world created all these things. Innovation requires freedom of thought, freedom of capital, and people who believe in changing the world.

    Yes, the free market can be cruel and it is by definition unequal. It has winners and losers. It also sparks the spirit of creativity that humanity desperately needs to flourish in our ever-increasing billions. Failure is an essential part of innovation and the free market. Of every 10 new companies, perhaps nine will fail in brutal Darwinian competition. A centrally-planned economy cannot imitate this engine of creative destruction because you cannot plan for failure. You cannot predestine which two college dropouts in a garage will produce the next Apple.

    A popular rebuttal is to invoke the socialist leanings of several European countries with high living standards, especially in Scandinavia. Why can’t America be more like happy Denmark, with its high taxes and giant public sector, or at least more like France? Even the more pro-free-market United Kingdom has national health care, after all. First off, comparing relatively small, homogeneous populations to the churning, ocean-spanning American giant is rarely useful. And even the most socialist of the European countries only became wealthy enough to embrace redistribution after free-market success made them rich. Still, why cannot America follow this path if that is what the people want? What is the problem if American voters are willing to accept higher taxes in exchange for greater security in the embrace of the government?

    The answer takes us back to all those inventions America has produced decade after decade. As long as Europe had America taking risks, investing ambitiously, attracting the world’s dreamers and entrepreneurs, and yes, being unequal, it could benefit from the results without making the same sacrifices. Add to that the incalculable windfall of not having to spend on national defense thanks to America’s massive investment in a global security umbrella. America doesn’t have the same luxury of coasting on the ambition and sacrifice of another country.

    Who will be America’s America? What other nation could attract the brightest students, the biggest investors, the most ambitious entrepreneurs in the same way? Germany? Russia? Japan? China? India? Each may take over leadership in some areas if America continues to falter, but none is equipped to lead the world in innovation the way the United States has since Thomas Edison’s day. None possesses the combination of political and economic freedoms and the human and natural resources required.

    The government does have a role in addressing rising inequality. I turn not to Denmark or Venezuela or, god forbid, to the Soviet Union. Instead let us look to the last great battle between labor and capital in America, between public and private power. Just over 100 years ago, President Teddy Roosevelt spoke loudly and used his big stick against some of the world’s largest corporations when they were abusing their monopoly power. His successor, fellow Republican William Taft, continued the antitrust mission, at least initially.

    Both men dealt with critics from industry and Wall Street who called their use of government power against them “socialism” and both answered eloquently. In his 1908 State of the Union address, Roosevelt spoke about “the huge wealth that has been accumulated by a few individuals of recent years” being possible “only by the improper use of the modern corporation,” and that these corporations “lend themselves to fraud and oppression than any device yet evolved in the human brain.” He also warned against the accrual of unaccountable political power in the hands of “men who work in secret, whose very names are unknown to the common people.” You can easily imagine Teddy in the bully pulpit today calling for the breakup of the big banks and ending their cozy relationship with Washington.

    To give credit, Senator Sanders supports breaking up the giant banking institutions that dominate American finance and politics in a way that would evoke jealousy from John Pierpont Morgan himself. However, Sanders’s socialist policies would replace banks that are too big to fail with a government that is too big to succeed.

    Taft warned about exactly this in his 1911 State of the Union. Busting the trusts was to free the market, not to insert the government into it. It was necessary to break up Standard Oil and American Tobacco in order to preserve capitalism, not to institute socialism. Taft said, “The anti-trust act is the expression of the effort of a freedom-loving people to preserve equality of opportunity. It is the result of the confident determination of such a people to maintain their future growth by preserving uncontrolled and unrestricted the enterprise of the individual, his industry, his ingenuity, his intelligence, and his independent courage.”

    Bravo! Beautiful words and an even more beautiful sentiment that is deserving of its own Facebook meme! Unfortunately, today’s progressive solution would instead be to raise Standard Oil’s taxes and those of its wealthiest shareholders in order to pay for more services, like free college and health care. It would have been an acceptable choice for many, but the American 20th century would never have happened.

    Garry Kasparov is the chairman of the New York-based Human Rights Foundation and the author of Winter is Coming: Why Vladimir Putin and the Enemies of the Free World Must Be Stopped.

    13 mars 2016 à 22 h 30 min
  • Jacky Social Répondre

    @JAURES: avez-vous deja mis les pieds en terre socialo-fasciste genre URSS, Chine communisse du temps de Mao ou ancienne Europe de l’Est d’avant 1990? Cela fait 4 fois que je vous le demande et vous ne repondez pas. Alors que c’est simple: c’est oui ou non.

    13 mars 2016 à 20 h 52 min
    • Jaures Répondre

      Je ne vois pas l’intérêt de la question.
      Je n’ai jamais fréquenté le Moyen-Age ni les camps d’extermination nazi ce qui ne m’empêche pas d’avoir de ces deux moments historiques une idée assez précise.
      On se souvient de Sartre, en 1954, revenant de Moscou enthousiaste ou de Platini, en 1978, affirmant que l’Argentine de Videla “ce n’est pas pire qu’ailleurs”.
      Alors vous savez, les témoignages éclairés de tel ou tel…
      D’autant que je n’ai jamais ici tenu de propos élogieux sur les les dictatures dont vous parlez.

      13 mars 2016 à 21 h 11 min
      • Jacky Social Répondre

        @Jaures: moi, je vois l’interet de la question. Et donc la reponses est “non”. Mon intention n’est pas d’apporter des temoignages eclaires. Je n’ai pas le temps. Suite au prochain numero.

        13 mars 2016 à 21 h 19 min
        • Jaures Répondre

          La réponse n’était pas “non” mais que la question n’a pas d’intérêt.
          D’ailleurs, quelles certitudes apportent les témoignages d’un touriste quand les habitants ont eux-mêmes de leur propre pays des avis divergents ?

          14 mars 2016 à 9 h 29 min
          • Jacky Social

            @Jaures: un touriste? Vous vous rendiez donc dans les pays socialistes en tant que tourists. Toujours la gauche tres caviar, Jaures.

            14 mars 2016 à 9 h 50 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    Ce jour des élections régionales se déroulent dans trois Länder ; il sera intéressant de suivre le score d’ Alternativ für Deutschland ( A.f D. ) constamment présenté par le Media français et les sympathisants des partis politiques français B.C.B.G. ( je pense à D.L.F., à L.R., au MoDem etc … ) comme un parti d’ extrême-droite puisque anti-immigrationniste alors qu’ il s’ agit d’ un parti ” souverainiste ” comme l’ est l’ U.K.I.P. au R.U.auquel il est d’ ailleurs affilié … rien à voir avec notre F.N. ” énarchisé “

    13 mars 2016 à 16 h 18 min
  • druant philippe Répondre

    QC :

    “la Banque de France, les Ministères etc …”
    Vous oubliez le matériau qui compose les châssis de fenêtres de ces administrations qui eux , effectivement travaillent sans arrêt durant 8 heures .

    12 mars 2016 à 15 h 15 min
  • druant philippe Répondre

    QC :
    ce cher Jaures est notre envoyé “spécieux ” sur place : il connaît le nombre exact de crapules gauchistes genre no borders : c’ est normal car ils font partie de son camp .
    J’ espère avoir un jour l’ occasion de défoncer leurs sales faces de traîtres à la batte de base ball et la face de rat de Jaures itou d’ ailleurs .

    12 mars 2016 à 15 h 10 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    80 ( quatre vingt ) ” identitaires ” mobilisent le déploiement d’ importantes forces de l’ ordre à Calais ( pour un sitting ) … 200 gauchos-anarchistes vandalisent pendant une journée et une nuit entière des locaux universitaires à Bordeaux ( et ailleurs, à Dijon par exemple ) sans que la police n’ intervienne … curieux n’ est ce pas

    12 mars 2016 à 14 h 33 min
    • Jaures Répondre

      Vos 200 “gaucho-anarchistes” n’étaient que 20 ou 30 et cagoulés (pourquoi “gauchos” ? Vous les connaissez personnellement ?) et selon les témoins très avinés.
      Il n’ont pas agis un jour et une nuit mais “une douzaine d’heures”.
      La police n’a pu pour des raisons techniques (salle au 4ème étage, nombreux étudiants présents dans les locaux) évacuer tout de suite l’amphi occupé.
      Tous ces éléments sont largement diffusés par la presse (Le Figaro et Le Parisien du 10/03), pourquoi donc en changez-vous la teneur ?

      12 mars 2016 à 14 h 48 min
      • Raoul Villain Répondre

        “Il n’ont pas agis”

        “La France je la parle pas, je la nique” Jojo le gaucho-nanarchiste.

        12 mars 2016 à 15 h 08 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        @Jaurès toujours prêt à trouver des faux-fuyants du genre : quand on est cagoulé on n’ est pas gaucho

        la police pour des raisons techniques : vous plaisantez ce n’ est pas parce qu’ on est au 4 ième étage qu’ on ne peut pas les déloger n’ importe quel service de sécurité SAIT le faire à commencer par faire évacuer un amphithéâtre

        le saccage n’ a duré que 12 heures : ce n’ est pas ce que disait une étudiante qui affirmait que le saccage a duré toute la nuit d’ emblé

        avinés ou embièrés le signe même des ” gauchos ”

        dans la réalité la police n’ est pas intervenue SUR ORDRE

        12 mars 2016 à 18 h 05 min
        • Jaures Répondre

          “Faux fuyants” ?
          Pour vous quand on est cagoulé et aviné on est forcément “gaucho” ? Et que mettez-vous derrière ce terme ?
          Et je suppose qu’en plus de vos nombreuses qualifications vous êtes un spécialiste des interventions policières en milieu clos.
          “Pas intervenu sur ordre” ? Mais dans quel but ? Quel est l’intérêt politique d’un amphi vandalisé ?

          13 mars 2016 à 12 h 08 min
          • quinctius cincinnatus

            quel est l’ intérêt d’un amphi vandalisé ? demande benoitement notre philosophe

            réponse ( qu’ il connait ) : aucun sauf à satisfaire la haine de toute forme de civilisation, de toute organisation sociale, de toute culture ; vous pouvez nommer les auteurs de ces ” actions ” : vandales, nihilistes, anarchistes, révoltés qu’ importe ils ont comme point commun de rassemblement mental le gauchisme qui comme on le sait est la maladie infantile du communisme …et lorsque je les vois dans les rues ils sont toujours ” avinés “( maintenant ” embièrés ” ) ou sous l’ effet schizophréniant des drogues ” douces ”

            intervenir en milieu clos pour la police est chose simple : les gaz paralysants sont faits pour cela

            13 mars 2016 à 12 h 28 min
          • Jaures

            D’accord sur le descriptif des vandales mais quel est l’intérêt politique pour un pouvoir de laisser ce type d’agissements se produire ? Quelle serait l’idée d’un ministre qui dirait à son préfet: “laissez faire ! N’intervenez pas contre les vandales” ?
            Et il est toujours drôle d’entendre dire des gens qui n’y connaissent rien “il aurait suffi de faire ceci ou cela”.
            Vous ne devez pas manquer d’exemples pourtant de personnes ignorantes qui ont prétendu vous donner des conseils de prescriptions. Cela a dû vous énerver.
            Pourquoi faites-vous de même ?

            13 mars 2016 à 12 h 57 min
          • quinctius cincinnatus

            ” on ” ne se risquait pas à me donner des conseils de prescription … d’ ailleurs le bon choix du bon remède ( y compris donc la chirurgie ) et du bon ” spécialiste ” relève avant tout d’ un diagnostic exacte et c’ était justement là où j’ étais particulièrement bon … dès la troisième année de médecine !

            13 mars 2016 à 16 h 22 min
          • Jaures

            Cher Quinctius, je savais que vous alliez me répondre exactement cela.
            Et bien figurez-vous que les policiers pensent exactement la même chose de ceux qui disent ce qu’ils devraient faire dans telles ou telles circonstances et avec quels moyens.

            13 mars 2016 à 19 h 11 min
      • Janko54 Répondre

        Une douzaine d’heures c’est quand même beaucoup, nan? Puis s’il suffit de 20 ou 30 personnes pour faire autant de dégâts ça en dit long sur l’agressivité et le fanatisme de ce mouvement… ^^

        13 mars 2016 à 12 h 57 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    allez une citation de Cochin , un nom qui rappellera un visage … familier à @ Jaurès :

    ” il n’ y a pas d’ aides parce qu’ il y a des pauvres, il y a des pauvres parce qu’il y a des aides ”

    N.B. :

    différentes interprétations ( politiques, sociologiques et / ou philosophiques ) pouvant être données à cette sentence , vous êtes invités à vous pencher ( à droite ou à gauche selon votre … cerveau ) sur le sujet … les copies seront ramassées lundi matin

    11 mars 2016 à 19 h 19 min
    • Jacky Social Répondre

      @QC: bravo, c’est exactement ca. L’etat social cree la pauvrete et l’entretient. Alors ensuite eh bien c’est facile pour Jaures et sa bande de plaindre les pooofs et de geindre, de crier haro sur le capitalisme ou la reussite des autres. Il faut alors partager, sinon on est egoiste. C’est comme avec l’islam. Il est interdit de critiquer, sinon on est racisse. L’islam n’est pas une race (a moins que leur Darwin ait dit le contraire). La seule issue a la pauvrete est le travail dans un cadre competitif avec des impots legers. Tous ces Jaures jouent sur la difference (injuste selon eux), sur les instincts les plus mesquins qu’ils manipulent. Et les blaireaux qui n’ont aucune jugeotte avec leurs cigarettes derriere l’oreille, n’y voient que du feu. Alors ils votent pour leurs propres fossoyeurs. Et cela dure depuis plus de 60 ans. Pas mal, cette reussite sur l’echec des uns avec le pognon et la reussite des autres.

      11 mars 2016 à 20 h 13 min
      • Jaures Répondre

        Justement, cher Jacky, les 60 dernières années sont celles qui ont vu le niveau de vie global, le niveau d’éducation, l’accès à la santé, l’espérance de vie, l’extension des droits et libertés augmenter sans aucun équivalent dans l’Histoire.
        C’est que sans doute ce système, malgré ses imperfections, ne fonctionne pas si mal.
        Vous me permettrez donc de le préserver et de repousser du pied vos délires d’adolescent trop gâté.

        12 mars 2016 à 10 h 28 min
        • Jacky Social Répondre

          @Jaures: grace au capitalisme et a l’investissement rive. Lesvaccins, les medicaments, la recherché medicale, les voitures, les nouveaux alliages, les nanotechnologies. Je vous parle d’actifs, vous me parlez de passifs. Ces droits “jacky” n’nt ete possible que GRACE AU CAPITALISME ET A L’ECONOMIE DE MARCHE. PAS AU PS ET ENCORE MOINS A L’URSS OU LA CHINE MAOISTE. C’est vous l’enfant hypocrite gate par le capitalisme. dont vous ne sauriez vous passer. Avez-vous deja mis les pieds dans un pays socialiste ou vos idees sont mises en pratique a la lettre? Si oui, nous le saurions deja. Mais enfin dites-le nous. Merci. On veut entendre vos impressions.

          12 mars 2016 à 15 h 35 min
          • Jaures

            Le capitalisme n’est pas né il y a 60 ans, Jacky. Auparavant on avait surtout connu les pires guerres de l’Histoire et les crises cycliques avec 1929 en point d’orgue.
            L’après 2ème guerre mondiale a été un moment où le rapport de forces était en faveur des salariés. D’où les conquêtes sociales, les droits nouveaux, les services publics, une paix relative,…
            Ces conquêtes de la lutte des classes que l’on met en cause aujourd’hui avec votre bénédiction.
            L’économie de marché crée la lutte des classes. Le niveau des conquêtes sociales dépend du rapport de force entre monde du travail et capitalistes, pas de la générosité de ces derniers.

            12 mars 2016 à 18 h 01 min
          • Jacky Social

            @Jaures: La Crise de 1929 n’est pas la crise du capitalisme a proprement parler. Il s’agit d’une crise boursiere. Vous ramenez le capitalisme a la bourse, c’est comme ramener le socialisme au drapeau rouge. C’est primaire et denue de sens car superfciel. Si vous croyez que la Crise de 1929 est un argument serieux contre le capitalisme, bien au contraire.
            “L’économie de marché crée la lutte des classes. Le niveau des conquêtes sociales dépend du rapport de force entre monde du travail et capitalistes, pas de la générosité de ces derniers”. C’est ca votre analyse. Ce qui cree la lutte des classes, c’est l’envie, la jalousie et le sentiment de loose agites devant des blaireaux que vous manipulez comme un torero agite un chiffon rouge (une coincidence sans doute) devant un taureau qui entre en rut devant un leurre.
            Avez-vous deja mis les pieds en terre vraiment socialiste, cher Jaures? Dites-le nous. Les Francais veulent savoir.

            12 mars 2016 à 18 h 33 min
          • quinctius cincinnatus

            j’ aime bien une paix relative que nous assène ( ou inflige ) @Jaurès ! sans doute n’ a t il pas entendu parler de l’ Ukraine et des autres régions soviétisées de Russie qui avaient elles la chance d’être directement branchées sur le bonheur socialiste … à la place de l’ intelligence @Jaurès possède un système de pensée bien formaté

            12 mars 2016 à 19 h 13 min
          • Jaures

            Jacky, ce n’est pas là mon analyse mais un fait. Aucune conquête sociale n’a été acquise sans luttes préalables. Il n’y a pas d’exemples.
            Quant à la “jalousie” ou “l’envie” qui motiverait la lutte des classes, elle s’appliquerait à tout le monde. La lutte des classes, c’est la confrontation entre possédants, actionnaires et patronat, et les salariés pour le partage des richesses produites. Je ne pense pas que les patrons et actionnaires aient moins “envie” de ces richesses que les salariés.
            La différence est peut-être dans la nature de cette envie. Quand un travailleur demande simplement de vivre dignement et de pouvoir élever ses enfants et les éduquer convenablement, les actionnaires et les grands patrons cherchent essentiellement à s’accaparer des richesses dont l’intérêt est la seule possession.
            Car quand la famille Bellon (Sodexo), déjà millionnaire, s’accapare 100 millions de profits en 2015 tout en supprimant 750 emplois alors qu’elle a touché 35 millions de CICE, on voit que les intérêts des salariés et des actionnaires sont souvent contradictoires.

            13 mars 2016 à 13 h 11 min
          • quinctius cincinnatus

            suggestion à @ Jaurès , une ” âme pure ” :

            prenez des risques ! … et devenez entrepreneur !

            je ne vois pas pourquoi celui qui prend des risques devrait être en plus le bienfaiteur et le serviteur de ceux qui n’ en prennent pas

            avez vous observé cela dans la … nature ?

            de sorte que ceux qui professent vos idées ( ou vous qui professez les leurs ) sont de fieffés menteurs et de parfaits hypocrites

            13 mars 2016 à 13 h 29 min
          • Jacky Social

            @Jaures le conquerant: social vous etes fou a lier. De quoi parlez-vous? Que voulez-vou encore conquerir? Vous ne faites qu’enfreindre les lois. Les votres. Vous etes en contradiction permanente avec vous-meme. Incoherence, quand tu nous tiens. Le capitalisme est le seul progres. Vos conquetes sociales, c’est quoi? Des regles qui se changent. Il va falloir revenir au suffrage censitaire. Ceux qui paient l’impot doivent avoir seuls le droit de vote. Il faut etre coherent. On ne peut pas demander tous les avantages et ne rien payer en impot. Si Cruz gagne, cela peut se faire aux USA. Cela viendra en Europe aussi. Nous serons alors plus fort pour conquerir ce juste retour a la logique. De toutes facons, Jaures, votre systeme est condamne a plus ou moins court terme. Vous semblez etre le seul a ne pas vous en rendre compte. Pour accelerer sa chute, je ne peux que conseiller vivement aux petites gens de pomper la secu tant qu’ils le peuvent, aux rentiers de planquer leur pognon ailleurs et aux entreprises petites, moyennes et grandes que de delocaliser ou de s’automatiser le plus possible. Le capitalisme et la liberte vaincront.

            13 mars 2016 à 17 h 44 min
          • Jacky Social

            @Jaures: j’adore la famlle Bellon. J’en aurais licencie trois fois plus. Comme vous le dites, un salarie n’est qu’un salarie qui fait chier. Et comme tout ce qui fait chier, ca se jette comme un Kleenex. Vos petits salaries ont certainement remporte le pactole avec un gros cheque de dedommagement pour leurs mediocres annees prestees, On nous a tellement chante la chanson du socialement correct et la “solidarite” que votre pseudo-empathie me fait plutot rire. Vous n’impressionnez plus personne. Vous arrivez tout juste a faire peur aux blaireaux. J’ai connu votre chome-du, j’ai connu la merde etatiste. Je n’eprouve que mepris pour vos aides qui n’en sont pas et pour avoir ete humilie d’etre tombe quelques mois dans la servitude du socialisme car ce qui m’empechait de retrouver un emploi, c’etait le socialisme faillitaire, l’etat et ses regles stupides qui etaient toujours sur mon chemin. Alors cher Jaures, encore une fois, votre manipulation avec votre “aide etatiste aux pooofs”, cela ne prend pas avec moi. J’ai connu l’envers du decor et l’etat ne m’a jamais aide (€696 par mois avec deux enfants). Tout cela, ce ne sont que des balivernes constructivistes destinees a controller l’ensemble de la societe. Ca marche encore et toujours puisque plein de sots se laissent prendre au jeu de la “solidarite”. Mais qu’ils soient vigilants car pour la plupart une fois qu’ils tombent dedans, ils y restent tres, tres longtemps. Certains ne s’en releveraont jamais. @JAURES: avez-vous deja mis les pieds en terre socialo-fasciste genre URSS, Chine communisse du temps de Mao ou ancienne Europe de l’Est d’avant 1990? Cela fait 3 fois que je vous le demande et vous ne repondez pas. Alors que c’est simple: c’est oui ou non.

            13 mars 2016 à 18 h 01 min
          • Jaures

            Bien Jacky. Ne vous étonnez-donc pas si les salariés tiennent les mêmes propos à l’égard des actionnaires et du grand patronat.
            Vous niez la lutte des classes et pourtant en êtes la plus grotesque caricature.

            13 mars 2016 à 19 h 15 min
          • Jacky Social

            @Jaures: je ne m’occupe pas de lutte des classes. Cela ne m’interesse pas. Vous vous trompez completement, comme d’habitude. Je travaille et vis pour moi et n’ai que faire de votre camisole de force socialiste. Chacun fait ce qu’il veut et ce qu’il peut, c’est leur affaire. Si les Bellon ont vire autant de gens, c’est a cause de votre socialisme. Une entreprise est faite pour grandir ou alors on se barre, on degraisse ou on automatise. On ne cree pas des entreprises pour creer des emplois a vie meme quand on fait des benefices. On cree des entreprises pour creer de la richesse qui genereront des benefices. Si ceux-ci ne sont pas assez eleves pour remplir les objectifs et remunerer les actionnaires a la hauteur de leurs attentes, alors on degraisse. Les gens veulent du rendement que ce soit a la banque ou dans les entreprises. Comme les banques ne remunerent plus (merci le socialisme), il faut autre chose. Il faut arreter d’etre hypocrite. Une entreprise privee ne fonctionnera jamais comme une administration publique. C’est d’ailleurs pour ca que je recommande vivement aux salaries (dont j’ai fait partie) de se former le plus possible des le depart, cad. des l’unif ou l’ecole superieure ou professionnelle. Avoir plusieurs cordes a son arc, c’est ca la tactique. Je me suis fait avoir par le chomage parce que j’ai hesite longtemps a etre independant. On ne m’avait pas appris a meme envisage cette “catastrophe”. Non-obstant la fiscalite excessive et outranciere, jamais plus je ne reviendrai au statut de larbin docile pour une entreprise et dependre de connards en qui je ne crois absolument pas. Pas plus que dans les fonctionnaires d’ailleurs. Aujourd’hui et depuis toujours, c’est chacun pour soi. Moi, je n’ai pas honte de le dire. Et vous Jaures? Jaures roule pour Jaures, le reste, c’est du vent pour ceux qui croit a vos bobards. C’est comme ca. D’ailleurs, votre “generosite” n’est faite que de l’argent des autres. Vous n’etes donc pas vraiment solidaire et encore moins genereux. Vous montez juste les gens les uns contre autres en manipulant les frustrations des sans-dents (ce qui est plus un etat d’esprit qu’une situation inextricable) et n tirant votre epingle du jeu. C’est tout. Pas de quoi fouetter un chat. Pour qui vous prenez-vous?

            13 mars 2016 à 20 h 46 min
          • Jaures

            “Aujourd’hui et depuis toujours, c’est chacun pour soi. Moi, je n’ai pas honte de le dire.”
            Fort bien, mais ne prêtez pas à tous votre éthique.
            Et surtout ne croyez pas que parce que vous êtes “indépendant” et obséquieux à l’égard des puissants (comme les Bellon) vous vaudrez mieux pour eux à leurs yeux.
            Ce que vous écrivez des actionnaires est exact. C’est pourquoi il faudra lutter, et d’autant plus que ceux-ci seront aussi cyniques que vous les décrivez.
            Par contre, je vous rejoins sur la nécessité de la formation. Nous disons toujours aux travailleurs que leurs seuls moyens de promotion sociale sont la lutte et la formation.

            13 mars 2016 à 21 h 21 min
          • Jacky Social

            @Jaures:
            1) « Aujourd’hui et depuis toujours, c’est chacun pour soi. Moi, je n’ai pas honte de le dire. » Fort bien, mais ne prêtez pas à tous votre éthique.
            JS: A bon, c’est vous le maître-chanteur qui allez nous donner des lecons d’ethique? Interessant. Vous roulez pour vous, Jaures, et uniquement pour vous.
            2) “Et surtout ne croyez pas que parce que vous êtes « indépendant » et obséquieux à l’égard des puissants (comme les Bellon) vous vaudrez mieux pour eux à leurs yeux”.
            JS: que voulez-vous dire? Je suis independant (cela vous va tres loin, hein Jaures. C’est insupportable que je ne vienne pas manger dans votre petite main de francais et ecouter les discours debiles qui sortent de votre grande gueule) et n’ai rien a voir avec vos Bellon. Je ne suis obsequieux avec personne. Ou ai-je ete obsequieux? J’apprecie les gens qui reussissent et savent gerer leur business (donc le tout chti gouvernement francais de mele-tout ne fait pas partie des gens que j’admire effectivement).
            3) “Ce que vous écrivez des actionnaires est exact. C’est pourquoi il faudra lutter, et d’autant plus que ceux-ci seront aussi cyniques que vous les décrivez”.
            JS: c’est vous qui etes cynique. Je n’ai absolument aucun probleme avec les actionnaires. La seule chose, c’est que moi je sais comment le systeme fonctionne. Il comporte des risques. On ne cree pas des entreprises pour donner de l’emploi aux gens. D’ailleurs, si vous pensez le contraire, c’est que vraiment vous ne comprendrez JAMAIS rien a l’economie. Vous etes peut-etre un idiot, mais surement un gros pignouf.
            4) “Par contre, je vous rejoins sur la nécessité de la formation. Nous disons toujours aux travailleurs que leurs seuls moyens de promotion sociale sont la lutte et la formation”.
            JS: c’est cela, j’en ai les larmes aux yeux…de rire. La lutte, pourquoi faire? S’ils ont des qualifications, la “lutte” dont vous parlez perd son sens et fait de vous un chomeur, chti Jojo. Des lors, je ne crois pas a votre bobard (la lutte et la formation), car c’est contradictoire.

            13 mars 2016 à 21 h 58 min
          • Jaures

            Les soit-disant risques des actionnaires sont une vaste escroquerie.
            Quand les actions d’une entreprises sont en baisse, on fait un petit plan social et elles remontent illico.
            Les profits sont pour les actionnaires mais les risques pour les salariés.
            D’ailleurs, crise ou pas crise, la liste des plus grands fortunés de France n’a pas changé depuis 2008. A peine le classement a-t-il un peu évolué mais pas plus que celui de l’ATP.
            Quant à la lutte, Jacky, on lui doit tout: les congés payés, l’interdiction du travail des enfants, la baisse du temps de travail, les conventions collectives, les augmentations de salaire,…
            Rien n’a été accordé spontanément pas le patronat. Rien.

            14 mars 2016 à 9 h 49 min
          • Jacky Social

            @Jaures: “D’ailleurs, comme vous le dîtes vous-même, pourquoi le patronat accorderait-il ce qui n’est pas demandé et exigé ?” Vous interpretez tout de travers. Il n’y a pas a distribuer des salaires de “cadre” pour des jobs qui n’ont que peu de valeur ajoutee. Il est tres bien compris des entreprises depuis tres longtemps que les qualifications qui offrent un veritable savoir-faire ne peuvent etre bassement remunerees. Etre un pousse-crayon dans une administration ou conduire un bus ne fait evidemment pas partie de ces categories quaifiees. Mais aujourd’hui, ce n’est pas la remuneration des employes qui pose probleme. Ce sont la fiscalite qui gonfle la masse salariale jusqu’a l’asphyxie et ainsi que toutes les mesquineries syndicales et administratives. Les syndicats dans leurs revendications d’autrefois avaient certains merites, il faut le reconnaitre. Mais aujourd’hui, tant leurs methodes que leurs discours sont obsoletes. Ils sont devenu “irrelevant” car ils sont incapables de se reformer ou de se remettre en question, a l’instar de tout ce qui est socialiste. Mais qui ecoute encore les syndicats? Meme Air France semble y etre allergique. Les entreprises privees qui se respectent n’ont pas de tant, ni d’argent a perdre et delocalisent, ferment sans repreneur ou automatisent. Le Droit du Travail est devenu trop complique car atrophie et se retourne contre ceux qu’il est cense “proteger”. Il n’y a pas de mobilite socio-professionnelle et tout est bloque. L’etat PS en voulant “proteger” obtient desormais les resultats exactement opposes a ce qui etait envisage. Et vous n’etes meme pas capable de vous remettre en question. Vous accusez les autres. Vous ne croyez pas que c’est vous et vostre “classes” qui avez un serieux probleme. Comme trop d’impot tue l’impot, trop de protection finit par tuer les protégés. Il n’y a plus de notion de risqué lie a l’entreprenariat. On est dans une societe anesthesiee. Vous parlez comme un marxiste parce que vous etes un marxiste. Les personnes doivent ettre egaux en droits et en responsabilites, mais ne doivent pas etre egaux en revenus. Si c’est ce que vous voulez, vous allez re-creer l’URSS avec le desastre que l’on sait. En URSS, on disait: “Ils font semblant de nous payer et nous, on fait semblant de travailler”. La France est tres bien partie dans ce creneau “porteur”. Je dirais meme qu’elle est tres en avance. Merci Jaures. Vous etes un escroc et un charlatan.

            14 mars 2016 à 12 h 14 min
        • Jacky Social Répondre

          @Jaures: ou ai-je dit que le capitalisme est ne il y a 60 ans?

          13 mars 2016 à 20 h 25 min
          • Jacky Social

            Tout ce que vous racontez Jaures pouvait se faire sans ce qu vous appelez la “lute”. Vous aviez vos deputes au parlement, non? Vous etes vraiment la mouche du coche du social. Si la liste des plus grandes fortunes de France n’a pas change depuis 2008, c’est parce qu’il n’y a plus moyen de faire fortune en France. Vous devriez etre content et remercier le socialisme spoliateur. Vous etes vraiment de plus en plus pathetique. Quant au patronat, je ne vois pas pourquoi il devrait accorder des augmentations de salaire pour des jobs a faible valeur ajoutee que tout le monde peut faire. Aujourd’hui, votre bonne classe proletarienne a disparu de nos pays et les jobs a faible valeur ajoutee sont en Asie. Vous devriez etre content. Vous javez jacky ce que vous javez voulu: plus aucun travail non-qualifie, plein d’immigres pour faire les basses besognes et plein de chome-du. Soyez au moins fier de vous et de vos complices. Non?

            14 mars 2016 à 10 h 04 min
          • Jaures

            “Tout ce que vous racontez Jaures pouvait se faire sans ce qu vous appelez la « lute »
            Peut-être, mais cela ne s’est jamais fait sans lutte.
            D’ailleurs, comme vous le dîtes vous-même, pourquoi le patronat accorderait-il ce qui n’est pas demandé et exigé ?
            Le patronat n’accorde que quand il a plus à perdre à refuser, pas par générosité. Et la délocalisation n’est pas remède à tout: les luttes payeront également dans les pays où on fait travailler les enfants et les salariés dans des conditions insupportables.
            Vous fustigez la Chine communiste mais vous réjouissez que vos icônes milliardaires y délocalisent les usines. Qu’attendez-vous pour vous y installer définitivement ? Là bas pas de smic, pas de grèves, pas de droit du travail,…
            Votre paradis porte un drapeau rouge.

            14 mars 2016 à 11 h 42 min
    • Jacky Social Répondre

      @QC: et celle-ci de Ayn Rand juste trouvee ce matin:
      “…It is too obvious, too easily demonstrable that Fascism and [Socialism/Communism] are…two rival gangs fighting over the same territory; that both are variants of Statism, based on the collectivist principle that man is the right-less slave of the state; that both are socialistic, in theory, in practice, and in the explicit statements of their leaders; that…Fascism is not the product of the political ‘right,’ but of the ‘left’…”

      12 mars 2016 à 9 h 33 min
    • Jaures Répondre

      Si c’est l’aide aux pauvres qui crée la pauvreté, les pays où ces aides n’existent pas ne devraient pas connaitre de pauvreté.
      Est-ce le cas ?
      Les pays de l’OCDE distribuent en moyenne 25% de leur PIB en aides sociales (Eurostat). Ces pays sont-ils ceux qui ont le plus de pauvreté ?
      Quand les aides en France se limitaient à la charité, sous l’Ancien Régime ou au XIXème siècle, n’y avait-il pas de pauvres ?

      12 mars 2016 à 10 h 23 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        lorsque les ” révolutionnaires ” supprimèrent les ” hospices ” parce que ceux ci étaient religieux cela aboutit à ceci :

        – des indigents furent jetés à la rue

        – et les nouveaux notables s’ enrichirent par l’ achat de biens devenus nationaux

        à ce sujet notons que le premier hôpital ( dans l’ acception moderne du mot ) est du à … Napoléon Buonaparte et qu’ il était … militaire et que le même tyran rétablit les religieux dans leur fonction d’ aide aux pauvres

        quant aux pays ( du tiers monde ) que vous évoquez tous se sont réclamés un jour ou l’ autre du socialisme

        12 mars 2016 à 14 h 04 min
        • Jaures Répondre

          Les hospices ne tenaient sous l’Ancien Régime que par les dons individuels et ne servaient pas à soigner mais à accueillir les malades en fin de vie, les orphelins que l’on revendait sans vergogne ou les mendiants que l’on faisait travailler gratuitement.
          Aucun noble ou bourgeois n’était soigné à l’hôpital.
          La Révolution n’a pas fermé les hospices mais les a nationalisés avant de les refiler aux communes. Ce qui d’ailleurs n’a rien changé y compris pour les indigents qui n’ont pas été “jetés à la rue” mais toujours plus ou moins exploités dans des établissements quasi militaires.
          Ce n’est qu’après 1945 que l’hôpital est devenu un lieu de soins pour l’ensemble de la population.
          Et se réclamer du socialisme ne fait pas plus de vous un socialiste que se dire patriote ne fait de vous un patriote. Ce sont les faits qui font de vous ce que vous prétendez être.

          12 mars 2016 à 14 h 34 min
          • quinctius cincinnatus

            AUCUN noble , AUCUN bourgeois n’ était soigné dans les hospices nous affirme mordicus @ Jaurès ; c’ est sans doute pour cela qu’ existait pour ces personnages riches et influents des chambres … privées et … payantes … chez lui la mauvaise foi a pour fondements les plus sûrs l’ aveuglement historique… ainsi si on prend en considération la période révolutionnaire , celle qui fut si sanglante, de 1791 / 1793 il n’ y eu pratiquement plus d’ hospices de villes ou ruraux en faculté de fonctionner en raison du manque d’ argent c à d de ” revenus ” et de ” personnels ” … qu’ il fallait rétribuer ( pas comme des ” religieuses ou des religieux ) … mais là où il atteint le sommet de la niaiserie c’ est lorsqu’ il affirme que c’ est seulement en 1945 que l’ hôpital est devenu un lieu de soins pour tous …

            il existe un très ancien ” Que sais je ? ” sur l’ architecture hospitalière ; vous devriez le lire dans lequel on parle aussi ( un peu ) de cela

            12 mars 2016 à 19 h 36 min
          • Jaures

            Vous voulez nous faire croire, cher Quinctius, que les membres de la cour allaient se faire soigner au milieu des indigents et orphelins.
            Pourquoi pas ! J’attends vos exemples.
            Je n’ai pas dit que sous la Révolution les hôpitaux fonctionnaient bien mais qu’ils n’ont pas été fermés comme vous l’avez prétendu.
            S’il existe un “Que sais-je ?” sur l’histoire de l’hôpital, je vous le conseil vivement ! Avant 1945 l’hôpital avait un rôle essentiellement social d’hébergement. On a commencé à y prodiguer des soins réels après la 1ère guerre mondiale mais l’hôpital tel que nous le connaissons aujourd’hui, lieu où on accueille chacun et traite toutes les affections, date de l’après 2ème guerre mondiale.

            13 mars 2016 à 13 h 24 min
          • quinctius cincinnatus

            @ Jaurès

            vous parlez sans connaître … tenez un seul exemple j’ ai eu un oncle opéré et soigné avant la guerre de 39 / 45 à l’ Hôtel Dieu de Lyon

            parlez de ce que vous connaissez : les lois sociales

            13 mars 2016 à 13 h 35 min
          • Jaures

            Votre oncle était membre de la Cour ?

            13 mars 2016 à 21 h 23 min
          • quinctius cincinnatus

            Mon pôvre @Jaurès votre humour est celui infra-basique d’ un Guy Bedos § fils …. en 1935 tout le monde sait que la Cour de Versailles n’ existait plus que dans les livres d’ Histoire … pourquoi vous ridiculiser en voulant faire le bel esprit ? vous n’ avez pas les qualités de … Cour pour cela !

            14 mars 2016 à 21 h 00 min
        • Jacky Social Répondre

          @QC: le Conventionnel Jauras m’accuse d’etre passeiste, mais lui se retrouve au 18eme siècle. Aujourd’hui, les gens savent lire et ecrire. Ce sont des armes plus puissantes que toutes les armees du monde.

          12 mars 2016 à 15 h 47 min
      • Jacky Social Répondre

        @Jaures: Je ne vous parle pas des pays en voie de developpement, mais de nos pays OCCIDENTAUX AU SOCIALISME TRIOMPHANT. Par ailleurs, en ce qui concerne l’aide au developpement, elle se resume a ceci: les pauvres des pays riches raquent pour les riches des pays pauvres. Vous ne savez absolument pas de quoi vous parlez. Votre “glande culture” a ete acquise dans les livres (souvent rediges par des gauchistes malfaisants), MAIS JAMAIS SUR LE TERRAIN. Vous ne savez rien de rien. Vous venez avec des statistiques qui ne prouvent que ce qu’elles veulent bien. Votre savoir est tres lacunaire, et desole, mais ca se voit, mon Jojo, comme le relief de votre queue au travers de vot’ slip si vous en mettez un (qui sait, vous l’avez peut-etre donner a vos pooofs, vos qui etes si genereux en votre nom propre).

        12 mars 2016 à 15 h 43 min
  • Magne Répondre

    Grèves en Allemagne .

    Avec 15 jours de grève par an pour 1.000 salariés en moyenne sur la période 2005-2014, ils sont loin derrière les Français (132), les Danois (124) ou encore les Espagnols (63), explique le WSI, mettant toutefois en garde contre les comparaisons internationales, du fait de spécificités nationales dans les modes de calcul. Le chiffre pour la France se réfère ainsi au seul secteur privé, c’est-à-dire qu’il faut y ajouter les fonctionnaires qui en Allemagne , n’ont pas le droit de faire grève (2 millions de fonctionnaires ) .

    2015 a été une année exceptionnelle en Allemagne pour les grèves ( 2 millions de jours de grèves ou débrayages ) qui ne se reproduira sûrement pas , les relations sociales étant plutôt paisibles en Allemagne , alors qu’en France , comme nous le rappelle Q.C , la grève a une connotation insurrectionnelle en France

    11 mars 2016 à 17 h 44 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    comme je ne savais pas où placer judicieusement l’ information j’ ai choisi l’ article dans lequel il est question d ‘intellectuels [ ici dits de gôche ] ….

    pour les personnes curieuses de l’ éducation que l’ on donne ( l’ enseignement étant … gratuit puisque c’ est l’ Etat qui paye comme dit le ventriloque élyséen ) à nos enfants et petits enfants , j’ invite donc ces personnes à lire sur le site du ” Point ” l’ article consacré à l’ échec ( et aux aggravations à caractère social ) de la ” réforme du collège au Québec “

    11 mars 2016 à 17 h 36 min
  • Jacky Social Répondre

    @Mon cher Jaures, marquis de la guimauve: Si elles existent, les entreprises ou l’on paie 3 heures de travail au prix de 8. Je sais comment vos bons ouvriers “exploites” travaillent. Il y a plus de pauses que d’heures consacrees au travail. Si je devais travailler a leur rythme, je serais encore en train d’apprendre a lire. Quant a la pooof main d’oeuvre d’Inde ou de Chine, il s’agit de main d’oeuvre peu qualifiee qui n’entend pas le rester. Ces personnes veulent gagner plus et offrir un avenir different a eux-memes, a leurs enfants et a leurs pays. Ils sont dans une phase de developpement differente de la notre. Il y a un temps pour tout. Vous ne comprenez rien a l’economie. Bien sur que nos PMEs peuvent rivaliser et elles rivalisent d’ailleurs. Ce qui les tue, c’est l’etat, les lois debiles, les taxes ecrasantes et les subsides deguises qui faussent la concurrence meme intra-europeenne. Maintenant, monsieur-sait-tout, est-ce que ca a encore du sens de fabriquer des taille-crayons, des Vierges Marie lumineuses ou des godes fluo-laics en Europe? Il y a plein de travail en Europe. Mais les syndicats n’ont pas interet a ce que cela fonctionne bien. Tout est donc verrouille , bloque et sclerose, notamment a cause d’eux. Les syndicats ont fait leur temps. Ils sont uses, perimes et irresponsables. Combien d’entreprises n’ont-ils pas tue avec le lot de misère qui va avec, alors que tout allait bien sans eux? Les syndicats, ce sont les mouches du coche du 21eme siecle. Et les mouches, ells se font tot ou tard ecraser comme une merde de clebard sur un trottoir. Chez Jaures, on ne vit pas dans le monde reel.

    10 mars 2016 à 16 h 10 min
    • Jaures Répondre

      OK, Jacky, citez moi ces entreprises où on travaille 3 heures payées 8. Merci d’être précis.

      11 mars 2016 à 9 h 29 min
      • Jacky Social Répondre

        Officiellement, elles n’existent pas, car sur le papier on parle bien de journees de 8 heures de travail. Dans les faits, il en est autrement. Les patrons en savent quelque chose. Ils ne disent rien et ne diront rien, peur de represailles. Mais ils font mieux, ils delocalisent et contre ca, ni vous, ni vos lois coercitives ne pouvez absolument rien ! Hihihihihahahaha. En effet, lorsqu’une decision executive est prise, vous pouvez imposer ce que vous voulez avec vos lois environnemetales et autres. Vous ferez juste une operation “one-shot” avec en plus la pietre image, celle d’une camisole de force, que vous donnerez aux investisseurs ou repreneurs potentiels. On ne se bousculent pas pour rejoindre votre “paradis social” si jusse et si equitaaable, Jaures. Comme c’est curieux, non? C’est fou comme les chefs d’entreprises ne comprennent pas votre sens eleve de l’ethique, du “combat” et de la justisse. C’est degueulasse, non? Hein Calimero Jaures.

        11 mars 2016 à 11 h 34 min
        • Jaures Répondre

          Officiellement elles n’existent pas mais vous semblez bien les connaître.
          Qui sont-elles ? Quelles entreprises ont donc les reins assez solides pour payer 8 heures des salariés qui n’en font que 3 ?
          Merci d’être précis.

          11 mars 2016 à 11 h 37 min
          • Jacky Social

            Nous ne vous dirons rien, parce qu’il n’y a rien a dire. Je n’ai pas de compte a vous rendre sur des affaires confidentielles cad a caractere non-officiel. Ces entreprises n’ont pas le choix que de se faire racketter. C’est ca ou la greve et la sequestration de la direction. A vous de vous renseigner. Evidemment, si la direction sait qui vous etes, elle ne vous dira pas grand chose. Personne ne veut avoir trop a faire avec les syndicats. On en est la. Les entreprises font juste de mauvaise fortune bon coeur. Mais la colere gronde. D’ou les delocalisations. Celles-ci n’ont rien a avoir avec le capitalisme pur et dur que vos decrivez, mais plutot avec les methodes legales (mais pas legitimes) et syndicales barbares d’un autre age.

            11 mars 2016 à 12 h 03 min
          • Jaures

            Dîtes plutôt que vous racontez des bêtises dont vous n’arrivez plus ensuite à vous dépétrer.
            Si vous saviez ce qu’il faut négocier pour disposer simplement de 10 minutes de pose sur les postes les plus intenses vous ne vous aventureriez pas sur de pareilles billevesées.

            11 mars 2016 à 12 h 34 min
          • Jacky Social

            Mon cher Jaures: ce ne sont pas des betises. Mais je ne vous citerai evidemment pas de noms sur ce site, est-ce clair? Me depetrer de quoi? De vous? C’est fait depuis longtemps.
            “Si vous saviez ce qu’il faut négocier pour disposer simplement de 10 minutes de pose sur les postes les plus intenses vous ne vous aventureriez pas sur de pareilles billevesées”. De 10 minutes en plus de toutes les pauses deja existantes? Je sais comment travaillent vos ouvriers “exploites” aujourd’hui. Je l’ai constate par le passe dans plusieurs entreprises et les fais m’ont ete confirmes par les patrons. C’est tout simplement effrayant. Et donc les ouvriers sont fatigues. Mais quand c’est pour partir en vacances, ils ne rechignent pas a faire la route de nuit et d’une seule traite pour se rendre de Lille a Montpellier. C’est curieux, les contradictions. Mais travailler trois heures d’affilee concentres a l’usine durant la journee sans pause, c’est inhumain. Allez comprendre. De meme, les ouviers qui travaillent au noir et donc pour leurs propres comptes, font tres-tres peu de pauses car ils savent qu’ils ne seront pas payes pour ces pauses. C’est vraiment tres curieux. Des pauses d’accord, mais alors non-remunerees. Vous voulez tous les avantages sans assumer aucun risqué, Jaures. Vous jouez sur la jalousie envers les patrons. Mais vous n’assumez rien. Vous exigez, c’est tout. Etes-vous encore en position d’exiger? NON. Et donc j’encourage vivement les chefs d’entreprise a delocaliser. Il faut affamer la goooche, histoire de lui fermer son caquet.

            11 mars 2016 à 13 h 20 min
          • Jaures

            Mon pauvre ami ! Allez donc expliquer cela à la sortie des usines !
            Curieusement, quand j’écris quelque chose, il vous en faut les références en V.O, validées uniquement si elles émanent d’une source identifiée par vous comme de droite libérale.
            Par contre vous, vous pouvez avancer des arguments sans preuve, sans source, sans exemples précis, sur la simple affirmation que vous possédez des “archives secrètes” ou qu’une connaissance (pas de nom !) vous les a confirmés.
            Malheureusement, mes interlocuteurs sont souvent bien mieux armés. Avec des gens tels que vous comme adversaires politiques la lutte des classes serait une reposante promenade bucolique.

            11 mars 2016 à 17 h 02 min
          • Jacky Social

            @Jaures:
            1) “Allez donc expliquer cela à la sortie des usines !”
            JS: oh que non, je n’ai pas a m’emmerder avec ces blaireaux. S’ils ne sont pas d’accord, on delocalise et c’est tout.
            2) “Curieusement, quand j’écris quelque chose, il vous en faut les références en V.O, validées uniquement si elles émanent d’une source identifiée par vous comme de droite libérale”.
            JS: vous aviez egalement demande mes sources. Maintenant, ce que vous dites est exact. Pourquoi vous ai-je demande cela? Parce qu’il s’agit de politique internationale sur un sujet tres delicat ou les sources sont importantes dans un sens comme dans l’autre. En ce qui concerne les entreprises, il s’agit d’avoir plus de discretion dans le sens ou c’est moi qui apporte un temoignage et je ne souhaite evidemment pas etre identifie.
            3) “Avec des gens tels que vous comme adversaires politiques la lutte des classes serait une reposante promenade bucolique”.
            JS: Je ne crois pas, non. Je suis juste un intervenant sur ce blog. Je ne mene aucun combat du type “lutte des classes” qui appartient aux losers et au 19 eme siècle. Mon cheval de bataille est ailleurs. Effectivement, vous n’etes pas oblige de me croire et c’est tres bien comme ca. Je ne peux vous en dire plus. Quant a vos sources,. on les connait. Ce sont toujours les memes. Elles viennent de la grande gauche hypocrite, envieuse et liberticide.

            11 mars 2016 à 19 h 00 min
          • Jaures

            “Quant à vos sources, on les connait”.
            J’aimerais en dire autant des vôtres ! Je ne demande qu’à vous croire. Citez-moi une seule entreprise où l’on travaille 3 heures payées 8 et je vous rendrai grâce.
            Autrement je maintiendrai que vous êtes un affabulateur de première dont les croyances frustes ont pris la place de la minimale réflexion qui vous vaudrait une petite place parmi nous, les “blaireaux”.

            12 mars 2016 à 10 h 33 min
          • Jacky Social

            @Jaures: je suis un affabulateur? Les entreprises se barrent, Jaures. Pearce qu’elles en ont marre de vous et de ce que vous osez appeler des “travailleurs” qui n’en sont plus qu’une caricature. Exactement pour les aisons que j’ai citees. Ca, c’est un fait et vous ne pouvez rien faire avec vos p’tits drapeaux vos sacs de corps, votre chantage et vos blaireaux. Et je trouve ca GE-NIAL.

            13 mars 2016 à 20 h 29 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        la Banque de France, les Ministères etc …

        11 mars 2016 à 17 h 37 min
  • Magne Répondre

    L’Allemagne et le droit de grève

    Voyons ce qu’il en est dans l’Allemagne dont on nous parle tant ces derniers temps .

    Le droit de grève en Allemagne est totalement encadré et il est , toujours interdit formellement pour les fonctionnaires . Même pour les cheminots ( Deutsche Bahn ( SNCF ) passé sous statut privé .
    Toute grève politique , Lois issues du Parlement ( notre Assemblée nationale ), ainsi que lorsque la grève est présentée comme une grève de solidarité est illégale et le personnel dérogeant à cette Loi peuvent être licenciées .

    En troisième lieu, en Allemagne , l’exercice du droit de grève est enserré dans des procédures extrêmement strictes. La grève ne peut intervenir qu’au moment et dans le cadre de la renégociation des conventions d’entreprise ou de branche entre les organisations syndicales et patronales et après un premier cycle infructueux de négociations. Il ne peut s’agir alors que de grèves d’avertissement, pour des durées très limitées et une partie seulement du personnel. La grève générale ne pourra intervenir qu’ultérieurement, sous réserve que 75 % au moins des syndiqués s’y déclarent favorables par référendum, alors qu’il suffit par comparaison que 25 % des syndiqués acceptent les accords négociés. Enfin, les statuts des syndicats prévoient généralement que ceux-ci s’engagent à rémunérer leurs syndiqués grévistes sur les fonds de leurs caisses de grève.

    Cela explique qu’il n’y ait eu qu’à peine plus de 3 jours de grève en Allemagne en moyenne de 2001 à 2006, contre trente fois plus en France, où en 2008 plus de 1,8 million de journées de travail ont été perdues. Des chiffres de nature à faire rêver les usagers français des services publics.

    Et on se demande pourquoi l’Allemagne caracole en tête dans le peloton des nations économiques ;

    Le ” front syndical français ” a connu quand même un recul , puisque les journées de grève ne sont plus payées chez les fonctionnaires …

    10 mars 2016 à 16 h 05 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      alors qu’ en France la grève est par essence insurrectionnelle … certains voudraient même la voir évoluer ( sic ) vers la grève … révolutionnaire …

      10 mars 2016 à 16 h 13 min
    • Jaures Répondre

      “Le nombre de jours de grève en Allemagne au plus haut depuis 10 ans

      Le nombre de jours de grève – calculé an additionnant les jours de débrayages de chaque salarié ayant fait grève dans l’année – a été multiplié par plus de cinq par rapport à l’année précédente (392.000), selon ces chiffres compilés par l’institut de recherche économique WSI, associé à la fondation Hans-Böckler, proche des syndicats allemands. C’est le chiffre le plus élevé des dix dernières années, selon le WSI.

      Le nombre cumulé de grévistes, à 1,1 million, a également surpassé de beaucoup le chiffre de l’année précédente (345.000) mais ressort moins élevé qu’en 2008 ou en 2012. ” (Les Echos le 03/03/2016)

      11 mars 2016 à 11 h 45 min
      • Jacky Social Répondre

        @Jaures: qu’est-ce ca vient faire? On s’en fout de l’Allemagne. C’est un pays socialiste comme la France et donc ce n’est pas un exemple a suivre. Le systeme est base sur les memes principes. Appelez ca “socialisme rhenan” pour l’Allemagne ou “paleo-socialisme” pour la France, on reste dans le meme schema. L’economie allemande se porte mieux que celle de la France, et alors? Tout cela est tres fragile de toutes facons.

        11 mars 2016 à 12 h 07 min
        • Jaures Répondre

          Je répondais au post de Magne.

          11 mars 2016 à 12 h 27 min
          • Jacky Social

            Votre reponse est publique et donc accessible a tous. Et donc on intervient si l’on veut. Vous faites bien de meme lorsque je m’adresse a Quinctius. Comme vous l’avez dit, vous etes libre. Ce n’est pas moi qui vous dirai le contraire.

            11 mars 2016 à 13 h 24 min
          • Jaures

            Répondez si vous voulez mais pas à côté !
            Lisez le post de Magne si vous voulez en comprendre la réponse.
            Cette manie qu’ont les ados d’intervenir à tort et à travers sans prendre la peine d’écouter préalablement !
            Mais à leur âge cela peut encore s’arranger.

            11 mars 2016 à 17 h 05 min
  • Le Ket Répondre

    Ce ne sont pas les “intellectuels ” de la Gôche bobo ou de la droite cosmopolite qui font progresser le FN dans les urnes.

    NON, ce sont les réalités quotidiennes sur le terrain, de Calais à Nice et de Nantes à Mulhouse : impôts démesurés, insécurité grandissante, chômage structurel, drogue omniprésente, corruption des élites et immigration-invasion.
    Thèmes développés par le FN depuis des décennies…

    Alors n’ayant pas vu de résultats ni la mise en œuvre des promesses faites au cours des diverses campagnes électorales depuis 1981 par la mafia socialaud-écolo-démocrato-capitaliste, les citoyens/contribuables/électeurs se tournent lentement, mais sûrement, vers ceux qui apparaissent comme un “recours” tel une dernière solution, à défaut d’autre alternative.

    A tort ou à raison, ces déçus, issus des partis traditionnels qui n’ont pas su les garder dans le troupeau des biens-pensants, estiment que le FN pourrait régler leurs problèmes.
    Rien n’est moins sûr, car comme évoqué dans les post ci-dessous, il y a très peu de chefs d’entreprises parmi leurs élus et peu d’élus ou de cadres qui soient au fait des problèmes économiques et financiers, ce qui demande tout de même une certaine formation, à défaut d’expérience ou de compétences.

    Mais c’est en forgeant qu’on devient forgeron et rien , ni personne ne peut affirmer aujourd’hui que le FN ferait pire que les énarques qui ont dirigé les affaires de la France depuis 30 ans !

    Sauf un bouleversement majeur durant les 14 mois à venir (attentat, émeutes, crise économique et/ou krach financier) il reste peu probable que Marine LE PEN accède à la fonction présidentielle.
    Par contre, en juin 2017, le FN pourrait obtenir un groupe très important à l’Assemblée ce qui lui ouvrirait des perspectives favorables pour les présidentielles de 2022.

    10 mars 2016 à 15 h 58 min
  • druant philippe Répondre

    @jacky :

    pauvre Jean Claude Goblet d’ avoir une telle bande de tarés dans sa famille !
    Un travail effectif de 3 heures sur 8 , cela doit correspondre à celui de ce cher jaures dans son local syndical où il commente sur divers sites dont les 4v .

    10 mars 2016 à 15 h 26 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” les progrès du F.N. ” … ? et sic !

    le F.N. serait il ( re )-devenu un peu libéral ? … moins ” gaullien ” ? …

    le plus drôle c’ est lorsque Hollande nous sortira de son bonnet rose le programme Macron … comme Sarkozy avait fait du projet Fillon en 2007

    10 mars 2016 à 14 h 04 min
  • druant philippe Répondre

    @jacky :

    j’ ignorais qu’ il avait un frère; le pauvre a certainement dégusté vu la démence du sieur Goblet !
    Pour avoir connu quelques revendicateurs fous atteints de gauchisme , il s’ est avéré que ces profils psychologiques étaient souvent atteints de dépression nerveuse : le gauchisme est une maladie mentale !

    10 mars 2016 à 10 h 35 min
    • Jacky Social Répondre

      @druant: Jean-Claude Goblet, frère du President de la FGTB l’association de malfaiteurs qui est un etat dans l’etat a rejoint le PP de Modrikarmen, malheureusement. Mais voici ce qu’il dit:
      “«J’ai toujours été considéré comme le mouton noir de la famille», dit l’intéressé (Jean-Claude Goblet). «A 23 ans, lorsque j’ai lancé mon entreprise, j’ai été traité de capitaliste et toute la famille, à l’exception de mon fils cadet, a pris parti pour Marc. Capitaliste? Pour moi, on l’est si on peut vivre avec la moitié des intérêts de ses placements… et là, la FGTB est plus capitaliste que moi. D’ailleurs, on me dit riche, c’est le qualificatif que j’entends partout où je vais, mais mon frère gagne plus que moi! ».

      10 mars 2016 à 12 h 52 min
    • Jacky Social Répondre

      @druant: vous avez le meme phenomene des frères ennemis chez les Lutgen. L’un (Benito Lutgenini) est la president du CDHalal, parti croupion du Pehesse, et l’autre (Jean-Pierre) est le fondateur et president de Ice-Watch, dont les montres sont evidemment fabriquees en Chine pour des raisons evidentes. Benoit Lutgen, le disc-miljoquet de la politique, est evidemment le moins malin des frères Lutgen.

      10 mars 2016 à 12 h 57 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      le ” gauchisme ” est la maladie infantile du communisme disait… l’ autre !

      10 mars 2016 à 14 h 05 min
  • druant philippe Répondre

    Rappelons qu’ en Gelbique, les patrons ont recours à des secrétariats sociaux , organismes en charge de l’ application pour compte des employeurs , des lois sociales délirantes pondues par des cabinetards dont on se dit qu’ ils devraient être internés en asile psychiatrique (avec camisole pour certains) .
    Rappelons la fameuse sentence attribuée à Tacite : corruptissima re publica , plurimae leges “

    10 mars 2016 à 10 h 24 min
  • druant philippe Répondre

    Il faut reconnaître aux entrepreneurs tpe / pme voire à certaines ge un courage certain qui confine à la témérité quand on mesure la hauteur des
    formalités administratives , tracasseries et la “bovinerie” de pas mal de syndicalisssssss (isn’t it cretinus Gobletus en Belgique, la caricature du revendicateur fou,) qui leur foutent des bâtons dans les roues : je pense que le code du travail est un des plus lourds au monde tant au royaume bananier qu’ au Frankistan (entendu parler de 3000 pages de textes de loi , hallucinant) .
    Que les ouvriers s’ essaient donc à la création d’ entreprises et alors on pourra discuter d’ égal à égal : certains ont passé le pas et sont devenus des entrepreneurs , grâce leur soit rendue pour leur courage !

    10 mars 2016 à 10 h 19 min
    • Jacky Social Répondre

      @druant: je souscris totalement a votre post. En parlant de temerite, ne s’agirait-il pas de folie suicidaire tout simplement? Le degenere Goblet a un frère qui n’est pas trois points mais qui a la tete sur les epaules, lui. Les deux hommes se detestent mechamment. Le saviez-vous?

      10 mars 2016 à 10 h 22 min
  • trividic Répondre

    Le Nouveau Front national serait la seule issue ? OUI !

    10 mars 2016 à 8 h 11 min
  • Raspoutine Répondre

    La France a toujours été l’otage des syndico-marxistes !

    10 mars 2016 à 7 h 24 min
  • Jaures Répondre

    Que veut dire “les intellectuels et les écrivains de gauche” ?
    Que Serge Douplitzky nous cite des noms, des ouvrages qui défendraient conjointement “la contestation permanente, l’anarchie, le communisme, le nihilisme et l’athéisme.”
    Qui combat la famille ? Qui prêche pour l’union libre (sachant qu’en France, je l’espère, toute union est librement consentie quelle qu’en soit la forme juridique) ?
    Tout cela relève du fantasme.
    Ce qui fait monter le Front National n’est pas le discours d’intellectuels de gauche dont on cherche en vain l’identité et l’audience mais sa capacité à rallier les mécontentements et les peurs, avec un discours populiste aux propositions volontairement floues et contradictoires où chacun peut retrouver ce qu’il cherche.

    9 mars 2016 à 10 h 02 min
    • Oxydent75 Répondre

      @Jaurès
      Allons ! M. Jaurès soyez un peu sérieux !
      Vos questions (auxquelles vous avez, comme tout le monde, les réponses) témoignent de cette forme de débat “sophistique” (enfumage) dans lequel vous vous plaisez à entraîner les lecteurs du site.
      Oseriez-vous nier que la Gauche (… pas forcément tous des intellos !) ne prône pas « la contestation permanente, l’anarchie, le communisme, le nihilisme et l’athéisme », ?
      Ce qui devient une tare politique pour le PS (héritier de Mai 68) laminé aux dernières élections et confronté aux prochaines échéances électorales.

      9 mars 2016 à 11 h 43 min
      • Jaures Répondre

        Bien évidemment que je le conteste !
        Je suis de gauche mais ni communiste, ni athée, ni nihiliste, ni anarchiste et prône depuis toujours ici et ailleurs la négociation plutôt que le conflit.
        Pour ce qui concerne les échéances électorales, elles sont le fruit d’un contexte et l’opinion est aussi prompte à basculer dans un sens que dans l’autre.

        9 mars 2016 à 12 h 19 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        @ Jaurès c’ est une émulsion de Bayrou et de Hollande : c’ est du ” mou ”

        … Croire que dans une France toujours et à la fois ” révolutionnaire ” et où chacun veut conserver voire même augmenter ses privilèges, il est encore possible de ” négocier ” , pacifiquement, dans l’ intérêt de l’ ENSEMBLE, c. à d. de sinon de tous du moins du PLUS GRAND NOMBRE , est hautement fantaisiste

        9 mars 2016 à 12 h 49 min
        • Jaures Répondre

          Cher Quinctius, si vous aviez pratiqué la négociation en entreprise, vous n’écririez pas ces lignes.
          Quand représentants du personnel et direction se rencontrent, ils savent qu’ils ont un intérêt commun, que l’entreprise perdure, et des intérêts contradictoires, le partage des bénéfices et les conditions de travail.
          Ceci acté, la négociation consiste à ce que chacun accepte d’effectuer certaines concessions pour que le système s’adapte. Il faut atteindre un équilibre entre ce que l’on concède et ce que l’on obtient pour qu’il existe un accord.
          Le problème est quand l’une des deux parties estime que le rapport de forces est en sa faveur et qu’il n’a donc pas à faire de concessions.
          Que chacun souhaite augmenter ses avantages n’a rien de choquant et c’est tout à fait possible: une entreprise qui tourne peut augmenter salaires et dividendes.
          De la bonne répartition (souvent plus complexe) des fruits de l’entreprise dépend sa pérennité et la fluidité des rapports sociaux..

          9 mars 2016 à 13 h 18 min
          • quinctius cincinnatus

            vous plaisantez ! ce que je constate moi en tant que citoyen c’ est que les agents de la S.N.C.F. , de l’ E.N. , d ‘ A.F. prennent les gens en otage …

            9 mars 2016 à 17 h 32 min
          • Jaures

            Quelle est alors votre proposition ? Que les fonctionnaires et agents des services publics n’aient aucun moyen pour faire valoir leurs revendications ?
            Que penser des agriculteurs ou taxis qui bloquent les routes ?
            Quand un chef d’entreprise dit que les salariés doivent se plier à ses exigences sinon il délocalise, n’est-ce pas là une “prise d’otages” ?
            Tout cela ne révèle-t-il pas justement une incapacité à négocier ?

            9 mars 2016 à 17 h 40 min
          • quinctius cincinnatus

            effectivement si j’ étais un entrepreneur , un chef d’ entreprise comme vous dites, ce n’ est certainement pas en France que je développerai mon affaire mais plutôt en Allemagne, en Autriche au R.U. et même en … Italie … du Nord ! …. c’ est d’ ailleurs ce que font beaucoup !

            9 mars 2016 à 20 h 38 min
          • Jaures

            Vous croyez qu’en Allemagne il n’y a pas des syndicats exigeants ? Vous rêvez ! Le problème en Allemagne est que les syndicats sont extrêmement puissants dans les grandes et moyennes entreprises et peu présents dans les petites. D’où les écarts de droits entre des ouvrier de l’automobile, par exemple, bien payés, souvent en dessous de 35heures, et les salariés des petites entreprises et commerces, souvent à temps partiel ou sous statut mini job à 400€/mois.

            10 mars 2016 à 9 h 51 min
        • Jacky Social Répondre

          @QC: a lire notre Castafiore syndicale, vous comprenez pourquoi il ne faut surtout JAMAIS investir en Europe occidentale ou alors il faut tout automatiser. En Europe, ce sont les ouvriers qui dirigent votre propriete sans assumer aucun risque. Ils revendiquent, ils exigent, ils prennent en otage, ils ne respectent plus aucune loi. C’est e que j’explique toujours a mes interlocuteurs asiatiques et americains sur l’enfer fisco-syndical europeen. Les concessions que les ouvriers et leurs syndicats font, c’est toujours peanuts. Ca me rapelle toujours cet investiseur Republicain americain qui voulait reprendre une usine de pneus en France il y a deux ou trois ans. Quand il a compris qu’il allait devoir payer les gens sur 8 heures pour a peine trois heures de travail reellement prestees, il a detale. Le petit Valls a alors ecrit une lettre scandalisee afin de defendre le merveilleux “modele” francais, si genereux avec l’argent des autres. QC, vous etes medecin et etes paye a la prestation, non? Rien n’est jamais garanti. La fonction publique devrait etre contractualisee egalement. Fini le parasitisme, les prebendes et les “win for life” pour faire chier le peuple.

          10 mars 2016 à 10 h 04 min
          • Jaures

            Cher Jacky, votre post explique mieux que toute démonstration combien un code du travail est nécessaire au cas où une personne telle que vous gèrerait une entreprise et imposerait à ses collaborateurs sa notion de droit du travail et des devoirs des salariés.
            Vous vous êtes trompé d’époque, votre place est à la tête d’une mine de charbon en 1860: 12 à 16h de travail par jour, paye à la pièce, travail des enfants, pas de congés payés, pas de droit de grève, pas de congé maladie,…
            Le paradis selon Jacky !

            10 mars 2016 à 14 h 46 min
          • Jacky Social

            @mon cher marquis de Jaures: je crois qu’il faut un Code du Travail et s’y tenir sans devoir tout le temps l’enfreindre comme le font les grevistes et les syndicats. De plus, lorsque je paie un litre de lait, je paie pour mille millilitres et pas pour 300 millilitres. Et donc si j’emploie et paie quelqu’un pour 8 heures par jour, cette personne travaillera 8 heures par jour et pas 3 ou alors elle sera payee pour 3 heures et non 8. C’est comme ca. C’est ce qui se fait dans le travail au noir ou il n’y a ni esclavage (sauf chez vos copains des emirats arabes), ni syndicat. Et tout se passe generalement tres, tres bien. Les pauses sont admises bien entendu mais ne sont pas payees. On paie pour un travail, pas pour entretenir la personne qui le fait. Il y a une grande difference. Bienvenue dans le monde reel des independants au 21 eme siecle, cher Jaures. Vive la fin du salariat!!!

            10 mars 2016 à 15 h 12 min
          • Jaures

            Mon cher Jacky, des entreprises où l’on paie 8 heures pour 3 heures effectuées n’existent pas.
            Il ne faut pas croire tout ce que raconte ce mytho de Maurice Taylor. La France accueille près de 4500 entreprises américaines sur son sol pour plus de 500 000 emplois et Taylor fait sa fortune en exploitant la main d’oeuvre à bas coût d’Inde ou de Chine. Même au noir, vous ne pourrez rivaliser.
            Sachez tout de même que le travail au noir est un délit et que si un travailleur se blesse dans ces conditions, il n’aura droit à aucune indemnité et son employeur sera sévèrement condamné.
            Ne vous laissez pas, comme un ado ai-je dit, tenté par l’irresponsabilité.

            10 mars 2016 à 15 h 36 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *