Libéralisme

Libéralisme

Notre pays n’arrive pas à sortir d’un socialisme bureaucratique aux antipodes de la modernité.

Ce dernier se situe entre une idéologie nationale-socialiste, certes française (le RN), et une autre à visée internationaliste, incarnée par le communisme ou l’extrême gauche (EELV).

Un vieil adage latin, dérivé de la philosophie aristotélicienne, dit : in medio, stat virtus. Mais ce n’est pas le problème.

Nous n’arrivons pas à faire la transition avec un libéralisme social capitalistique qui responsabiliserait davantage les citoyens.

Nos lois, décrets, circulaires, directives techniques, en nombre excessif, accru encore par la Communauté européenne, sont devenus étouffants, voire liberticides.

Leurs excès poussent à la transgression et à l’anarchie : trop de loi tue la loi in fine.

Plus concrètement, nos politiciens se comportent en faire-valoir de leur administration dont la formation est essentiellement juridique.

Le socialisme bureaucratique se caractérise par le surendettement.

La politique, depuis un demi-siècle, consiste à recourir à l’immigration de peuplement pour multiplier les emplois de service.

Si les migrants européens ont pu servir à maintenir nos industries et manufactures (mines de charbon, filatures du Nord, etc.), la robotisation couplée à l’intelligence artificielle, l’agriculture et surtout l’élevage intensifs, nécessitent aujourd’hui beaucoup moins de main-d’œuvre non qualifiée.

Aussi un référendum sur l’immigration s’impose en premier chef.

Ensuite, il faudra sûrement remplacer le socialisme par le Revenu Universel imposable, de complément pour les bas salaires et d’insertion sociale pour les plus démunis (imposable car attribué sans conditions de revenu à chaque Français).

Il conviendra, en contrepartie, de supprimer presque toutes les aides pour les refondre quasiment en une seule, le RU.

Plus de liberté, c’est à l’évidence plus de responsabilité. C’est aussi avoir le choix entre un travail rémunéré ou non rémunéré (préparation des repas, éducation des enfants, jardinage, etc.) qui valorise la natalité, la cellule familiale et le sentiment d’appartenir à une nation ou civilisation.

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