L’islamo-gauchisme n’est pas limité à l’université!

L’islamo-gauchisme n’est pas limité à l’université!

L’islamo-gauchisme ne se limite pas à un concept universitaire.

C’est une réalité électorale, fondée sur une communauté d’idées.

Les élections

Certains groupes sont orientés à gauche, d’autres à droite.

Les plus marqués à gauche sont les fonctionnaires: en moyenne, 2,2 fonctionnaires votent à gauche contre un à droite. (Cevipof) Les plus marqués à droite sont les agriculteurs.

En moyenne, 1,6 agriculteur vote à droite contre 1 à gauche (présidentielle de 2017).

Ces deux rapports sont des maximums, sauf pour un groupe: les musulmans.

Les musulmans forment une exception massive: au second tour des présidentielles de 2012, 1496000 musulmans ont voté à gauche, et 244000 à droite: 6 votes à gauche pour 1 à droite. Aucun groupe d’électeurs en France n’est aussi polarisé que les musulmans. (IFOP)

L’islamo-gauchisme est donc une réalité électorale. Sans le vote musulman, Hollande aurait été battu et les députés de gauche auraient été minoritaires à l’assemblée élue en 2012.

La communauté d’idées

Ce vote massif à gauche se fonde sur une communauté d’idées. Voici les principales:

– Le collectif prime sur la personne: à gauche et dans l’islam, la personne doit se sacrifier pour la puissance du collectif; à droite, la collectivité doit être au service de la personne pour favoriser son épanouissement.

La gauche veut fonder la société sur de «grandes organisations collectives», l’islam sur l’Oumma, le collectif des musulmans.

– À gauche, la morale est fondée sur l’obéissance au collectif représenté par le gouvernement. Par exemple, dans la Russie socialiste, Amalrik, un dissident écrivait : «La morale chrétienne avec ses notions de bien et de mal a été extirpée et éliminée de la conscience populaire.

Elle est remplacée par une morale de classe que l’on peut formuler approximativement ainsi : est bien tout ce dont le pouvoir a besoin au moment présent.»

Islam signifie soumission et musulman personne soumise, théoriquement à Allah, en fait à ceux représentent Allah, les dirigeants.

– Le projet de conquérir la terre par une combinaison d’idéologie et de force armée.

Ce projet est un peu mis en sourdine actuellement à gauche car peu d’électeurs l’acceptent aujourd’hui, mais il a été et reste d’actualité chez les gauchistes. Khrouchtchev disait devant l’ONU: «Les démocraties occidentales sont des pigeons que nous allons manger.»

Les musulmans divisent la terre en deux parties: le Dâr el Islam, littéralement la maison de la soumission, la partie du monde conquise et gouvernée par l’islam, et le Dâr al Harb, littéralement la maison de la guerre, tout le reste du monde.

– L’interdiction par la violence des idées opposées. Elle est toujours pratiquée dans les pays où la gauche totale est au pouvoir, Cuba, Chine, Viet-Nam, etc.

En France, les gauchistes ont interdit par la menace de violences physiques l’expression d’idées contraires aux leurs (par exemple contre Finkielkraut, ou la tentative récente par Le Monde et Libération de faire interdire la parole de M. Zemmour.)

Dans les pays gouvernés par l’islam, aujourd’hui, même ceux qui sont relativement modérés, comme l’Égypte, la peine de mort ou de lourdes peines de prison sont appliqués aux dissidents intellectuels.

– L’anti-christianisme: d’après une étude du Pew Research Center, 70 millions de chrétiens en 2000 ans ont préféré mourir plutôt que renier le Christ. Parmi ceux-ci, 45 millions ont été assassinés au XXe siècle, dont environ 20 millions par la gauche, et autant par l’islam.

Le futur de l’islamo-gauchisme

Aujourd’hui, l’islam sert de supplétif à la gauche : Hollande doit sa victoire à l’apport musulman. Et demain?

La gauche se décompose progressivement: il y a soixante ans, la force politique la plus importante en France, en Italie, en Finlande, était le communisme, réduit aujourd’hui à des groupuscules.

L’économie étatisée, qui s’étendait, il y a quarante ans, sur 1,5 milliard d’humains, se limite actuellement à quelques pays attardés: le Venezuela, la Corée du Nord, le Viet-Nam, Cuba.

Par contre, l’islam se développe rapidement.

En France, en 2018, 23% des nouveau-nés portaient des prénoms musulmans (INED).

Les femmes musulmanes font en moyenne plus de 3 enfants, les non-musulmanes 1,52 – pas assez pour maintenir la population.

Le vote à gauche se réduit, le vote musulman augmente. Un jour, ce sera la gauche qui servira de supplétif à l’islam politique.

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