Lu dans la presse : L’omerta médiatique, une autre exception française ?

Lu dans la presse : L’omerta médiatique, une autre exception française ?

Il faut lire l’interview de Dominique Wolton dans Le Journal du Dimanche du 21 mai pour avoir une idée du cynisme et de la mauvaise foi de la gauche. Au journaliste qui lui demande : « Les médias français doivent-ils faire leur autocritique pour n’avoir pas assez enquêté sur DSK ? », Wolton l’idéologue répond :

« Les Américains ont une folie de la transparence, mais tout ne doit pas être public. Eux-mêmes n’y succombent pas, heureusement. Même si un homme ou une femme trichent sur leur vie privée ou l’arrangent, cela n’autorise pas les journalistes à enquêter partout. La transparence peut être totalitaire. Le "droit à l’information" a lui-même des limites dans un univers saturé d’informations, où il peut très bien résonner avec le voyeurisme et la démagogie. La grandeur et le risque du métier de journaliste sont de ne pas tout dire. (…) Le droit de savoir peut virer au cauchemar. La photographie mise à la une du Financial Times, vendredi, montrant DSK dans sa cellule, est d’une perversité totale. »

Pervers aussi, ou cruels – l’avons-nous assez entendu ? – les clichés montrant DSK les menottes aux poignets. Nos commentateurs sont décidément de grandes consciences, qui ont des pudeurs de rosières dès qu’un puissant a des misères. On ne se rappelle pourtant pas qu’ils aient été aussi effarouchés lorsque Jean-Marie Le Pen, par exemple, fut pris à partie dans l’affaire de Carpentras, dans laquelle il n’était pour rien. Pas plus qu’on ne les a entendu protester lorsque le Président du conseil italien, Silvio Berlusconi, a été impliqué dans une affaire de mœurs concernant des mineures. C’est que Le Pen ou Berlusconi sont classés à droite, c’est-à-dire, par une curieuse inversion des situations évangéliques, dans le camp des maudits ; tandis que DSK, tout directeur général du FMI qu’il soit, est un homme de gauche, auquel les intellectuels de ce bord avaient d’ailleurs dressé une statue de présidentiable, voire tout simplement de président : à entendre une certaine presse, on a l’impression depuis quelques jours que l’élection n’était plus qu’une formalité.

Que dit Dominique Wolton de l’affaire qui vaut aujourd’hui à DSK d’être inculpé d’agression sexuelle et de tentative de viol sur une femme de chambre avec séquestration ? « Le viol est condamné et poursuivi dans tous les pays démocratiques, mais il n’y a pas en France, en Europe, cette hystérie sur les mœurs. Séduire n’est pas violer, et tous les Français ne sont pas des violeurs ! Je suis étonné par la violence de la presse américaine, qui confond le respect de la frontière privé-public avec une absence d’indépendance politique. »

Séduire n’est pas violer, mais violer n’est pas séduire, et c’est bien de tentative de viol qu’est accusé Dominique Strauss-Kahn… à moins que contraindre une jeune femme à une fellation et tenter de la sodomiser contre son gré n’appartienne, pour Dominique Wolton, au registre de l’amour courtois ? Certes, l’ancien directeur général du FMI bénéficie d’une présomption d’innocence ; mais c’est néanmoins sur ces bases qu’un tribunal américain l’a inculpé.

La réaction de Dominique Wolton et ses pareils – je pense notamment à Bernard-Henri Lévy dans Le Point, ou à Jean-François Kahn évoquant un « troussage de domestique » – montre simplement que si Dominique Strauss-Kahn avait été accusé en France, rien n’aurait filtré ; il est très probable que l’affaire eût été purement et simplement étouffée.

Une vraie proximité entre les puissants et les journalistes

La preuve : elle l’a déjà été. Une jeune femme, Tristane Banon, filleule de la deuxième femme de DSK et amie personnelle de sa fille, affirme que DSK a tenté de la violer. La mère de la jeune femme, Anne Mansouret, élue socialiste, confirme. Tristane elle-même a raconté, au cours d’une émission télévisée de Thierry Ardisson diffusée en 2007, qu’en 2002 elle avait dû se battre contre Dominique Strauss-Kahn qui tentait de la forcer, était déjà parvenu à dégrafer son soutien-gorge et avait tenté d’ouvrir son jean – or, le nom de DSK fut brouillé lors de la retransmission.

Un journaliste de Libération, Jean Quatremer, écrivit en 2007 un article sur le comportement de Strauss-Kahn avec les femmes – que le rédacteur en chef, Laurent Joffrin refusa de publier son article dans l’édition papier du journal : il parut seulement sur son blog Internet. En 2008, l’hebdomadaire Minute fit sa une sur l’histoire de Tristane Banon, sans être repris nulle part. La presse française, c’est l’omerta surtout lorsque sont mises en cause des personnalité de gauche : l’attitude de la presse fut toute autre lorsque Cécilia Sarkozy quitta le domicile conjugal. Et aucun crime n’avait pourtant été commis.

Dans Marianne, Jean-François Kahn, qui se félicite que tout ne soit pas tout dit, se souvient cependant : « Deux femmes célèbres m’ont raconté comment une personnalité politique de droite d’une très considérable importance leur avait quasiment sauté dessus, zizi à l’air, et je n’ai jamais jugé bon de publier la moindre ligne à cet égard. » A-t-il lieu de s’en féliciter ?

A propos de l’inculpation de Strauss-Kahn, une New-yorkaise, citée par Marianne, déclare : « En France, l’affaire serait passée à l’as. Chez nous, il arrive que la plus faible ait raison contre le plus fort. »

Les Américains ne nous comprennent pas : c’est ce qui ressort d’un article du Figaro du 20 mai : « Les médias français stupéfient l’Amérique. La presse américaine s’étonne du mutisme hexagonal sur la vie privée des hommes politiques. » Je comprends les Américains.

Les journalistes d’Outre-Atlantique disent « leur stupéfaction que les médias français ne se soient pas emparés des accusations formulées en 2006 par la parlementaire socialiste Aurélie Filipetti, qui avait accusé Dominique Strauss-Kahn de l’avoir assaillie en lui attrapant la poitrine contre son gré. Puis surtout de la supposée mésaventure de la jeune journaliste Tristane Banon, qui avait révélé dans une émission télévisée avoir été attaquée sexuellement par le ministre. Le nom de ce dernier avait été brouillé par la chaîne. "C’est quelque chose d’impossible aux Etats-Unis, les médias auraient cherché à en savoir plus, surtout qu’il était un candidat présidentiel », affirme la journaliste Linda Feldman, qui explique encore : « Les relations entre le pouvoir et les médias sont beaucoup plus conflictuelles et distantes aux Etats-Unis qu’en France, un pays hiérarchisé, où il existe une vraie proximité entre les puissants et les journalistes, beaucoup plus politisés. »

Politisés au point que les Français ne seront pas informés, avant 2012, des pathologies graves dont pourraient souffrir les candidats à la présidentielle. Pour l’instant Dominique Strauss-Kahn n’est qu’inculpé ; mais si l’on apprenait plus tard qu’il est sujet à des pulsions sexuelles incontrôlables et violentes, la presse aurait failli à sa mission d’information.

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Comments (13)

  • poulain salvat Répondre

    comment peut-on défendre une "pourriture"pareille!!!Nous sommes"dirigés"par des malades mentaux des obsédés sexuels des gens malhonnêtes!!!!Vive le Roi et m….à la république!!!

    12 juin 2011 à 16 h 09 min
  • genai Répondre

    bien sur qu’ils soient de gauche ou qu’ils prétendent de pas en être, les journalistes à 95% sont des bêtes à fric…leur seule morale c’est le scoop…l’information qui se vendra le plus cher possible…que leur importe l-influence que leurs propos peut avoir sur le devenir des gens qu’ils mettent en cause. Leur excuse suprême, leur leitmotiv sont toujours les mêmes "le droit du public d’être informé"…certes mais il ne faut pas confondre informer et désinformer…les articles qui ne sont pas dans le sens du vent n’ont aucune chance de passer ni dans les journaux écrits ni sur les ondes…c’est certain qu’actuellement il y a une pleïade de fouineurs en tous genre qui s’arrachent les yeux à fouiller dans les vies passées et présentes des gens du FN ou simplement qui se disent à droite, pour essayer de sortir des nouvelles qui ramèneront l’affaire DSK à une simple affaire courante…si untel ou unetelle ont eu des aventures  peu "normales" on va les monter en épingle, et tant pis si les futurs dénoncés ne sont pas miliardaires et ne peuvent se payer les avocats  et les résidences à 50000$ par mois, on s’arrangera pour que le bon peuple des électeurs soit dupé une fois de plus, et le ramener dans la voie unique des candidats de gauche…c’est à vomir! et les juges français n’auraient jamais mis en examen un DSK si l’affaire s’était passée en France…déjà un secrétaire d’état est tombé…les Martine, Hollande et son ex concubine la Ségolène se frottent les mains, les affaires reprennent…et croyez moi les journaleux vont monter une affaire Tron comme si elle était 10 fois plus grave que celle de DSK

    29 mai 2011 à 18 h 53 min
  • STER Répondre

    De de gaulle à sarkozy, en passant par la mitte errand et l’ancien maire de Paris, je n’ai qu’une seule envie : dégeuler, vomir toutes ces saloperies, toutes ces merdes qui paradent si bien avec le fruit de notre labeur quotidient. Au secours Jehanne !

    29 mai 2011 à 14 h 22 min
  • François Répondre

       @ Christian

     C’est sûr, mais il n’y a même pas besoin d’imaginer ce qui se SERAIT passé, il suffit de constater ce qui S’EST passé dans des affaires récentes et comment tous ces donneurs de leçons du PS et tous ces chevaliers blancs des médias se sont comportés…

    25 mai 2011 à 8 h 53 min
  • Christian Répondre

    Bonsoir,

    Une petite question à tous ces défenseurs de DSK, et de la présomption d’innocence…..
    Oui messieurs les bien-pensants de la gauche politique, journalistique et militante.
    Tous ceux qui sont prêt à traîner dans la fange la "présumée victime" (dernière expression de l’hypocrisie socialiste et du politiquement correct)

    Vous qui enveloppez DSK dans du papier de soie……….

    Quel aurait été le déluge de haines, de saloperies, de venins, de vomis, de crachats, de vociférations, de manifestations, de pourritures et j’en passe de plus vulgaires…

    De quel façon auriez-vous foulé aux pieds la présomption d’innocence ???…

    Si à la place de DSK, c’était un cadre dirigeant du FN ?

    Rien que d’y penser, j’éprouve un profond dégoût pour les journalistes, les politiques, et autres…

    Bonne soirée quand même.

    Christian

    24 mai 2011 à 23 h 45 min
  • Anonyme Répondre

    Je précise ma pensée sur DSK qui selon ses avocats " n’a rien fait du tout qui puisse tomber sous le coup de la loi". 

    Sans préjuger de l’avenir qui peut tout aussi bien déboucher sur un acquittement de DSK, que sur une condamnation exemplaire (je pencherais pour cette dernière),  et en tenant le plus grand compte de la présomption d’innocence (ce qui équivaut à la présomption de gravissimes mensonges de la femme de ménage et de beaucoup d’autres personnes), je dois avouer qu’en ce qui me concerne, au vu de la profusion d’informations fiables déjà disponibles aux USA « la messe est dite » et mon opinion définitive est faite.

    Je pense très sincèrement que DSK est une abominable fripouille, une racaille indigne et un pur salaud.

    Il a tout simplement prémédité son viol, auquel, plus tôt le même jour, ont réchappé 2 autres femmes employées au SOFITEL de Times Square.  

    Il a attendu sa future victime en se cachant dans une salle de bain où il n’aurait pas dû être. Il a déjoué la visite de routine de la personne chargée de vérifier la vacance de la chambre après l’heure fatidique de « midi » (une règle quasi universelle dans tous les hôtels du monde).

    Il a complètement surpris, puis agressé, puis violenté, puis tout simplement violé une femme de chambre qu’il n’avait jamais vue auparavant. La torture a duré 30 mn pleines pour elle, ce qui est très très long. Ayant la moitié de son âge à lui, elle a tout fait pour éviter d’y « passer » : alternant la négociation, la résistance physique, la menace (« mon supérieur est dans le couloir »), le combat, la fuite, a essayé de gagner du temps, a temporisé, a perdu.

    Manque de chance pour DSK, il s’agissait d’une des femmes les plus sérieuses, les plus irréprochables de tout cet énorme hôtel, qui toute modeste, noire ébène, immigrée, employée ancienne, et musulmane qu’elle est, bénéficie d’un soutien authentique, sincère et spontané de ses supérieurs (les chefs de personnel de grands hôtels américains virent instantanément et sans indemnités tout « mauvais élément », et ils sont aguerris à détecter le moindre trouble-maker futur potentiel).

     Manque de chance pour DSK, la femme de chambre était une jeune femme honnête, et qui ne savait pas du tout qui il était. Sa résistance extrême, imprévue, acharnée, a laissé de nombreuses traces et preuves physiques et matérielles (sang, ADN, plaie sur DSK, etc.).

    Manque de chance, dans la confusion postérieure, il a oublié son téléphone sur lequel les grands de la planète l’appellent. Incroyable erreur de jugement, il a tenté de le récupérer en demandant à se le faire apporter dans un aéroport américain. On sait à quel point ces lieux sont truffés de représentants interconnectés des diverses autorités US, et encore plus à New York.

    Ultime manque de chance, l’avion n’a pas décollé assez vite. Une fois au-dessus de l’Atlantique, il est quasi certain qu’aucun retour n’aurait été fait et que l’affaire aurait pris une tournure significativement meilleure pour DSK.

    Voilà DSK, l’envie de l’UMP, la fierté du PS, le porte flambeau de la gauche française, la crème-de-la-crème de leur personnel politique, la vitrine sur pattes de la haute société socialiste, le modèle (bossu) de la moralité vécue par la Nomenklatura de gauche, l’ex-futur Président incontesté de la République Française, un des espoirs secrets du Peuple Elu, le plus illustre des artisans du Modèle-Social-que-le-monde-entier-nous-envie , puisque DSK a créé les 35 heures qui, comme chacun sait sont copiées avec servilité et avidité par toutes les grandes puissances du monde (Chine, Inde, toute l’Asie, USA, Russie etc.), pour créer des montagnes de richesses aussi hautes que celles sur lesquelles se prélassent les 65 millions de richissimes français, lesquels, grâce au miracle économique de la gauche,  et à la savante alternance UMPS depuis 35 ans, ne savent plus comment dépenser ou placer les milliards d’Euros de leurs budgets excédentaires.

    Puisse DSK croupir à Rikers Island aussi longtemps que nécessaire, une fois finie la négociation avec le Parquet ou bien, s’il y a procès, une fois établie la religion des juges et des jurés américains, tout en laissant sur le carreau un nombre très respectable de millions d’Euros en dédommagements et gros frais divers.

    24 mai 2011 à 14 h 59 min
  • vozuti Répondre

    d’accord avec SAS,                la devise de notre ripoublique a été mise à jour :          "manipuler      piller        violer"                      la manipulation est la partie la plus importante ,c’est le travail des médias qui permet d’obtenir une population consentante dont on peut abuser sans limites:                  après avoir appauvrie la population par des reseaux de corruption tentaculaires auxquels rien n’échappe pas meme les pièces jaunes ,après avoir confisqué l’industrie ( disparue en chine ),on peut meme décider de faire disparaitre la population par dissolution en organisant une invasion arabe massive.              alors dans ce contexte,le viol n’est qu’un amuse gueule.                 le plus important c’est la manipulation organisée par les médias.       la manipulation qui convaincra cette population sacrifiée d’aller voter une fois de plus pour ses bourreaux ,en pensant faire une bonne action.

    24 mai 2011 à 1 h 12 min
  • Bainville Répondre

    Vous pourriez censurer les mots de SAS

    par respect de la langue française

      de votre journal

     et des lecteurs!

    23 mai 2011 à 23 h 29 min
  • Anonyme Répondre

    Les avocats de DSK vont tout simplement tenter de le faire acquitter, car il n’a rien fait du tout qui puisse tomber sous le coup de la loi. 

    Pour ceux qui comprennent l’anglais voici les témoignages de l’ensemble du personnel du Sofitel de Times Square, recueillis par les enquêteurs:

    Dominique Strauss-Kahn told a New York hotel maid, “Don’t you know who I am! Don’t you know who I am?” while pinning her down during the alleged sexual assault, law enforcement sources close to the investigation told FoxNews.com.

    The 32-year-old African immigrant repeatedly told her alleged attacker, “Please, please stop. No!”

    The sources said she had no idea who was staying in the $3,000-a-night junior presidential suite until after the alleged attack, which lasted approximately thirty minutes.

    According to the maid’s account, as told to investigators and relayed to FoxNews.com, the maid entered the room and was confronted by a naked Strauss-Kahn, who emerged from the bathroom and began grabbing the maid’s breasts while trying to pin her down on his bed.

    The maid is deeply religious, investigators said, and immediately put her hands over her eyes so she wouldn’t see the naked Frenchman. He ran to her, began grabbing her breasts and pulling her down the hallway inside the luxury suite toward the bedroom.

    The blood-stained white bed sheets were later taken into evidence by police.

    The maid said she tried a variety of tactics to get herself out of the room and away from Strauss-Kahn. She said, “my manager is in the hallway,” which he wasn’t — but the former IMF chief wasn’t scared off. The single mother allegedly told the Frenchman that the job was important to her and any conflict with a hotel guest would result in her losing her job.

    “Please stop. I need my job, I can’t lose my job, don’t do this. I will lose my job. Please, please stop! Please stop!” she told Strauss-Kahn, according to law enforcement sources.

    Strauss-Kahn allegedly responded: “No, baby. Don’t worry, you’re not going to lose your job. Please, baby, don’t worry,” Strauss-Kahn responded, according to investigators. “Don’t you know who I am? Don’t you know who I am?”

    While she continued to plead with him, begging him to stop, he allegedly continued to attack her, dragging her down the hallway.

    When she pushed him away and ran toward the door, she slipped on a newspaper bag on the floor and fell to her knees. That’s when Strauss-Kahn came up behind her and forced her to perform oral sex, sources said.

    The maid finally escaped from her alleged attacker by pushing him into the sharp edge of an armoire in the hotel suite. Sources said the Frenchman has a gash on his back where he hit the armoire. 

    She ran into the service corridor on the floor where co-workers found her and tried to console her. She was shaking profusely and unable to even hold a cup of water, sources said.

    Strauss-Kahn also made passes at two separate female concierges during his 24-hour stay. When he checked in, he grabbed and massaged the hand of the concierge and invited her to his room. She declined. Later on that night, Strauss-Kahn called downstairs and invited a different female concierge up to his room. “Come upstairs, I’ve got a beautiful room, a great bottle of wine.” That employee also declined the Frenchman’s advances, sources said. 

    Sources close to the maid described her as a model employee with a pristine work record who doesn’t drink or smoke and rushes home after work to take care of her children.

    On Saturday, May 14, sources said the Sofitel hotel maid followed hotel protocol, knocking three times while yelling “housekeeping” at increasingly loud volume before finally ringing the doorbell. There was no answer from inside the room, and it was after noon checkout time. Sources said the former IMF chief now indicted on sexual assault charges did not request a late checkout and should not have been in his room, which he’d rented for one night.

    Additionally, a room service employee cleared Strauss-Kahn’s room and found the room empty minutes before the maid entered. Investigators said they believe the man known as the “Great Seducer” may have intentionally hid from the room service employee, knowing that the maid would enter the room shortly after.

    23 mai 2011 à 23 h 19 min
  • sas Répondre

    Alors faut les virer collectivement ces enfoirés…..si telle est l analyse d’ incompétence qui simplifie encore uen fois le tout….ou l heritage de 1789 et de sa révolution subversive et destructrice…

     

    LA SEULE DEMONSTRATION QUI VIENT ENCORE D ETRE FAITE : C EST QUE SI DSK AVAIT OPERE UN VIOL DE CE TYPE EN FRANCE….l affaire aurait été degonflé ou etouffée…..ET LA VICTIME AURAIT DROIT A SA DEXIEME AGRESSION ET DENI D EXISTANCE HUMAINE…..

    …..si efectivement c est la seule intervention et assisance QUE PEUT OCTROYER LA RIPOUBLIK aux gueux de la nation……et si tous ces fonctionaires d etat du monde judiciaire et policier ne peuvent que nier CERTAINS INDIVIDUS…..

    alors la république est vaine, la démocratie une vessie dans notre landerneau……un jeu de composition entre les uns et les uatres ou seuls les degrés d initiations et les appartenance claniques se posent et donc les intérrets catégorielles…..bref l opposé , le contraire  de LA LIBERTE DE L EGALITE ET DE LA FRATERNITE……..

    il vient d en être donné lecon….dont acte….

    sas qui dit que le général PINOKIO est nu…

    23 mai 2011 à 17 h 42 min
  • vozuti Répondre

    non seulement la presse a caché les troubles de DSK ,mais elle l’a mis en valeur le présentant comme le plus sérieux et le plus apte.                 le résultat de l’élection était déja programmé par les médias,un an avant:    DSK élu avec plus de 70 pour cent des suffrages comme dans une dictature africaine et comme en france en 2002.                             au debut les français ont cru à un complot,mais c’est la justice US qui a déjoué le complot des médias français qui controlent les élections avec la meme efficacité qu’une dictature.

    23 mai 2011 à 15 h 38 min
  • longeval Répondre

    Tout le fan club de DSK a reçu a un moment ou a un autre de l’argent du contribuable par son intermédiaire. Marianne a été financée par DSK et tonton, Badinter était à son mariage Harelm désir au casier chargé a été amnistié par le capo mafisoso soutenu par DSK son porte flingue de l’époque. Ils sont en tout cas fidèles.

    Par ailleurs comme 80 % des pisseurs d’encre sont de gauche il ne faut pas s’étonner de cette situation.

    Brêve de comptoir entendue dans une brasserie alors qu’on projetait al afin des infos  la photo de nos  journalistes prisonniers en afgnanistans.

    "On a notre lot de cons ils peuvent rester ou ils sont "

    23 mai 2011 à 15 h 31 min
  • Bourbonnaise Répondre

    Merci pour cet article. Il est effectivement bien inquiétant de penser que la presse avait déjà intronisé DSK comme président de la République, tout en sachant parfaitement que ses rapports avec les femmes étaient pathologiques. Effectivement, séduire n’est pas violer et, en tant que femme, je frémis de voir que cette confusion, ou cette indulgence, n’est pas seulement le fait de nos voyous de banlieue.

    23 mai 2011 à 12 h 41 min

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