Macron contre les propriétaires

Macron contre les propriétaires

J’ai suivi mercredi 15 juillet l’intervention de Monsieur Guillaume de Thieulloy sur Radio Courtoisie à propos de la suppression partielle de l’impôt sur la fortune. Il a utilisé une expression très juste pour distinguer le patrimoine enraciné et le patrimoine déraciné et faire ainsi la distinction entre l’immobilier et le mobilier. Je n’ai cessé de dénoncer dès le début cet acharnement sur les propriétaires. Sans intention spéculative, au fil du temps, votre logement peut se retrouver soumis à une taxation par l’effet de l’évolution de divers critères extérieurs dont vous n’êtes pas maître. En revanche, le spéculateur et détenteur de valeurs mobilières a tout loisir de procéder à toutes les manipulations possibles. Je précise que je ne suis pas soumis à cet IFI, je ne prêche donc pas pour ma paroisse. Mais rien ne dit qu’à terme, l’évolution du marché ne pourrait pas m’entraîner dans cette taxation. On connaît la conception mondialiste et apatride de ce président de la république. Par ailleurs, dans un domaine connexe, il est choquant d’entendre, rapportés sans broncher par les médias d’une platitude sans égale, les propos de ce président déclarant que le report de la suppression de la taxe d’habitation concerne les 20 % de Français les plus aisés, les plus riches ou les plus fortunés. C’est se moquer ouvertement des citoyens. Vraiment, ce gouvernement n’a aucune retenue. Le monde d’après est pire que le monde d’avant. Notons en passant, comme l’a déclaré un politique – Monsieur Baroin, sauf erreur –, que Macron supprimait un impôt qui ne lui appartenait pas et il faudra bien trouver une source de financement pour remplacer cette taxe d’habitation pour les collectivités territoriales.

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