Macron, et après?

Macron, et après?

Après Macron, cela pourrait bien être Macron. Ce n’est pas une certitude.

C’est une probabilité.

Emmanuel Macron, haut fonctionnaire passé par l’ENA, est de la mouvance socialiste.

Nul ne l’ignore.

istingué par Attali, il a été placé dans le sérail et fut ministre de François Hollande.

l n’était pas difficile de succéder à Hollande, politicien connu pour son incompétence et son ridicule.

Mais, à l’épreuve du pouvoir, Emmanuel Macron s’est vite aperçu que le socialisme, dans le meilleur des cas, ne menait à rien.

Il a donc évolué vers le centre gauche, ce qui ne déplaît pas aux Français, qui acceptent volontiers un cocktail politique fait d’un peu de droite, sans abandonner bien sûr le vocabulaire de gauche et avant tout une fiscalité telle qu’elle ruine les riches et fait plaisir aux pauvres, tout en faisant en sorte qu’ils restent pauvres – ce qui, à la fin des fins, aboutit à la pauvreté pour tous, gérée par la pagaille socialiste, vocabulaire inclus : égalité, fraternité à coups de couteau et soumission aux impératifs de l’immigration, c’est-à-dire le meilleur livre de géographie humaine que la France ait jamais eue (on y trouve de tout : des Maliens, des Tchétchènes, des Chinois, des Guatémaltèques et bien d’autres encore).

Vous ne faites rien, a-t-on dit à Macron, qui a répondu que ne rien faire était un programme sérieux.

Si vous vous décidez à faire quelque chose, vous allez plaire à quelques-uns et déplaire au plus grand nombre.

onc ne rien faire est une obligation très claire pour celui qui veut être chef d’État.

Une réélection n’est pas une élection présidentielle ordinaire. C’est une élection spécifique qui ne peut se faire avec des promesses que d’évidence on ne tiendra pas.

Il faut petit à petit faucher le blé comme les glaneurs d’autrefois et avec une bonne calculette.

Une fois réélu, on peut se laisser aller à faire quelque chose.

Il n’y aura pas de deuxième réélection, sauf cas exceptionnel que l’on trouve en pays slave, y compris en Russie, et surtout en Afrique, où certains chefs de tribu politisés cherchent à devenir et rester présidents à vie, comme le fut Bokassa, maréchal à vie et président, pour plaire, disait-il, à « son papa », le général De Gaulle : « La famille, y a qu’ça d’vrai ! »

Imaginez que vous ayez un fils maréchal à vie, carburant non pas à l’essence et à l’électricité, un système hybride, mais au beaujolais, quelle satisfaction ! quelle fierté ! Un maréchal ne sortant pas d’une double ivresse, celles du pouvoir et du vin rouge.

Sonnez trompettes, résonnez musettes !

Parmi les candidats déjà déclarés, on peut déjà en nommer deux: Xavier Bertrand et un général du nom de Martinez.

Mais on peut raisonnablement en attendre une douzaine. Les 6 principales formations politiques structurées et indemnisées peuvent chacune en présenter deux ou trois. Ça coûte cher, mais ces partis sont équipés pour faire de bonnes récoltes, le budget y pourvoit.

Les élections sont faites pour faire patienter les braves gens. Les élections présidentielles, législatives, sénatoriales, départementales, communales, etc. – je dois en oublier – ne peuvent avoir lieu qu’en dépensant des sommes considérables tirées de la poche du contribuable qui, en retour, ne reçoit que des promesses et d’intéressants commentaires.

Parmi ceux-ci, on trouve ceux qui portent sur l’immigration. La meilleure démographe française, Michèle Tribalat, auteur notamment de «Les yeux grand fermés. L’immigration en France » (Denoël), nous apprend qu’en 2015, un peu plus de 35 % des jeunes étaient d’origine étrangère dans les communes de plus de 50 000 habitants. L’Île-de-France arrive en tête des régions envahies. Il n’est pas nécessaire de sortir de Polytechnique pour imaginer ce que sera la situation sécuritaire dans 25 ans, lorsque ces jeunes déjà très nombreux auront chacun 5 ou 6 enfants !

On verra à ce moment-là et sans doute avant ce que fera le président Macron ou un autre pour résoudre ce problème insoluble et vital pour la France, dont les habitants français seront minoritaires dans bien des communes.

Jusqu’ici, on a laissé le problème s’aggraver en y mettant la main.

On y a officiellement participé.

400 000 immigrés sont le plus légalement du monde autorisés à se fixer en France chaque année, plus tous ceux qui s’y fixent clandestinement.

Pour ceux-là, on peut parler du même chiffre. Que fera alors le chef de l’État ? L’héritage va être très lourd.

Cette voie-là, empruntée par la France depuis longtemps, conduit à la disparition pure et simple.

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Comments (1)

  • Gérard Pierre Répondre

    La « domesticité » du sieur Macron sait déjà que son poulain sera au second tour de l’élection présidentielle en mai 2020 ! … Elle le sait tellement qu’une « servante » du château a même émis l’idée sotte et grenue d’envisager que l’amuseur public Hanouna puisse animer le débat de l’entre deux tours !

    C’est dire à quel ”hauteur” ça vole dans certains ministères !

    Mais la question que je n’entends personne poser est la suivante : « De quelle certitude dispose le petit personnel pour croire à la présence de leur chérubin au second tour ? … pour ne pas douter un seul instant qu’il puisse arriver en troisième, voire en quatrième position ? »

    Le passé est un prologue disait déjà Shakespeare.

    Que s’est-il passé en 2017, … avec Fillon ? … qui, aujourd’hui, serait sans doute encore sénateur et vivrait tranquillement s’il n’avait inquiété les organisateurs de la mise en selle du petit « Mozart de la finance » ?

    Que commence-t-il déjà à se passer déjà un an avant 2022 ? … avec, par exemple, un Éric Zemmour « inquiétant » bien que ne s’étant pas déclaré candidat, mais qui, potentiellement, représente déjà un danger à venir :

    « Ce 30 avril, Mediapart publie un dossier sur Eric Zemmour, accusé d’agressions sexuelles par de nombreuses femmes, qui témoignent contre lui, la plupart sous couvert d’anonymat. ».

    Et comme par hasard, jusqu’ici, dans le climat de dénonciations tous azimuts de harcèlements divers et variés, personne n’avait encore songé à se plaindre de lui ! … Étonnant non ?

    … et ce n’est qu’un début !

    On peut compter sur Mediapart et tout ce que le journalisme français de bas étage compte de coureurs à la gamelle pour empuantir la prochaine campagne électorale ! … et, … encore comme pas hasard, … le sieur Macron sera la blanche colombe de la saison !

    On prend les paris ?

    1 mai 2021 à 16 h 54 min

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