Mais où est donc passée la droite ?

Mais où est donc passée la droite ?

Le paysage politique de la France et assez facile à analyser. Il s’apparente à ces toiles monochromes, sans grande valeur esthétique que recherchent cependant les snobs milliardaires.

La toile monochrome française est rouge, mais avec des nuances. À l’extrême gauche, en écarlate, on trouve trois
partis trotskistes : le parti des Travailleurs ; le parti de Besancenot, qui caracole dans les sondages ; et celui d’Arlette. Tous se portent fort bien. Un peu moins écarlate, on reconnaît le parti communiste, puis en vieux rose le parti socialiste
et enfin, en rose pâle mais en rose tout de même, l’UMP. Ainsi constatons-nous que la France compte cinq partis rouges et roses allant des admirateurs de Trotski – un bon connaisseur de la Tchéka, la police politique soviétique et de la stratégie de la balle dans la nuque – à l’UMP dont est issu l’actuel Président de la République, son gouvernement comptant un certain nombre de ministres socialistes et bientôt d’autres encore.

N’oublions pas le parti communiste qui fut, au temps de l’Union Soviétique, le plus stalinien des partis communistes, fervent admirateur du « Grand Staline », de ses goulags et de ses assassinats politiques.

Alors où est donc la droite française ?

En cherchant bien, on la trouve, non pas sur la toile rouge-rose que je viens d’évoquer mais à droite et en dehors du tableau.

C’est ainsi que l’on devine le Front National, qui eut le grand mérite de dénoncer les conséquences désastreuses de l’immigration, mais qui, aujourd’hui, est aux prises avec de graves difficultés financières pour avoir été trop optimiste lors de la présidentielle et dont la cohésion au sommet ne paraît pas assurée. Ceci dit, le FN aurait bien dix millions d’électeurs que l’on ferait en sorte qu’il ne soit pas représenté au Parlement. C’est l’une des curiosités de la démocratie française…

Il en est un peu de même de Philippe de Villiers qui, lui, a eu le courage de dénoncer l’islamisation de la France mais qui paraît désormais confiné à sa Vendée tout en conservant l’espoir d’être un jour à nouveau ministre. Si l’on prend un microscope électronique, on aperçoit les restes du Centre qui se sont, semble-il, regroupés à gauche. Il faut dire tout de même que François Bayrou serait sûrement un Chef d’État pas plus mauvais qu’un autre.

Le marxisme et la démagogie électoraliste ont tué la France

Bien sûr, ce tableau et ce que l’on a trouvé à sa droite se reflètent dans l’opinion publique qui paraît se répartir en trois groupes. Le premier tiers réunit les socialo-communistes dont le programme : « mort aux riches, tous dans la misère » plaît beaucoup.

Le deuxième tiers regroupe les « amateurs » avant tout préoccupés de conserver leur emploi et à partir en vacances. Ils s’intéressent cependant à la politique ou plutôt au spectacle auquel elle donne lieu. Ainsi éprouvent-ils de la sympathie pour Nicolas Sarkozy en raison de son côté « people », de ses mariages, de ses divorces, de ses fiançailles et remariage, aujourd’hui avec Carla, demain peut-être, avec une Fatima ou une Carolina et cœtera.

Ce sont des électeurs plutôt jeunes qui votent plutôt à gauche, car voter à droite ça fait ringard.

Puis subsiste le troisième tiers fait de citoyens qui, eux, sont sérieux, plus très jeunes, qui survivent dans la nostalgie d’une gouvernance d’efficacité et de dignité aujourd’hui disparue. Ils rêvent d’une France au travail qui ne serait plus en faillite financière, où le chômage serait au même niveau qu’en Grande-Bretagne, qu’en Irlande, qu’aux États-Unis, etc., qui ne compterait plus d’immigrés parce que l’on aurait supprimé les allocations qui les font affluer.
Ils rêvent d’une baisse des prélèvements obligatoires de 30 % immédiatement et d’une balance commerciale positive comme en Allemagne. Ces braves gens aimeraient que de la Seine-Saint-Denis jusqu’à Marseille en passant par toutes les autres communes de France, règne la sécurité sans les mosquées, et où dans notre Île de Beauté, il n’y aurait qu’un attentat par mois et non pas tous les jours ou presque. Ils rêvent ces braves gens et ils n’ont aucun pouvoir.

Tout cela pour dire que le marxisme dans les esprits, la persistance de l’idée de lutte des classes – cette fatalité française – et la démagogie électoraliste auront tué la France.

Ceci étant, je ne pense pas que Nicolas Sarkozy, déjà déconsidéré, soit en mesure de surmonter ce funeste handicap.

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Comments (26)

  • Tinmouse Répondre

    On peux pas proclamer un nouveau pays, la gaules. On laisseraient les moutons imbéciles avec leur hommes politiques, leur gauche, leur droite et leur immigration.
    On pourrait repartir sur des bases saines et changer de cap du gros bateau france qui arrive sur un énorme iceberg.

    29 février 2008 à 12 h 26 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    A Jaurès,

       toutes les catégories que vous citez existent effectivement.

       Mais moi je rêve de voir un jour un "politique" socialiste de premier rang, auquel on accorderait un futur brillant, convoquer une conférence de presse étoffée, avec ban et arrière-ban des journalistes, ne révélant rien à l’avance du contenu de ses futures déclarations.

       Il se lancerait alors en-direct devant les caméras dans une diatribe extrême, féroce, systématique de l’ensemble du crédo socialiste, révélant qu’il n’en croit plus un mot depuis longtemps, qu’il sait que tout est archi-faux, biaisé, caduc, un gigantesque fatras de sornettes diaboliques, une accumulation de culs de sac logiques multiformes, forgés par de riches intellectuels aigris. Il déclarerait que son calvaire est de vivre dans la duplicité, colportant comme un perroquet décervelé des démonstrations qu’il sait boiteuses mais au clinquant relevant du sortilège maléfique.  

       Ecœuré des déclarations de gauche, verbeuses ou lapidaires, mais toujours ridicules quand on y réfléchit sérieusement, il a décidé que seul ce "coming-out" public, formel, pouvait laver son âme de cet effroyable cloaque ou se dissout son intelligence, et peut-être parvenir ainsi à échapper à la lèpre socialiste qui a gagné tous ses vieux collègues… Il n’est qu’à voir Jacques Attali, brillant major de l’Ecole Polytechnique, ou bien son collègue Alain MINC, se couvrir de pipi, année après année par de savantes prévisions dont l’inverse se produit, par des ratages mémorables dans tous leurs postes managériaux à responsabilités économiques réelles, par des incohérences constantes et des retournements permanents de positions à 180 deg., tout cela en continuant incurablement à se dire de gauche.

       Il continuerait par une autocritique sans concessions de l’ensemble son action personnelle conduite sous l’emprise des idées toxiques qui l’ont égaré. Il ferait des excuses solennelles aux millions de gens qu’il a contribué efficacement à appauvrir en leur certifiant qu’ils étaient honteusement exploités, qu’ils devaient faire grève, s’endetter pour ça et endetter un pays entier, en s’assurant de plus qu’ils se pourrissaient bien la vie à se croire encore bien plus malheureux qu’ils n’étaient.

      Il reconnaitrait sa part écrasante dans l’épouvantable faillite socialiste française comme partout où les idées de gauche ont pu prévaloir, et le pourrissement délétère de l’ambiance sociale partout où elles cherchaient à prendre le dessus. Cet homme pleurerait devant tout le monde pour dire sa honte absolue à avoir marché dans une combine intellectuelle aussi sordide, aussi perceptiblement pernicieuse et aussi durablement nocive.

     

     

    13 février 2008 à 0 h 26 min
  • Observateur Répondre

    A Jean-Claude THIALET,

    "Il faudra bien qu’un jour un journaliste d’investigation, un peu plus courageux que d’autres, écrive un livre sur ce sujet. Encore faudra-t-il qu’il trouve un éditeur tout aussi courageux !"

    Je pense que des livres qui parlent de ça existent déjà  (Je ne sais pas ce qu’ils valent. Je ne les ai pas lus) :

    – "Les trotkistes" (Christophe Nick)

    "Les Lambertistes : Un courant trotskiste français" (Philippe Campinchi), qui explique entre autre sur leurs techniques d’infiltration.

    A noter que Jospin qui a gouverné pendant 5 ans, en est un. Par ailleurs; je pense que Chirac est un ex communiste, et un mondialiste, donc…

    Et Sarko est le disciple de Chirac comme chacun le sait. :)

    ————————-

    A Mancney,

    L’Islan est en lui-même un esclavage envers les musulmans qui se doivent se soumettrent et n’ont pas de droit en dehors de la loi islamique qui fixe leurs faits et gestes tout au long de leur vie, envers les femmes musulmanes qui doivent obéir aux hommes et qui ont des droits très inférieurs, envers les dhimmis qui sont tolérés sous condition et qui peuvent être tués, envers les athées et les polythéistes s’ils ont la chance de rester en vie, car selon le Coran, ils doivent être tous combattus impitoyablement. La liberté n’existe pas dans l’Islam, sans parler de l’esclave proprement dit, qui est une autre catégorie. je crois d’ailleurs, qu’il vaut mieux être esclave dans un pays islamique, que dhimmi, et encore moins polythéiste ou athée, d’après un islamologue connu que j’avais écouté.

     Je pense que vous le savez déjà.

     

     

     

    12 février 2008 à 16 h 33 min
  • Anonyme Répondre

    Observateur : " Jésus n’a jamais évoqué ou condamné l’esclavage qui existait pourtant largement dans tous les pays à son époque."

     – Mais pourquoi l’aurait-il fait? L’esclavage, systeme économique de production, qui permettait entre autre d’épargner les vies des ennemis vaincus, était tout a fait normal jusqu’a ce que… les Occidentaux ne le décretent anormales… dans les Pays Occidentaux! (comme par hasard quand l’industrialisation s’est installée). Depuis, l’esclavage est tout a fait anormal et répréhensible chez nous, aujourd’hui, en Occident, mais pas forcément chez les autres, ailleurs ou a une autre époque, et c’est pourquoi il est toujours présent aujourd’hui, dans de nombreuses contrées, musulmanes pour la plus part (ce qui laisse songeur quand on voit des Noirs Américains, descendants d’esclaves, se convertir a l’Islam… Cohérence, hein?), et qu’il est parfaitement "légal" chez eux, et fait toujours parti de leur vie. L’esclavage était "normal" avant son abolition, et d’ailleurs, vous l’écrivez vous meme : "qui existait pourtant largement dans tous les pays à son époque" : il faisait donc bien parti des moeurs, non? Quel exemple extreme? Il s’agit juste de la vie quotidienne!
    Ca y est, on va traiter ce pauvre Jésus d’esclavagiste, maintenant. Bon, il a les épaules larges et il a déja bien payé! Payé pour nos con.. ies, aussi!
    Combien de fois avons nous écrit sur ce forum, que, sous peine de se planter, il convenait de bien replacer les contextes de TEMPS et de LIEU avant d’apprécier ou de juger tel ou tel fait et événement. Rien a faire, ca ne passe pas.

    Best,

    Mancney, qui a écrit ces trucs, la, plus haut, en Occident, et en 2008!

    11 février 2008 à 17 h 31 min
  • dugas Répondre

    je ne saurais mieux dire que ce que Luc Sembour a répliqué au cher Jaures.

    sous couvert de défendre la veuve et l’orphelin, le socialisme nous emmene à être tous des veuves et des orphelins.

     

    Pauvre Jaures, pauvre France

    11 février 2008 à 17 h 01 min
  • Jaures Répondre

    Ah! Le monde selon L.Sembour où les smicards se plaignent aux bourgeois de leur salaire trop élevé! Quel paradis! Mais tout cela peut encore s’améliorer. Cherchez bien et vous trouverez des septuagénaires cancéreux honteux de déjà partir en retraite, des ouvriers se cotisant pour payer un parachute doré à leur patron avant d’être licenciés et des noirs pleurant de nostalgie au souvenir de leur condition d’esclave.

    11 février 2008 à 13 h 39 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    11/02/08    – "Les 4-Vérités"

    OBSERVATEUR (au pseudo excellement choisi, me semble-t-il), merci pour vos appréciations. A mon tour de souscrire à vos remarques.

    Notamment celles concernant "l’extrême-gauche". Je vous avouerai tout d’abord que j’ai cité "l’extrême gauche" uniquement dans un souci (malheureux, j’en conviens) de faire "équilbre". Et je concède que j’ai eu tort dans la mesure où, comme vous le relevez, on retrouve des trotskystes  (mais aussi des "maoïstes" PARTOUT dans les médias (les "grands’", s’entend).Mais aussi dans la politique (particulièrement au parti socialiste !) et même dans les affaires. Ce qui, évidemement, n’est pas le cas pour les gens appartenant à l’extrême-droite qui sont ostracisés, et même marqués du sceau de l’infamie.

    C’est sans doute parce qu’il a pris conscience de cette "monochromie" (inadmissible dans une "démovratie" digne de ce nom) relevée par Christian LAMBERT, et qu’il ne veut toujours pas entendre parler "d’extrême-droite",  que ‘"LE MONDE" (le "quotidien de référence")(1) a jugé nécessaire d’y ajouter une couleur supplémentaire. Il a eu le culot, dans sa livraison du 1er février, de considérer que le trotskyste Alain BESANCENOT incarnait "l’oppositon natioinale" (sic). Ce qui lui permet de gommer la véritable opposition nationale qui s’efforce d’exister contre les vents de la calomie et des procès et les marées de la désinformation et des "bobardements". Et bien entendu d’essayer de faire croire à ses lecteurs (de moins en moins nombreux) qu’il n’y a vait pas de crainte à avoir pour la "démocratie" !

    Vous avez également parfaitement raison de souligner que ces mêmes trotskystes (décidément, ils sont partout) sont largement financés du haut en bas des collectivités de l’Etat, et donc avec l’argent des contribuables, à travers un réseau d’une mutitude d’Assoces en tous genres. Des Assoces qui imposent leurs lois. Et qui même, de plus en plus souvent au mépris même de décisions de justice. On le voit notamment en matière de reconduites à la frontière. Il faudra bien qu’un jour un journaliste d’investigation, un peu plus courageux que d’autres, écrive un livre sur ce sujet. Encore faudra-t-il qu’il trouve un éditeur tout aussi courageux !

       Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) "de référence" de la "pensée unique", du "politiquement correct", s’entend. Une vrai "Bible" que ce quotidien vespéral !

    11 février 2008 à 12 h 06 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    A  Jaurès: vous devriez savoir, depuis le temps, que le smic est trop élevé en France, et qu’il ne devrait d’ailleurs même plus exister. La suppression du smic est un passage obligé du redémarrage français (toutes choses restant égales par ailleurs). Et parler aux smicards, vous aimez ça, alors faites-le.

    Anecdote: tard le soir dimanche 3 février j’étais de passage à Rodange (Luxembourg), sortant ma vieille Ford Mustang de collection que j’aime beaucoup. Rodange, village frontalier,  a l’un des plus gros ratios de pompes à essence/habitant d’Europe, car les carburants y sont vendus 20% moins chers qu’en France et qu’en Belgique, pays adjacents.

    Près d’une pompe à essence donc, je me suis trouvé à parler mécanique avec un passant, employé communal luxembourgeois. Il m’a expliqué qu’il balayait la rue dans la municipalité voisine (Pétange) depuis 30 ans et qu’il ne travaillait même pas à temps complet, car il y avait peu à faire (tout le monde étant très propre au Luxembourg, évitant de jeter les papiers gras partout).

    De façon assez surréaliste, il se plaignait de son salaire car il était très conscient qu’il gagnait… trop (environ 2000 Euros) et que selon lui, un jour le Grand Duché ne serait plus compétitif, à force de trop payer ses gens.

    Je l’ai bien rassuré, lui assurant que tant que les Français et les Belges wallons seraient assez bêtes pour penser et agir « socialistes », les capitaux mobiles continueraient à surgonfler les bilans des banques luxembourgeoises, et donc à maintenir son pays dans la plus grande prospérité.

    J’aurais pu ajouter que, connaissant bien la France, la faillite du Luxembourg n’était pas envisageable de son vivant.

    Amusant non?

    LS 

     

    11 février 2008 à 0 h 18 min
  • Observateur Répondre

    A Jean-Claude THIALET,

    Votre commentaire est vraiment excellent et j’adhère à presque la totalité de ce que vous dites.

    Toutefois je voudrais commenter les 2 phrases suivantes :

    "Malheur à ceux qui, qualifiés "d’extrême gauche" et surtout  "d’extrême droite" (1) qu’ils soient politiciens, journalistes ou écrivains ont vu s’abattre sur eux une VERITABLE CHAPE DE PLOMB MEDIATIQUE"

    Ce que beaucoup de personnes n’ont pas compris est justement que ce que vous appelez "l’extrême gauche", c’est à dire les trotskistes pour les désigner, est JUSTEMENT au pouvoir en France, sous une forme modérée certes :

    – il sont surreprésentés dans tous les médias publics et même privés comme Libération, Le Monde diplomatique, Le Monde, l’Humanité et je passe sur les médias internet… Même le Figaro reprend parfois leurs idées.

    – ils sont très fortement financés par l’état, par l’entremise d’associations ; celles-ci ont leur entrée jusqu’à l’Elysée, sont reconnues par l’état comme intermédiaires de référence,  et sont surreprésentées dans nos chers merdias que le monde entier nous envie, si j’ai bien retenu ma leçon : vous connaissez comme moi, la Halde, le MRAP, sos racisme, LDH, RESF, ATTAC, LICRA, DAL… qui sont toutes des organisations trotskistes reconnues par l’état, et travaillant de manière officielle avec l’état. Revoyez l’actualité pour vous en convaincre.

    – leurs idées sont appliquées par l’état, c’est à dire par ceux qui se font appelé "hommes de droite", Sarko et consort : entre autre l’immigration illimitée, la légalisation des clandestins, la repentance permanente, la collectivisation de la société, l’égalitarisme, le contrôle de l’information et des médias, l’antiracisme, la discrimination dite positive, le laïcisme, le financement de l’Islam, le mariage homosexuel, et ainsi de suite.

     

    D’autre part, pour commenter cette phrase : "(la faute aux Romains, et au Christianisme !)"

    Le christianisme n’a rien à voir la dedans, parce que le christianisme est par essence apolitique. Et pour donner un exemple, Jésus n’a jamais évoqué ou condamné l’esclavage qui existait pourtant largement dans tous les pays à son époque. Cet exemple extrême illustre la nature non idéologique du christianisme. S’il y a des évêques ou des prêtres gauchistes qui prennent des positions condamnables comme l’abbé Pierre, et ils sont une minorité, c’est parce que nos chers merdias leur donnent toujours la parole, donnant ainsi artificiellement l’impression que l’église est du côté des socialistes et trotskistes. En fait, rien n’est plus faux. La doctrine sociale de l’église et la philosophie chrétienne est opposée PAR ESSENCE au socialisme et en est l’antithèse même. Un exemple significatif est justement que la France était la première puissance mondiale où les gens vivaient mieux qu’ailleurs, au XVIIème et au XVIIIème siècle, du temps où le christianisme était la religion de l’état. Les choses ont commencées à se gâter ensuite avec la révolution française, largement manipulées par la franc-maçonnerie laïciste et antichrétienne, et on connait la suite.

    Cordialement

    10 février 2008 à 22 h 20 min
  • Jaures Répondre

    A Luc Sembour: Bigre! Quelle verve! Allez donc dire au smicard que revendiquer quelques euros de plus nuit au commerce extérieur mais que payer des stocks options, parachutes dorés et autres bonus sont bons pour la santé de l’économie. Mais soyez convaincant.

    10 février 2008 à 20 h 57 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    10/02/08    – "Les 4-Vérités"

    Comme Christian LAMBERT le relève lui-même les toiles "monochromes" sont achetées fort cher par des milliardaires. Pas forcément snobs d’ailleurs car, parmi ces milliardaires, il y a souvent des spéculateurs (d’aucuns disent des "investisseurs") qui savent très bien, sous couvert de mécénat, acheter de telles oeuvres sans "grande valeur esthétique" ou artistisque, avec l’intention de les revendre au prix fort à de véritables snobs. Pas forcément milliardaires quand on sait que parmi ces "snobs" figurent des Présidents de la République, du Sénat ou de l’Assemblée nationale, de Régions ou de Départements, ou de Maires qui feront payer par les contribuables leur coûteuse "passion" pour l’Art moderne.

    Et, pour reprendre le mot "monochrome" utilisé par Christian LAMBERT, tout tient en un seul mot : LA TROUILLLE ! La trouille qu’a, depuis la "LIBERATION", la droite d’avoir des comportements de "droite nationale", par crainte de passer pour  "collabo", "maréchaliste", et même pire, "antisémite". C’est Jean-François REVEL qui, sans doute le premier, avait, dans un livre consacré aux rappports entre la France et les Etats-Unis (jle titre me reviendra plus tard !) avait relevé cette trouille qu’avait la droite, sans en déterminer aussi clairement que je viens de le faire, les causes.

    Ainsi, au fil des lustres, s’est installée dans notre pays la "PENSEE UNIQUE" qui, aussi bien dans le monde de la politique que dans celui des médias, a fait que, "gauche" ou "droite", qu’elles soient l’une ou l’autre au pouvoir, c’est du pareil au même. Sauf, bien sûr, dans les discours électoraux (et encore :!) lorsqu’il s’agit de "ratisser" plutôt à gauche qu’à droite, selon le "camp" auquel on appartient. S’il n’avait pas sur "ratisser" jusque dans la "famille nationale"; Nicolas SARKÖZY n’aurait pas pu roucouler à’ lELYSEE entre deuxc "SMS", pas même à "LA LANTERNE" !

    Deux citations résument parfaitement la situation dans laquelle la FRANCE se trouve aujourdui. Les voici :

        –  "En France, voter pour la droite ou pour la gauche revient à changer de cabine à bord du TITANIC" (j’oserai même préciser, du "FRANCE TITANIC" !). Citation de Roger MINNE, ancien ministre, journaliste et écrivain "de gauche"

        –  "Il existe en France actuellement deux grands partis de gauche dont l’un s’appelle la droite." Ghislain de DIESBASCH, écrivain "de droite".

    Malheur à ceux qui, qualifiés "d’extrême gauche" et surtout  "d’extrême droite" (1) qu’ils soient politiciens, journalistes ou écrivains ont vu s’abattre sur eux une VERITABLE CHAPE DE PLOMB MEDIATIQUE qui les sépare du peuple, comme, naguère, le rideau de fer séparait de l’Occident les peuples asservis au sein de l’UNION SOVIETIQUE. Sans parler de l’arsenal juridique (2) qui se charge de ramener à l’ordre les récalcitrants qui tentent de rompre le mur du silence :!

    Mais il faut bien reconnaître que si le "peuple" n’avait pas été chloroformé par "L’ECOLE DE LA REPUBLIQUE" et par les MEDIAS, s’il avait conservé son esprit gaulois (la faute aux Romains, et au Christianisme ! dirait sans doute Pierre LANCE), et son esprit frondeur, s’il n’avait pas été transformé en autruches, la belle "toile monchromique", qu’elle soit bleue, orange, rose, rouge ou verte (les couleurs des partis gouvernementaux qui se partagent le pouvoir depuis des lustres) serait en lambeaux.

    Aussi, plutôt que de dire "DEBOUT LA REPUBLIQUE !" comme un certain Nicolas DUPONT-AIGNAN (3), je dirai, moi, DEBOUT LES FRANCAIS, DEBOUT LA FRANCE ! Il est plus que temps …

    Bonne semaine à toutes et à tous, Jean-Claude THIALET

    (1) surtout ceux "d’extrême droite" qui sont aussitôt qualifiés de racistes, d’antisémites, quand ce n’est pas de "pétainistes" voire même de "facistes" ou de "nazis". Car, au pays de la "monochromie", les gens de la politique et des médias ont toujours les yeux de Chimène pour Lénine, Trotsky, et le Che. Parfois même encore pour STALINE (la preuve en est les artères "STALINE", et autres qu’aucun édile n’ose débaptiser !). Sans parler du bobo Alain BESANCENOT !

    (2) pas seulement la "loi scélérate" (dixit Jacques TOUBON) FABIUS/GAYSSOT (aggravée depuis par Pierre LELLOUCHE !)

    (3) ce transfuge de l’UMP (il y aura mis le temps !) de l’UMP part incessamment à DUBLIN pour prêcher le NON aux IRLANDAIS qui, seuls, ont eu l’honneur de se voir proposer à referendum le "TRAITE DE LISBONNE". Je souhaite pleine réussite à ce "gaulliste" déclaré(4). En souhaitant que les chauvins Irlandais qui seraient tentés de voter "oui" changent leur vote en pensant à la condamnation de RYANNAIR (même si ce n’est pas la "Compagnie nationale", elle représente l’Irlande sur de nombreux aéroports internationaux !) sur plainte du couple NICOLAS/CARLA. Et même, pourquoi pas, à la défaite, hier, du XV au Trèfle devant le XV du Coq tricolore ! Petites causes, grands effets ! Tous les espoirs des "nonnistes" du 29 mai 2005 repose sur les IRALANDAIS !

    (4) s’il n’en reste qu’un, ce sera assurément celui-là !

    10 février 2008 à 19 h 53 min
  • Anonyme Répondre

    Kudos, Luc Sembour.

    Mancney

    10 février 2008 à 15 h 23 min
  • Luc Sembour Répondre

    Quant à Jaurès, que l’on tolère poliment depuis toujours ici, ses observations permettent de garder un contact salutaire avec la dure réalité française. Sans lui on ne pourrait pas comprendre comment la France en est arrivée là.

    Grâce à Jaurès et à ses pairs tout s’explique : au lieu de produire la montagne de richesses pour laquelle la France est (en tout cas était) gréée, les Français sont heureusement invités à s’adonner à une activité autrement plus intéressante : lutter et revendiquer. Jaurès dit bien « je préconise la lutte et la revendication ». Lutter contre qui ? Mais c’est évident : contre tout ce qui est pour et pour tout ce qui est contre… Mais pour quoi, contre qui ? C’est évident, il suffit de relire tous les bons auteurs, de St Simon, à Marx, Marcuse, Serge July, Attali-Attila, etc.…il faut lutter contre les gnomes de Zurich, le mondialisme, le Pape, Bill Gates, les lois éternelles du marché, la pesanteur terrestre associée aux lois de la thermo-dynamique (réchauffement de la planète), bref tout ce qui restera salutairement toujours impossible à contrôler. Revendiquer quoi ? C’est évident aussi : revendiquer le privilège de rester éternellement en état de revendication. Quel magnifique projet de vie que de la consommer à revendiquer ?

    Au fur et à mesure que les décennies passent, tous ces vieux socialos, soixante huitards, se rendent compte que le train est définitivement parti sans eux, que chaque jour la planète entière les ridiculise au dernier degré, qu’ils ont lutté en pure perte, qu’ils n’ont strictement rien eu. Ils ont ramé et attaqué la falaise, chargé les moulins à vent et sont tombés de leurs bourricots exténués dans des luttes d’arrière-garde. Faute d’argent, ils imaginent la « richesse » en virtuel comme dans un jeu vidéo en déclarant, comme Jaurès, que la richesse c’est les« jeunes, pauvres, ouvriers, artistes, bénévoles, étrangers, intellectuels,… ». En effet ces gens permettent d’asseoir le racket associatif et politique qui met le pain sur la table du socialiste.

    En fait, ils n’ont plus qu’un recours : intoxiquer la jeunesse pour qu’elle ne se rende pas compte que c’est exclusivement à cause d’eux qu’elle macère dans la pauvreté. Il faut à tout prix détourner l’attention de ces jeunes et leur enseigner à « lutter et à revendiquer » faute de quoi, ils auraient vite fait d’empaler vivant ces vieilles badernes et vieux « sickos » de la gauche française tous azimuts.

     

    En résumé, vu de l’extérieur par les étrangers amusés, tout se passe comme si la France ne voulait pas risquer de perdre sa place de 1-ière incontestée dans la démonstration de CE QU’IL NE FALLAIT PAS FAIRE, ni perdre le titre de "PLUS SPECTACULAIRE DEGRINGOLADE EN TEMPS DE PAIX", en passant à très grande vitesse, du rang de grande puissance au rang de nain économique et politique.

     

    Mais attention, tout le monde sait que l’Histoire de France nous a opportunément fourni des géants du sauvetage national (Charles Martel, Louis XI, Jeanne d’Arc, Henri IV et bien d’autres). Tout repreneur, redresseur, re-metteur à flots de la France ne peut que compromettre, et peut-être même détruire, notre chance de figurer au palmarès des archi-nuls, sans aucune chance compensatoire de décrocher un accessit parmi les passables, les moyens ou les bons. Sarkozy qui, comme tout avocat, ne sait que parler et dire mais s’empêtre toujours plus pour faire, ne semble plus du tout en mesure de faire perdre à la France ses nouveaux titres de célébrité.

     

    Rappelons que le peuple français partait en 1965 d’une plutôt bonne, voire excellente, situation sur presque tous les points, et, armé du bagage très précieux de siècles de brillantes avancées sur les plans, spirituels, intellectuels, culturels, scientifiques, technologiques, il bénéficiait de gros capitaux, gérés par de puissantes banques. Ce peuple portait aussi les lourdes cicatrices de nombreux traumatismes et avait donc l’expérience y attachée.

     

       Partant de cette base solide, depuis plus de quatre décennies, les Français ont beaucoup travaillé, avec détermination, à s’améliorer encore. Utilisant tout le credo de gauche, ils ont trimé, bâti, réorganisé, aménagé, édicté des centaines de milliers de nouvelles lois bonnes et justes, fait payer les riches, institué des syndicats tout-puissants entièrement dévolus à la défense de leurs intérêts, perfectionné leurs institutions déjà très performantes, embauché des millions De fonctionnaires très diplômés, donné le bac à toute sa jeunesse bigarrée, voté pour des politiciens dévoués et jurant comme Topaze de Pagnol, le désintéressement et le dévouement, communiqué à la vitesse de la lumière sur un internent généralisé à tout et tous, payé tous les impôts nécessaires pour financer un Etat toujours plus tentaculaire et omniprésent, emprunté sans hésitation et sans limite pour le solde, promis des retraites dorées à tous les héros de cette saga économique, afin de s’Elever toujours plus haut. Le résultat atteint est tout simplement surnaturel: une situation économique, disons-le sans fausse modestie en février 2008, EXECRABLE. 40 milliards d’Orose de déficit commercial pour 2007.

       Ceci sans l’excuse d’une guerre, d’un cataclysme naturel, d’une pandémie microbienne ou virale, d’une invasion hostile armée, d’une occupation étrangère définitive (encore que… 

       Notre voisin l’Allemagne, entièrement ravagée en 1945, ayant perdu des millions d’hommes à combattre le monde entier, coupée en 2 pays séparés, puis réunifiée alors que l’Est avait été ramené à l’état de sous-développement du tiers-monde par une gouvernance de gauche, connaît en 2007 un excédent commercial de 199 milliards d’Euros.

     

       La performance objectivement phénoménale, de la France ne doit pas être minimisée.

       Battant tous les records de contre-performances, elle devient «intouchable», dans la course à l’abîme, tant son avance dans le know-how socialiste à s’auto-détruire est parfaitement possédé par un grand nombre de français éduqués et est religieusement entretenu par de nombreux « Jaurès ».

       La France de "l’Exception Française", avec son "Modèle-Social-Que-Le-Monde-Entier-Nous-Envie", mérite le respect accordé à tous les cas pathologiques inextricables.

       Cette formidable aptitude à dégringoler lentement, est un capital précieux et rare, dans un monde qui se développe, croit et se fortifie à pas gigantesques.

       Car, comme l’Amérique des USA qui est "on a mission (= messianique)", la France a bien aussi une MISSION. La vocation universelle de notre patrie est de contribuer efficacement et réellement à l’édification de l’humanité par la force de l’EXEMPLE à NE JAMAIS IMITER. Merci donc à Jaurès.

    10 février 2008 à 1 h 03 min
  • Observateur Répondre

    Monsieur Christian Lambert, je pense que vous avez tout compris. 

    Je pense, en effet, que la France est le pays en Europe, où il y a le plus de différence entre sa classe politique dogmatique, idéologue, incompétente, corrompue et gauchiste et le peuple qui dans l’ensemble garde encore un peu de bon sens mais qui est trompé en permanence par les médias qui travaillent pour le système : dans aucun autre pays, on trouve des partis qui font semblant de s’opposer, qui sont en situation de monopole partout, et qui poursuivent inlassablement la même politique et qui est très cohérente (dans sa logique interne) si on l’analyse bien. Un système dans lequel la politique est toujours la même et opposée à la volonté du peuple, est la définition même d’une dictature, les goulags en moins. Que le système soit dirigé par un seul parti, ou bien par plusieurs partis ne change rien à cette constation.

    La classe politique française est SOCIALISTE (UMP, UDF, PS…) ou COMMUNISTE (VERTS, trotskistes, PC…) et pour un gouvernement mondial socialiste, ou bien une oligarchie supranationale socialiste, et donc est anti-démocratique et travaille contre le peuple (Tous les partis). Mais derrière les classifications, il n’y a pas de différence fondamentale entre eux, puisque les communistes veulent parvenir tout de suite à ce que les socialistes veulent obtenir progressivement, soit une société égalitariste, collectiviste, contrôlée et plannifiée par l’état tout puissant, avec des individus soumis et broyés par l’état.

    A l’opposé, le peuple est pour la défense des valeurs françaises ou occidentales, pour plus de liberté, pour la démocratie, pour le droit du peuple à décider par lui-même, contre la corruption, contre les totalitarismes comme l’Islam, le maçonnisme, le mondialisme, le socialisme, le relativisme…

    Les politiciens français qui ne rentrent pas dans ce schéma sont inexistants sur la scène médiatique, ou bien se compromettent systématiquement avec la Nomenklatura, ou bien font semblant de s’opposer à elle, et finalement trahissent toujours leurs électeurs, par compromission, extrême orgueil, bêtise, lâcheté ou arrivisme. 

    Alors, que peut-on attendre ? Rien de la classe politique actuelle en tout cas et peut-être attendre que le système s’effondre dans une faillite généralisée, ce qui sera peut-être la meilleure chose qui puisse nous arriver.

    8 février 2008 à 14 h 24 min
  • Anonyme Répondre

    A toutes les époques, ce qu’il est convenu d’appeler la droite : la classe dominante et qui a de ce fait toutes les raisons d’être satisfaite de son sort, a eu un comportement suicidaire. Ainsi, et à titre d’exemple, les premiers promoteurs de l’idéal révolutionnaire, en France comme ailleurs, ont été et demeurent les aristocrates bien pensant, par lesquels les nantis se donnent bonne conscience. Viennent ensuite ceux qui, au nom des classes défavorisées s’approprient leur compassion bêlante pour en faire des revendications rugissantes. Et ce sont ces derniers, car ils n’ont rien à y perdre, qui font l’histoire (ou la défont), toujours au nom de la même compassion, à la différence près qu’elle gagne en hypocrisie, car rien de tel qu’un ancien pauvre pour faire un riche pire que celui qu’il remplace. Et pendant que les uns et les autres se chamaillent ou s’étripent, la grande cuisine continue de mijoter. La taille du chaudron seule change –de provinciale, puis nationale, puis régionale, puis continentale, elle devient mondiale– mais la droite –l’occident tient ce rôle aujourd’hui– reste toujours aussi stupide pendant que la gauche –les pays submergents– s’apprêtent à lui manger la laine sur le dos. Et c’est ainsi qu’un jour viendra où certains se demanderont peut être : Mais où est passée la droite (planétaire) ?

    7 février 2008 à 23 h 32 min
  • Jaures Répondre

    A Dombert: Quand vous citez quelqu’un (en l’occurence A.Roumanoff) n’oubliez pas de mettre des guillemets: des naïfs pourraient croire que c’est de vous.

    Quant à la France que décrit C.Lambert, c’est une vision émanant d’un réac probablement sexagénaire empétré dans ses vieilles valeurs judéo-chrétiennes, qui voit dans tout ce qui ne lui ressemble pas (jeunes, pauvres, ouvriers,artistes,bénévoles,étrangers,intellectuels,femmes,…) des dangers potentiels pour ses vieux jours ennuyeux et qu’il réunit dans une catégorie (rouge) facile à concevoir et à repérer. Un peu comme ces enfants rassurés d’avoir trouver la petite balle qui entre dans le trou de la même couleur.

    Pour les autres qui ne sont pas satisfaits de la vie actuelle mais qui ne voient en l’autre non pas un danger potentiel mais une richesse, je préconise la lutte et la revendication. Cela me paraît un tantinet plus exaltant que les pleurs orgontesques d’un éditorialiste désabusé et aigris.

    7 février 2008 à 18 h 17 min
  • richard Répondre

    En France il n’y a plus de droite
    il y a un machin informe  : l’UMPS

    7 février 2008 à 17 h 43 min
  • Dombert Répondre

    … Réflexion idiote de Du Merac. Résultat sans doute de décennies d’intoxications gaullistes et marxistes.

    7 février 2008 à 8 h 36 min
  • VITRUVE Répondre

    AVE
    tout est dit
    Primo, et s’appliquant aussi à la droite traditionnelle, à force de casser les oeufs du nid pour éviter qu’un jeune étalon ne les remplace, tous nos vieux cormorans de la politique ont ringardisé le système.

    Secondo, continuer à subir tous ces ex-maos de 68 qui, aujourd’hui encore, sur tous les médias continuent de donner leur vision de ce monde tout en animant les nuits parisiennes est aussi délétère que la catastrophe annoncée par leurs remplaçants : les gugusses du show-biz, à savoir les Ruquier, Carlier et tout leur cortège d’"artistes" et d’ "intellectuels" issus du sentier et de l’immigration clandestine.

    Voir et entendre aussi l’animateur des matins de FranceCulture  glousser tous les soirs sur le "grand journal" de canal+ explique assez bien la confusion des genres.  Charlie hebdo est en passe de doubler le Point et le Nouvel Obs pour l’ analyse politique, cela résume tout!
    Devenez racaille ou canaille, la vertu n’est plus récompensée, "c’est à la roue qui grince le plus qu’on donne de l’huile" proverbe lorrain
    VALE

    7 février 2008 à 6 h 16 min
  • Dominique Du Merac Répondre

    Je croyais que tout le monde savait deja…:

    en France il n’y a plus (ou presque) de droite …ceux qui se disent de droite sont en fait de centre gauche, et plus a droite que ca , il y a l’extreme avec les fachos de Mr.Lepen….

    6 février 2008 à 17 h 32 min
  • Anonyme Répondre

    Quelque soit le nom que vour leur donnerez,  il semble qu’il y aura toujours deux camps dans les démocraties : le camp des winners, ceux qui ont su et pu s’exprimer, batir, et vivre dans leur pays, et celui des loosers, des frustrés, dont le succes est plutot limité. (ces derniers, conscients de leur "manque individuel", vont evidemment chercher a se regrouper et passeront maitres dans le prosélytisme et la manipulation; c’est vital pour eux.
    Autrement dit, dans une société ou la grande et nombreuse classe moyenne est successfull, "satisfaite", vous aurez un gouvernement stable et de winner, car la majorité ne souhaitera surtout pas le "changement" de ce qui lui permet de fonctionner.
    L’erreur des gouvernements francais depuis, disons un certain temps, a été d’emm… der, d’une facon ou d’une autre, la classe moyenne, support dominant de la démocratie, de la gener dans son travail, dans son rapport travail/gain, dans sa qualité de vie, matérielle ET spirituelle, et donc de la vider de ses composants de citoyens "satisfaits". 
    Alors, badaboum, et l’on voit les électeurs de qualité, décus et pour cause par les administrations successives (pourquoi croyez vous que le "Changement" soit le THEME de toutes les campagnes présidentielles depuis 1969? Meme aux USA, ils y viennent!! avec Obamamama en tete!) ces électeurs décus, donc, vont aller voter comme tous les mécontents professionnels, les loosers et les paresseux, les profiteurs et les mal-dans-leur-peau; des gens de fonctionnement foncierement différent vont s’allier pour obtenir un "changement" a ce systeme qui les maltraite, ils vont s’allier, dans l’anonymat des urnes, pour tenter, a juste titre, de re-créer un environnement apte a la vie qu’ils souhaitent, apte a leur recherche du bonheur. Et ceci est l’histoire de notre pays depuis au moins 50 ans.
    Peut etre qu’un jour, un gouvernement saura satisfaire la grande majorité des Francais, c-a-d la classe moyenne, (et tout le monde sait tres bien ce qu’il faut faire pour cela, car ceci est juste du bon sens) et comme par hasard, ce gouvernement y trouvera sa stabilité. Voila le petit projet que l’on peut souhaiter a la Droite.
    Alors, et seulement alors, on ne manquera pas de chercher a aider les insatisfaits, individuellement, et en fonction de leur motivation personnelle a participer a leur amélioration.
    En attendant ces jours bénis de Dieu, on peut toujours se demander si l’expansion de l’Islam en France, en tant que Civilisation, Code Politique, et Mosquées, est bien ce que souhaitent les Francais, est bien ce dont ils ont besoin pour trouver la joie de vivre, car c’est ce qui se passe en ce moment meme.

    Best,

    Mancney

    6 février 2008 à 16 h 38 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Vous avez raison, ce pays est foutu!

    <<Let’s get the hell outta here!>>

    6 février 2008 à 15 h 04 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    Magnifique tableau de maître, et très bon artiste. En touches impressionistes tout est exprimé.

    LS

    6 février 2008 à 15 h 03 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Vous avez raison, ce pays est foutu!

    <<Let’s get the hell outta here!>>

    6 février 2008 à 15 h 00 min
  • Anonyme Répondre

    La droite connaît le même sort que la gauche. L’une et l’autre se diluent dans une ouverture qui voudrait mettre fin à cette situation d’une stupidité bien franchouillarde, qui interdit à qui n’est pas au pouvoir d’être favorable à la meilleure des initiatives de qui le détient.

    Voilà qui est bien fait pour dérouter les Gaulois, pour qui la chicane vaut mieux que le résultat.

    Sans doute un pouvoir contrôlé sur sa droite comme sur sa gauche par une opposition plurielle peut-il être plus efficace et mieux faire qu’un bloc face à un autre. Certains résultats récents tendent en tout cas à le démontrer, dont le dernier est la participation déterminante de la France à la relance de l’Europe.

    6 février 2008 à 7 h 50 min
  • Dombert Répondre

    En fait de droite, on nous sert plutôt du cassoulet: Une petite saucisse entourée de fayots.

    6 février 2008 à 4 h 03 min

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