Masochisme et démence antiraciste

Masochisme et démence antiraciste

Jacques-Yves Rossignol

On nous persuade (éventuellement à l’aide d’amendes ou de séjours en prison), qu’il ne faut pas être « raciste », qu’il faut accepter, tolérer les autres races, les autres cultures.
La question qui n’est jamais posée est la seule qui mériterait de l’être : est-ce que cet « anti-racisme » tend vers plus de justice, vers un niveau supérieur de civilisation ?

Les notions de justice, de recherche du bien commun, et d’équité, semblent totalement étrangères à ces moralistes à démarrage automatique.
Le penseur politique et l’anti-raciste sont en fait aux antipodes l’un de l’autre : l’un est un homme fait, l’autre est une mécanique mentale.
Des milliers, des millions d’hommes de race blanche sont dans cette situation de morts-vivants, mentalement suicidés, leur seul « rêve » semblant consister à entraîner toute leur race dans leur enfer mental et moral.
Comment en est-on arrivé là ?

Un anti-raciste, c’est un bourgeois blanc masochiste, vivant dans l’ordre de la sensualité, dont l’industrie culturelle a interdit le développement mental, et qui refuse farouchement d’user de la raison.
L’histoire de cette démission mentale de larges fractions de la bourgeoisie, intellectuels et artistes surtout, est bien connue. Mais on n’a pas vraiment fait le lien avec l’apparition, chez certains d’entre eux, et aussi chez certains politiques et capitalistes purs, d’un véritable délire masochiste spécifiquement anti-raciste.

Ce sont des « scientifiques », aux facultés mentales déjà largement atrophiées, qui ont décrété, vers 1950, l’égalité des races.
Ces « scientifiques » vendus aux capitalistes dégénérés vont pratiquement cautionner un processus de destruction et d’éradication totale de la race blanche qui ne pourra plus jamais retrouver les conditions de développement de ses facultés mentales spécifiques.
Rien de plus facile ensuite que de transmuter ce délire en législation.

Bien avant 1980, les gauchistes nageaient déjà dans la démence anti-raciste et tiers-mondiste qui deviendra l’équipement mental spécifique des néo-bourgeois « bohèmes » pour poursuivre le peuple blanc de leur haine insatiable.
On pourrait dire qu’un individu de race blanche est, aujourd’hui, victime de discrimination raciale à temps plein, de sa naissance à sa mort, puisqu’il ne se trouvera jamais dans des conditions de vie lui permettant de développer les facultés mentales spécifiques de sa race.
Ce n’est évidemment pas en ce sens que les juristes néo-bourgeois ont introduit la notion de discrimination raciale. On voit là, précisément, les limites de leurs moyens mentaux.

Précisons, pour bien nous faire comprendre : ce n’est pas seulement à chaque fois qu’il est insulté ou molesté qu’un blanc pourrait se dire victime de « discrimination raciale », mais bien à chaque instant de sa vie, puisque l’ensemble de la bourgeoisie anti-raciste le contraint à « vivre » dans un enfer multiracial ne lui permettant pas de développer ses facultés mentales spécifiques.
La race blanche n’est pas simplement « discriminée » ; elle est interdite. Elle reste interdite aussi, stupéfaite, hébétée de ne pouvoir être elle-même.

L’étude de ce gigantesque processus d’interdiction mentale et morale d’une race a, à peine, été esquissée.
Alors qu’elle détermine l’ensemble des non-pensées, des bavardages, des impasses morales, des injustices constamment aggravées depuis trente ans en Occident.
Concluons : il n’y a jamais eu ni racisme, ni antiracisme dans ce monde, tout simplement parce que ces mots sont dépourvus de sens politique ou moral efficient. Il n’y a eu, depuis un siècle environ, qu’un épouvantable processus de destruction mentale de la race blanche, de mise en interdit mentale de la race blanche lui interdisant définitivement, entre autres, de penser le vrai et le faux, le juste et l’injuste. L’invention du fantôme nommé « racisme » est constitutive de ce processus historique.

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Comments (1)

  • mag Répondre

    ” Ce sont des « scientifiques », aux facultés mentales déjà largement atrophiées, qui ont décrété, vers 1950, l’égalité des races.” Bien d’accord avec votre excellente analyse sur le raçisme ! Tout est maintenant prétexte à raçisme , cela me fait penser au régime de la terreur !

    4 novembre 2011 à 18 h 06 min

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