Néologismes

Néologismes

Il n’y a pas de mots pour décrire ce qu’il se passe en Europe aujourd’hui. Il va falloir en créer.

Par exemple : Décadençogène, décadençophile, décadençophobe, décadencifier, décadencification.

Ces quelques mots construits à partir du mot « décadence » sont absolument nécessaires pour décrire la situation actuelle.

Il est évident que les gouvernements sont à genoux devant les banques et les banques à genoux devant les « marchands ». Ce monde est un monde du négoce. En 1789, la révolution française abattait l’aristocratie du sang, mais la remplaçait aussitôt et fort malheureusement par une autre aristocratie, celle des « marchands », c’est-à-dire celle du fric… la noblesse en moins.

La civilisation, le peuple… les marchands n’en ont rien à foutre. Ils sont totalement immoraux.

Tout ce qui les intéresse c’est de faire des affaires et tient en un mot : le fric, le fric, le fric, le fric, le fric, le fric, le fric, le fric, le fric, le fric, encore et toujours LE FRIC.

Un brin de décadence par-ci, un brin de décadence par-là de temps en temps ou même la décadence totale n’est pas pour leur déplaire. Là aussi, il y a des affaires à faire : surpopulation, salaires de plus en plus bas, marché noir, etc, etc, etc.

Il est nécessaire de décadencifier les pays de temps à autres pour mieux se remplir les poches. Ce que les marchands, qui dirigent le monde s’empressent de faire actuellement sans l’ombre du moindre scrupule. Mais ils ne sont pas seuls à œuvrer pour la décadence de l’Europe. Ils ont trouvé dans la gauche traditionnelle, dont le fond de commerce est la misère, un auxiliaire inespéré et des plus zélés.

Les « marchands » et les « gauchistes » sont décadençophiles par nature.

Malheureusement, ce sont ces deux engeances-là qui se succèdent à la tête du pays et de tous les pays d’Europe depuis des générations.

Evidemment pour eux, tout ce qui est décadençophobe représente le mal absolu et est à combattre et à exterminer sans pitié.

Aujourd’hui tout est bon pour décadencifier l’Europe : alors que nous sommes en surpopulation dans tous nos pays, on assiste à une introduction massive et innombrable de populations minables d’outre-méditerranée, à la promotion et à la glorification de la religion la plus immorale, rétrograde et conne du monde, à une interdiction féroce de toute forme d’amour-propre et à une propagande forcenée, incessante, continuelle et permanente du métissage.

La décadencification est en marche !

Le but c’est la décadence de toute l’Europe, notre belle Europe… c’est la décadence de la France, notre belle France…

Une aubaine pour les marchands qui pourront faire produire à moindre frais et pour les gauchistes qui auront encore plus d’électeurs. Ce qu’il se passe actuellement est tout simplement un génocide progressif des blancs, trop chers, trop rétifs, trop intelligents. Les marchands et les gauchistes auront sous peu leurs « chinois » sur place. Plus besoin de délocaliser. Nous allons devenir peu à peu les valets de la planète.

Etre décadençophobe est le DEVOIR de chacun !

La haine que la droite et la gauche portent à tous les décadençophobes, c’est-à-dire tous les nationalistes, est évidemment immense. Ils ont même lancé une mode très classe, très dans le vent, très « in », très snob, de chasse à courre au décadençophobe. Mais cette chasse est tellement cruelle et imbécile que même les chiens et les souchiens de la meute n’obéissent plus et commencent à se retourner contre les « nobles » cavaliers.

C’est sûr… ILS NE VONT PAS TARDER À SE FAIRE BOUFFER !

Christian Weiss

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Comments (6)

  • Tucroy Répondre

    Il y aussi “Submerdation” Voici, à quelques mots près, une communication parue dans un numéro de la presse Philosophique, poétique et satirique des années 80 sous la signature de Y. Truoc : Pour contribuer à l’enrichissement de la langue française. Submerdation substantif féminin, donnant le verbe submerder, dont l’académie ne saurait manquer de publier la conjugaison dans un proche avenir. Submerder quelqu’un ou quelque chose, c’est l’enfouir sous les immondices ; le recouvrir d’ordures, de crasse, de déchets, etc. [ou de produits plus nobles, tels le pétrole et ses innombrables dérivés par exemple] NDLR La submerdation peut être provoquée volontairement ou non, mais il a été observé que sa forme involontaire, et même inconsciente, est la plus courante. Ex. En dépit de son pourcentage recyclable, la masse d’excréments qu’a produite l’humanité et qu’elle continue de produire la submerge, ou plus directement, plus simplement, la submerde. S’emploie au simple comme au figuré. Il peut y avoir submerdation physique – gazeuse, liquide ou solide – ou morale. Il est d’ailleurs constaté que l’humanité approche, en de nombreux endroits du globe, d’un état de submerdation à la fois morale et matérielle. Il est à craindre que sous l’un ou l’autre de ses aspects, la submerdation ne provoque l’asphyxie des populations qu’elle touche et ceci jusqu’à ce que mort s’ensuive. Des études sont actuellement menées pour déterminer la masse exacte d’immondices de toutes sortes produite par l’humanité depuis ses origines. Les savants qui se penchent sur la question espèrent pouvoir de la sorte situer avec une précision suffisante l’époque à laquelle l’homme devrait disparaître de la surface de la terre, s’enlisant d’abord puis disparaissant sous la couche de ses propres excréments et autres saletés lorsqu’elle aura atteint une épaisseur suffisante, ce qui ne saurait tarder. La submerdation pour être combattue efficacement, requiert de puissants moyens dont l’arme nucléaire. Celle-ci s’avère être la solution la plus radicale, par vitrification de la masse sur une épaisseur suffisante pour assurer la fossilisation de l’espèce. Substituant un état de submerdation à un autre, cette issue n’est cependant pas sans poser nombre de problèmes qui devront être résolus le moment venu. Face à la montée du péril, des “écologistes” se sont donné pour mission de prévenir et combattre la submerdation en limitant dans un premier temps leurs préoccupations à sa dimension matérielle. Eux-mêmes touchés par le fléau dans ses manifestations morales, il est à craindre que cela les condamne à l’impuissance, d’où quelques craintes d’aggravation de la situation générale en débit de leurs louables efforts. Les deux formes de submerdation sont cumulables, sans que la prédominance de l’un ou l’autre ait pu être fixée avec certitude. Il paraît par contre peu probable de combattre efficacement la submerdation matérielle si une immunisation n’a pas d’abord été opérée du point de vue moral. A noter que les volontaires traités à cette fin ont opposé une vive résistance au vaccin. Seuls les jeunes humains semblent susceptibles de combattre la submerdation. Malheureusement, les effets de l’hérédité se font sentir chez la plupart d’entre eux, paralysant leurs facultés et les rendant souvent définitivement inaptes. Une telle impuissance a souvent pour origine la connerie – nom donné à la submerdation morale avant que ce fléau n’ait été identifié avec suffisamment de précision pour que lui soit attribué un nom excluant toute confusion. Ainsi des parents atteints de connerie donnent le plus souvent des enfants totalement incapables de combattre la submerdation et comme le nombre de sujets atteints a crû à une vitesse inquiétante ces dernières années, les milieux autorisés se demandent s’il reste encore une population suffisante d’individus capables de constituer la force d’intervention dont l’humanité ressent le besoin chaque jour plus pressant. Voir http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com

    10 janvier 2012 à 7 h 05 min
  • Blanc Répondre

     Je pense qu’il est temps aujourd’hui, pour chacun de nous, français, européen de souche, de choisir un territoire sur notre sol et de nous y transporter peu à peu pour pouvoir ENFIN vivre entre nous, loin de tous les macaques, les canaques, les bantous, les zoulous, les papous, les pygmées et les bédouins-bêlants de la planète que l’on nous impose.

    C’est très possible.  Il suffit de vouloir faire sa vie sur ce territoire « choisi » et de déménager.

    Il vaut mieux une petite France, sûre, qui évolue normalement et tranquillement que cet hexagone grotesque,  minable,  décadent et irrespirable.

    Ils la veulent la France… d’accord… mais sans nous… qu’ils se démerdent… nous ne sommes pas leurs valets !

    8 janvier 2012 à 14 h 17 min
  • Anonyme Répondre

     

    La France pays des droits de l’Homme ! … mais c’est faux, totalement FAUX !On ne respecte rien.
    Les noirs veulent vivre entre noirs, les maghrébins entre maghrébins, les blancs entre blancs, les musulmans entre musulmans, les chrétiens entre chrétiens… tout le monde le dit, le clame, le hurle.
    Conclusion… : RIEN !
    Malgré les cris de toutes les communautés on n’en tient absolument aucun compte de leurs désirs. On les mélange de force.
    C’est inhumain… criminel !

    NON, FRANCHEMENT CE PAYS EST DEVENU UN CLOWN GROTESQUE AU NEZ ROUGE ET AU MANTEAU D’ARLEQUIN.

    VIVEMENT MARINE !

    8 janvier 2012 à 13 h 11 min
  • Pierre-Alexandre Répondre

    Sans aucun doute le meilleur texte qui m’est été donné de lire sur le sujet. Un grand merci et un grand bravo à Christian Weiss. La vérité dans toute sa splendeur. Enfin un homme qui ose exprimer sans ambages la pensée de millions de français impuissants devant une situation dramatique qui est appelée à le devenir encore bien plus.

    7 janvier 2012 à 16 h 08 min
  • Aphrodite Répondre

    Excellent article plein de vérités. Nous sommes à présent bien certain de la disparition de notre belle culture française sur l’autel du profit. Le livre “les corps indécents” prédit la même chose mais d’une façon plus élégante. Comment les français ne peuvent-ils pas avoir conscience de cette situation dramatique qui le sera encore plus pour leurs enfants et petits-enfants ? A croire qu’ils sont sourds et aveugles pour ne pas réagir. Quand on connait le sort réservé aux minorités chrétiennes dans les autres pays, il y a de quoi se faire bien du souci. Et les autochtones français seront bientôt minoritaires sur la terre de leurs ancêtres !! Malheur aux vaincus !

    7 janvier 2012 à 12 h 08 min
  • Anonyme Répondre

     

    Pas mal. Continuez.

    7 janvier 2012 à 0 h 18 min

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