Nicolas Sarkozy, candidat de toute la droite !

Nicolas Sarkozy, candidat de toute la droite !

Le 6 mai, pour le deuxième tour de ces élections présidentielles, je vais voter pour Nicolas Sarkozy. Voici pourquoi :
Il y a longtemps que la situation économique n’a été si périlleuse. Dans ces circonstances, le président sortant sera moins déraisonnable que son concurrent.

Certes, ils partagent tous deux les mêmes illusions interventionnistes. Ils disent vouloir « relancer » la croissance. L’un comme l’autre a en tête de maintenir le plus longtemps possible une politique funeste de taux d’intérêt aussi bas que possible. L’un comme l’autre s’imagine que l’Eu­rope pourrait prendre le relais de l’endettement des États. Mais le premier, plus que le second, a compris qu’il fallait engager des réformes de structures, pour faire sauter des obstacles à la croissance, sur le terrain du droit du travail en particulier.

Jamais les conséquences dramatiques de la non-maîtrise de l’immigration n’ont été aussi visibles. Et, au cœur de ce chapitre, il y a la question du développement exogène de l’islam.

Je trouve, à cet égard, le bilan de M. Sarkozy bien médiocre. Mais je crains bien pire avec les socialistes, dont l’appareil, jusqu’à nouvel ordre, est toujours dirigé par Mme Martine Aubry.

Jamais notre démocratie n’a été si peu représentative. À eux deux, les finalistes du 22 avril n’ont pas réuni une majorité des électeurs inscrits !
La solution est le recours à la démocratie directe, avec la possibilité de référendums d’initiative populaire. Le chef de l’État y était d’abord très opposé. Il a commencé à évoluer en faisant voter la modification de l’article 8 de la Constitution. Réforme beaucoup trop limitée et verrouillée. Il y a quelques mois, il s’est déclaré partisan de consulter le peuple souverain sur plusieurs sujets sensibles. Il a évolué sur ce sujet. Dans la bonne direction. Il peut faire un pas de plus… Rien n’indique que son concurrent soit dans la même disposition.
Jamais la division de la droite n’a été aussi absurde et aussi dangereuse, pour elle et pour le pays.

Le spectacle de la soirée médiatique électorale du 22 avril était surréaliste. D’un côté, à gauche, le rassemblement immédiat et unanime (à l’exception anecdotique de Nathalie Arthaud) derrière l’étendard de François Hollande, et de l’autre, à la fois la prudence de François Bayrou et le choix du vote blanc à peine dissimulé pour le parti de Marine Le Pen.
Pour le premier, rien à dire. Sous la Ve République, un centriste sera toujours quelqu’un ignorant superbement la logique des lois électorales diaboliquement majoritaires…

Pour la seconde, je n’ignore pas (moins que personne) les effets dévastateurs de trente années d’ostracisme, dont un certain Jacques Chirac s’est voulu le héraut « exemplaire ». L’apaisement, à cet égard, pour ne pas dire le rapprochement, nécessiterait un minimum de bonne volonté, de part et d’autre. Nous n’en sommes pas là. C’est ainsi.

C’est pourquoi, dans le cadre de cette chronique, conscient d’une certaine (modeste) responsabilité, je m’adresse davantage aux électeurs du Front National, où je sais compter quelques amis, qu’à ses dirigeants, qui connaissent bien mes positions – et ma sympathie – exprimée publiquement dans ces colonnes depuis plus de quinze ans.

Il n’est pas vrai que, dans les circonstances présentes, Sarkozy ou Hollande, ce soit blanc bonnet et bonnet blanc. Pour les trois raisons évoquées plus haut. Et pour une quatrième, que je veux développer ci-après.
À partir d’aujourd’hui, la droite est à reconstruire.

Les 10 et 17 juin, il y aura des élections législatives au scrutin majoritaire à deux tours. Et, dans plusieurs dizaines de circonscriptions, des triangulaires, où des candidats du FN seront, personne n’en doute, en position de se maintenir et probablement d’être élus.
Certains apprentis sorciers peuvent s’imaginer qu’une défaite cuisante de l’actuel chef de l’État ouvrirait la voie à une recomposition « à chaud » de la droite, la « vraie » supplantant alors la « fausse ».

Ce serait sans compter sur les apparatchiks de l’UMP, qui, dans une telle circonstance, opteront sans doute pour une forme de politique du pire, les amenant à faire le choix dit du « front républicain », et préférer un candidat PS plutôt que FN. Alors que si Sarkozy l’emporte, grâce à un bon report des voix du FN, un tel choix sera plus difficile à soutenir.

Et si Sarkozy ne l’emportait pas ? Eh bien, l’entente à droite a plus de chances de prévaloir, si les électeurs de Marine Le Pen ne peuvent pas être tenus pour les artisans de la victoire de François Hollande, qu’il faudra immédiatement combattre.

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Comments (14)

  • Anonyme Répondre

    @FAUSTINE

    De qui parlez vous en écrivant "catholiques"?  Pratiquement toute la hierarchie de l’Eglise est passée de psycho-rigide, parfois bornée – que j’ai connue dans mon enfance – a super laxiste, voir pro-muslim.

    Quand des évèques vont souhaiter, en bons dhimmis qu’ils sont devenus – un bon ramadam aux islamistes, il n’y a vraiment rien a espérer de ces gens là. Est ce que les musulmans souhaitent un bon paradis aux chrétiens qu’ils égorgent?

     Et pourtant j’ai été baptisé et veux croire en Dieu. En Dieu, pas en de pseudos représentants qui ne sont que des faux-nez gauchistes.

     

    8 mai 2012 à 16 h 44 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    " Pour la Foi , le Tsar et la Patrie " ( car telle est la devise des Cosaques )  je vote Vladimir Poutine

    6 mai 2012 à 15 h 20 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    qui l’emportera du REJET de Hollande ou de CELUI de Sarkozy ?
    quand on y réfléchit , il semble bien que ce soit sur ce thème que se fera l’élection du Président en des jours qui s"annoncent sombres pour l’ Occident  …
    vive la Révolution Nationale !

    6 mai 2012 à 10 h 39 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    qui l’emportera du REJET de Hollande ou de CELUI de Sarkozy ?
    quand on y réfléchit , il semble bien que ce soit sur ce thème que se fera l’élection du Président en des jours qui s"annoncent sombres pour l’ Occident  …
    vive la Révolution Nationale !

    6 mai 2012 à 10 h 38 min
  • François Répondre

     Faustine, vous vous plaignez avec raison de ce qu’a fait Giscard en 74 et regrettez qu’il ait été élu. Faut il vous rappeler que son adversaire de l’époque était Mitterand. En 81, vos souhaits de 74 ont été réalisés. Alors, maintenant, dites nous laquelle des deux périodes a été la pire?

    6 mai 2012 à 10 h 28 min
  • IOSA Répondre

    Plus personne ne souhaite la réélection du candidat président sortant et le pire, c’est que l’on est à se demander si la voie hollande est le moindre mal pour les 5 années à venir.

    Cet état d’esprit est la conséquence directe de la politique sarkosienne qui consiste à brasser de l’air et augmenter le profit de ses amis au détriment du peuple.

    Alors autant voter blanc et subir le socialisme pour une durée somme toute très limitée, puisque Hollande sera dans le collimateur de toute la droite et surtout des siens.

    Ce qui ne sera absolument pas le cas pour Sarkosy, en cas de réélection ce sera une procuration générale pour nous asservir davantage. 

    IOSA

    5 mai 2012 à 17 h 04 min
  • Faustine Répondre

    Pourquoi la défaite de Sarkozy est synonyme d’espoir Depuis que les sondages donnent François Hollande favori des suffrages, c’est la panique totale à bord du navire catholique : nous retrouvons le réflexe conditionné du droitard, génétiquement programmé pour voter contre son camp jusqu’à la fin des temps. L’appel se propage dans toute la “cathosphère”, des “cathos mous” et libéraux aux “nationaux-catholiques” : avec parfois des précautions d’usage et de forme (“moindre mal”, “c’est loin d’être parfait mais on n’a pas le choix”, etc…), Nicolas Sarkozy est présenté comme le nouveau rempart. J’ai pour ma part reçu en dix jours une soixantaine (! véridique) de courriels allant dans ce sens, dont beaucoup d’expéditeurs que je ne connaissais pas, avec une accélération très nette ces dernières 24 heures. La plupart de ces envois étaient des “redirections”, aux contenus généralement très sincères, d’autres beaucoup plus agressifs et culpabilisants envers les électeurs de Marine Le Pen (dont je fais partie), ou supposés comme tels. L’ écrasante majorité de ces courriels provenaient manifestement d’électeurs de Nicolas Sarkozy le 22 avril. En tout apaisement et dans un souci d’équilibre, (voire de “débat”, puisque ce mot est très à la mode !”), je me permets à mon tour de donner une modeste position. J’espère que ces lignes seront lues jusqu’au bout et respectées, et pourquoi pas, redirigées. En effet, si nous votons relativement à l’immédiat, nous voterons sempiternellement pour cette droite qui fait tout passer en douceur quand elle est au pouvoir. En 1974, mes grands-parents anti gaullistes depuis 1944, quoi que l’un et l’autre pour des raisons opposés à cette date, avaient voté Giscard, comme fin du gaullisme et contre la gauche socialo-communiste. Et bien ils furent servis : loi Veil, simplification du divorce, regroupement familial des immigrés d’Afrique du Nord et d’Afrique Noire, carte de séjour de 10 ans automatique, explosion fiscale, début de l’eurofédéralisme, et premier budget de la Vème République en déficit, avec recours à l’emprunt auprès d’organismes internationaux, bref tout ce dont nous souffrons encore, et que Mitterrand ne fit que poursuivre, la progression fiscale ayant été moindre pour chacun de ses septennats qu’avec Giscard. Aussi, je ne crois pas à Sarkozy comme rempart contre le mariage homosexuel, etc…. Chacun d’entre nous sait que, sans pour autant être maléfique, Sarkozy n’a aucune conviction, il est dans le marketing; si Bayrou avait fait le score de Le Pen et Le Pen le score de Bayrou, il est évident que Sarkozy aurait fait campagne au centre, mais bref… Ce n’est donc pas sa personne, mais son parti et les gens qui vont avec (cette hyper-classe mondialisée), qui eux, n’ont pas abandonné ces idées de décadence, ou qui demeurent des inconsistants et des lâches face à la gauche : ils n’ont rien fait, lui et eux, contre l’avortement, ne serait-ce qu’aider les mères en difficulté à pourvoir choisir de garder leur enfant, ils ont cassé les retraites des mères de famille au foyer, relevé le plafond pour l’avortement, encouragé de toutes leurs forces le travail le dimanche, favorisé l’enseignement du gender et diffusé le film le Baiser de la Lune, etc…, etc…… De multiples déclarations de Sarkozy ont montré que même sur le vote des immigrés, il est pour, mais juge cela encore prématuré. Il sait bien qu’il l’a accordé à 2 millions d’immigrés à retardement, ceux qu’il a régularisés depuis 2002 (chiffres totalement officiels), et qui ne se contentent pas de voter aux municipales, mais aussi aux législatives, aux cantonales et aux présidentielles, et dont on sait qu’ils finissent tous avec le pedigree républicain. Cette droite nous abuse depuis 1958, d’abandons en abandons : il faut qu’elle soit punie, durement punie pour comprendre qu’elle ne règne pas politiquement ad vitam aeternam sur nos esprits, et nos âmes en niant ce que nous sommes, et la loi naturelle en premier. Aux Etats-Unis, Bush père fut sanctionné par la droite pro-vie du Parti Républicain pour son second mandat parce qu’il n’avait rien fait contre l’avortement, et il fut vaincu, et son fils a beaucoup fait ensuite. La démocratie n’est pas l’abandon de l’Espérance au profit de calculs à courte vue : si nous agissions ainsi pour nos familles, en cédant à nos enfants, ou en passant des accords avec ceux qui les mettent en danger, que deviendraient-ils dans leur croissance morale et leur avenir ? Il faut savoir dire non. Non, non, et NON. Il est des circonstances où la perspective d’un pire certain avec la gauche n’est pas pire que le même pire certain décalé de quelques années avec la droite. Le peuple français et les catholiques en premier, ont pris l’habitude de se réfugier derrière l’Etat et indirectement derrière des partis et gouvernements qui les méprisent, pour ne pas avoir à se mobiliser et se battre : chacun, y compris beaucoup d’entre les catholiques de tradition ou de droite nationale, ou conservateurs, pensent que manifester dans la rue, par exemple, c’est anormal. Les Pro-life américains eux sont tout le temps dans la rue. Et ça paie. Nous même pour les chapelets pour la vie devant les hôpitaux nous sommes chaque fois quelques dizaines, moins que le nombre de gens allant à la messe et qui emmènent leurs enfants danser dans des rallyes et vont les rechercher au milieu de la nuit…et qui parfois ont “honte” de ces chapelets ! Ils craignent d’être vus, ils craignent le regard des autres : ils devraient voir que le Christ a été attaché nu sur le bois des la Croix.. De plus avec Sarkozy, le budget de la défense a été drastiquement réduit, la dette a cru vertigineusement, l’Euro ne survit que par de la création d’une monnaie scripturaire sans contreparties, qui va tuer l’Euro et l’Europe à terme. La crise financière de la dette et des banques va resurgir quand les effets des quantitive easing, cette création de monnaie donnée aux banques pour qu’elles prêtent encore aux états, se sera estompé : il faudra recommencer ou ce sera la faillite des états et des banques. Sarkozy a masqué le problème avec Merkel : c’est un illusionniste. Hollande ne peut faire pire s’il est élu: il ferait de même, en lançant des grands travaux (que Sarkozy avait lancés lui aussi avec le ‘’Grand Emprunt’’) financés de même, avec les mêmes effets. Ces gens nous abusent, l’un ET l’autre. Sans bien sûr souhaiter nécessairement l’élection de François Hollande demain, le mieux est qu’ils s’usent l’un après l’autre, cela laisser le champ libre à autre chose, qui ne sera pas nécessairement le Front National, mais un parti ou un politique issu de l’UMP peut-être, mais résolument à droite. Il sera plus facile de se mobiliser sur l’euthanasie face à la gauche que face à la droite molle qui agit par petits abandons successifs, idem pour le mariage gay (je me moque du mariage civil républicain dans le fond, comme la plupart d’entre nous) et l’adoption par les homosexuels, qui existe déjà indirectement et est reconnue par les organismes sociaux. L’issue des élections ne changera pas grand’chose, ce sont les faits accréditant les prédictions de Le Pen et de quelques rares autres politiques de bon sens depuis plusieurs décennies qui font que les gens comprennent que la droite nationale est la seule alternative face au mondialisme et à la décadence.

    5 mai 2012 à 13 h 42 min
  • HOMERE Répondre

    Arrêtez de vous faire mal……votez Sarkozy avant qu’il ne soit trop tart……sinon retournez dans les oubliettes de l’histoire et enfilez l’impasse….

    5 mai 2012 à 8 h 53 min
  • François Répondre

       Ceux qui croient qu’ils "puniront" Sarkozy en faisant élire Hollande se trompent. Ce sont eux et leurs enfants qu’ils vont punir. Et ils vont les punir pour avoir trop espéré… C’est dur comme sanction, non? Mais surtout, est ce mérité?…

       Je ne mettrai plus tes bottes, disait le quidam au cordonnier, celles que tu m’as vendues m’ont donné des ampoules. Cela t’apprendra! C’est quand il eut les pieds gelés, mais sans ampoules qu’il les regretta…trop tard!
      

    4 mai 2012 à 15 h 18 min
  • jph Répondre


    Il faut vraiment être inconscient ou totalement ignorant pour continuer à voter pour un candidat de ‘droite" qui n’a jamais pris une bonne mesure en 5 ans de pouvoir (et même en dix ans de pouvoir puisqu’il était ministre de l’intérieur  sous Chirac) et de croire que subitement il y aurait des changements positifs cette fois-ci;  il a fait exactement le contraire que ce qu’il fallait faire dans tous les domaines. 

    Tout ça parce qu’il est de "droite" et qu’il faut voter à "droite" contre les méchants de "gauche". A  "gauche", les gens sont convaincus que le mal absolu est la "droite" sans avoir tout à fait tord car en fait la politique de Sarkozy est une synthèse du pire de ce qu’on peut trouver à droite, au centre et à gauche, soit une politique trotsko-néolibérale, ou plus exactement trotsko-anarcho-capitaliste:

    elle  prends à gauche  ce qu’il y a de pire (le communisme et le libertairisme), au centre ce qu’il y a de pire (le mondialisme) et à droite ce qu’il y a de pire (l’anarcho-capitalisme, le fascisme), de sorte que l’on observe progressivement l’abolition rapide des libertés individuelles et des valeurs morales, en France et partout dans le monde au seul profit des banques et des multinationales. 

    4 mai 2012 à 14 h 57 min
  • Bainville Répondre

    Alain DUMAIT  joue les naïfs, il ne croit pas un instant au scénario de la reconnaissance empressée des serviteurs du mondialisme qui dirigent l’UMP.

    Sans garanties écrites pas de ralliement  aux pires ennemis de notre nation,car ils sont déguisés en hommes de  droite aux yeux du bon peuple.

    Pourquoi voulez vous qu’un politicien aussi retors que Sarko accepte, une fois remis en selle sans s’être sali les mains dans un accord avec des parias, de s’humilier et de tendre la main à un parti qu’il croyait avoir, un peu vite, rejeté vers le ghetto définitif des heures les plus sombres.

    Prôner l’abstention n’est pas un crime, sauf peut être aux yeux des électeurs dupés en 2007, et qui en redemandent. Quand on est indécrottable, c’est pour la vie.

    La  gauche communiste le sait, et elle joue sur le velours, tout lui est permis avec de pareils serfs en face d’elle, serfs si bien dressés à refuser le concours naturel de ceux qui étant  vraiment  à droite, au moins encore pour ce qui n’est pas fiscal .

    Les apeurés croyant Sarko de droite iront accuser le FN d’avoir favorisé la chute de leur poulain.!
    Il suffit de leur rappeler que cette chute de Sarko était inéluctable dés l’été 2007, le grand stratège ayant cru habile  de tourner le dos à ceux dont le vote d’appoint avait été décisif pour lui., ce petit Machiavel ayant oublié deux choses :

    -Trahir une partie de son électorat se paye un jour ou l’autre, ainsi Giscard se brouillant avec Chirac-Warwick.

    -Son élection ne l’était que par défaut, la Royale Cruche effarouchant bien des indécis qui couraient voir le nouvel enjôleur qui avait pourtant 14 années au service du mondialisme de l’anti-France.

     

    S’il est renvoyé, le génial calculateur ne devra sa disgrâce qu’à lui-même, et monter un procès en sorcellerie au seul mouvement essayant plus ou moins mal de nous protéger montre la cécité de bien des français se disant à droite  et prêts à tomber tête baissée dans le redoutable piège du chois impossible entre deux repoussoirs de gauche réputée de droite et de gauche communiste socialiste.

     

    N’apporter sa voix, son concours, son appui  à aucun des deux dangereux mercenaires, afin de ne pas collaborer à une entreprise de destruction des nations, des entreprises à taille humaines et indépendantes, des familles harmonieuses, entreprise séculaire dont les trames sont invisibles aux esprits  affolés et coupés depuis longtemps de toute pensée et réflexion autonome au moins dans cet univers complexe de la politique.

     

     

     

    4 mai 2012 à 0 h 15 min
  • IOSA Répondre

    Bizarre, mais la droite sarkosienne est à ma gauche ?

    IOSA

    3 mai 2012 à 22 h 20 min
  • ozone Répondre

    De plus il a asujeti le pays a des technocrates etrangers apatrides

    3 mai 2012 à 22 h 00 min
  • le ket de Bruxelles Répondre

    Voter pour un mec qui depuis 10 ans crache sur l’électorat du FN et fait le contraire de ce qu’il a promis ?

    Faut pas rêver mon pote !

    Il nous a roulé et menti pendant 5 ans : demain, c’est la porte ! ! !

    3 mai 2012 à 16 h 19 min

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