Non à la « PMA sans père » !

Non à la « PMA sans père » !

Je me permets de répondre à l’article de Monsieur Marcel Comtesse paru dans le n° 1165.

« Est-ce que le mariage pour tous a dévalorisé le mariage hétérosexuel ? », demande-t-il.

Bien sûr que oui !

Depuis la nuit des temps, le mariage a été la consécration de l’union entre un homme et une femme pour créer et protéger une famille, où les enfants naissent aimés, protégés et éduqués par leurs parents.

Faire autre chose du mariage n’est que du déviationnisme.

Pourquoi, alors, ne pas faire un mariage à trois ou plus ? Ou pourquoi réserver le mariage aux êtres humains ? Ce n’est pas sérieux.

Oui, l’enfant doit obligatoirement avoir un père et une mère. Je le ressens au plus profond de moi. Né en 1937, je n’ai découvert mon père qu’en 1944, car il était bloqué dans le Nord entre 1940 et 1944, alors que sa femme et ses enfants étaient réfugiés dans le Sud.

Quelle joie ce fut de faire sa connaissance à l’âge de 7 ans ! Dès lors, jamais l’amour de mes parents ne m’a manqué jusqu’à leurs décès.

C’est vrai, il y a trop de divorces et pas assez de naissances en France, mais il existe de meilleures solutions que la PMA.

Il faudrait déjà considérer que la femme, si elle est l’égale de l’homme en tant que personne humaine, lui est aussi merveilleusement complémentaire (et non identique comme l’idéologie bien-pensante voudrait nous le faire croire).

Ensuite, la législation devrait favoriser les naissances. La première chose à faire est de cesser de ridiculiser la femme au foyer. Au contraire, il faut l’encourager. Il est insensé de pousser les femmes à prendre des emplois, alors que le chômage atteint des sommets. Au lieu de payer des chômeurs et des immigrés pour lesquels on n’a pas de travail disponible, il serait plus utile de réserver cet argent aux mères de famille ; elles ont besoin d’être aidées matériellement et moralement. La législation du travail devrait également être plus adaptée à la condition féminine, par exemple en favorisant le travail à temps partiel. Il suffit de le vouloir !

La famille est notre bien le plus précieux, protégeons-la. Rien n’est plus beau qu’une famille nombreuse et unie comme celle à laquelle j’ai l’honneur d’appartenir ; c’est le bonheur que je souhaite à tous.

N.B. : Il ne me semble pas que le divorce soit interdit aux homosexuels mariés et ce n’est pas une obligation d’imiter les autres pays quand ils font des bêtises !

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Comments (11)

  • Galdo Répondre

    Ne vous laissez pas prendre par la sémantique imposée …
    Le M de PMA pour des femmes aptes à procréer n’a aucun sens sinon de faire passer la pilule et de nous apitoyer
    Il n’y a rien de médical dans cette affaire.
    Ce serait plutôt PAA, PTA ou PSA pour Amicalement, Techniquement ou Socialement.

    25 octobre 2018 à 11 h 36 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Vous avez raison pour le “médical”, cela fait un peu trop scientifique.
      Cela me rappelle un peu le socialisme scientifique du temps des lendemains qui auraient du chanter.

      Pour ma part je propose PSP, pour Procréation Sans Pénis.

      PSA? Ce sigle est déjà pris, quoique l’idée ne serait pas mauvaise.
      On pourrait avoir une chaine de montage sur le site de Sochaux.

      26 octobre 2018 à 15 h 19 min
  • alain protte Répondre

    Dans vingt ans, comment sernt considérés les enfants de la PMA? Aujourd’hui ce n’est pas gave, c’est le progrès et la liberté. Mais avec le temps…tout se dégrade.

    25 octobre 2018 à 11 h 24 min
  • De Sorne Répondre

    Nos françaises seraient donc, comme nos vaches, inséminées par quelque bel échantillon de taureau… heuuu…Pardon … de beaux sportifs et nous donneraient donc de jolis vaux pour, disait DeGaule , voter selon le petit maître du moment.
    De plus, on peut même imaginer des frais de remonte qui participeraient au bien être des retraités
    Hey … Schiappa… Dites nous ce qu’il faut en penser

    24 octobre 2018 à 1 h 21 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      // Hey … Schiappa… Dites nous ce qu’il faut en penser //

      Elle ne peut pas parler avec la bouche pleine.
      Lire son livre: “les filles bien n’avalent pas”

      24 octobre 2018 à 10 h 34 min
      • IOSA Répondre

        Juste un séjour à Retour à l’instinct primaire et on devient moins regardant quand la faim tenaille.

        26 octobre 2018 à 13 h 25 min
  • IOSA Répondre

    L’obligation d’avoir un mâle pour procréer c’est du passé, on se cloner.

    24 octobre 2018 à 0 h 18 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Certains vont essayer de se cloner avec leur smartphone.

      Question subsidiaire:
      Comment vont réagir les flics quand le résultat du clonage sera au volant d’une voiture?

      24 octobre 2018 à 10 h 30 min
      • IOSA Répondre

        Surement qu’ils seront formés à reconnaître un code barre sous la paupière, du moins si en France on le colle pas ailleurs.
        Ou alors on fabrique le clone sans anus, comme cela lors d’un contrôle musclé, lorsque la matraque dérape…

        26 octobre 2018 à 0 h 43 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          D’ordinaire le code barre est sur la partie arrière de l’emballage.

          26 octobre 2018 à 15 h 24 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    PMA sans père?

    À ma connaissance il faut encore un mâle humain *) pour produire un spermatozoïde.
    Sans spermatozoïde pas de fécondation humaine..
    En PMA l’enfant à naitre ne connaitra donc pas son père, du moins pendant son enfance.
    Un jour il sera adulte et haïra pendant toute sa vie sa mère ou ses deux mères pour cette dissimulation.
    Du beau grabuge en vue.

    *) Mme Schiappa a bien un mâle dans son ménage. Il est bien discret le pauvret car on ne l’entend jamais.

    23 octobre 2018 à 20 h 24 min

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