Paris, capitale mondiale de la dépravation

Paris, capitale mondiale de la dépravation

En plein cœur de Paris, dans le 19e arrondissement, il s’est créé un centre de drogue d’une telle ampleur qu’il est connu du monde entier.

De jour et de nuit, des centaines d’individus, vendeurs et acheteurs, s’y croisent.

S’agissant des vendeurs, c’est en quasi-totalité des «migrants» qui vendent de la drogue le plus souvent de basse qualité, notamment du crack, cette cocaïne de caniveau dont les utilisateurs perdent rapidement toute raison, toute dignité.

Décérébrés par ce produit meurtrier, ils tombent au niveau de l’animal.

On a vu un homme errant en vociférant, le pantalon sur ses talons.

Des femmes se font violer presque publiquement pour 5 euros. Les toilettes publiques sont défoncées.

Beaucoup, devenus fous, poussent des hurlements incohérents.

On comprend que, dans de telles conditions, les habitants du quartier, appelé non plus Stalingrad, mais Stalincrack, soient exaspérés.

Ils n’osent plus sortir de chez eux, surtout ceux qui ont un chien – les caniches sont en effet enlevés par cette faune humaine pour s’en nourrir.

L’approvisionnement de ce marché, le marché de la honte, se fait sans problème, très régulièrement.

C’est, dit-on, réglé comme du papier à musique.

Toutes les deux heures, des voitures viennent déposer des paquets de crack que les dealers, venus souvent du Mali et du Congo, écoulent avec le plus grand profit, jour et nuit, aux yeux de tous, y compris ceux des enfants.

Ce centre de vente et de consommation est connu de toute l’Europe et même de plus loin.

Les pouvoirs publics sont parfaitement informés et ne font rien pour garantir les droits de l’homme, devenus en pratique droit à l’assassinat.

On est stupéfait.

Tout récemment, les pouvoirs publics ont tout de même fait l’effort de demander aux drogués, vendeurs et consommateurs, de bien vouloir être assez aimables pour exercer leur activité dans un jardin public proche de la station Stalingrad et éloigné des habitations. La proposition a bien sûr été reçue dans l’indifférence.

Le crack et ses ravages font tache d’huile. Le chaos gagne du terrain. Davantage de trottoirs et de halls d’immeuble sont occupés par des crackers, hagards et agressifs, écrit «Le Figaro» du 28 mai.

Je n’exagère pas. Drogués, vendeurs et consommateurs, sont donc toujours là, donnant pratiquement l’impression d’une complicité des pouvoirs publics avec ce qu’il faut bien appeler le crime.

On comprend que les habitants de ce quartier soient excédés de subir cette situation en payant taxes et impôts. Ils sont pratiquement les victimes de ce trafic en plein cœur de la capitale de la France – pays civilisé dit-on, où se fabrique en réalité une déchéance scandaleuse, hommes et femmes étant devenus des déchets humains.

C’est là la signature de l’incurie et de l’impuissance des pouvoirs publics qui auraient pourtant le pouvoir d’arrêter et de mettre à l’abri dans l’une des nombreuses casernes désaffectées que compte la France ces bandes de trafiquants venus de loin.

Mais non, ce serait porter atteinte aux droits de l’homme, devenus dans la France démocratique et socialiste l’obligation d’accepter le crime et la déchéance.

Je terminerai en citant deux points concrets et importants qui caractérisent ce pays en décadence, le nôtre:

Le montant des retraites en France reste très bas.

Il s’élève à 1393 euros par mois. Encore s’agit-il là d’une moyenne. Beaucoup perçoivent moins encore! Ceci n’empêche nullement la France de participer néanmoins à l’aide massive accordée à l’Afrique. Réunis à Paris tout récemment, une vingtaine de chefs d’États africains et européens ont estimé à 285 milliards de dollars d’ici à 2025 le besoin de financement de l’Afrique.

Citoyens, à vos poches! La corruption a encore de beaux jours devant elle.

Enfin, cerise sur le gâteau, François Bayrou, nouveau commissaire au plan – il est inamovible – vient de publier une note appelant à assurer notre avenir démographique par l’accueil de «pauvres venus d’autres pays».

Franchement, en tout, nous sommes comblés!

Paris, capitale de la France, ville lumière, est depuis longtemps devenue productrice de déchets, y compris hélas de déchets humains.

Cette situation s’intègre dans une évolution à la fois désolante et révoltante.

Pendant combien de temps encore, les Français, les vrais, les braves gens, accepteront-ils cette situation dont la responsabilité incombe aux élus qui s’agitent dans un régime socialo-communiste – les uns et les autres étant totalement déconsidérés?

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Comments (3)

  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Paris *) sera peut être le précurseur d’un nouveau tourisme, le tourisme “trash”.
    Les gens vont se presser au portillon pour venir admirer les sédiments générés par les socialos.
    Dans quelques millions d’années des géologues vont se casser la tête pour en expliquer l’origine.

    Le socialisme, cette ère géologique, que la planète Terre aurait pu s’éviter si l’homo sapiens était resté sur les arbres.

    2 juin 2021 à 12 h 25 min
  • barry Répondre

    Oh

    2 juin 2021 à 9 h 46 min
  • Wayan JC Répondre

    Je suis tres surpris de ne decouvrir aucun commentaire sur cette article.
    Oui, la France pays en decadence prononce par la faute du laxisme des goyvernements et plus particulierement,ce dernier…LAREM

    1 juin 2021 à 10 h 08 min

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