Pendant la spoliation, le bradage continue !

Pendant la spoliation, le bradage continue !

Emmanuel Macron a quel­que chose de fascinant.

Alors même qu’il est acculé par la colère populaire, alors même que ses principaux soutiens semblent prendre leurs distances (de Jacques Attali faisant, pour la première fois, l’éloge de la nation, à Gérard Collomb, quittant le ministère de l’Intérieur et multipliant les déclarations fracassantes, en passant par « Le Monde », naguère « Moniteur de la Macronie » en pointe sur l’affaire Benalla), il continue de dérouler imperturbablement son programme de démantèlement de la France.

Tout d’abord, il y a cette déclaration sur notre « partage de souveraineté » avec l’Allemagne.

Il serait question de « partager » notre dissuasion nucléaire et notre siège au conseil de sécurité de l’ONU.

En bon français, cela s’appelle une forfaiture : abandonner les marques de la souveraineté française à une puissance étrangère, c’est exactement l’inverse de ce que le chef de l’État est tenu de faire. L’article 5 de la constitution de 1958 déclare, au contraire : « Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités. »

Lui, il ferait rigoureusement l’inverse. Cela seul devrait justifier une procédure de destitution, si le parlement n’était pas devenu une chambre d’enregistrement.

Quand on pense que M. Macron se permet de donner des leçons à la terre entière, alors qu’il brade notre souveraineté, et que son arrogance et son mépris mettent le feu à Paris …

Dans un autre ordre d’idées, il vient d’annoncer que la France allait « restituer sans tarder » 26 œuvres d’art au Bénin.

Restituer ? Vraiment ? Mais le Bénin n’existait pas avant la colonisation française. Il n’existait que des royaumes tribaux, en guerre les uns avec les autres.

D’ailleurs, ces œuvres d’art n’auraient jamais été conservées, ni même identifiées comme artistiques, sans la France.

En Afrique, plus encore qu’en Asie, c’est le regard de l’Occidental qui a littéralement « créé » l’art local. Sans nous, Angkor serait un tas de pierres oubliées. Sans nous, l’art du Dahomey serait tout simplement inconnu.

Passons sur le « sans tarder », qui fixe à la majorité de « godillots » la feuille de route de voter sans rechigner un nouveau bradage du patrimoine français.

Mais rappelons que le droit international assurait – avant que les barbares post-modernes ne le ravagent pour imposer leur conception pseudo-morale – que ces œuvres étaient légitimement détenues dans les musées des anciennes métropoles.

Si ce funeste projet parvenait à son achèvement, nous pourrions fermer le Louvre. Quasiment rien n’y échapperait, des collections égyptiennes aux collections antiques, en passant par celles d’Extrême-Orient. Une large part vient de nos campagnes et de notre colonisation.

Quand on voit le sort des musées de Bagdad ou Kaboul, comment le regretter ? Et pense-t-on sérieusement que les œuvres d’art seront mieux mises en valeur à Porto-Novo, Cotonou ou Harare qu’à Londres, New York, Saint-Pétersbourg, ou Paris ?

Sous couvert de bons sentiments, M. Macron prépare un pillage sans commune mesure avec ce que les siècles précédents ont connu. En attendant, il brade scandaleusement le patrimoine français, comme s’il lui appartenait. Il ne nous appartient même pas à nous tous, collectivement, Français vivants. Il appartient tout autant aux Français morts et aux Français à naître que les démagogues oublient systématiquement.

Qu’au moment où il cherche à parlementer avec les gilets jaunes en lutte contre la spoliation fiscale, il évoque une spoliation de souveraineté et de patrimoine plus grave encore, voilà qui dépasse l’entendement – et qui justifierait amplement sa destitution.

 

 

Voir les derniers ouvrages proposés par les4verites-diffusion ici

Partager cette publication

Comments (14)

  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Macron doit se rendre au Maroc du 10 au 11 décembre pour signer le torchon onusien sur les migrants.
    Comment va-t’il s ‘y prendre pour sortir de l’élysée sans être intercepté par les Gilets Jaunes?
    Aurons-nous un remake de l’arrestation de Varennes?
    Si oui cela va mal finir.

    7 décembre 2018 à 20 h 22 min
  • Gérard Pierre Répondre

    Les ‘’gilets jaunes‘’ seraient-ils les révélateurs du mal irréversible qui, tôt ou tard, va emporter la république ?

    Comme toute construction humaine, la république est mortelle, comme le furent avant elle d’autres systèmes de gouvernement ! …… et comme toute œuvre mortelle, la république connut une naissance, une croissance, une période de réalisation, voire d’épanouissement, puis les premiers soubresauts d’une vieillesse dont les symptômes inquiétants n’augurent aujourd’hui rien d’encourageant pour l’avenir.

    Filles de la révolution de 1789, les deux premières républiques ne connurent pas la maturité. Venues au monde dans un contexte perturbé, elles moururent en bas âge.

    La troisième république naquit sur les ruines du second empire. Ses débuts furent d’ailleurs incertains. La Commune de Paris fut en quelque sorte sa ‘’poliomyélite‘’ et les séquelles de cette épreuve mal soignée se font encore sentir de nos jours.

    Le corps des actes de naissance des républiques, rédigé le 07 septembre 1789 par le secrétaire d’État-Civil qu’en fut à l’époque l’abbé Sieyès, fixé une fois pour toute dans le marbre de l’Histoire de France, …… dont il a ensuite suffi de remplir les ‘’blancs‘’ jusqu’à ce jour, …… dit expressément ceci :

    « Les citoyens qui se nomment des représentants renoncent et doivent renoncer à faire eux-mêmes la loi.
    Ils n’ont pas de volonté particulière à imposer. S’ils dictaient des volontés, la France ne serait plus cet État représentatif ; ce serait un État démocratique.
    Le peuple, je le répète, dans un pays qui n’est pas une démocratie (et la France ne saurait l’être), le peuple ne peut parler, ne peut agir que par ses représentants. »

    À une époque où les citoyens instruits et éclairés n’étaient pas légions, il pouvait être concevable que l’auteur de ce texte fondateur privilégiât la forme d’un gouvernement par la représentation plutôt que par la forme démocratique. Tout système, quel qu’il soit, n’est toujours qu’un système transitoire en attendant le système suivant, plus adapté, plus élaboré, plus performant, plus en adéquation avec les nécessités du temps. Les écrits d’Alexis de Tocqueville ne vinrent que beaucoup plus tard nourrir une autre forme de réflexion.

    Mais aujourd’hui ?

    La république est caduque !

    Depuis 1789, la France s’est dotée de plus de 200 Écoles d’ingénieurs, de dizaines d’Écoles supérieures de commerce, de dizaines d’universités, qui déversent chaque année sur le « marché de la réflexion politique, économique, sociale et civique » des dizaines de milliers de licenciés, de bacs + 5, de docteurs et d’agrégés, …… , et aussi de techniciens supérieurs, de professionnels de santé, de professionnels de la sécurité, de professionnels de la vie sociale, …… qui mettent les mains dans le cambouis de l’économie et de la vie courante, et QUI FONT LES CHOSES AU JOUR LE JOUR.

    Aujourd’hui, 80% de la solution des problèmes quotidiens se situent, de façon parcellisée, atomisée, dans la tête de chaque acteur de la vie en collectivité, …… et 20% seulement dans la tête des dirigeants !

    Il est donc temps de concevoir un système qui, en additionnant les observations des 80% , remonte aux 20% chargés de la mise en forme des solutions !

    Ce système s’appelle …… LA DÉMOCRATIE !

    …… et à chaque carrefour de route où se trouvent des gilets jaunes pacifiques, responsables, porteurs d’une parcelle de solution, je suggère qu’ils ne crient qu’un slogan, de Dunkerque à Nice et de Brest à Strasbourg, … en se croisant à Paris, … :

    « LA RÉPUBLIQUE SE MEURT ! …… LA RÉPUBLIQUE EST MORTE ! …… VIVE LA DÉMOCRATIE ! »

    Les ‘’professionnels‘’ de la représentation nationale, …… celles et ceux qui sont entrés en politique dès la sortie de l’école sans avoir jamais été confrontés aux réalités du terrain, …… celles et ceux qui, formatés dans les ‘’fermes modèles‘’ de l’esprit républicain que sont Sciences Po, l’Ena et autres agences annexes, et qui pensent posséder la matière des choses mieux que ceux qui les font, sous prétexte qu’ils ont les acquis de langage les ‘’autorisant‘’ à le croire, …… SONT OBSOLÈTES ! …… et leur obsolescence est devenue toxique !

    L’instauration de la Démocratie, ça commence TOUT DE SUITE par deux choses fondamentales :

    – La prise en compte de la notion de QUORUM lors de toute élection
    – La prise en compte des ABSTENTIONS, …… et non de l’absentéisme !

    …… deux mesures qui ne déclencheront la question qui tue des psittacidés compulsifs de la république en marche et de leurs affidés de la presse complaisante : « et comment vous subventionnez ça ? »

    6 décembre 2018 à 11 h 59 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Griveaux le jeune homme de main de Macron prêt à manger des moineaux à défaut de grives
    Ses aveux ci-dessous:
    //”Je n’ai aucun état d’âme à dire qu’on a pu se tromper, qu’on a écouté et donc qu’on a changé. C’est le rôle du politique de ne pas être sourd, de ne pas être aveugle”, a estimé M. Griveaux mercredi //

    Conclusions:
    Les murailles de Jéricho commencent enfin à se craqueler. Encore quelques tours de piste des gilets jaunes…
    Une fin de monde programmée sans réchauffement global pour les “zélites” et une meilleure fin de mois pour tous les autres.
    Mais restons méfiants d’autres avant lui avaient déjà clamé “avoir changé”!

    5 décembre 2018 à 12 h 19 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      j’ avais aussi entendu

      ” je vous ai compris ”

      et :

      ” Français vous avez la mémoire courte ”

      N.B. : ces citations connues de tous ne sont pas d’ un seul et même auteur !

      13 décembre 2018 à 11 h 43 min
  • KAVULOMKAVULOS Répondre

    La “majorité de citoyens” n’a pas voté pour Macron, mais par la crainte bien préparée et mise en avant de la “peste brune” et de la “bête immonde au ventre fécond”. Ce n’est pas plus compliqué que cela. Quant à l’éternelle controverse sur Pétain, que les gros malins qui se gaussent de cette situation aient le courage élémentaire de dire clairement s’ils auraient préféré, durant l’occupation, être dirigés par un gauleiter SS, comme en Tchécoslovaquie, par exemple. Ou qu’ils la boucle à jamais. Surtout ceux qui s’étaient bien mis à l’abri sous la protection de l’Amérique par exemple. C’est un peu trop facile de faire kéké lorsqu’on n’est pas concerné. De même la France , mon pays, ne pouvait se permettre une nouvelle saignée type 14/18 qui a fait dire à un politique anglais de l’époque “la France est morte au champs d’honneur en 1914”. Alors, doucement les basses les fiers à bras.

    4 décembre 2018 à 20 h 38 min
    • Hilarion Répondre

      Je crois surtout que ceux qui contestent l’action du Maréchal Pétain ne connaissent de cette période noire que ce qui résulte du psittacisme. Les Gaullistes primaires ne se posent par la question de savoir comment en Juin 40, alors qu’il ne restait de notre armée que des débris sur les plages de Dunkerque (après tout de même quelque cent mille morts en trois semaines, c’est à dire une perte au feu supérieure à celle de la guerre précédente à durée égale) près de 2 millions de prisonniers, une dizaine de millions de civils belges et français réfugiés fuyant l’avance allemande dans un chaos complet, mitraillés par une luftwaffe dont ce ne furent certes pas les heures de gloires; ainsi les gaullistes primaires donc, ne se posent pas cette question comment continuer le combat dans de telles conditions … quand on n’a plus d’armée ?
      De Gaulle lui même confiera au Général Odic en 1942 “Ne dites jamais que l’armistice ne pouvait être évité”.
      Il confiera au Colonel Rémi chef du renseignement de la Confédération Notre Dame (CFD) après la guerre “La France a toujours eu besoin de deux cordes à son arc, cette fois, il lui a fallu la corde Pétain et la corde de Gaulle.
      Que l’Allemagne ait accordé l’Armistice fut une chance pour la France. L’Allemagne dans la position de supériorité militaire ou elle se trouvait pouvait parfaitement le refuser sans que personne ne puisse s’y opposer. La suite c’était un gauleiter (demander aux Polonais, ils ont adoré !), l’occupation totale du territoire et l’invasion de l’Afrique du Nord, ce qui aurait rendu impossible la reconstitution (camouflée) de l’Armée d’Afrique par le général Weigand sur ordre du Maréchal. Cette armée d’Afrique qui se couvrit de gloire, lorsque appuyée par les Alliés, elle reprit l’offensive vers la Corse, puis le Sud de la France. L’Armée d’Afrique fut à la reprise des combats rejointe par les Forces françaises libres de De Gaulle avec un rapport égal à 10 personnel Armée d’Afrique 1 personnel des FFL. De nombreux généraux allemands et notamment Goering, Keitel et Gudérian ont déploré qu’Hitler ait accordé l’armistice à la France. Gudérian dira dans ses mémoires “la présence de 4 à 6 panzerdivizionen en Afrique du Nord nous aurait donné une supériorité si écrasante que tout renfort britannique serait arrivé trop tard. Un débarquement germano italien en Afrique du Nord en Juin 40 eut été pour nous incomparablement plus favorable qu’un an plus tard après la défaite initiale des Italiens sur ce théatre d’opération”.
      Pour De Sorne. Reléguer Pétain au ban d’infamie est le moins que l’on puisse faire si l’on veut rester historiquement correct et hurler avec les loups. Néanmoins, Pétain a gagné la bataille de Verdun par son courage, sa capacité militaire dans une période particulièrement dramatique. C’est cette personnalité que même Hitler a respecté, accordant un armistice inespéré permettant à la France de conserver une zone libre en métropole et en AFN d’ou repartirent les offensives qui aboutirent à la libération de la Corse et du sud.
      Il me paraît particulièrement insultant de mettre sur le même plan un président qui n’hésite pas à se faire photographier entre deux racailles à moitié à poil faisant des doigts d’honneur et un général devenu Maréchal après avoir rendu des services historiques à la France et à sa population. Ce que l’on a, pour des raisons politiques appelé collaboration c’est cette nécessité pour le Maréchal de gouverner avec un pistolet allemand sur la tempe et de ne faire que ce qu’il pouvait, dans une situation qu’il n’avait certes pas provoquée.

      6 décembre 2018 à 13 h 30 min
    • Gérard Pierre Répondre

      Les Français ne se sont pas donnés à Pétain ! …… c’est le socialisme français, en échec total dans tous les domaines, qui leur a donné Pétain ! …… et qu’eut pu raisonnablement espérer d’autre le peuple français, le 17 juin 1940 ?

      Faut-il rappeler que le Maréchal fut nommé président du conseil, chargé de constituer un énième gouvernement, en conformité des lois et de la constitution de la république ? …… c’est-à-dire dans la plus stricte légalité républicaine !

      Faut-il rappeler qu’à ce moment là les Allemands avaient déjà envahi toute la partie nord de la France, et que le Maréchal n’avait AUCUNE RESPONSABILITÉ dans cette situation ?

      L’État Français ne vit le jour qu’en 1941, …… sous la pression d’un occupant menaçant à tout moment de bousculer ‘’l’équilibre‘’ résultant des clauses de l’armistice du 22 juin 1940, conclu à Rethondes.

      Trois quarts de siècles plus tard, il serait grand temps d’aborder sereinement l’Histoire de cette période sous un angle enfin un peu différent :

      – Où et quand a-t-on instruit le procès des responsables du front populaire et de leur responsabilité criminelle dans la débâcle de mai/juin 1940 ? …… dont toute la suite jusqu’à la Libération ne fut QU’UNE CONSÉQUENCE !
      – Où et quand a-t-on instruit le procès des responsables du parti communiste, dit français, et de leurs responsabilités dans les désertions devant l’ennemi ? …… et de leur collaboration avec l’occupant avant qu’Hitler ne les renvoie dans « le camp adverse » ?

      JAMAIS !

      Et pourquoi ?

      Parce que dès 1944 ils se ruèrent sur la république provisoirement restaurée dans le but de la reprendre vigoureusement en main, nonobstant le « libérateur », en se livrant aux exactions de ‘’l’épuration ‘’ pour faire oublier leurs propres responsabilités ! …… et ça perdure jusqu’à nos jours !

      6 décembre 2018 à 13 h 48 min
    • vozuti Répondre

      tout le monde peut comprendre que c’est pétain et son gouvernement qui, entre 1940 et 1944, ont permis aux français de s’en sortir beaucoup mieux que les autres pays européens vaincus par l’armée allemande.de gaulle n’a eu aucune influence sur le cours des événements,il a fait le travail d’un modeste sergent recruteur qui a juste réussit à recruter quelques français pour les intégrer à l’armée anglaise.
      alors pourquoi les ingrats ont ils présenté pétain comme le responsable de la défaite de l’armée française,et de gaulle comme le responsable de la victoire des armées russes et américaines?
      tout simplement parce que pétain a mis la franc_maçonnerie hors la loi pendant 4 ans,et c’est de gaulle qui l’a rétablie…et c’est un motif largement suffisant pour réécrire l’histoire.

      6 décembre 2018 à 22 h 34 min
  • De Sorne Répondre

    Je n’arriverais jamais à comprendre comment les Français ont pu être si tragiquement trompés par ce jeune premier incapable et arrogant. II est vrai qu’ils se sont donnés à Pétain et à qq autres « célébrités » historiques qui ont plutôt mal finis…
    De Gaule avait donc raison de dire que nos concitoyens étaient des veaux, sans doute en signant la naissance de l’ENA qu’il est d’ailleurs urgent de fermer !

    4 décembre 2018 à 18 h 30 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Qu’une majorité de citoyennes et de citoyens ait pu voter pour ce freluquet dépasse l’ententement.
    Maintenant il faudra le supporter encore 3 ans, à moins que Dieu le Pêre dans son immense mansuétude pour les victimes collatérales le rappelle prématurément à lui.

    Y-a-t’il une autre solution pour se libérer de préférence non violente?

    4 décembre 2018 à 17 h 02 min
    • IOSA Répondre

      Que les gilets jaunes prennent le pouvoir, en ce moment les peuples asservis les regardent et commencent aussi à rêver de liberté.

      5 décembre 2018 à 0 h 09 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        Personne ne sait où et comment cela va finir, mais certainement pas bien pour les pouvoirs en place.

        5 décembre 2018 à 9 h 18 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        ” à rêver de Liberté ”

        et ils auront l’ anarchie !

        7 décembre 2018 à 12 h 00 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          Tiens vous revenez par le soupirail de la cave…
          Je vous croyais aux abonnés absents.

          7 décembre 2018 à 12 h 51 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Vous venez d'ajouter ce produit au panier: