Permis de séjour à point
“C’est une idée
italienne : un immigré devant respecter les lois du pays d’accueil (comme le recommande la doctrine sociale de l’Eglise), il
disposerait d’un permis de séjour à points, avec 30 points. Une condamnation en justice lui retirerait entre 5 et 15 points, la non-scolarisation d’un enfant, 5 points. A l’inverse, s’il parle
italien, il gagnera 8 points, s’il l’écrit, 4 points de plus.
Il y aurait entre 4 et 5 millions d’immigrés en Italie.” Lu sur le Salon Beige.