Pour faire face au terrorisme, augmentons l’immigration !

Pour faire face au terrorisme, augmentons l’immigration !

S’il y a quelque chose de fascinant dans la situation actuelle, c’est bien l’aveuglement volontaire de « nos » dirigeants.

Quels que soient les sujets, quels que soient les indicateurs considérés, les voyants sont au rouge vif. La France décline à grande vitesse. Le chômage ne cesse d’augmenter, la dette et les impôts suivent la même courbe. L’insécurité n’a jamais été aussi forte, l’immigration aussi mal maîtrisée.

On pensait difficile de surpasser les calamiteux mandats de Jacques Chirac et Nicolas Sarko­zy, mais François Hollande aura réussi le tour de force de nous faire regretter ses prédécesseurs.

On aurait cependant pu imaginer que le terrorisme aurait, du moins, la vertu de réveiller le sentiment patriotique, le goût de se battre pour la France, et d’abandonner ses vieilles utopies.

Eh bien, pas du tout ! Le grand danger reste le « péril fasciste ». Le pire à craindre, après les ré­cents attentats, serait la « radicalisation » des catholiques. Ne riez pas : des « experts » patentés (et grassement subventionnés par nos impôts) ont vraiment proféré ces âneries.

À la rigueur, nous accepterions volontiers ces bêtises si la politique changeait.

Las, le gouvernement ne cesse d’aggraver la situation migratoire et la situation sécuritaire.

Alors que le patron des services de renseignement allemand vient de reconnaître que des commandos terroristes avaient été infiltrés par l’État islamique parmi les centaines de milliers de « réfugiés » qui ont déferlé sur l’Europe ces derniers mois, M. Cazeneuve veut en accueillir toujours plus.

Mieux, si j’ose dire, il « oublie » que bon nombre de ces personnes qu’il faut, à toute force accueillir, quitte à saigner aux quatre veines les plus pauvres des Français, sont présentes illégalement sur notre sol.

Le juriste Alexis Théas notait récemment dans le « Figaro » qu’un communiqué du 1er août, signé conjointement par Mme Cosse, ministre du Logement, et M. Cazeneuve, ministre de l’In­térieur, supprimait par omission la notion même d’immigré clandestin.

Désormais, l’État – et donc le contribuable français – se reconnaît un devoir : l’accueil illimité du « migrant sans abri ». Mais il oublie que ledit « migrant » devrait aussi avoir le devoir de respecter nos lois à commencer par nos lois migratoires.

On s’interroge en vain pour savoir ce qui l’emporte au gouvernement de l’incompétence ou de la haine de la France !

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Comments (5)

  • Drakkar Répondre

    Ils n’ont même pas attendu que le cadavre de la France cesse de bouger, le dépeçage est commencé.

    21 août 2016 à 12 h 22 min
  • Hilarion Répondre

    Il existe une théorie qui vaut ce qu’elle vaut. Le prolétariat français n’a pas adhéré aux idées fumeuses des soixante huitards. Les soixante huitards célébrant Mao ou la libération de Phnom Pen par les khmer Rouges de Pol Pot qui se voyaient déjà à la tête d’un Octobre Rouge français en conçurent une vive amertume à l’égard du prolo en même temps qu’ils développaient à l’égard du peuple français tout entier une haine et un mépris que BHL sait si bien exprimer lorsqu’il en a l’occasion (horreur des binious etc…). Mais il manquait à ces gens biologiquement marxistes, bien qu’eux mêmes issus de la bourgeoisie un prolétariat à promouvoir. Il s’en trouvait un à proximité: l’immigré. L’immigré ayant des conditions sociales moyennes inférieures à celle de la moyenne française faisait parfaitement l’affaire. En effet, pauvre, l’immigré était l’objet d’une compassion inattaquable glorifiant de surcroît son promoteur. Ethniquement différent et peut être inassimilable, c’est à dire susceptible de provoquer des désordres dans la société (bien fait pour elle ah!a!hah!) il était possible de transformer en racisme toute critique à son égard, le racisme étant lui même devenu légalement délictuel (le racisme existant bien que les races aient officiellement disparu!). Tout cela étant bien entendu insuffisant pour imposer la dictature de ce nouveau prolétariat à la tête duquel bien sûr on trouverait le bobo. Electoralement cette population pouvait être convertie assez facilement, il suffisait de lui accorder quelques avantages. Mais pour obtenir la fin dernière du Français de souche honni, le mieux n’était il pas de le noyer sous une masse d’allogènes que l’on verrait avec plaisir lui pourrir la vie. Et pour laisser le temps à la submersion de s’accomplir on ferait semblant de lutter contre un terrorisme mortifère entrant de plain pieds dans cette politique de conquête et d’écrasement d’une civilisation.

    19 août 2016 à 18 h 54 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      non le moteur conceptuel c’est la repentance, d” où l’ omniprésence de B.H.L. … qui lui ne regrette pas que la fortune familiale se soit faite sur le dos du ” nègre ”

      l’ enfer c’ est les autres, la repentance c’ est pour les autres

      21 août 2016 à 13 h 00 min
  • PIGIS Yves Répondre

    Le peuple français a commencé sa descente aux enfers dès la fin des trente glorieuses. Le défaitisme s’installait déjà parmi la jeunesse. Depuis, tous les politiques ont pris à un moment ou à un autre des décisions qui furent néfastes pour la France, même De Gaulle n’y a pas échappé !
    Les syndicats donnaient tous dans la revendication sans limite, la main d’œuvre finit par manquer, la population ne se renouvelant pas, les nouveau-nés furent remplacés par des immigrés et la situation se pérennisa dans la catastrophe avec le regroupement familial !
    Chaque année les flots de l’immigration enflaient de musulmans majoritairement alors que paradoxalement le chômage prenait son envol !
    S’ensuivit des regroupements qui favorisèrent le communautarisme qui entraîna le refus d’intégration alors que l’idée d’assimilation avait déjà capoté !
    Les problèmes que nous connaissons s’amplifièrent alors que les politiques ne proposaient que des pansements adhésifs pour soigner les cancers qui explosaient de tous côtés !
    Le peuple français subissait sans réagir et lorsque les attentats islamo-terroristes, vinrent troubler le cocooning
    habituel, il ne sut qu’allumer des bougies inonder de fleurs les lieux du désastre, commémorer et prier pendant que les banlieues dansaient et que les politiques se plongeaient dans la com’ !
    Tout cela augure mal de la suite. P.Y.

    17 août 2016 à 12 h 29 min
  • vozuti Répondre

    Même entêtement en Allemagne. les viols se sont multipliés depuis la grande vague migratoire,mais merkel insiste lourdement pour continuer à accueillir des millions de musulmans, et elle fait incarcérer ceux qui la critique sur internet.
    Nous sommes dirigés par des ânes têtus et malfaisants…mais qui votent pour eux?

    16 août 2016 à 16 h 14 min

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