Pour le partage des richesses

Pour le partage des richesses

C’est ce que revendique l’ancien ministre socialiste, Jean-Luc Mélenchon.

A la veille du conseil national de son parti ce week-end, le député européen a officialisé sa candidature sur l’antenne de RMC/BFM TV, adressant un message à tous ceux qui – du PS au NPA – veulent le «rassemblement de l’autre gauche».

Appelant à une «révolution citoyenne» pour «remettre les compteurs à plat» et «faire la reconstruction sociale et républicaine du pays», l’ancien ministre et sénateur socialiste a résumé sa candidature à une revendication : celle du «salaire maximum» et du «partage des richesses».

Entre la domination de la finance et des marchès mondiaux et le collectivisme forcené, qui saura redonner à la France une économie saine, créatrice de richesses, d’emplois et de prospérité, appuyée sur la sagesse et la dynamique de la famille et de son capitalisme patrimonial ?

Partager cette publication

Comments (5)

  • gaymay Répondre

    c’est la vraie politique des socialistes: faire travailler plus les courageux et entretenir les fainéants et compagnies ! il n’a qu’à prendre quelques clandestins chez lui et partager son repas ! on verra son courage à l’oeuvre !

    23 janvier 2011 à 20 h 15 min
  • Gédéon Répondre

    Monsieur Mélanchon est un joyeux humoriste.
    Il ne se rappelle pas les leçons de l’histoire de France.
    En 1789 (et suivantes) les privilèges des nobles ont été abolis. Ces privilèges ont tout de suite été accaparés par des petits malins qui se sont approriés les privilèges de ceux qu’ils avaient dépossèdés et ont créé une nouvelle classe de nantis.
    Plus près de nous, et sans faire le tour du monde, quand l’URSS a fait faillite, les petits malins ont récupéré l’outil productif de la Russie, et une nouvelle classe de milliardaires est apparue.
    Si Mr Mélanchon redristribue les richesses, (ce qui reste à voir), ce ne sera que pour apprauvrir les uns qui travaillent et investissent au profit de gens qui ne se la foulent pas, et le cycle recommencera.
    S’il vous plaît Monsieur Mélanchon, ne dites pas tant de sottises !

    22 janvier 2011 à 15 h 36 min
  • Gilbert Répondre

    ENCORE FAUDRAIT-IL POUE CELA EN AVOIR DES RICHESSES . FAUT-IL EGALEMENT PARTAGER LA DETTE DE LA FRANCE ( 1600 MILLIARD D’EUROS )
    DETTE ENTRETENUE DEPUIS 30 ANS PAR DES GOUVERNEMENTS DE GAUCHE OU DE PSEUDO-DROITE .
    SI JE COMPRENDS BIEN C’EST A NOUVEAU FAIRE DES CHEQUES AUX FRANCAIS …. ? MAIS DES CHEQUES EN BOIS BIEN SUR !!!!!
    ET QUI PAIERA UN JOUR L’ADDITION DE TOUTES CES DETTES

    22 janvier 2011 à 13 h 44 min
  • jane doe Répondre

    que je sache ce triste sir ne partage pas ses généreux émoluments de député européen avec le bon peuple dont il sollicite les suffrages…..

    22 janvier 2011 à 10 h 27 min
  • Philippe POINDRON Répondre

    L’idée d’un salaire maximum a été lancé au lendemain de la crise de 1929 par un sénateur américain. Elle n’est pas forcément idiote. Mais elle n’est pas sortie de la tête de monsieur MELANCHON.

    22 janvier 2011 à 7 h 50 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *