Pourquoi pas, de nouveau, un général président ?

Pourquoi pas, de nouveau, un général président ?

Un général, le général Antoine Martinez, vient de lancer un appel solennel à nos compatriotes en se portant candidat à la présidence de la République française.
La signification de cet engagement, qui semble encore peu connu, car peu ou pas relayé par les grands médias, revêt pourtant un caractère particulièrement important dans le contexte électoral actuel.
Il s’agit, ici, d’abord de l’émergence d’un militaire qui reste, même en étant retraité, un individu marqué par les vertus inhérentes à un grand corps authentique de la nation.
Il s’agit également d’une personnalité hors partis politiques, élément appréciable, compte tenu des capacités actuelles plutôt limitées de nos partis politiques et de leurs dirigeants.
Il s’agit par ailleurs d’un général non isolé, placé à la tête d’une association existante, les Volontaires pour la France, et d’un officier soutenu par plusieurs autres officiers supérieurs des forces armées.
Il s’agit enfin de quelqu’un à la moralité saine, courageux, compétent en management, et surtout constant dans ses idées et sa ligne de conduite.
Peu de dirigeants politiques affichent toutes ces caractéristiques, n’est-ce pas ?
Comme il n’y a pas, non plus, de nombreux représentants de cette dernière catégorie de citoyens qui énoncent clairement, sans aucune ambiguïté, les actions à mener en priorité pour assainir la situation dans laquelle notre société est engluée.
Cette étape d’assainissement est cependant indispensable à conduire, afin de pouvoir engager sérieusement les nombreuses réformes essentielles à la santé de notre patrie.
Il s’agit évidemment d’abord – et c’est primordial – d’arrêter l’immigration africaine et de combattre l’islamisation du territoire, ce que le général Martinez a parfaitement compris.
Si nous essayons maintenant de nous pencher davantage sur le sens profond de l’engagement de ce militaire, il semble, parallèlement, que nous puissions aussi être amenés à envisager celui-ci sous un aspect plutôt symbolique.
Il ne viserait alors, en fait, qu’à provoquer un déclic vigoureux dans l’esprit des patriotes, les amenant à réfléchir plus intensément et à comprendre que la seule solution menant au redressement de la France reste prioritairement l’union effective du peuple de droite.
Posons-nous d’ailleurs la question de savoir si le but poursuivi par le général Martinez lui-même ne serait pas, dès l’origine, effectivement celui-là.
Rappelons que cet officier, sauf erreur de notre part, avait soutenu la candidature de Marine Le Pen en 2017.
Or, depuis, l’aura de l’étoffe de la présidente du RN s’est bien fanée, et notre général doit en être conscient.
Il est patent, dans cette optique, qu’il s’agirait donc actuellement, en urgence, de rassembler autour d’une table la majorité des personnalités patriotiques reconnues de la société civile, de l’armée et de la police.
Leur rôle consisterait à établir un accord contractuel portant sur un programme d’actions qui serait présenté aux citoyens, en même temps que les signataires des textes concernés.
Il ne s’agirait dans cette étape, en aucun cas, de mettre en exergue une quelconque personnalité ou un parti politique.
La désignation du représentant officiel de cette union des patriotes, liés par un accord tangible et sérieux, pourrait être effectuée après obtention de l’agrément populaire aux actions proposées.
Pourquoi n’aurions-nous pas là, finalement, la confirmation de la prééminence du général Antoine Martinez, en même temps que l’émergence d’une pression politique suffisamment puissante pour aider à la concrétisation des fameuses cinq cents signatures ?

Partager cette publication

Comments (5)

  • Gérard Pierre Répondre

    Un « fonctionnaire » dont le rôle est d’exposer sa vie ne doit pas être confondu avec un fonctionnaire de la poste, des impôts, de la SNCF ou de la sécurité sociale !

    Un « fonctionnaire » taillable et corvéable à merci, non concerné par le régime des 35 heures (et même parfois moins) dont le statut ne prévoit pas le paiement d’heures supplémentaires, l’octroi de RTT et autres joyeusetés, n’a rien à voir avec ceux de l’éducation nationale !

    Un « fonctionnaire » qui n’a pas le droit de grève, pas le droit de se mettre en congés de la fonction publique pour briguer une fonction électorale avantageuse et être réintégré dans son corps d’origine sans perte d’ancienneté, une fois battu aux élections suivantes, ne doit pas être comparé à un corpsard !

    Et enfin, je ne connais pas de généraux de gauche comme il existe des magistrats de gauche, des enseignants de gauche, et tant d’autres exemples !

    Alors ? … qu’est-ce qui vous inquiète réellement ?

    Vous trouvez sérieusement que les « civils » qu’on nous a servis jusqu’à présent c’était tellement mieux ?

    Alors, au point où nous en sommes, …… Chiche ? …… pourquoi pas ? ……

    Que risque-t-on de pire que ce que nous avons eu jusqu’à présent et qui semble encore se préparer pour l’avenir en restant dans le même modèle dit républicain ?

    27 août 2020 à 13 h 46 min
  • ELEVENTH Répondre

    Too many chiefs . Not enough indians…Hélas

    26 août 2020 à 16 h 58 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    avec tous ces généraux qui se ( pro – ) posent en sauveurs de la Nation on risque bien de se retrouver à la tête d’ une armée argentine ( ou mexicaine ) et … pourquoi pas le Général Boulanger ?

    un général c’ est AUSSI un FONCTIONNAIRE avec des étoiles et un képi ( ou une casquette )

    26 août 2020 à 8 h 28 min
  • Brigitte Cabaud Répondre

    Excellente initiative !!!

    25 août 2020 à 19 h 19 min
  • GENOVESIO Répondre

    Bonjour, je pense que cela ferait beaucoup de bien que quelqu’un fasse le ménage dans la vase du marigot !

    25 août 2020 à 18 h 56 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *