Quand le mondialisme passe, l’emploi trépasse !

Quand le mondialisme passe, l’emploi trépasse !

Il y a déjà 15 ans, en mars 1997, la fermeture brutale de l’usine Renault à Vilvoorde en Belgique avait vu se profiler le consensus politique du lobby mondialiste. Depuis, les groupes Général Motors, Ford, Peugeot-Citroën ou Renault ont multiplié les fermetures de sites de fabrication et ce n’est pas terminé, étant donné que sur une centaine d’unités de production automobile en Europe, plus de 40 sont en surcapacité depuis de longs mois.

Pour les élites politiques, il ne s’agit pas de vilipender la fermeture d’une usine, mais bien de stigmatiser hypocritement la manière inélégante, sans référence au monde ouvrier, des patrons de ces marques automobiles, MM. Varain, Goshn & C°.

N’oublions pas que depuis de très nombreuses années, les chefs d’Etats ou de gouvernements, les Chirac, Dehaene, Prodi, Zapatero, leurs copains de la Commission Européenne et leurs successeurs, ont été les complices d’une politique d’ensemble qui s’est traduit par de larges et drastiques suppressions d’emplois, ainsi que par une atomisation des marchés nationaux au sein d’une conjoncture mondiale toujours plus contraignante. Mais ce que ces valets du Nouvel Ordre Mondial ont réussi à nous cacher pendant des décennies éclate au nez et à la figure des peuples européens maintenant que la crise affecte profondément les familles et les structures de nos économies : le village mondial est une chimère et l’Organisation Mondiale du Commerce (ex-Gatt) l’instrument du bradage de produits de mauvaise qualité vendus à vil prix… dont le résultat est le chômage en Europe !

Semaine après semaine, mois après mois, les travailleurs se rendent compte que « l’Europe du bien-être et de la prospérité », vantée par les charlatans qui nous gouvernent depuis plus de 30 ans, n’est qu’un vaste leurre et bien évidemment que notre avenir et celui de nos enfants sera loin d’être rose. Bien au contraire, ces imbéciles aux commandes s’obstinent à gaspiller les deniers publics dans de fumeuses politiques « sociétales » et de « solidarité » afin de capter le vote de clients/électeurs qui seraient redevables de ces prébendes, pour les maintenir plus tard dans leurs fonctions rémunératrices.

Pour ces saltimbanques de la gestion à courte vue, l’austérité ou la rigueur sont des anathèmes, des « provocations », des « insultes » aux travailleurs, bref en d’autres termes, inadéquats et impensables pour redresser la barre des finances publiques mises à mal par leur faute. Pourtant, ce sont quand même ces pourriticards et ces socialauds-humanistes qui ont conduit nos économies au fond du gouffre financier où nous sommes aujourd’hui. Ils ont et ont toujours eu la faculté d’imposer, à temps, des mesures drastiques et certes impopulaires, mais indispensables au redressement des entreprises nationales ou européennes.

Il n’est pas trop tard pour tenir un langage de vérité ni de sauver l’essentiel des structures sociales dans les pays européens, encore faudra-t-il trouver un certain courage politique pour éviter une catastrophe. En effet, peut-on refuser l’austérité pour favoriser la facilité ?

En 1860, Abraham Lincoln déclarait devant le Congrès américain : «  Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur. Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche. Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez. »

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Comments (22)

  • le Ket de Bruxelles Répondre

    Souvenons-nous quand même de ce que nous prédisaient les gourous du Traité de Maastricht en 1992 : “Cette Union Européenne garantira un bien-être et une croissance pérenne partout et pour tous !”.
    Si nous sommes au fond du gouffre financier maintenant, c’est essentiellement parce que nos gouvernements nous ont mentis sur la réalité de la situation : il est utopique de vouloir satisfaire et contenter tout le monde et tout le temps, en jettant l’argent par les fenêtres et en faisant tourner la planche à billets 24h/24h.

    Par ailleurs tous savent pertinnement que depuis 30 ans , l’européen gagne 3 mois de longévité par année d’existence et que le système de retraite avait été calculé sur une moyenne de 15 années APRES la mise en pension des travailleurs. Aujourd’hui, nombreux sont les retraités qui vivent plus de 30 ans avec leur pension : le système ne peut qu’exploser et le constat c’est que les caisses sont vides. Comment les remplir ?

    18 mars 2013 à 12 h 15 min
  • Jaures Répondre

    Quinctius, vous parlez d’or à nouveau ! L’argent, tout comme le travail, n’est qu’un moyen de mener sa vie. La perversion est de n’aimer l’argent que pour l’argent ou le travail pour le travail (sauf si ce dernier est au goût de celui qui l’exécute, bien entendu). Il va de soi qu’un minimum est requis: se loger, se nourrir correctement ainsi que sa famille, pouvoir éduquer ses enfants, avoir accès à l’enseignement, la formation, la culture. Après, si l’on souhaite plus (posséder des produits de luxe, être multipropriétaire,…), il faut s’en donner les moyens mais cela peut à beaucoup, dont moi, paraître superflu. L’outrance réside dans des fortunes colossales, sans rapport avec aucune forme de besoin ni d’envie, acquises sans un réel effort de créativité, avec pour seul soucis de voir son pactole prospérer et demeurer entre les mêmes mains, sans la moindre pensée pour l’intérêt collectif.
    Et, cher Hans, si vous croyez déceler l’ombre d’une envie dans mon post, la moindre parcelle de jalousie envers ces milliardaires, je ne puis plus rien pour vous.

    18 mars 2013 à 11 h 34 min
    • le Ket de Bruxelles Répondre

      “L’argent est un bon serviteur, mais un mauvais maître”

      18 mars 2013 à 17 h 05 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    le gouvernement chypriote , sur injonctions de Bruxelles , fait un hold-up sur les dépôts bancaires … à quand le tour de l’Italie , de l’Espagne , du Portugal , de la Slovénie et de … la France ?

    PENDEZ LES TOUS LES HAUT ET COURT !

    17 mars 2013 à 15 h 59 min
  • IOSA Répondre

    Jaurès@….

    Quand on écope c’est vers la mer que l’on jette l’eau et pas l’inverse.

    17 mars 2013 à 12 h 48 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    le ” bel ” Arnaud vient d’affirmer qu’il a sauvé par la grâce divine de son … Ministère 60.000 emplois en France … encore un miracle de l’étatisme … qui nous coutera cher !

    17 mars 2013 à 10 h 45 min
  • Jaures Répondre

    Cher Hans, reprenons un à un les éléments de votre diatribe.
    a) Dire que les “socialauds” seraient à l’origine de la déconfiture économique de la Grèce est un peu court. Je vous rappelle que c’étaient les conservateurs qui étaient au pouvoir en Grèce quand le marasme est apparu et que ce sont eux qui ont trafiqué les comptes avec l’aide de Goldman Sachs. Mais je vous accorde volontiers que les responsabilités sont largement partagées et bien au-delà des frontières de ce pays, la France et l’Allemagne ayant bien profité des déficits grecs notamment en leur vendant des crédits et des armes. Quant à l’Irlande, elle est gérée depuis des décennies par des libéraux encensés jusqu’en 2008 par les chantres français du libéralisme comme P.Salin et ici Tremeau.
    b) Le système par répartition est à préserver car il maintient un droit à la retraite pour tous. C’est son financement qui doit être adapté en fonction de la situation démographique et économique. Les autres systèmes ne sont en rien une sécurité: au RU où le système est mixte (400€/mois de base + capitalisation), les fonds de pension ont accusé un déficit de plus de 100 milliards en 2010 ! Beaucoup de cotisants ont perdu leur mise et grossissent les rangs de la grande pauvreté qui s’accroit chaque jour. Le cas est le même en Irlande ou aux USA où les grand-parents concurrencent les jeunes sur le marché du travail.
    c) Si pour être riche il suffisait de travailler cela se saurait ! Pour l’être il faut souvent avant tout être bien né: Bernard Arnault est fils d’industriel, de même que M.Bouygue, A.Lagardère, S.Dassault,.. Mme Bettencourt est une héritière, comme les frères Wertheimer ou E.Besnier. Vous avez là le gratin des plus grandes fortunes de France. Après, que le commerçant qui travaille 6 jours sur 7, le chirurgien qui sauve des vies, l’entrepreneur qui invente un produit et crée de l’emploi fassent fortune n’est en rien gênant. Mais que veulent dire des fortunes de plusieurs centaines de millions, de dizaines de milliards ? Est-il juste que se fondent des dynasties de milliardaires comme autrefois des dynasties royales ou le seul mérite est d’être né ?
    d) Enfin, si vous pensez que les retraites chapeau bénéficient aux fonctionnaires, vous militerez sans doute avec moi pour qu’elles soient supprimées.
    Plus généralement, cessez de croire que demander la justice serait l’expression d’une quelconque jalousie. J’ai pour ce qui me concerne (famille avec 2 salaires de 2X et demi le smic) bien suffisamment et me fiche totalement de devenir riche (ceux qui le sont n’en ont d’ailleurs jamais assez). Si chaque salarié en France se trouvait au moins dans mon cas, les autres pourraient accumuler leurs milliards en toute quiétude, cela ne me ferait ni chaud ni froid.

    17 mars 2013 à 10 h 44 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      le point 4 ( ou petit d ) est fort louable et témoigne d’une philosophie simple de la vie ( de mon point de vue qui n’est pas forcément celui des autres ) mais que voulez vous si l’argent ne fait pas le bonheur consédez qu’il y contribue quand même un peu et particulièrement dans notre société urbaine … si vous n’aviez pas un revenu au foyer de deux fois et demi le S.M.I.C. ce qui est BEAUCOUP ( pour quel travail demandera Hans ? ) et certains avantages sociaux vous ne pourriez pas vous “payer” des vacances familiales dans le Queyras en famille

      17 mars 2013 à 18 h 52 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        concédez bien entendu !

        17 mars 2013 à 18 h 54 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      La radioactivité ambiante du post de Jaures dépassant les limites permises, j’ai donc revêtu mes gants de plomb pour m’en protéger..
      On constate comme d’habitude et quoi qu’en dise Jaures, que l’envie suinte de tous les espaces et craquelures de son post. Une envie presque maladive.
      Pour lui c’est la lutte des classes qui l’emporte sur le bon sens.
      Tout ayant dit dans mon premier post, je ne me répéterai donc pas, au contradicteur de relire.

      NB: je n’ai de loin pas 5X le SMIC et ne suis jaloux ni envieux de personne. Les riches ne sont pas mes ennemis, au contraire s’il n’y en avait pas je paierai certainement plus d’impôts.

      17 mars 2013 à 20 h 18 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        ” leurs cas ( l’auteur parle des artistes et écrivains qui vivaient du mécénat des Grands à la Renaissance ) , leur cas , donc , constitue l’illustration parfaite d’une économie fermée telle que LE SOCIALISME l’a érigée aux XIX et XX ième siècles en faisant – acte lourd de conséquences malheureuses – de l’ENVIE le principe de toute DISTRIBUTION : incapables d’imaginer que l’accroissement constant du revenu national éliminerait la pauvreté, les socialistes insistèrent sur le TRANSFERT des richesses: les riches soumis à l’impôt progressif devaient remplir les poches des pauvres … Si on avait pu appliquer systématiquement cette méthode , on aurait rendu impossible l’amélioration de niveau de vie ces 100 dernières années …

        Helmut Schroeck philosophe allemand auteur de Der Neid ( l’envie )

        18 mars 2013 à 14 h 37 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          En allemand Leid und Neid sont des mots qui vont très bien ensemble.
          À chanter sur l’air célèbre des Beatles.

          Leid: chagrin, souffrance pour les victimes du Neid.

          18 mars 2013 à 23 h 50 min
  • mirc Répondre

    JEAN PN a tout a fait raison Il faudrait renvoyer tous ses
    immigrés en Afrique qui n’ont rien a faire en France et hélas
    nos politiques sans foute totalement , il ne pensent q’a leurs
    bien être depuis une trentaine d’années ou plus !

    15 mars 2013 à 22 h 01 min
  • Jaures Répondre

    Iosa, ne cherchez pas de fausses solutions. Avec un taux d’immigration 3 fois inférieur à celui de la France et bien moins de charges sociales, l’Irlande est en quasi ruine, sauvée par l’Europe à coups de milliards.
    Quand on juge nécessaire une mesure sociale, on en estime le coût et on en répartit la charge. Si plus personne ne veut payer pour les retraites, on peut les supprimer. La réalité est que les plus riches veulent continuer à en profiter et qu’elle soit supprimée pour les pauvres. Les grands patrons qui partent avec des retraites chapeau effarantes en sont l’amère exemple.

    15 mars 2013 à 15 h 41 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Le dernier message de Jaures est plein d’équivoques, essayons de le clarifier.
      a) quand Jaures parle de l’Irlande il oublie délibéramment la Grèce en déconfiture totale grâce à l’oeuvre géniale des socialauds au pouvoir à l’époque. De la Grèce et de l’Irlande c’est sans équivoque la Grèce qui est en plus mauvaise posture.
      b) les retraites par répartition sont toutes vouées à l’échec voire à la ruine, la masse finançant ce système dimminuant au gré des variations du taux de natalité. Et ce n’est pas en important des miséreux du tiers-monde que la pérennité de ce système obsolète sera assurée. Le sytème des trois pilers suisses est en cela bien meilleur.
      c) Les riches ne profitent pas des pauvres, ils profitent des fruits de leur travail, car contrairement à la croyance de Jaures rongé par l’envie, tous les riches ne sont pas des fils à papa ou des salauds qui se sont enrichis sur le dos des autres. Que Jaures commence enfin à se retrousser les manches et à faire quelque chose d’utile dans sa vie au lieu de compter les lentilles dans les assiettes des autres.
      d) les grands patrons qui partent avec des retraites chapeau sont surtout des grands commissaires de l’état, gérant des entreprises étatisées, EDF, GDF, SNC, etc…
      Voire des princes de l’adminstratiion publique, grands cumulateurs de postes, n’est-ce pas Jaures? Vous devez les connaitre ces vampires qui sucent le sang de l’argent public extorqué aux citoyennes et citoyens de ce pays. Vous même devez en profiter de ce fric?

      16 mars 2013 à 11 h 42 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        @ Hans

        il suffit d’être patient avec @ Jaurès le jour viendra inexorablement où , s’il n’est pas invité à partager les restes avariés de la gamelle en vermeille socialiste , il ENVIERA ceux qui s’y repaissent … j’en connais déjà dans mon entourage qui connaissent cette …frustration
        laissons le à ses chimères qui masquent ” honnêtement ” son envie laquelle est bien le mal socialiste par excellence

        16 mars 2013 à 20 h 23 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          Quinctius, l’envie est certainement un des pires maux de l’humanité. Avec une morale élastique comme celle des socialistes elle a permis et permettra sans doute encore les pires exactions.
          La lutte des classes elle-même n’est que l’extension politique et / ou le bras armé de ce mal.

          17 mars 2013 à 17 h 47 min
  • IOSA Répondre

    OK, la retraite a 65 ans et dans moins de 10 ans il faudra encore retarder le depart à la retraite a 70 ans et 10 ans plus tard a75 ans…autant exiger que les ouvriers et employés crèvent en bossant, au moins là on est sur de renflouer la caisse des retraites.

    Reculer encore et encore dans un wagon qui roule vers l’abime, c’est tout ce qu’il y a comme solution ?

    Il faut d’abord couper le robinet providence d’aide à tous ceux qui ne sont pas français et se désengager de toute politique européenne..

    Commencons par redevenir autonome entièrement, même si l’énergie.nucléaire n’est pas la bonne solution a long terme.
    Il faut aider ceux qui recherchent réellement une énergie de remplacement autre que l’énergie fossile et tans pis pour l’automobile qui ne peut s’adapter.

    A trainer des boulets, on ne va pas bien loin et c’est ce qui se passe en ce moment.

    On a plus de fric, on est endetté par dessus la tête et il faudrait encore aider tous ceux qui profitent du travail des autres.

    15 mars 2013 à 13 h 19 min
  • Prudhomme Répondre

    La commission européenne a failli lorsqu’elle a ouvert les frontières de l’Europe oubliant volontairement qu’elle se devait de protéger l’économie !!!! le commissaire fut récompensé de son “bon travail” en étant porté à la direction de l’OMC!!!!
    Lorsque l’on faisait remarquer qu’ouvrir les frontière c’était le chômage à coup sur , ces têtes pensantes répondaient “certes pour les produits de masse mais nous livrerons des produits de haute valeur ajoutée” à quoi nous faisions remarquer :”que vont devenir ces emplois non spécialisés”!!!!!

    15 mars 2013 à 8 h 59 min
  • JEAN PN Répondre

    Quand le mondialisme passe, l’emploi trépasse. Et à cause de quoi ? De qui ? A cause de l’Europe et des gaullistes qui ont oeuvré pour la mettre en place. Et maintenant nous en payons le prix très cher qui s’ajoute à celui des allocations et aux avantages que nous donnons aux immigrés qui ne travaillent pas ou qui n’ont jamais côtisé.
    Allons enfants de la Patrie ……..

    15 mars 2013 à 8 h 15 min
  • fgdp75 Répondre

    question compétitivité, commencons par réduire le coût de la fonction publique en général de 56% du PIB à moins de 40%, l’état providence , c’est fini, revenons à l’état régalien, travaillons 40h avec 15 jours de vacances/an et la retraite à 65 ans, que l’europe fasse baisser l’euro à 1€=1usd, qu’on institue une TVA lourde sur les importations et qu’on exige une réciprocité en montants entre import et export.
    et il resterait une foule de choses à faire, mais c’est trop long et trop technique à développer ici.

    14 mars 2013 à 19 h 50 min
    • JEAN PN Répondre

      Peut-être que nous n’aurions pas besoin de faire tout ce que vous proposez fgdp75, si nous cessions de donner des retraites complêtes à des immigrés qui rentrent tous les jours en France, des allocations, la sécu et des appartements à des gens qui n’ont jamais côtisé dans notre pays !

      15 mars 2013 à 8 h 20 min

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