Régime Social des Indépendants : bienvenue dans l’enfer fiscal

Régime Social des Indépendants : bienvenue dans l’enfer fiscal

Matraqués par les taxes et les cotisations, ils sont artisans, commerçants, professions libérales. Ils représentent « la première entreprise de France ». Les TPE, les Très Petites entreprises comme on les appelle également (de 1 et 20 salariés) se disent matraquées par les cotisations sociales qu’un système qui semble « obligatoire » leur impose. Un régime « inventé » en 2005 pour, disait-on, simplifier la vie des professions libérales. La plupart de ceux que nous avons rencontrés « survivent » en raison des charges qu’ils doivent payer.

Régulièrement, ils manifestent leur révolte dans les rues, autour des ronds-points, devant les caisses régionales du RSI et devant les bâtiments de l’URSSAF … dans l’indifférence générale… A qui profite réellement le RSI ?

Capture d’écran 2014-10-27 à 09.53.32

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Comments (6)

  • HOMERE Répondre

    Allez….calmez vous….admirer le big chief de la CGT Le Paon (drôle de blaze) qui fait des emplettes à 120000 sur le dos des contribuable et son homologue distingué de FO Mailly qui rackette les entreprises…..soyez raisonnables enfin !!
    Sans parler du syndicat CGT de EDF condamné pour abus de biens sociaux…et autres galipettes !!
    Dans quel monde vivez vous ?

    29 octobre 2014 à 13 h 44 min
    • Jacky Social Répondre

      A qui vous adressez-vous? Nous sommes d’accord apparement.

      29 octobre 2014 à 15 h 25 min
  • JEAN SANS PEUR Répondre

    BRAVO JACKY, 100% d’accord pour tout ce programme. Tous mes copains sont aussi d’accord la dessus.
    Mais l’Etat ne doit s’ingérer en rien dans la vie publique et ne pas proposer un quelconque service qui sera mieux fait par le privé et bien moins cher. Ne pas oublier de virer 70 % des ministres, dont la gueunon… que d’économies en perspective!
    L’allemagne est bien mieux gérée et à peu de frais!!!!!

    27 octobre 2014 à 23 h 59 min
    • Jacky Social Répondre

      @Bonjour Jean Sans Peur: exactement. Ce que vous décrivez, c’est d’ailleurs le principe de subsidiarité. Il est certain et avéré que les services “proposés” càd. imposés par l’état du berceau jusqu’au tombeau coûtent bien plus cher que s’ils étaient réalisés par le privé dans le contexte compétitif d’une économie de l’offre. Le rapport serait de 1 à 3 !!! avec un degré d’efficacité et de satisfaction efficacité beaucoup plus grand (même si toujours perfectible) pour le secteur privé càd. pour ce que nous piuvons faire nous-mêmes. Mais on peut toujours rêver tant que la génération Jaurès n’aura pas disparu complètement comme les dinosaures. La seule chose qui la fera disparaître, ce ne seront pas des réformes radicales, des réformes de rupture, de vraies réformes quoi (mais quelles réformes? Oublions ce mot car elles sont impossibles dans le contexte actuel), mais bien le manque de moyens (on finit toujours par tomber à cours du pognon des autres) et aussi la force de la révolte. Car tous les problèmes expliqués dans la vidéo ne sont pas nouveaux. Ca fait 30 ans qu’on le dit, mais qu’on souffre en silence vu que rien ne change (en tout cas pas le bon sens). Qu’attendons-nous pour former un noyau dur qui chasse l’inspecteur du fisc et qui harcèle les politiques. La France est un pays de liberté et doit le rester. Assez du racket social pleurnichard et victimaire. Assez du chantage à la pauvreté et au retour de l’état dans l’économie (on ne savait pas que l’état nous avait quittés) au nom du “cœur” et autres foutaises étatistes. Que vient faire l’émotionnel dans la gestion d’un état? Qui dit “émotionnel” dit “irrationnel”. La solidarité est une de nos valeurs, mais elle ne se planifie pas et ne se commande pas.

      28 octobre 2014 à 9 h 14 min
  • Jacky Social Répondre

    ariat n’en ont jamais foutu une zèd et puis viennent donner des leçons. Non, mais de quel droit? Gérer un état ne signifie pas jouer à Mère Teresa avec le pognon des autres au nom du soi-disant bien, de l’humanisme de mes deux et de je ne quelle autre billevisée hypocrite et malsaine. Je suis pour la privatisation des retraites et des sojns de santé (avec mise en concurrence des produits proposés par l’Etat et les produits privés) et la mise en place d’une “flat tax” de max. 10% pour les personnes privées et 15% pour les entreprises. Je suis pour la liquidation des 3/4 des administrations pléthoriques. Je suis aussi pour une limitation du rôle syndical. Ils en seraient réduits à être des bureaux d’études sur le monde du travail, point barre. Je suis pour la libération du travail et la suppression des allocs aux immigrés qui peuvent retourner chez eux, s’ils le désirent. Personne ne les retient. Qu’ils aillent prier ailleurs. En quoi dans un état laïc dois-je entretenir des gens qui ne font que prier et faire chier avec leurs droits acquis?

    27 octobre 2014 à 13 h 27 min
  • Jacky Social Répondre

    Le Jaurès que cette vidéo fera jouir de plaisir en regardant les indépendants ramés m’a dit sur ce site il y a peu que j’étais pour la privatisation des gains et la nationalisation des pertes. Sauf que dans la réalité que notre schizophrène Jaurès ignore, c’est tout le contraire. L’Etat privatise nos pertes et nationalise nos bénéfices. Le formidable Jaurès qui n’en est jamais à une contradiction près me dit aussi que c’est la démocrassie (populaire sans doute) et que je n’ai qu’à faire basculer la majorité en sens inverse. NON. Ce n’est pas nécessaire. La démocrassie à la Jaurès, c’est la dictature de la majorité. Je suis pour la République au sens américain, càd. un Etat limité à ce que le regarde. Il devient insupportable de devoir se laisser insulter par cette gauche infecte et égoïste et puis de devoir mettre la main à la poche pour entretenir son train de vie sous prétexte que c’est la loi. Ces “lois” sont illégales. Est-ce que la soi-disant “solidarité” est une loi? Est ce bien mon rôle de financer les autres? De quel droit? Parce qu’on a voté, c’est ça? Non, les fruits de mon travail ne sont pas pour la redistribution. Ces mecs de la CGT, ces mouches du coche de l’entreprise et ces miuches à merde du prolét

    27 octobre 2014 à 13 h 18 min

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