Regroupement familial : trop tard !

Regroupement familial : trop tard !

Il y a quelques semaines, lors d’une interview, l’ancien président de la République Giscard d’Estaing a reconnu que le regroupement familial avait été une erreur.

Voilà un aveu bien tardif.

C’est lorsqu’il était aux affaires que VGE aurait dû mieux évaluer les conséquences de cette décision. Maintenant, il est trop tard, beaucoup trop tard.

Au départ, l’idée d’un regroupement familial partait d’un bon sentiment et devait éviter la séparation des membres d’une famille.

Mais c’était faire preuve d’une grande naïveté et d’une parfaite méconnaissance des coutumes des pays du Maghreb et d’Afrique.

Ces populations vivent principalement en fratries, en tribus, en communautés.

Aussi, grâce au regroupement familial, un travailleur a pu faire venir sa femme (ou ses femmes), ses nombreux enfants, ses parents, puis, par la suite, ses oncles, tantes et cousins.

Si bien que, pour un seul travailleur qui cotisait, ce sont près d’une douzaine de personnes que l’État a dû loger, soigner et éduquer.

Par conséquent, les aides sociales ont explosé.

Certes, la France avait besoin de main-d’œuvre, mais pourquoi n’avoir pas proposé des contrats de travail saisonnier, éventuellement renouvelables, correspondant mieux aux besoins ponctuels des employeurs ?

Dans le bâtiment, l’agriculture et l’industrie, il existe des pointes d’activité suivies par des périodes beaucoup plus calmes provoquant du chômage.

Du coup, les indemnités de chômage ont explosé à leur tour, puisqu’il n’était plus possible de renvoyer chez eux les travailleurs étrangers installés dorénavant avec leur famille.

Le droit du sol, autre stupidité votée en 1998 par le gouvernement socialiste Jospin, n’a fait que conforter l’implantation d’une population étrangère aux coutumes et à la religion incompatibles avec notre culture française.

Année après année, j’ai vu la physionomie de mon quartier se modifier.

L’ancienne boulangère avec qui j’aimais bavarder a été remplacée par une femme voilée.

La fromagerie a été remplacée par une boutique de produits exotiques.

Les caissières du supermarché sont africaines.

Les files s’allongent dans les bureaux de poste et devant les agences de la CAF.

Le bistrot où j’allais prendre un petit noir sur le zinc a été squatté par une population oisive et nourrie aux allocations. Sur ma ligne de métro, je n’entends quasiment plus parler français.

Et mon quartier n’est qu’une pâle illustration de ce qui existe déjà dans certaines villes de banlieues qu’on ne peut plus qualifier de villes françaises.

Même si, aujourd’hui, un gouvernement décidait de supprimer le regroupement familial et de stopper l’immigration, ce qui est impossible et n’arrivera jamais, surtout avec notre président actuel, la population étrangère déjà en place, en raison de sa démographie, continuera à croître et à se multiplier, pour être partout majoritaire dans quelques décennies.

Monsieur Giscard d’Estaing, par votre inconséquence, vous avez modifié l’image de notre pays d’une manière irréversible. Et je ne vous en remercie pas.

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Comments (11)

  • Raouf Répondre

    Ce qui est dommage dans tout ça, c’est vous, qui faites de la peine, de vivre avec cette haine jusqu’à vos derniers jours au lieu de penser à vivre à faire du bien dans la vie. Le regroupement familial existe et il existera toujours malgré l’injustice totale que subissent les requérants, les étrangers travaillent oui Madame ou Monsieur, le travail que toi tu ne fais pas parce que t’es un bobo, l’étranger le fait et si tu penses qu’ils profitent des allocations, tant mieux pour eux ça va comme ça et ta haine malheureusement ne t’apportera rien.

    11 janvier 2019 à 20 h 03 min
  • BRENUS Répondre

    Je ne vois pas pourquoi nous devrions nous poser tant de questions pour limiter la fixation des parasites allogènes en France, au prétexte qu’ils y sont entrés. Même dans les cas, peu nombreux de contrats de travail en règle. Essayez donc de faire régulariser un contrat de travail dans des bleds tels que la Cote d’Ivoire (si vous n’êtes pas refoulés), vous allez comprendre. De plus le principe que j’approuve d’ailleurs est que vous avez une sorte de carte de résident valable uniquement pour la durée de votre contrat. Ensuite : out, sauf renouvellement à l’occasion duquel on viendra dire à la boite que le pays regorge d’excellents candidats locaux qui ont un droit de priorité. Cerise sur le gateau, les expats paient et bien les cotisation chomage, mais n’y ont pas droit en cas de perte d’emploi. Il est temps d’appliquer la réciprocité à ces gugusses qui vous traitent comme de la merde dès qu’ils le peuvent. J’ai vu et ça ne date pas d’hier, une famille française devoir reprendre l’avion le lendemain avec un gosse de 2 mois malgré un contrat signé avec une boite locale, mais pas encore visé par les autorités plutot lentes à la détente, mais pas au backchich. N’en déplaise au “romain” gris du site amateur du continent profond et mystérieux.

    25 décembre 2018 à 19 h 38 min
  • IOSA Répondre

    “Même si, aujourd’hui, un gouvernement décidait de supprimer le regroupement familial et de stopper l’immigration, ce qui est impossible et n’arrivera jamais, surtout avec notre président actuel, la population étrangère déjà en place, en raison de sa démographie, continuera à croître et à se multiplier, pour être partout majoritaire dans quelques décennies.”

    Ce que je remarque surtout, c’est que si j’ai l’impression de ne plus être en France quand je circule dans la rue, ils portent tous des Nike et un portable Samsung ou Apple dernière génération…..Assurément un changement subtil indiquant que finalement ils apprécient de plus en plus la civilisation occidentale.

    25 décembre 2018 à 0 h 18 min
  • IOSA Répondre

    Le prix de cette trahison…….UNE POIGNEE DE DIAMANTS §§§§ Dollards quand tu nous tiens !

    Mais consolons nous, nous avons Macron, admirateur de Pétain se courbant devant l’Allemagne nazie, qu’il se croit tout aussi obligé de se courbé devant Angela Merkel.

    25 décembre 2018 à 0 h 07 min
    • IOSA Répondre

      Zut j’ai oublié de vérifier l’orthographe….trop tard

      25 décembre 2018 à 0 h 09 min
  • Sanzilluse Répondre

    VGE nous a vendu en toute conscience. Il est le premier maillon de cette folie migratoire. J’espère qu’il pourrira dans un enfer converti à la charria.

    24 décembre 2018 à 13 h 47 min
  • Hagdik Répondre

    Vielle charogne !
    Il savait ce qu’il faisait et ses conseillers aussi.
    Tout était délibéré, la mort programmée de la France.
    Ceux qui l’ont suivi ne valent pas mieux et le résident actuel du palais n’est que le clone abouti de ses prédécesseurs !

    Il est grand temps de balayer tout çà et de se débarrasser de cette caste !

    23 décembre 2018 à 10 h 28 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      plutôt une ” vieille charrue “

      24 décembre 2018 à 12 h 45 min
  • zoé Répondre

    Il aurait fallu tuer dans l’oeuf toutes les revendications de la part de ces gens qui sont venus pour travailler chez nous. Quand on immigre dans un pays on choisi aussi leurs coutumes, et on exige RIEN – on se fond dans la masse autrement on dégage.

    20 décembre 2018 à 18 h 22 min
  • KAVULOMKAVULOS Répondre

    Giscard, ce tartarin africain qui, en son temps, dirait sur tout ce bougeait dans les savanes a beau révéler maintenant qu’il avait agit comme un vieux con qu’il était déjà, c’est nous qui nous coltinons le mistigri de l’invasion africaine. Si cela se trouve il a aussi bien “essaimé” sur le continent “profond et mystérieux” selon la formule des amateurs du genre. Vieux pendard qui ne se contentait pas de faire la tournée du laitier et qui continue à nous couter “un pognon de dingue” en rabachant dans son hospice.

    19 décembre 2018 à 7 h 52 min
    • lavandin Répondre

      …et son successeur ne fut guère plus brillant en la matière : ” les étrangers sont chez eux chez nous….” Phrase qui les a incités à se croire tout permis et qu’ils ont pris à la lettre , au point de refuser tout ce qui représente la France dans les quartiers où ils sont majoritaires : pompiers , police, et qu’ils nous imposent leurs coutumes, leurs règles de vie, leurs valeurs, leur religion

      19 décembre 2018 à 18 h 55 min

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