Respect des défunts
Dans le n° 1213, M. Pichard pense nécessaire, le corps de Chirac à peine refroidi, de traîner dans la boue sa réputation en tant que chef d’État.
La vulgarité n’a pas de limites. Son cynisme, en qualifiant de « vierges illettrées » les Français qui pleurent le décès de Chirac, me dépasse.
Heureusement, nombreux sont les citoyens français décents qui respectent une famille en deuil. Avoir de la classe, comme c’était le cas de Chirac, va souvent de pair avec une noblesse de cœur. Selon certains, l’homme était un vrai seigneur. Que son âme repose en paix ; puis au diable les cyniques !
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