Sélection de l’équipe de France et les blancs

Sélection de l’équipe de France et les blancs

Au moment où j’écrivais ces lignes, la France – l’Hexagonie, ou la Chiraquie – avait des chances d’être éliminée du Mondial par le plus petit pays d’Afrique. Elle ne l’a finalement pas été. Mais cette sélection obtenue en battant le Togo est très secondaire. La grande leçon de ce Mondial de foot est ailleurs : elle est entre autres dans la nullité de nos responsables sportifs.
Après Lemerre, après Santini, c’est Raymond Domenech, ancien défenseur de très mauvaise réputation, qui est la risée du monde sportif international. Ses choix tactiques, son inertie, ses faibles talents oratoires en font l’antithèse du Coach moderne né en Amérique.

Mais son indifférence aussi, qui semble devenir la marque de ce pays. Après les banlieues en feu, après le CPE, après Clearstream, après Vinci – belle démonstration de capitalisme à la française –, après Guy Drut, après le Mondial, Autre Chose !!! L’estomac français peut tout avaler. Et Domenech ne va pas comprendre pourquoi tout le monde veut le virer.
Je remarquai qu’en France nous aimons bien être gouvernés par les vieillards : nos médias subventionnés (pas vrai, Libé ?) se félicitent de l’âge et du nombre de « capes » (116 sélections pour certains) de nos footballeurs. Nous avons l’équipe la plus vieille du monde : c’est enfin un record.

Mais, évidemment, l’exception française est ailleurs : modèle mondial de la démocratie, de l’antiracisme, de la tolérance et du reste, la France, qui était jusqu’à il y a peu un pays européen, a une équipe africaine de football. Le plus drôle est que ce n’est même pas une bonne équipe d’Afrique.

On va bien sûr m’accuser de racisme, me menacer de prison ferme, d’amendes, de tribunaux révolutionnaires et du reste. Mais je vais retourner le compliment dans un pays où la désignation d’un Hitler Ego sert d’argument massue. Car enfin, y a-t-il neuf Africains sur onze joueurs dans l’équipe de Corée ? D’Italie ? Du Portugal ? De la Suède ? Y a-t-il neuf Européens ou Chinois dans l’équipe du Togo ? Du Ghana ? Du Brésil ? Certes, il n’y a que des Afro-Américains dans l’équipe américaine de basket : mais enfin ils sont américains depuis des générations, écrasent tout le monde depuis des lustres et pleurent devant leur drapeau.

Une équipe doit représenter son pays !

Une équipe de foot doit refléter un pays. Le Brésil est un pays métis, l’Argentine (contrairement à ce qu’on croit) est un pays métis. Mais ces pays sont nés comme cela. Or, l’équipe de France ne reflète pas la France. Elle la remplace. Et cela correspond à une volonté politique. Je l’écris comme je le pense : nos élites racistes pratiquent un apartheid anti-blanc.
L’idée est bien sûr celle du sang neuf : les Français de souche seraient des dégénérés, il faut les remplacer. Or aux Jeux olympiques les Français de souche ont décroché toutes les médailles (plus de trente quand même), sauf une. Ils ne sont donc pas en si mauvaise santé. Dans le cas du foot, il y a une volonté délibérée de remplacer le pays. Le choix comme attaquant d’un bien rare joueur blanc converti à l’islam est aussi un cas d’école.

Je pense avec effroi à tous ces petits blancs qui vont être africanisés ou islamisés malgré eux par une « République » qui, comme dit Jean Raspail, a décidé de sacrifier la patrie. Et ce n’est pas, bien sûr, un grand service que l’on a rendu à nos immigrés et nos minorités sans éducation ni travail.

Dans le passé, la France avait, bien sûr, ses artilleurs africains ou antillais, comme Tigana et Trésor, de la glorieuse et patriote équipe Platini. Ces joueurs donnaient tout sur un terrain. Je n’oublierai jamais l’Euro 84, ou l’incroyable demi-finale de Séville contre l’Allemagne.

Mais, dans le cas présent, on a l’impression d’une équipe qui veut volontairement décevoir son public et ses supporters idiots. Incapable de battre la Suisse ou Israël, à peine capable de supplanter les îles Féroé, l’équipe de France est en train, à son corps défendant, de montrer au monde la faillite du modèle républicain d’intégration. Ce n’est pas là son moindre mérite…

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