Sexisme : la fin de la justice occidentale

Sexisme : la fin de la justice occidentale

Nous vivons décidément une époque inquiétante, où tout ce qui fit la grandeur de la civilisation occidentale est menacé.

J’évoquais la semaine dernière les menaces sur les libertés publiques. Mais le politiquement correct ne se limite pas à vouloir empêcher la libre expression des dissidents sur internet.

Il vise à détruire toutes les garanties juridiques et morales de notre vie en société.

Ainsi la judiciarisation des relations humaines atteint-elle des sommets, sous l’influence notamment des Anglo-Saxons qui ont, en cette matière, 20 ans « d’avance » sur nous.

C’est spécialement vrai des relations entre hommes et femmes, qui doivent être scrutées à la loupe par les médias et la justice.

La moindre accusation vaut condamnation, sans respect du secret de l’instruction, ni de la présomption d’innocence.

Nos post-modernes n’ont pas de mots assez durs contre « l’obscurantisme médiéval », mais ils restaurent un système judiciaire archaïque, revenant avant l’instauration (médiévale) de la procédure inquisitoriale (c’est-à-dire l’enquête pour découvrir la vérité) et de la procédure à charge et à décharge.

Comme dans les procès d’ordalie des époques barbares, il ne s’agit plus de savoir ce qui s’est réellement passé, mais de restaurer l’unité sociale en s’acharnant collectivement sur un bouc émissaire.

Exemple récent : le sieur Tariq Ramadan est mis en examen. J’en parle d’autant plus volontiers que je suis un opposant résolu à son islamisation souriante de l’Europe, vieille stratégie des Frères musulmans fondés par son grand-père – au moins aussi dangereuse que celle de l’État islamique.

Ramadan est donc accusé de viol. Sa victime présumée a donné des détails intimes.

Aussitôt, la presse se rue en meute sur l’affaire : ces détails sont la preuve que la dame a dit vrai. Inutile donc de juger Ramadan, sa culpabilité est avérée.

Personne n’a l’air de noter que ces détails intimes pourraient bien avoir été connus lors d’ébats consentis.

Il est vrai qu’avec l’Amazone et Grande Inquisitrice que nous avons au gouvernement en la personne de Marlène Schiappa, Secrétaire d’État chargée de l’égalité femmes-hommes (dans cet ordre, si vous ne voulez pas finir en cabane !), on ne « moufte » plus trop dans la caste jacassante.

La belle a, en effet, sévèrement recadré en novembre dernier son confrère Bruno Le Maire qui avait l’incroyable culot d’appeler par son prénom Delphine Gény-Stéphann, remplaçant Benjamin Griveaux à Bercy.

Cet usage du prénom serait la marque du « sexisme ordinaire ». Rien de moins !

Mieux encore, la sémillante Marlène, pardon la commissaire politique Schiappa (je ne voudrais pas être, à mon tour, accusé de sexisme, pour avoir le mauvais goût de la trouver plus jolie que M. Le Maire !), a taclé l’avocat de Jonathann Daval. Ce dernier avait eu l’audace de chercher des circonstances atténuantes à son client. Cela ne se pouvait tolérer.

Il paraît qu’aux États-Unis, en ces matières, plainte vaut condamnation. C’est rassurant sur notre futur, puisque nous sommes condamnés à faire les mêmes bêtises que nos voisins avec 20 ans de retard. Là-bas, on peut être mis en prison pour « avoir eu l’intention » (facile à supposer !) d’agresser une femme et y être maintenu en détention même lorsque, après des années de prison, l’ADN vient innocenter l’agresseur « présumé », au motif que cela n’ôte pas le préjudice moral subi par la « victime ».

J’admire ceux qui, dans ce contexte, peuvent clamer leur confiance dans la justice de leur pays !

 

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Comments (42)

  • BRENUS Répondre

    Schiappa vient encore d’ouvert sa g;; bouche uniquement pour se persuader d’exister. En n’ometant pas de règler la géométrie de ses attaques débiles . Selon que vous serez macronien ou autre, l’appréciation schiappatesque vous fera innocent ou coupable. Ceci dit, je suis sidéré que JUpiter conserve cette gerce comme ministre : elle s’en tient une couche pas possible et encore plus épaisse que la crême qui lui tartine la face. Vous me direz que pour accompagner les lesbiennes aigries et autres mal baisées, ça fait l’affaire. On ne va pas leur mettre miss France quand même. Surtout que mèmère pourrait mal le prendre.

    19 février 2018 à 1 h 09 min
  • Hilarion Répondre

    Je suis quant à moi un esprit très rudimentaire. Je constate que tout ce qui vit sur notre planète bleue, animal ou plante a une
    obsession : pérenniser son espèce . Chez les mammifères si proches de nous sur le plan physiologique, il existe même, suite à la naissance des petits, une forme de d’éducation à caractère mimétique assurant sécurité, adaptation au milieu et perdurant sur quelques mois suivant les espèces. . L’homme occidental moderne, lui, s’est mis à considérer que sa pérennisation était tout à fait secondaire par rapport à la possession de la dernière bagnole avec tout le bric brac électronique sorti du cerveau de nos géniaux marketteurs ou aller bronzer à l’autre bout du monde grâce un aéronef répandant dans l’atmosphère des tonnes d’un CO2 tant vilipendé par ailleurs. Parallèlement, des “penseuses féministes” se sont mises à médiatiser cette idée qu’ engendrer des enfants était une corvée dégradante imposée d’une manière tout à fait inégalitaire aux femmes puisque les hommes y échappaient et qu’il devenait à proprement parler scandaleux de leur demander, en plus d’élever ces enfants à la maison. En effet, n’était-il pas dégradant de rester à élever des petits enfants à la maison, alors que glisser des tôles sous une presse ou taper à la machine dans l’usine à vingt kilomètres allait permettre de s’offrir la fameuse auto gadget ou le fameux prestigieux voyage à CO2.
    Certains, qualifiés de Cassandre, faisaient remarquer qu’un taux de fécondité inférieur a deux conduisait à un déséquilibre démographique dont les conséquences économiques allaient se faire sentir à long terme, mais plus grave encore que le pérennité de l’espèce elle même était en cause. Cause toujours… On apprenait récemment que le taux de fécondité était tombé en France à 1,8 soit en dessous du taux de renouvellement de la population…autochtone. Mais on apprenait parallèlement que néanmoins la population française croissait. Sans doute la vérification chiffrée du “Grand Remplacement” qui allait permettre à des populations pour la plupart analphabètes ne parlant pas la langue et de toutes façons réfractaires à notre civilisation. de venir à notre place mais nous ramenant en un siècle à une situation bien inférieure au plan de moeurs à ce qu’était le moyen âge.

    17 février 2018 à 21 h 01 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      ” c’ est un vilain métier que celui de faire toujours des enfants ” disait déjà au XVIII ième siècle Thérèse d’ Albis de Belbèze

      tout est dans la … mesure et l’ harmonie

      18 février 2018 à 12 h 28 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    @ PAUL nous parle de Françoise Dolto et n’ a que louanges pour elle

    j’ ai connu des pédiatres qui ” suivaient ” dans leur approche et pratique professionnelle ses ” dogmes ” psychanalytiques lacaniens ; ils furent de véritables catastrophes pour les familles qu’ ils suivaient

    12 février 2018 à 17 h 52 min
    • Hilarion Répondre

      J’ai appris il y a quelques années que Françoise Dolto ne voyait pas dans l’inceste un acte hors nature, mais une relation d’affection particulière avec l’enfant qu’il ne fallait surtout pas dramatiser. Ce n’était pas formulé de cette manière mais cela en était bien le fond.
      Dolto a surgi si j’ai bonne mémoire dans les années 70 en pleine efflorescence de la cinglerie soixante huitarde, elle sévissait entre autres sur une chaîne de radio dont le nom m’échappe.

      17 février 2018 à 21 h 12 min
      • Paul Répondre

        Monsieur, je me permets d’intervenir parce que ce que vous dîtes est totalement faux ! Non seulement F.Dolto n’a jamais cautionné l’inceste (en arriver à démentir pareille ânerie est consternant) mais elle a traité des victimes d’incestes et fortement sommé d’arrêter ces pratiques aux fratries qui lui demandaient conseil après s’y être fourvoyé.
        Elle a d’ailleurs elle-même été témoin dans son enfance de tels problèmes et de leurs conséquences.
        Certains aujourd’hui se plaisent à calomnier Françoise Dolto qui offre l’avantage de ne plus être là pour se défendre et le fait qu’elle fut chrétienne aggrave probablement son cas pour certains. On peut tout à fait critiquer ses travaux et les enrichir mais s’en prendre ainsi à la personne (certains ont même prétendu qu’elle aurait été collaborationniste) est lamentable.

        18 février 2018 à 11 h 07 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        un assez bon résumé ( et fort dithyrambique comme il se doit ) de la vie ( mais aussi de l’ oeuvre) de Françoise Dolto sur Wikipédia pourra vous être utile pour vous faire un début d’ opinion ” générale ” … son oeuvre n’ en demeure pas moins que de la psychanalyse … c. à d. de la plus ” pure ” spéculation … celle des sciences humaines jamais constamment vérifiée de façon universelle car nourrie aux aléas sociaux d’ une enfance dont ne peut pas dire qu’ elle ait été particulièrement heureuse bien que très … catholique

        18 février 2018 à 12 h 46 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    lire, sans faute, sur le site du JDD l’ article qui décrit la position de Mme Schiappa dans l’ affaire Nicolas Hulot : où comment l’ omerta doit être considérée comme le fondement de la vie politique française … sauf bien entendu pour certains !

    11 février 2018 à 9 h 20 min
    • BRENUS Répondre

      La SCHIACHIA , elle l’a écrit en langue corse son poulet foireux sur HUlot ?

      14 février 2018 à 4 h 09 min
  • BRENUS Répondre

    La “ministre” Schiappa, écrivaine (sic) par ailleurs a commis quelques poulets dont un qu’elle a intitulé “les filles bien n’avalent pas”. D’abord, ça dépend qui elles sucent car certains n’évacuent rien, également les connasses bitophobes comme les appelaient un humoriste décédé (Desproges) qui semblent trouver que chaque verge a mauvais goût. D’ailleurs, dans ce cas, pourquoi pomper? Ceci pour affirmer que cette harpie à tendance coupe-burnes ne comprend plus très bien où elle vit. A moins qu’elle soit bi-nationale franco-lesbos? Mais où va t il faire son marché Jupiter.

    11 février 2018 à 1 h 15 min
  • HOMERE Répondre

    Je suis,en partie,d’accord avec Paul,principalement sur le fait d’élever les enfants que l’on a conçu soit même et qui relèvent de la responsabilité unique des parents.Trop de parents,et donc d’enfants, sont éloignés du foyer pour des raisons pas toujours valorisantes mais souvent égoïstes et toujours matérialistes…nécessité fait Loi….mais morale fait foi !
    Le résultat de tout celà nous est révélé tous les jours par la perte de repères et l’absence totale de respect de nos enfants et de nos jeunes.L’école a gravement failli dans son rôle d’éducation et pire,a aggravé la situation.
    Dire,comme nous le pensons,que l’enfant est le fruit de l’union d’un homme et d’une femme,implique,aujourd’hui,que ce merveilleux don soit préservé et élevé par ceux qui l’on reçu.Par conséquent,nous devons en tirer le principe que les deux auteurs de la vie ainsi donnée,sont conjointement concernés par l’accompagnement de l’enfant dans son évolution et son éducation…ce qui implique autant l’homme que la femme dans cet accompagnement et de ce qu’il peut avoir de plaisirs et de contraintes.
    La politique familiale doit permettre la réalisation de cet objectif pour permettre l’équilibre nécessaire pour les enfants.
    Je ne vois pas,non plus,que,pour un homme,manipuler un marteau piqueur,s’échiner près d’une bétonnière ou travailler à la chaîne soit valorisant….et pour l’individu et pour les conséquences de son absence hors du foyer familial.

    9 février 2018 à 15 h 44 min
    • Paul Répondre

      J’approuve ce que vous dîtes et bien des gens, là où je peux engager le débat, sont d’accord avec le fait que les parents ont trop souvent déserté le foyer. Et si l’école ne remplit plus ses devoirs, c’est en grande partie parce que les parents lui ont délégué ce qu’ils ne voulaient plus assumer: la transmission des bons principes, le respect des valeurs morales.
      Bien entendu qu’éduquer des enfants relève d’une responsabilité partagée par l’homme et la femme mais le féminisme soixante-huitard prônant l’égalitarisme a conduit à une confusion des rôles traditionnels créant une insécurité chez l’enfant l’amenant trop souvent, malgré ses capacités de résilience, à s’égarer sur des chemins hasardeux.
      Bien entendu que les métiers que vous citez peuvent paraitre rébarbatifs. Mais le fait d’apporter à son foyer les moyens de vivre, d’amener sa famille à s’élever socialement donne à tout travailleur le but qui aujourd’hui, quel que soit le métier pratiqué, se réduit au consumérisme que le salaire va permettre. La pédopsychiatre chrétienne Françoise Dolto a montré que le fait que ce soit le père qui exerce le métier permettant à la famille de vivre, que ce soit lui qui quitte le foyer la journée pour revenir le soir est très sécurisant pour l’enfant. Elle-même, quoi qu’exerçant une profession de haut niveau, est restée à la maison pour élever ses 3 enfants. Ce qui, je pense que vous en serez d’accord, ne l’a en rien empêchée de s’épanouir affectivement et socialement.

      9 février 2018 à 16 h 32 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      le problème a bien été posé lorsque l’ école, en abandonnant sa dénomination d’ enseignement national, est devenue l ‘ éducation nationale … l’ école n’ a pas pour mission fondamentale d’ éduquer mais d’ enseigner !

      10 février 2018 à 8 h 26 min
      • BRENUS Répondre

        Parfaitement d’accord avec la nécessité d’abandonner cette appellation fallacieuse d'”éducation”. Mais quand vous dites cela en public, c’est une levée de bouliers (ce dont je n’ai rien a foutre d’ailleurs). C’est quoi cette prétention d’éducation par des zozotes (majoritaires a l’EN) qui, souvent , n’ont même pas eu de gosses. C’est comme si je proposait d’opérer Q.C : il aurait du soucis à se faire. (encore que, par rapport à quelques dingues du bistouri, je ne ferais pas plus mal, ayant dépiauté des lapins étant jeune)

        10 février 2018 à 23 h 50 min
        • Paul Répondre

          Je ne suis pas tout à fait de votre avis. L’école doit aussi transmettre ce qui relève de l’éducation collective et corriger ce qui n’est pas effectué correctement dans les familles. Autrefois les maîtres donnaient des cours de morale, ce qui permettait de fixer les principes fondamentaux. Bien entendu, dans l’état actuel de la formation des enseignants, il vaut mieux ne rien faire, mais si nous sommes portés au pouvoir, ces leçons pourront reprendre dans un cadre établi avec des formations préalables précises sur le contenu à transmettre. En effet, par exemple, si les parents doivent éduquer les enfants au respect des parents et des maîtres, ces derniers doivent le prolonger par l’enseignement de la nécessité du respect de la hiérarchie sociale et de l’ordre public.

          11 février 2018 à 10 h 15 min
          • quinctius cincinnatus

            allez donc, Saint Paul, doux apôtre en loden, donner des cours de Morale dans nos
            ” riches ” banlieues

            nous ne sommes plus au siècle des Frères des Ecoles chrétiennes et la population n’ est plus la même , même si plus de 50% d’ imbéciles , pardon de Français, pensent que l’ Islam est soluble dans la population

            la France ,fille aînée de l’ Eglise, a besoin de missionnaires : allez sur le chemin de Damas !

            11 février 2018 à 18 h 32 min
          • Paul

            Monsieur, depuis 4 semaines que je participe à ce site, je ne lis de vous que railleries et suffisance. Il semble que vous vous ennuyez chez vous au plus haut point et que seul ce blog vous permet de parler de vous même (médecin émérite, athlète de haut niveau, père de fils tout aussi brillants,…) ou de ce que vous souhaitez paraitre.
            Pas l’ombre d’une proposition à débattre n’émane de vos commentaires.
            Je ne reprendrai donc le débat avec vous que si vous vous donnez la peine d’émettre une idée. D’ici là, portez-vous bien.

            11 février 2018 à 19 h 09 min
          • quinctius cincinnatus

            Monsieur Paul ,

            j’ ai relevé que vous utilisiez avec une fréquence soutenue le terme ” FACTUEL ” en le déclinant sous différentes formes , mais qu’ il ne correspondait pas, dans vos propos, à sa définition :

            ” est factuel ce qui s’ en tient au fait sans l’ interpréter ”

            voilà pour quoi je vous raille , malgré que vous soyez , c’ est incontestable, de bonne foi et intellectuellement talentueux

            vous êtes un rhétoricien habile mais certainement pas un clinicien objectif et c’ est de cliniciens dont nous avons un besoin urgent pas de sophistes même de la plus pure droite

            bien à vous

            12 février 2018 à 8 h 58 min
      • Ipazia Répondre

        De quelle école parlez vous ? Car en France ,l’école est morte en Mai 1968!

        13 février 2018 à 8 h 56 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          d’ autres vous affirmeront qu’ elle est morte avec le Concordat, d’ autres encore qu’ elle a disparu avec les Ecoles d’ Athènes

          ” nous savons maintenant que les civilisations sont mortelles” disait justement … l’ Autre !

          15 février 2018 à 11 h 55 min
  • betsynette Répondre

    Je suis catastrophée de lire et d’entendre tous les jours certaines choses, surtout en tant que femme, dans certains cas, comme ces actrices, qui ont acceptées de se laisser tripotées, ……pour leur carrière……., et des années après , se disent avoir été violées, c’est faire très peu de cas, de celles qui se font vraiment violées, ce message va faire hurler les fans de la ministre des droits des femmes, mais hors celles qui ne peuvent se défendre, les autres peuvent porter plainte, quant à celle qui se réveillent 10, 15, ou 20 ans après, je suis vraiment pleine de , je ne dirais pas mépris car je ne méprise personne, mais à force ces bonnes femmes de remuer la boue, elles vont en être recouvertes.Il y a un mot qui sert aussi c’est ……NON……

    9 février 2018 à 12 h 05 min
    • Paul Répondre

      Je suis bien d’accord avec vous. Cela est dû aux discours féministes incohérents qui prétendent d’un côté que le viol peut être l’occasion d’une jouissance ou qu’il n’est pas mal de se faire importuner par des hommes et qui, de l’autre, incitent les mêmes femmes à porter plainte parfois pour des crimes imaginaires. Nous vivons actuellement ce chaos qu’il convient de dénoncer pour proposer de revenir à une situation de stabilité, plus proches des inclinations naturelles, des rapports entre hommes et femmes.

      9 février 2018 à 13 h 03 min
  • AMA Répondre

    “Chassez le naturel, il revient au galop…”Attendons que l’exciyation sexiste se calme. Les brebis soudain libérées reviendront dans l’enclos.

    9 février 2018 à 10 h 35 min
  • Agathe Répondre

    C’est aux femmes à répondre à cet article.
    Malheureusement, pour certains hommes, la femme est une proie.
    Aujourd’hui, la femme doit faire des études supérieures, puis sortir de chez elle pour aller travailler.
    Le viol est inadmissible. Il était puni de mort dans la Grèce antique.

    9 février 2018 à 3 h 59 min
    • Paul Répondre

      Madame, dans la Grèce antique on ne parlait pas de viol mais de “possession illégitime” d’une femme. En effet, ce qui comptait n’était pas le consentement de la femme mais le statut de celui qui la possédait. La femme n’avait pas son mot à dire sur le choix de son époux et se refuser à celui-ci, quoi qu’il demande, n’était pas pensable.
      Par ailleurs, en quoi “aller travailler” apporte quoi que ce soit à la femme ? Pensez-vous qu’élever ses enfants est moins épanouissant que vider des poulets à la chaine ou faire le ménage à 4h du matin ? Tout dépend du travail effectué et de l’équilibre trouvé au sein du foyer. Le travail libérateur en soi est une chimère inventée par les féministes pour éloigner les femmes de leur rôle au sein de la famille. C’est ce qui conduit à la ruine de cette institution primordiale, son délitement ainsi que la confusion des genres dont le résultat est le chaos moral, la dilution des familles, la perte de l’autorité et l’effondrement de notre natalité, véritable suicide collectif.

      9 février 2018 à 9 h 56 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        pour certaines femmes il faut bien vivre et quelle différence entre la paysanne du début du siècle qui élevait une multitude d’ enfants et qui travaillait à la ferme et certaines femmes d’ aujourd ‘ hui ? vous nous confirmez que vous êtes un rétrograde ***! mais dans quel monde vivez vous donc ?

        *** comme on dit plantigrade !

        9 février 2018 à 13 h 55 min
        • Paul Répondre

          “mais dans quel monde vivez vous donc ? ”
          Apparemment dans le même que le vôtre sauf que celui-ci semble dans son cheminement actuel vous convenir parfaitement. Je remarque simplement qu’à chaque proposition que j’avance, qu’elle soit rétrograde ou plantigrade, vous êtes incapable d’en opposer une autre. Je pense simplement que vous savez au fond que j’ai raison mais que vous avez peur de voir la réalité en face en prenant les allures d’un joyeux drille bien dans son époque. Faux semblant qui ne résiste pas à un échange d’idées.

          9 février 2018 à 15 h 37 min
          • quinctius cincinnatus

            chez vous ce ne sont pas des échanges d’ idée(s) ce sont des ” aces ” à chaque coup gagnant du moins le croyez vous car ce sont plutôt des services qui sortent du cadre

            il faut vivre avec son temps, et toujours s’ adapter aux conditions de jeu ! c’ est ainsi que nous reviendrons à l’ essentiel , aux fondamentaux ; dans la vie politique et sociale tout n’ est qu’ une question de balancier !

            15 février 2018 à 18 h 58 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” la fin de la justice occidentale ” … pas de partout

    la police israélienne sur le point d’ inculper Benjamin Netanyahu pour corruption

    8 février 2018 à 23 h 12 min
  • BRENUS Répondre

    Une seule solution pour les hommes d’échapper à la vindicte des féministes castratrices : TOUS PEDES ! Ainsi vous leur couperez ( si j’ose dire) l’herbe sous le pied. D’ailleurs, on n’est jamais trop aidé ( faites la liaison)

    8 février 2018 à 18 h 52 min
  • Josette GAZU Répondre

    Hormis la défense des femmes maltraitées et la lutte contre les inégalités de salaire, le “sexisme” est un sujet dérivatif. Il occupe le devant de la scène médiatico-politique au lieu et place de la menace islamique et du mauvais usage de l’argent public.

    8 février 2018 à 10 h 47 min
    • HOMERE Répondre

      Oui vous avez raison…çà fait plaisir aux babas cool et féministes friqués qui “se la joue” gauchiste et revendicatif …pendant ce temps on plume le peuple !! les paillettes pour la galerie et le hochet pour la valetaille !!

      8 février 2018 à 18 h 13 min
    • Paul Répondre

      Madame, je ne pense pas que “l’égalité salariale” soit un combat sain. Je pense que les femmes se fourvoient à être ainsi hantées par une carrière qui, pour l’essentiel, ne les satisfait jamais. Ainsi, dans la fonction publique règne une égalité parfaite des salaires entre hommes et femmes (traitement en fonction du grade), les femmes sont-elles pour autant satisfaites de leur sort ? Discutez avec les enseignantes, par exemple, majoritaires dans une profession où hommes et femmes ont des salaires parfaitement alignés: pas une qui prétende s’épanouir dans son travail.
      Je pense que la femme doit réfléchir à son rôle social et regarder un peu plus du côté de la famille où, à mon sens, elle trouvera plus naturellement sa place. Bien entendu, je conçois que celles qui ne se sentent pas capables d’élever des enfants choisissent une carrière comme pis aller. C’est dommage mais peut se révéler parfois socialement positif.
      Par contre, je vous suis sur les violences inadmissibles faites aux femmes qui montrent que si la femme a trop oublié sa vocation l’homme a sévèrement manqué à ses devoirs de protection et de bienveillance. Les coupables doivent être sévèrement châtiés et ce qui a amené à ce chaos, le féminisme, la pornographie, le laxisme éducatif, la confusion des genres, farouchement combattu.

      8 février 2018 à 19 h 22 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        homme ou femme chacun, chacune choisit la vie qu’ il ou qu’ elle veut

        on peut aussi instaurer une forme de charia ” occidentale ” un peu comme veut le faire … ” sens commun ”

        si vous croyez que c’ est avec ces sortes d’ items que vous allez devenir majoritaire c’ est que vous êtes véritablement borné

        8 février 2018 à 23 h 17 min
        • Paul Répondre

          “homme ou femme chacun, chacune choisit la vie qu’ il ou qu’ elle veut”.
          Bien sûr. Et “il est interdit d’interdire” et “jouissons sans entraves”… Vous brandissez la charia comme les gauchistes nous traitent de nazis quand on parle d’autorité, de famille, de valeurs morales et de liberté économique.
          Notre but n’est pas de devenir majoritaires pour reproduire le socialisme mais pour changer le chemin néfaste qu’a pris notre société. C’est plus difficile que la démagogie, j’entends bien, mais il est temps que ces convictions s’expriment enfin.

          9 février 2018 à 11 h 31 min
          • quinctius cincinnatus

            pire que rétrograde , vous êtes scléreux

            voilà pourquoi les ” 4 Vérités ” ont si peu d’ abonnés !

            9 février 2018 à 13 h 57 min
      • betsynette Répondre

        Les femmes veulent des enfants,mais ne veulent plus faire le sacrifice de les élever.
        Quel plus beau rôle que celui de maman, quel idiotie de mettre cela en balance, mais c’est leur …..droit….elles veulent vivre comme des mecs, ……elles assument sans se plaindre……ce sont bien cela que ces femmes veulent, pas assez féminine…..des gros bras qui veulent tout sans rien donner.
        Une femme qui en a mare de ce….. combat ….de sexe, elles n’ont donc rien compris, les hommes ne sont pas si méchants, quant il faut les prendre dans leurs bras.

        9 février 2018 à 20 h 26 min
        • Paul Répondre

          “mais c’est leur …..droit….elles veulent vivre comme des mecs,”
          Vous avez tout à fait raison. Nous avons transformé en droit des fantasmes idéologiques arbitraires. Il en a été des valeurs sociétales comme des mesures économiques: il a été donné un “droit” aux 35 heures ou au RSA en dehors de toute logique économique et sociale. Il faudra raisonnablement revenir sur nombre de droits accordés à la légère quitte à en créer d’autres plus en phase avec le droit naturel et la science économique.

          10 février 2018 à 11 h 16 min
  • vozuti Répondre

    depuis que la suède a accueilli des centaines de milliers de migrants, les suédoises n’osent plus sortir de chez elles le soir,à cause de l’explosion des viols et agressions.mais paradoxalement, celles qui osent se plaindre publiquement de cette situation sont la cible des féministes qui les traitent de racistes.quant aux médias suédois,il passent tout cela sous silence,car l’idéologie officielle,qu’il ne faut surtout pas remettre en question, est que la suède est une puissance humanitaire chargée d’accueillir le monde entier…ça rappelle quelque chose…

    7 février 2018 à 3 h 08 min
    • BRENUS Répondre

      Si les Suédoises aiment tellement le zob et que leurs mecs n’y voient pas d’inconvénient, où est le problème? C’est leur affaire. Peut être aussi que leurs mecs aiment se faire sodomiser, après tout, car qui ne réagit pas consent. Quand les habitants d’un pays demandent ou acceptent que les hommes s’assoient pour pisser sur les toilettes comme les femmes, pour se soumettre aux lubies de cinglés -ées-, il ne leur reste plus qu’a devenir androgynes ou eunuques. Et dire que ce petit pays a tenu la dragée haute dans le passé a des voisins beaucoup plus important. Leur roi Karol doit se retourner dans sa tombe.

      8 février 2018 à 1 h 01 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        où avez vous trouvé un ” Karol ” roi de Suède ? et dans quelle dynastie ?

        8 février 2018 à 23 h 23 min
  • Paul Répondre

    Monsieur, vous commettez deux erreurs qui nous éloignent du vrai débat. Tout d’abord, T.Ramadan a nié tout lien avec son accusatrice, ce qui exclut des rapports consentis. C’est cela qui motive sa mise en examen. Concernant l’autre affaire, il est désolant que les avocats puissent prendre la parole en public et invoquer telle ou telle circonstance atténuante alors que le procureur ne peut pareillement parader devant les journalistes.
    Au-delà de ces éléments, la vraie question est celle du désastre dans lequel nous a amené le féminisme. L’égalitarisme des sexes, jusqu’à la confusion des genres, entraine un désarroi chez les femmes qui ne savent plus quel est leur rôle et une culpabilisation des hommes qui, quoi qu’ils fassent, ne savent plus ce qui est bien ou mal. On a vu lors de cette grotesque affaire de pétition les féministes se quereller pour savoir s’il était bon ou mauvais que les hommes les importunent, voire les violent. Evidente nous apparait l’impasse du féminisme qu’ il convient donc de prendre à contre courant lentement, comme pour une progressive désintoxication.
    Les femmes doivent réfléchir à ce que leur a vraiment apporté ce qu’elles appellent leur émancipation et qui n’est, on le constate, qu’une fuite en avant qui conduit à une instabilité maladive, un repli sur soi, une insatisfaction permanente qui crée des solitudes, des dépressions, des suicides.
    Les hommes doivent comprendre qu’ils ont probablement au départ négligé leur devoir de protection, de présence, de bienveillance attentive.
    C’est la famille qui en a payé le prix, aujourd’hui mise à mal dans ses fondements.
    Il faut que les femmes comprennent que leur rôle au coeur de la famille est le seul qui leur donnera une réelle plénitude. Devenir la concurrente de l’homme ne leur a pas apporté une once de bonheur, passée l’ivresse d’une liberté factice. L’homme doit repenser son rôle de chef de famille qui était le sien et qu’il a abandonné, laissant libre court aux discours vains et spécieux des féministes soixanthuitardes. L’homme n’a pas été assez solide. La femme s’est laissée dupée. Il faut que chacun se reprenne et revienne à sa vocation naturelle. Que les femmes se sentent aujourd’hui obligées de réussir une carrière, y compris parfois “d’hôtesses de caisse” plutôt qu’élever leurs enfants est stupéfiant. Il semble qu’être mère soit aujourd’hui dégradant, il faut donc revoir tout cela.
    Pareillement, être père, diriger et protéger un foyer, travailler pour élever socialement sa famille, imposer aux enfants les bons principes ne doit plus être considéré comme un statut de tyran nazi.
    Contrairement à ce que l’on croit, ce discours n’est pas si mal reçu et beaucoup concèdent que, finalement, “c’était mieux avant”.
    Il convient aujourd’hui de reprendre la main sur des valeurs que nous avons laissées à l’abandon et auxquelles, si on sait y faire, beaucoup reviendront naturellement.

    6 février 2018 à 18 h 09 min

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