Silence sur les complices de la gauche

Silence sur les complices de la gauche

Si la gauche et notamment Jean-Luc Mélenchon avaient semé la confusion et le doute en accusant la police de provocations lors des manifestations contre la réforme des retraites, personne n’accuse aujourd’hui la gauche de frayer avec des personnes aux comportements douteux. Car le “ninja” est finalement plus proche de la gauche que de la police :

Grégory Bedois, 30 ans, vivant de petits boulots, sympathisant des anti-capitalistes et demeurant dans un squat du XXe arrondissement. Le visage couvert d’une capuche et d’un masque de ski, armé d’un bâton téléscopique, l’individu avait donné “un coup de pied sauté” dans le dos d’un passant alors que celui-ci tentait d’empêcher un casseur de briser une vitrine. Des images avaient circulé sur internet et le coup de pied avait valu à son auteur le surnom de “ninja”.

Grâce à des clichés pris durant la manifestation, les policiers avaient identifé le suspect, un jeune selon eux proche des milieux anarchistes. En revanche le casseur qui a brisé la vitrine de la banque n’a jamais été interpellé.

Si la droite et le gouvernement faisaient preuve de courage et ne doutaient pas eux-mêmes de leur propres légitimité, monsieur Mélenchon se retrouverait devant la justice pour diffamation..

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Comments (1)

  • DOE Jane Répondre

    laissons l’électeur sanctionner ce triste sire qui donne des leçons à tous tout en vivant de nos impôts ; et bien mieux que les assujettis à l’impôt !

    8 décembre 2010 à 8 h 59 min

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