Socialisme de la presse

Socialisme de la presse

La socialisation complète de la société française poursuit sa marche en avant, avec le cas caricatural de la
presse.
Celle-ci n’a plus beaucoup de lecteurs depuis les années 90 pour deux raisons :

elle  ne fournit pas une information originale et fiable (n’importe quel connaisseur d’un domaine ne peut qu’être
effrayé par la quantitté d’erreurs techniques véhiculées sur ce domaine par la presse),

elle reprend en permanence le consensus politiquement correct qui mène notre pays à la ruine.

A force de perdre des lecteurs complètement désintéressés pas sa médiocrité, la presse a aussi commencé à perdre ses ressources
publicitaires.

 

Plutôt que de laisser mourir des titres sans lectorat et sans intérêt, le pouvoir politique préfère les maintenir
artificiellement en vie afin de s’en faire des obligés.
D‘où la nouvelle croissance de 50% ( ! ) en un an des subventions accordées à la presse, soit plus de 400 millions d’euros
(chiffres vus ici), 
en pleine crise des finances publiques, ajoutons à celà les publicités subventionnées par les pouvoirs publics, on arrive à
une presse socialiste,  dont les journalistes deviennent en réalité des fonctionnaires masqués. Dans ce domaine, la France se trouve aujourd’hui quelque part entre la Chine,
la Russie et la Corée du Nord !

Et ce, alors même que ses voisins européens, Itaie et Espagne notamment, connaissent une presse indépendante, dynanmique avec un
lectorat nombreux et renouvelé. 

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