Un homme providentiel pour sauver la France

Un homme providentiel pour sauver la France

Devant l’effondrement moral et économique français on se prend à espérer dans les chaumières l’arrivée d’un sauveur qui réglerait en un tournemain toutes nos contradictions et toutes nos difficultés internes.

Mais c’est utopique, car il de­vrait au préalable répondre aux questions primordiales suivantes sur lesquelles il est bien difficile d’avoir un consensus.

Une question fondamentale tout d’abord : dans le cadre de notre pseudo-démocratie, qui tourne à la farce avec le renouvellement constant des mêmes petits groupes politiques, les élus du peuple, qui savent si bien quémander nos voix, sont-ils nos serviteurs ou nos maîtres, nous représentent-ils ou nous dictent-ils leurs idées ?

Appartenons-nous corps et biens à cette fiction que représente l’État que s’approprient impunément des cliques bien organisées ? Où s’arrête leur pouvoir ? Jusqu’où peuvent-elles changer la société de leur propre autorité sans consulter le peuple ?

Ont-elles le droit de nous priver de Dieu, de notre passé, de notre culture, de notre liberté, de notre sécurité (en nous empêchant de nous défendre efficacement), de notre genre pour construire un homme nouveau coupé de ses racines, uniforme, pur produit de leurs divagations ?

Sont-elles habilitées à dire l’histoire, à museler la pensée, à jeter les pauvres contre les riches, les profiteurs contre les producteurs, les majorités contre les minorités ?

En bref, sommes-nous devenus les serfs de ces nouveaux féodaux ?

En second lieu, comment concilier l’extension continuelle des droits individuels de l’homme (ainsi que ceux des minorités contre l’intérêt général) avec, d’une part, la diffusion de lois de plus en plus restrictives, aboutissant, elles, à l’abrogation graduelle de toute indépendance, et, d’autre part, avec la pratique d’élections truquées ?

Tertio, avant même d’évoquer des programmes économiques, ne serait-il pas souhaitable, au-delà des idéologies, fatalement toujours haineuses, d’examiner dans la réalité (et non dans une perspective électorale) la véritable situation des gagnants et des perdants ?

Le bien-être collectif peut-il justifier, et jusqu’où, d’assurer aux entrepreneurs une situation privilégiée ? Est-il acceptable de laisser proliférer, pour de mauvaises raisons, soi-disant humanistes, à tous les échelons (du bas comme du haut), autant de « profiteurs » vivant aux crochets de l’État, ou tout simplement aux crochets des autres ?

Comment concilier l’efficacité productive avec le bien-être collectif et social ?

Enfin, quelle place accorder à l’immigration dans un contexte de difficultés économiques croissantes et à l’écologie dans le cadre d’une population mondiale grandissante plus consommatrice que jamais, avec des techniques plus sages qu’autrefois, mais toujours inévitablement polluantes ?

Serge Douplitzky

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Comments (53)

  • LOPEZ Répondre

    NAPOLEON : je lis les messages ci-dessus…mais je trouve malheureusement que les êtres de notre époque sont trop petits et cela les gènes de se souvenir des rares hommes français qui ont su mener la France à sa grandeur et son prestique mondiale…..il faut que le français cesse de critiquer et se prendre en main en grandissant et en prenant conscience qui l’est né dans l’un des plus grands de l’histoire et dont la culture a raillonnet dans le monde..Beaucoup de mérite pas d’être français

    27 octobre 2014 à 20 h 39 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Jaures en relisant vos derniers posts, on voit que vous êtes partout sur la défensive.
    Toutes vos ressouces sont usées et puent la naphtaline à plein nez. Il serait temps de changer votre logiciel désuet qui date de l’époque héroique de DOS.
    Windows 95 pour les nuls serait un bon début.
    Bien le bonjour.

    14 mars 2014 à 9 h 51 min
  • Lucie Répondre

    Suite a la votation sur l’immigration massive en Suisse, il semble que le gouvernement n’est pas pres de faire le necessaire

    13 mars 2014 à 16 h 13 min
  • Claude Roland Répondre

    Avant tout, il faut se poser les bonnes questions fondamentales : Comment le peuple français peut-il encore se satisfaire et accepter un système gouvernementale aussi pourri jusqu’à la moelle ? Parce qu’il le vaut bien ?!

    Comment un peuple qui se targue d’avoir les “meilleurs penseurs du monde” est-il incapable de concevoir une synthèse de système gouvernemental, voire un système convergent vers le système suisse soi-disant “le meilleur système vraiment démocratique” ?

    Comment un peuple peut-il laisser son pays glisser à ce point dans la déchéance, la ruine économique, le chômage de masse sans réagir ? Les Ukrainiens en ont eu le courage, eux…

    On a les dirigeants que l’on décide de mériter. Ces dirigeants reflètent la mentalité inconsciente d’un peuple, et elle n’est pas belle, c’est le moins que l’on puisse dire. Donc RIEN ne changera dans ce pays tant que chaque Français ne changera pas de mentalité. Et il ira jusqu’au désastre total tant que ça ne changera pas. 1789 a été réalisé pour rien car les privilèges n’ont pas été aboli mais redistribués au nez et à la barbe d’un peuple de gros couillons amnésiques à grande gueule et petits bras.

    13 mars 2014 à 10 h 45 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      qu’entendez vous exactement par ” penseurs ” ?
      pouvez vous nous ” révéler ” quelques noms qui auraient d’une part une renommée universellement reconnue et qui d’autre part, et surtout , auraient fait avancer l’Intelligence du Monde chez les ” bipèdes que nous sommes… et qui penseraient ” ?

      13 mars 2014 à 13 h 37 min
      • Claude Roland Répondre

        Toute une liste en commençant par Montesquieu, Voltaire, Condorcet, etc. Je ne peux la mettre ici, mais elle est belle. Quant à changer de peuple ? c’est en cours, mais dans un nivellement par le bas qui nous amènera à une brésilianisation de la France au niveau économique, politique, scientifique, etc. Une toute petite élite et une énorme masse de miséreux incultes.

        18 mars 2014 à 13 h 55 min
    • Jaures Répondre

      Nous proposez-vous de changer de peuple ?

      13 mars 2014 à 16 h 13 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        c’est bien ce que font Christiane Taubira et Vincent Peillon chacun dans leur ” domaine ” respectif, non ?
        c’est bien ce qu’ont fait et font encore les ” politiques ” , les O.N.G. , les ” patrons ” par une substitution à la fois ” raciale ” et ” religieuse ” c’est à dire clairement communautariste de la population , non ?

        14 mars 2014 à 9 h 31 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        C’est en cours, Jaures, ne vous en inquiétez pas, vos potes font le nécéssaire.
        Un conseil, apprenez l’arabe, vous en aurez bientôt besoin pour communiquer sur ce site.

        14 mars 2014 à 9 h 46 min
  • Georges 29 Répondre

    Je reprends juste les derniers termes de BAYLE pour compléter : une nouvelle Constitution devrait reprendre les principes proposés par Denis PAYRE et son équipe “Nouscitoyens”, qui suppriment les carrières de politiques professionnels à vie de nos élus, ceci par un ou deux mandats maximum pour chacun, et la démission de tout fonctionnaire de son statut et avantages masqués divers lorsqu’il est élu, (voir les six propositions de ce petit parti).
    Seraient élus des candidats vraiment et uniquement motivés pour rendre service et aider les autres, ici pour notre pays, comme nombre de bénévoles partout en France.
    Ce point, avec la démocratie directe à tous niveaux, permettrait de résoudre nombre de problèmes et sur nombre de sujets, par le bon sens des citoyens français. Il me semble …

    12 mars 2014 à 23 h 23 min
    • Claude Roland Répondre

      Surtout “dégraisser le mammouth” en supprimant le Sénat et en réduisant des deux tiers le nombre de députés, en réduisant le mille feuille administratif, en réduisant le code du travail à une centaine de page, en époussetant le code civil qui devrait avoir une équipe permamente de mise à jour bien informatisée car nous sommes en 2014 et il date des années 1800 ! Voilà déjà des choses concrètes.

      13 mars 2014 à 11 h 07 min
      • Georges 29 Répondre

        Merci à Claude Roland,

        Tout à fait d’accord avec vos indications. Et on peut en rajouter bien d’autres… La liste prendrait plusieurs pages.
        Mais si les principes de Denis Payre, que je ne connais pas, sont mis en vigueur, en y rajoutant la Démocratie directe à tous niveaux, on peut supputer que le bons sens de ces élus à durée limitée qui consacreraient quelques années de manière quasi désintéressée à aider les autres et à l’organisation de la société, avec les électeurs consultés systématiquement, simplifieront nombre de complexifications existantes, dont celles que vous évoquez.
        On rêve ? Ou comment obtenir cette évolution de notre société ?

        18 mars 2014 à 2 h 57 min
  • Bisson bernard Répondre

    Je répondrai à “Jaurès” que son affaire de famille est réglée depuis hier.
    Une cabale n’a jamais apporté de bien.

    12 mars 2014 à 23 h 00 min
  • Andrée Joy Répondre

    BISSON BERNARD, mes compliments sur votre commentaire, Président John F Kennedy pensait comme vous. il nous a dit de ne pas toujours recevoir du Gouvernement, mais d’aider le Gouvernement et construire une bonne économie.

    12 mars 2014 à 20 h 56 min
  • Andrée Joy Répondre

    Bisson Bernard, exactement les mots de du Président John F Kennedy lors de son discour d’acceptance.
    “Don’t ask what your country can do for you, ask what you can do for your country”, des mots qui se répète encore et encore aujourd’hui. Mes compliments. AGJ

    12 mars 2014 à 20 h 50 min
  • Jaures Répondre

    Evidemment, quand la démocratie repousse ses idées on se plait à rêver d’un dictateur. Mais qui vous dit que celui-ci ne s’en prendrait pas à vous-même en premier ? Les tyrans se plaisent à faire le net dans leurs propres rangs avant de se retourner contre les autres et à la chute, tout le monde compte ses morts.

    12 mars 2014 à 15 h 08 min
    • philiberte Répondre

      on ne parle pas de dictateur, mais d’homme providentiel.
      mais je suis prête à courir le risque, d’avoir quelqu’un qui fasse le ménage chez ces politiciens vérolés.

      12 mars 2014 à 16 h 39 min
      • Jaures Répondre

        Bayle parle bien d’une dictature et vous même citez “Napo” qui a laissé un pays ruiné et des centaines de milliers de morts.
        Prenez plutôt le risque d’attendre 2017. Et la France ne sera sans doute pas en telle souffrance.

        12 mars 2014 à 17 h 25 min
        • philiberte Répondre

          il a commencé par sortir le pays de la m..e où l’avait laissé la grande révolution.
          s’il a dû se battre contre l’europe entière, c’est parce que les différents gouvernants étaient ravis de voir la France se retrouver au dernier rang, alors qu’elle leur damait le pion avant 1789.

          12 mars 2014 à 20 h 42 min
          • Jaures

            Au dernier rang ? Mais c’est justement là où l’a laissée Napoléon après avoir ravagé l’Europe. Savez-vous qu’il y avait alors plus de morts en une seule bataille qu’aujourd’hui en une année de guerre en Syrie ?

            13 mars 2014 à 16 h 20 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          Jaures: … et la France ne sera pas dans une telle souffrance… Nous sommes en 2014 et il reste encore 3 ans à se payer avec l’idiot du village actuel.
          Le bilan de 2014 ressemble déjà à une calamité, une extrapolation jusqu’en 2017 nous ramènerait sans doute aux heures sombres après Waterloo.

          13 mars 2014 à 11 h 54 min
          • Jaures

            Visiblement, cher Hans, et je m’en félicite, vous avez été assez épargné pour ne pas savoir ce qu’est la souffrance sociale ou une “calamité”.
            D’autres fins analystes ont enterré Obama à mi-mandat. Qui voyait “l’idiot du village” élu 1 an avant son investiture, quand il culminait à 6% de popularité ? Alors à 16% aujourd’hui, c’est presque inespéré !

            13 mars 2014 à 16 h 41 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          vous admettez qu’il y a un ” RISQUE ” de 2012 à 2017 , c’est déjà une faible lueur de lucidité de votre part , merci !

          14 mars 2014 à 9 h 34 min
          • Jaures

            Relisez le dialogue depuis le début, Quinquin.

            14 mars 2014 à 13 h 55 min
    • Claude Roland Répondre

      C’est pathétique cette habitude d’imaginer des dirigeants sur des images du passé, de préférence nazi. Moi je pense à une Thatcher, plutôt. L’Angleterre a eu du mal à remonter mais se maintient mieux à flot que la France, en tous cas. On ne peut pas éternellement vivre dans le passé et surtout être incapable d’en tirer les leçons.

      13 mars 2014 à 10 h 49 min
      • Jaures Répondre

        Où voyez-vous que l’Angleterre va mieux que la France ? Son taux de chômage ? Il est faussé par les contrats précaires dont le funeste contrat 0 heure qui ramène les travailleurs aux journaliers du XIXème siècle.
        Sa croissance ? Elle est dopée par les déficits publics (6,5% du PIB) et l’endettement des ménages supérieur de 60% à celui des Français.
        Peut-être vaut-il mieux vivre à Londres qu’à Paris quand on est riche (et encore !). Mais pour un salarié, et même un chômeur, c’est bien moins sûr.

        13 mars 2014 à 16 h 29 min
  • Bisson bernard Répondre

    Je persiste et signe que l’homme providentiel, nous l’avons en la personne de Philippe de Villers dont les bottes s’enfoncent dans la terre de nos ancêtres ( voir Le Puy du Fou, lire tous ses livres pétris d’amour de la France) et lui, au moins n’a pas d’ego surdimentionné.
    Il ne cherche pas ce que la France pourrait lui donner , mais il cherche ce qu’il peut apporter à la Fance.

    12 mars 2014 à 14 h 54 min
    • philiberte Répondre

      je suis d’accord avec vous, j’ai même été encartée au MPF, mais outre que P2V n’est pas en bonne santé, on ne le voit jamais en dehors des élections où il se présentait. de plus, ce n’est pas un orateur, et face à certains, il faut avoir l’esprit de répartie.

      12 mars 2014 à 16 h 37 min
    • Jaures Répondre

      Avant de s’occuper de la France, il devra déjà mettre de l’ordre dans sa famille.

      12 mars 2014 à 17 h 27 min
      • philiberte Répondre

        comme quoi, quand on veut détruire un homme qui dérange…

        12 mars 2014 à 20 h 44 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        ce que vous dites de façon lapidaire ( c.à.d. comme un …lapidation ) est MEPRISABLE

        – d’un part parce que le ” Pater Familias ” n’est plus d’époque

        – d’autre part que cette situation fammilliale est un drame pour un homme quel qu’il soit ou a pu être

        de temps à autre vous révélez votre personnalité enfouie par votre verbe moralisateur et ce n’est jamais à votre avantage et encore moins à votre honneur

        12 mars 2014 à 22 h 09 min
        • Jaures Répondre

          Désolé, mais ce n’est pas moi qui ai porté plainte. Et je ne sais si le drame est pour le père ou pour le fils.

          13 mars 2014 à 16 h 33 min
          • quinctius cincinnatus

            un drame familial ne se ” saucissonne ” pas ! vous qui vous référez en permanence aux ” sciences ” morales et politiques devriez au moins le savoir !

            14 mars 2014 à 9 h 36 min
      • Oeildevraicon Répondre

        Et les Taubirat, Fabius, Touraine…. n’ont-ils pas d’ordre à mettre dans leur famille avant de vouloir mettre de l’ordre dans le pays?

        13 mars 2014 à 18 h 51 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      et pourquoi pas ressusciter Sully ou Vauban qui eux avaient le sens du bien public ?
      Phillippe De Villiers lutte contre la ” maladie ” et contre les déchirements familiaux
      laissez le en paix

      12 mars 2014 à 22 h 02 min
      • Claude Roland Répondre

        D’autant que Sully et plutôt Richelieu se retournent dans leur tombe depuis un bon moment !

        Au fait, pourquoi Vauban vu que cet ingénieur n’a fait que construire la ceinture de sécurité de la France ,

        13 mars 2014 à 10 h 53 min
        • Bisson bernard Répondre

          Telle n’est plus la réalité. Philippe de Villers, je le répète, que je connais bien, ne souffre plus, Dieu merci , de sa maladie mais de la mauvaise santé de la France.
          Quant à ses déchirements familiaux, ils viennent d’être réglés par la justice.
          Un mauvais procès finit toujours par faire éclater la vérité.

          13 mars 2014 à 14 h 12 min
          • philiberte

            alors, qu’est-ce qu’il attend pour monter aux créneaux?

            15 mars 2014 à 8 h 18 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          Si Sébastien Le Preste de Vauban, le Catholique, est bien connu comme le constructeur du ” pré carré ” il devrait être aussi et surtout reconnu par l’Histoire comme le défenseur des Protestants Français ( dénonciation des conséquences économiques dus à l’exode des Calvinistes après la révocation de l’Edit de Nantes ) et comme un réformateur qui avait ( après avoir fait un bilan humain et économique statistique de son bailliage ) présenté un projet de capitation qui instituerait l’égalité de tous devant l’impôt ( ” projet d’une dîme royale” 1707 ) … dans lequel il déplorait une fois encore les conséquences néfastes de l’arbitraire royal et comme …Fénelon affirmait la nécessité de réformes institutionnelles profondes

          Vauban voyageait dans le pré hexagonal , il ne faisait pas des visites ” dirigées ” comme nos Présidents; il voyait ce qu’on cachait au Monarque ( ou que celui ci ne voulait pas savoir )

          nous en sommes toujours et encore là

          ce n’est pas contre les riches qu’il faut lutter, mais contre la pauvreté

          14 mars 2014 à 9 h 56 min
      • Jaures Répondre

        Et pourquoi pas le Christ, lui-même. Au moins lui l’a déjà fait !

        14 mars 2014 à 13 h 56 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          encore faudrait il qu’il ait l’autorisation du Père !

          15 mars 2014 à 8 h 14 min
    • Claude Roland Répondre

      Philippe de Villiers est un bon gestionnaire local, mais diriger la France est d’une autre dimension. Et puis il a des problèmes familiaux balaises, alors il est occupé.

      13 mars 2014 à 10 h 58 min
  • Agathe Répondre

    Oui, nos élus, une fois élus, représentent leurs idées, et oublient les nôtres.
    Nous sommes dans une société de surconsommation. Voyons Delanoë!!! Mais réfléchissons à Gandhi, qui avec la simplicité volontaire, a gagné son combat.

    12 mars 2014 à 10 h 58 min
    • Claude Roland Répondre

      Mais Gandhi luttait contre un occupant !!! Rien à voir avec l’état de délabrement de la France qui s’auto détruit. Nous avons actuellement un “Louis XVI” au pouvoir. Mais il y a des BHL dans les environs qui attendent leur heure, comme les fous meurtriers psychopathes de la première république… Danger !

      13 mars 2014 à 11 h 03 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    les Hommes ( et les Femmes ) providentielles ne sont plus de notre époque
    c’est aux Citoyens de reprendre en mains leur destinée

    12 mars 2014 à 9 h 11 min
    • philiberte Répondre

      bien d’accord, mais il leur faut un “meneur”, parce qu’ils ne sont pas capable de le faire seuls!

      12 mars 2014 à 11 h 08 min
      • Claude Roland Répondre

        Ou une meneuse !!! A quand une Thatcher française ?!!!

        13 mars 2014 à 10 h 56 min
        • Jaures Répondre

          Tiens, oui ! On devrait faire un sondage: “voteriez-vous pour une Thatcher française ?”

          13 mars 2014 à 16 h 35 min
        • philiberte Répondre

          en grammaire française, le masculin l’emporte sur le féminin. cette habitude hypocrite (ou ignare) d’ajouter le féminin entre parenthèses, est du dernier ridicule.

          13 mars 2014 à 22 h 40 min
          • quinctius cincinnatus

            l’emporte grammaticalement pour l’instant car il y a tout à parier que Vincent Peillon avant son exil à Brüssel-Strassburg, reprendra d’une main ferme et qui ne tremblera pas la rédaction du Bescherelle

            14 mars 2014 à 10 h 01 min
    • Claude Roland Répondre

      Exactement ! C’est aux Français de surtout changer de mentalité avant d’espérer avoir des dirigeants à leur image puisque c’est une évidence automatique ! Voilà le pemier point essentiel !

      13 mars 2014 à 10 h 55 min
  • BAYLE Répondre

    Bien d’accord avec vous, cependant, pour sortir la FRANCE de l’ornière où elle est actuellement, compte tenu de tous les conservatismes gauchistes actuels, la solution doit passer par un homme “providentiel”, avec une certaine dictature au départ, puis, par la suite, une nouvelle constitution où la démocratie directe par le peuple, façon SUISSE, serait mise en place.
    Ce n’est que de cette façon que notre pays retrouvera “LA LIBERTÉ” d’entreprendre et d’expression !

    12 mars 2014 à 9 h 00 min
  • philiberte Répondre

    il n’y a plus de Jehanne, ni de Napo à l’horizon….

    12 mars 2014 à 8 h 23 min

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