Une série de bonnes nouvelles pour le monde

Une série de bonnes nouvelles pour le monde

Le duc et la duchesse de Sussex auto-exilés, le Brexit acquis et Trump acquitté : voici une suite de bonnes nouvelles, un moment rare que les aspirants à un monde normal peuvent légitimement savourer.

Même si cela ne nous concerne, nous Français, qu’indirectement. Nous en avons eu le cruel rappel en écoutant les « regrets » de François Fillon, le 30, dans une émission où il cherchait à se justifier sans y parvenir, après avoir plombé l’électorat de droite pour la longue durée. Nous savons bien qu’il a été tué par des « élites » politiques, médiatiques et judiciaires, mais l’émission a souligné son insouciance passée coupable et surtout le fait, tragique, qu’il n’a rien compris hors de ses préoccupations personnelles.

Il voit des « populistes » partout, sans en saisir les nuances. Le Brexit est une catastrophe ; il n’aime pas Greta, simplement parce qu’elle est trop radicale ; et n’aime pas Trump non plus, mais sans savoir pourquoi. Et il s’est plusieurs fois obséquieusement fait admiratif devant Macron. Pour s’assurer une justice plus clémente, le 24 février prochain ?

Il a confirmé qu’il n’était qu’un costume vide (mal acquis en plus !), et que la vraie droite dans notre pays n’avait toujours pas de prétendant crédible pour sortir notre pays du socialisme ringard français et du socialisme bobo de l’UE.

Peu avant, et aux antipodes du nombrilisme de Fillon-sans-vision, Nigel Farage avait fait un discours fracassant pour marquer le « départ sans retour » de Bruxelles : « C’est une bataille historique qui traverse l’Occident, celle du mondialisme contre le populisme. Vous pouvez exécrer le populisme tant que vous voudrez, mais figurez-vous que le populisme devient très populaire ! Et que d’avantages ! Plus de contributions financières, plus de Cour européenne de Justice, plus de Politique de la Pêche Commune, plus de Guy Verhofstadt ! » Il agitait alors triomphalement son drapeau de l’Union Jack.

Sur quoi, comme pour mieux illustrer le despotisme qu’il dénonçait, on lui coupe le micro ! C’est que l’UE avait récemment ordonné que les drapeaux nationaux ne devaient plus figurer dans ses deux parlements !

Ce fut un départ en fanfare, au grand dam des eurofanatiques, dont Macron et le MEDEF – qui redoutent un succès anglais qui discréditerait encore plus leur UE en faillite, mais dont eux profitent si bien.

Le 31, Le Royaume-Uni était en fête. Boris Johnson fit une allocution claire, brève et optimiste : « Ce n’est pas une fin, c’est un commencement, » assura-t-il.

Puis il eut le bon goût de laisser la vedette à Farage, le roi incontesté du Brexit.

Ce même 31 janvier béni, l’équipe de juristes chargés de défendre Trump au Sénat persuadait les sénateurs que le pays avait perdu assez de temps avec une procédure de destitution abusive autant qu’inconstitutionnelle.

Le procureur Ken Starr a rappelé que l’Amérique (post-soixante-huitarde) était entrée dans une « ère de destitution » : « Crime and misdemeanor » signifient crime contre la Constitution et trahison du pays. Ni Nixon en 1972, ni Clinton en 1998, et encore moins Trump en 2019 n’ont commis d’action qui justifiât une telle procédure. Clinton aurait dû être inquiété avec l’aide financière reçue des Chinois pour sa campagne de 1996 et Obama a commis par deux fois ce type de crime, avec mort d’hommes : Fast and Furious 2009 et Benghazi 2012, mais la gauche permet tout aux siens.

Starr a démontré que cette procédure est dangereusement pervertie car utilisée comme arme politique.

Le professeur de droit Alan Dershowitz a démontré que les « démocrates » (gauche radicale) n’avaient pas trouvé un seul témoin crédible en 3 mois de chicanerie. Rand Paul et surtout Ted Cruz, juriste éminent, se sont illustrés dans leur défense solidement argumentée contre l’imposture démocrate. Pour Trump, c’est désormais l’acquittement assuré.

Mais, de même que les eurolâtres feront tout pour saboter la victoire anglaise, le camp démoniaque des Schiff, Pelosi, Schumer et autres Nadler, se regroupe. La doyenne de la Chambre, la gracieuse Maxine Waters, glapit : « Nous trouverons autre chose, nous ne le laisserons jamais tranquille ! »

Tout cela est capital à quelques jours du discours sur l’État de L’Union.

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Comments (2)

  • vozuti Répondre

    c’est vrai qu’après le lynchage médiatico-judiciaire qu’il a subit,on aurait pu penser que fillon se sentirait proche du FN,de trump et de tous ceux qui subissent ce même lynchage quotidiennement.
    mais non,3 ans après les faits fillon réapparaît pour crier avec les loups contre “l’extrême droite”.
    il espère manifestement une certaine clémence de la part de ceux qui l’ont démoli,preuve qu’il n’a pas compris la situation.
    en ce qui concerne le parti démocrate,pelosi déchire le discours de trump,de rage d’avoir encore raté sa énième tentative de coup d’état.

    6 février 2020 à 3 h 17 min
    • BRENUS Répondre

      N’étant pas Américain, j’ai du mal à comprendre la gent féminine de ce pays, particulièrement aux plus hauts niveaux politiques. Cette Pélosi semble, elle aussi, perdre ses boulons tout comme Hillary et se comporter comme une dingue de première grandeur. Marié depuis longtemps à une femme (française) possédant une vraie personnalité mais également les qualités féminines dont nous ,les hommes, avons besoin, je me demande l’intérêt des hommes US à se marier avec de telles furies déglinguées. Sinon sous la forme de ce que le jargon judiciaire français appelle une “association de malfaiteurs”, genre Clinton. Hommes de tous pays, fuyez ces fées carabosse…. La “carte verte” à ce prix, c’est trop cher payé !

      6 février 2020 à 17 h 39 min

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