Violence

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Naguère, les citoyens étaient protégés par les armes par nature qu’ils détenaient.

Même si elles servaient très rarement à la défense, elles avaient un rôle déterminant de dissuasion.

Les voyous ne pénétraient pas dans le domicile d’autrui par crainte de se faire tirer dessus.

Plus on a réglementé les armes, auparavant achetées et détenues librement, plus les cambriolages se sont accrus.

Les administrateurs civils retourneront la phrase.

Pour eux, l’interdiction est précisément la conséquence de l’augmentation de la délinquance.

Ils n’ont toujours pas compris que les agressions se feront alors avec des armes par destination, anonymes, silencieuses et dont le nombre est infini.

Le génocide rwandais, avec 800 000 Hutus et Tutsis massacrés, a été accompli, en très grande partie, à coups de machette.

L’ensauvagement a considérablement augmenté ces dernières décennies avec le multiculturalisme ethnique.

Il faut y ajouter les incendies de forêts, voire de cathédrales, que les médias se gardent bien de mettre sur le compte de la criminalité.

Ils ne veulent pas regarder la réalité en face, celle due à l’hostilité des migrants qui s’attendaient à un accueil royal, sous prétexte du fameux droit d’asile.

Accuser le réchauffement climatique est beaucoup plus facile pour eux et sûrement plus payant en subventions.

Face à ce désarmement général, dont les seules solutions deviennent la fuite ou la soumission, je ne vois aucune solution viable.

Il est trop tard pour agir quel que soit le pouvoir politique en place.

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