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L’abbé Guillaume de Tanoüarn rend compte sur son blog du dernier livre de Reynald Secher, Vendée, du Génocide au mémoricide, dans lequel cet historien montre que le génocide perpétré en Vendée en 1793-94 fut planifié et ordonné par le Comité de Salut public, organe de gouvernement de la République jacobine. L’abbé de Tanoüarn en conclut qu’ « À l’origine des totalitarismes il faut se résigner à placer Jean-Jacques Rousseau et pas Joseph Staline ».
Le site du Coin du Popodoran, de Joseph Castano, rebondit sur le livre de Jean-Jacques Jordi, Un silence d’Etat, qui démontre à partir des archives de l’époque comment le gouvernement du général De Gaulle s’aboucha avec le FLN pour lutter contre l’OAS et lui laissa délibérément toute latitude de massacrer « pieds-noirs » et harkis. Le site met en ligne une pétition pour demander à l’Etat français de reconnaître officiellement sa responsabilité dans ce crime.
Le Salon beige rapporte la nouvelle du suicide du colonel Jambon, le 27 octobre 2011, devant le monument aux morts indochinois à Dinan. Par sa mort, cet officier, ancien des maquis h’mong, a voulu protester contre le silence qui a entouré la livraison, en 2010, à la République Démocratique Populaire Lao, de 4 200 h’mongs enfermés depuis des décennies dans un « camp de regroupement » thaïlandais. Dans un dernier message, le colonel Jambon a fustigé le silence de nos « gouvernants sans honneur » et des « belles consciences brevetées » qui sont « restées muettes, enveloppant dans un linceul de silence les 4 200 h’mongs qui sont partis pour leur dernier voyage ».
« Ce n’est pas un suicide, mais un acte de guerre visant à secourir nos frères d’armes en danger de mort », a écrit le colonel.
Le Salon beige et le site novopress font écho à un article du Telegraph qui rapporte comment le gouvernement britannique se prépare à faire face aux conséquences de la fin de l’euro. A lire pour ne pas être surpris :
Comment (1)
L’abbé de Tanoüarn en conclut qu’ « À l’origine des totalitarismes il faut se résigner à placer Jean-Jacques Rousseau et pas Joseph Staline ».
Ben oui, comme par enchantement et d’un coup de baguette magique, l’abbé passe à la trappe le massacre de la barth…celui des bonhommes et des bonnefemmes…les cinq siècles d’obscurantisme de l’ Eglise durant lesquelles elle brûla vives ses victimes après maintes tortures inventées par les "frères".
Tout simplement dégueulasse.
IOSA