Cécilia : une héroïne du XXIe siècle

Cécilia : une héroïne du XXIe siècle

À propos du divorce présidentiel, un Suédois a déclaré qu’il y a quelques années, le Premier ministre de son pays avait divorcé étant en fonction, sans que cela provoque aucun remous. Puisque le même événement se produit en France, a-t-il ajouté, c’est peut-être simplement que celle-ci devient une nation moderne. Qu’est-ce, toutefois, que la modernité ?

Aucun doute que le sens du devoir ait beaucoup diminué au cours du siècle dernier. Durant les années 1950 et 1960, Mme Coty, puis Tante Yvonne, ont présenté au monde l’image de mères de famille françaises dignes et respectables. Elles étaient déjà un peu archaïques. Plus près de nous, Bernadette Chirac, plus engagée, a supporté avec abnégation les frasques de son mari, ce qui lui a valu estime et popularité.

Celle qui nous intéresse aujourd’hui est d’un tout autre genre. Elle ne poursuit, semble-t-il, que son bon plaisir. Est-elle invitée chez le président des États-Unis, elle se trouve diplomatiquement atteinte d’une angine à laquelle personne ne croit, alors que, si elle avait véritablement été atteinte d’une angine, le devoir aurait consisté à se rendre néanmoins à l’invitation. Quand, le 6 mai, elle n’a pas voté, non seulement elle a fait un affront à son mari, mais elle a montré son mépris pour l’obligation civique de voter. Dernier exemple : lorsqu’elle rencontre un homme qui lui plaît, elle le suit, elle n’en a rien à cirer, comme aurait dit Édith Cresson.

Dieu sait que la pudeur était encore une valeur bien cotée, il n’y a pas si longtemps. Mitterrand, toute dissolue que fût sa vie, cacha autant qu’il put ses écarts de conduite. Notre héroïne, elle, ne s’en soucie aucunement, bien qu’elle déclare aimer l’obscurité et détester une carrière publique. Sans s’offusquer de la contradiction, elle donne deux interviews et, dans l’une des deux, cette femme de cinquante ans rappelle tout de go que, deux ans avant, elle est tombée amoureuse (ce qui l’a amenée à tromper son époux légitime et à l’abandonner durant des mois). Un journaliste généralement crédible affirme qu’à dix-sept ans elle avait déjà fait une fugue de six mois avec le fils du patron du Fouquet’s (le Fouquet’s !).

En effet, elle choisit systématiquement des hommes qui ont de l’argent et, si possible, de la notoriété.

Les yeux presque fermés, l’air absent, elle donne l’impression de marcher au radar vers un but situé dans le brouillard. Elle vous dirait qu’elle navigue en permanence dans un état second qu’on n’en serait pas étonné. Je connais de nombreuses femmes du même genre. Je les ai rencontrées dans des romans du dernier demi-siècle qui ont bénéficié de la considération des élites littéraires. Les auteurs de ces romans ont-ils trop bien rendu les couleurs de l’époque, ou est-ce la société qui a imité les héros et les héroïnes de leurs ouvrages ? Il est évident qu’un roman mettant en scène une jeune fille vertueuse prête à se marier pour la vie et pour l’éternité et à distribuer aux pauvres d’importantes fractions de sa petite fortune, n’aurait aucune chance de franchir le barrage des prix littéraires, ni celui des critiques, ni même celui des éditeurs. En revanche, s’il existait un prix Goncourt des personnages en chair et en os, notre héroïne ex-présidentielle serait sûre de l’obtenir, peut-être même à l’unanimité.

Il faudrait une dose de non-sens et de néant dont elle semble pourvue. Elle est née et a passé toute sa vie dans un milieu riche (son père était fourreur place Beauvau ; décidément, certaines adresses la poursuivent). Elle a fait ses études à l’Institut de l’Assomption dont les religieuses ne paraissent pas être parvenues à lui enseigner la chasteté. Elle est cultivée. Dans quelle mesure a-t-elle été influencée par la littérature romanesque moderne qui, depuis 1950 environ, s’est largement inspirée de Flaubert et de Maupassant ? Il faut dire aussi que sa mère aurait abandonné son père durant deux ans. Quoi qu’il en soit, victime des gènes ou de l’ambiance générale, de ses ovaires ou des héritiers du courant réaliste et pessimiste de la littérature, elle ignore la joie formidable de celui qui a le sentiment d’avoir accompli son devoir, envers et contre tout.

Pierre Lassieur signera son dernier livre, « L’Arrivée de la Turquie » (Éditions Grancher, 15 euros) à la librairie Duquesne Diffusion, 27 avenue Duquesne, 75007 Paris, le samedi 17 novembre de 15 h à 18 h.

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Comments (13)

  • Anonyme Répondre

    Cécilia, héroïne du 21ème  siècle !

     

    De votre divorce, la presse française – qui n’a vraiment rien de plus intéressant à raconter – en a sans doute trop parlé, mais, le Président de la République ne bénéficiant pas, comme en matière pénale, d’une quelconque immunité, rien ne l’obligeait à attendre la fin de son mandat pour envisager une procédure de divorce.

     

    Madame Coty, j’ai pas connu. Mais vous, vous êtes beaucoup plus attirante qu’Yvonne de Gaulle, Danielle Mitterrand et Bernadette Chirac réunies, vous pourrez facilement refaire votre vie. Ce sera toujours plus valorisant que de supporter avec abnégation les frasques de votre mari. Vous, au moins, vous avez de l’amour propre !

     

    Vous avez préféré avoir une angine, plutôt que d’aller en visite chez le Président des Etats Unis ? Vous êtes pleine de délicatesse, vous auriez pu lui dire carrément que vous n’aviez pas envie de déjeuner avec lui !

     

    Vous n’avez pas voté pour votre mari, le 6 mai ? Comme je vous comprends ! Il a choisi de privilégier son ambition personnelle, au détriment de votre couple, de votre famille ;  il ne voulait pas qu’en plus vous alliez voter pour lui !    

     

    Vous rencontrez un homme qui vous plaît, vous le suivez, vous n’en avez rien à cirer ! C’est tellement mieux  que de faire la même chose en catimini, en se faisant passer pour la Mère La Vertu !

     

    Vous choisissez des hommes qui ont de l’argent ? Tant qu’à faire, c’est mieux que d’en choisir des pauvres… c’est, vrai, l’argent ne fait pas le bonheur, mais à en croire ceux qui en manquent, il doit certainement y contribuer !

     

    Vous avez passé toute votre vie dans un milieu riche … Hélas, on ne choisit pas sa famille, ni ses origines. Alors, vous serez pardonnée. La prochaine fois, préférez venir d’une cité, c’est plus en vue.

     

    Les religieuses ne vous ont pas enseigné la chasteté ? Diantre ! Songez un peu à côté de quoi vous seriez passée !

     

    Alors comme çà, on raconte que votre mère aurait abandonné son mari comme vous, le vôtre ? Il l’avait sûrement bien cherché ! Et puis, çà vaut pour toutes celles qui ont été abandonnées par le leur, pas assez chaste, ou dépourvu de sens du devoir …

     

    Sans doute avez-vous subi des influences,  mais, voyez-vous, nous sommes toujours influencés par quelqu’un ou par quelque chose,  un roman trop Stendhalien, ou une éducation trop castratrice, …

     

    Alors, ignorez critiques et sarcasmes !

     

    Vous n’avez pas eu envie d’être l’épouse d’un Président de la République.

     

     Vous n’avez pas eu envie de jouer un rôle que vous n’aviez pas choisi.

     

    Vous êtes une femme indépendante, bravo !

    4 janvier 2008 à 15 h 50 min
  • Anonyme Répondre

    Luc Sembour : " C’est simplement une catin, mais sans éveiller de sympathie, ce qui est gravissime. "

    Thanks, LucSembour, des syntheses comme ca, il n’y a rien a ajouter.

    Best,
    Mancney

    24 novembre 2007 à 8 h 07 min
  • sas Répondre

    RENAUD N EST PAS D ORIGINE MAROCAINE……c’est juste un paumé piccolo gôôôcho de merde

    et en surplus ce n’est pas reanaud qui avait reggaisé la chansonnette de rouget de lille…..c’est gainsbard……et lui à défaut d’être du mont sinaï ,avait des compétences et des qualités….que l’autre mac n’aura jamais….

    aux armes etc……

    sas

    22 novembre 2007 à 11 h 47 min
  • Jaures Répondre

    A J.C.Thialet: Le fait d’être d’origine immigrée ne rend pas plus apte à chanter la Marseillaise ou à adopter sur les stades un comportement civilisé. C’est Renaud qui chantait "La Marseillaise même en Reggae, ça m’a toujours fait dégeuler". Et notre "chanteur énervant" n’est pas d’origine Marocaine.

    20 novembre 2007 à 11 h 21 min
  • SAS Répondre

    iL EST CLAIR ET PATENT; qu’un audit dit "raie publicain" serait le bienvennu……..afin de comptabiliser ce qu’a coûté la "fourreuse en fille " incrustée voire squatteuse d’organes et lieux institutionnels : où son statut de femme de nominé ou élu NE DEVRAIENT EN AUCUN CAS LUI ATTRAIRE NI BUREAU NI FONCTION……ni mandat de gestion en second couteau et catimini…..

    c’est valable pour la mairie de neuilly……de bercy…..de bauveau et bien sur du passge éclair à l’Elysé

    pour des afficionados de la démocratie et des démocrates gueulards et couillons dans la rue lors des élections présidentielles récentes avec un  lepen au 2 eme tour…….ca fait vraiment désordre

    sas qui dit qu’avec nos 2 grabataires au conseil constitutionnel……ca va changer…

    SAS

    19 novembre 2007 à 12 h 51 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

     

    Très bon article de Pierre Lassieur.

    Et une fois n’est pas coutume, je partage entièrement l’avis de Jaurès.

    Cécilia est tout-à-fait à l’image d’une certaine France d’aujourd’hui. Sous l’aspect d’une excellente santé, se distille une subtile odeur de putréfaction incommodante. Le problème de tout un chacun est de connaître des tentations de "mœurs". Elles sont particulièrement puissantes entre 10 et 25 ans. Mais le problème de Cécilia est d’y succomber, au su de tout le monde, en s’en glorifiant, tout en étant déjà une "vieille" cinquantenaire. De plus, pour notre malheur, et pour celui de Nicolas Sarkozy, elle était la "Première Dame" de France. Quelle magnifique image de la "Gueuse".

    Cécilia a le rayonnement qui sied à ses turpitudes: zéro. Elle sourit toutes les fois qu’il lui tombe un œil. Elle apparait comme le prototype de l’égoïste sèche et sans aucun intérêt qui bénéficierait énormément d’un formidable coup de pied au cul public. 

    C’est simplement une catin, mais sans éveiller de sympathie, ce qui est gravissime.  

    18 novembre 2007 à 23 h 34 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    18/11/07    – "Les 4-Vérités"

    Ne lisant pas la presse "pipole", j’ignore si celle-ci parle encore de Dame CECILIA, mais il est permis de se demander pourquoi Pierre LASSIEUR traite d’une femme au phisyque certes agréable que, par galanterie, je ne qualifierai pas davantage, et qui n’avait manifestement pas sa place à l’ELYSEE. Pas plus, d’ailleurs, qu’elle ne l’avait Place BEAUVEAU où, piur d’obscures raisons, certain Ministre de l’Intérieur lui avait accordé un bureau (1).

    Pour moi, la page ‘CECILIA" est tournée, ou en tout cas, devrait l’être pour la FRANCE et les Français. Et si l’on a encore des questions à se poser au sujet de l’ex-Madame SARKÖZY, ce ne devrait pas être pour se demander s’il est de bon goût de divorcer quand on est à la tête de la République. La vraie question devrait plutôt être de savoir si le Président de la REPUBLIQUE qui avait été "trahi" bien AVANT d’être élu par celle dont il avait décidé, envers et contre tout, de faire le PREMIERE DAME DE FRANCE; a bien la capacité de choisir les Ministres chargés de gouverner la FRANCE. Combien, parmi eux, l’ont-ils déjà trahi, combien sont-ils susceptibles le faire, notamment parmi les "ministres d’ouverture" (eux qui ne se sentent pas la moindre "fibre de drpite"), à la première occasion ?

    Et, pour en terminer avec CECILIA  X (2), comment a-t-on pu demander à une femme qui, a plusieurs reprises s’était flattée (on ne sait d’ailleurs trop pourquoi) de n’avoir "aucune goutte de sang français dans les veines", de devenir PREMIERE DAME DE FRANCE et d’assumer ainsi les devoirs liés à ce rôle ?  Comme le faisaient pourtant jadis les reines de France qui, elles aussi, n’avaient pas la "moindre goutte de sang français" (3)

    Je ne sais trop pourquoi, ce malheureux exemple, me fait penser à celui de jeunes Maghrébins (dont l’âge permet de penser que, nés sur notre terriroire, ils ont MAJORITAIREMENT, la nationalité française ou, en tout cas, sont sur le point de l’acquérir) qui ont sifflé vendredi soir, au STADE FRANCAIS (notre "Elysée" en matière de sport !) la MARSEILLAISE. Serait-ce par ce qu’eux aussi, ils ne se sentent AUCUNE GOUTTE DE SANG FRANCAIS(4) DANS LES VEINES ? Et qu’ils ne se sentent aucun devoir à l’égard de la France qui les accueille ? Je me permettrai de demander à ces "insulteurs" d’avoir le courage de "CECILIA" et de quitter le plus vite possible un pays où, eux aussi, ne se sentent manifestement pas à l’aise. Et je ne serai pas le dernier à remercier celle qui aura préféré LA LANTERNE à l’ELYSEE d’avoir donné l’exemple du "divorce" suivi d’un départ à des jeunes en mal de patrie…

    Mais que l’on me pardonne, je ne dois pas être "moderne". Puisque, comme le prétend certain Suédois, ce serait plutôt tendance de divorcer quand on est au pouvoir. Il est vrai que ce Suédois a tort lorsqu’il pense que le divorce du couple élyséen " a provoqué des remous en France". Où a-t-il pris cela ? J’ai au contraire l’impression que CECILA est passée à la trappe dès lendemain ou presque, de l’officalisation de son divorce. Et s’il y a eu "remous", ce serait plutôt dans certaine tête élyséenne (ce qui se comprendrait) qui a su pourtant afficher le masque sinon de la sérénité, du moins de l’impassibilté. Une "tête" qui est repartie de plus belle partout où son "propriétaire" estime devoir l’afficher. Sans la charmante CECILIA que le peuple s’était déjà habitué à ne plus voir en sa compagnie, en attendant peut-être de la revoir, ici ou ailleurs, dans les pages "pipoles" vêtue d’ un ensemble Prada … sa marque préférée laquelle, on le sait, n’a pas une "goutte de sang français" dans les veines ! 

       Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) était-ce pour lui permettre de respirer de plus près l’air de l’ancien atelier parternel, ou d’avoir une vue sur lui ? Encore un secret d’Etat !

    (2) j’ignore si elle a conservé le nom de SARKÖZY

    (3) il est vrai qu’à l’époque où la République fromagère n’était pas encore installée en France, on se contentait de leur demander simplement d’être de "SANG ROYAL" …

    (4) que l’on me pardonne d’avoir emprunté à l’ex-Madame SARKÖZY  – faute d’avoir su trouver celle qui convient  –   l’expression "sang français". Oui, je sais, il ne peut y avoir de "sang français", pas plus que de "sang chinois" …  PUISQU’IL N’Y A PLUS DE RACES ! Du moins chez les êtres humains…

     

    18 novembre 2007 à 23 h 14 min
  • Jaures Répondre

    Cecilia n’aura finalement jamais été que la "femme de". Ce qui m’a ulcéré c’est le rôle qu’elle s’est laissée donner dans l’affaire des infirmières Bulgares. "Le Miracle Cécilia" titrait un Paris Match remis au pas.
    Dans une interview, quelques semaines plus tard, elle justifiait son refus de paraitre devant la commission parlementaire (mépris royal) et affirmait qu’elle "avait consacré sa vie à soulager la misère du monde". Rien que ça ! Mais depuis quand ? Où, dans quel combat s’était-elle jamais illustrée ? Le jour consacré à la misère du monde, elle était à Genève, haut lieu de la lutte contre la misère s’il en est !
    Cécilia n’est qu’une mondaine, enfant gâtée qu’on oubliera très vite.
    Mes pensées vont plutôt à Sarkozy. Il doit être dur pour lui, en regardant partir la femme qu’on aime de se dire:"Mon dieu! Même président de la République elle ne veut pas de moi."

    17 novembre 2007 à 10 h 02 min
  • Gérard Pierre Répondre
       Le personnage central du présent article de monsieur Pierre Lassieur, sorte de Bovary ripolinée façon beaux quartiers, n’a pas plus d’intérêt à mes yeux que ne peuvent en avoir les gamines effrontées et inconséquentes infestant les star ac, château, loft et autres insipidités de la télé réalité. Elles ne poursuivent toutes qu’un seul et même but dans la vie : être des poux entretenus. Elle est cultivée, …… et bien pour une fois rendons lui hommage pour sa discrétion car convenons que, si tel est effectivement le cas, la dame s’est toujours bien arrangée pour que cela ne se remarque pas !
     
       En lui consacrant ne serait-ce que quelques lignes, l’auteur lui fait encore trop d’honneur. A moins que ce soit sa façon de lui souhaiter son cinquantième anniversaire.
     
       Quant à l’apologie du florentin adultère, Florin a parfaitement résumé ci-dessus ce qu’il convenait d’en penser.
     
    ***************
     
    (*) époque où l’on passait encore les deux bacs !
    14 novembre 2007 à 15 h 18 min
  • sas Répondre

    Haaaa FILLE DE FOURREUR…….mi russe mi espagnole qui de surcroit est fière de na pas avoir de sang français dans les veinnes…..une chance pour la france en somme…. donc nous ne sommes plus étonné pour son attirance irresistible pour les boutiquiers orientaux…..

    ……c’est bien hein ,elle ne rennie même pas ses origines , en continuant à se faire" fourrer " à tout va…… quel beau modèl que voici… au moins ,elle n’aura plus et aussi directement les mains dans la caisse de la raie publique……à quand les même mesure pour le nabot agité bonaparte 1 er…

    sas

    14 novembre 2007 à 12 h 13 min
  • Guillermo Répondre

    …. Je complète mon post précédent.

    Quand je dis qu’on s’en tape, c’est – comme le fait remarquer Florin- dans le mesure où elles bouffent pas trop notre poignon quand même.

     

    14 novembre 2007 à 10 h 18 min
  • Guillermo Répondre

    Il convient de laisser ce genre d’articles à ELLE, VOICI, Le Nouvel Obs,  ou quelques autres navets du même accabit.  Je m’attendais pas à trouver ça dans les 4V.

    En clair, Cécilia et autres premières dames, on s’en tape.  Elles n’intéressent que ceux qui ont la manie de regarder dans les trous de serrure.

     

     

     

    14 novembre 2007 à 10 h 16 min
  • Florin Répondre

    Ulcérant, l’hommage à Mitterrand !!! Donc, les vices sont plus supportables dès lors qu’on les cache soigneusement aux autres ???? Curieuse conception de la morale publique, fût-elle "décadente".

    Non Monsieur ! Mimit’ avait le droit de vivre sa vie et ses amours adultères. Ce n’est pas là-dessus que l’on peut porter un jugement. MAIS IL LE FAISAIT AVEC NOTRE ARGENT, DANS LES PALAIS DE LA REPUBLIQUE, où il abritait maîtresse et fille, gardées jour et nuit par de dizaines de policiers.

    Cécilia a eu le courage de la liberté assumée envers et contre tout, envers et contre tous. Au début du 20ème siècle, un roi d’Angleterre a laissé son trône pour les beaux yeux d’une Américaine divorcée. Il aurait pu la garder dans un palais et faire avec, mentir au monde et à son peuple – mais il ne l’a pas fait. On l’aura compris depuis : entre un Roi et un camarade socialiste, il y a, non seulement la Manche, mais un abîme …

    14 novembre 2007 à 2 h 00 min

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