Contre la propagande écologiste

Contre la propagande écologiste

1. L’évolution du climat, du moins à notre – modeste – niveau de perception, semble incontestable. Est-ce un réchauffement de toute la planète ? Nul ne sait. Il n’est pas exclu que l’apparente montée des températures change de sens, un jour, sans qu’on puisse le prévoir.

2. La responsabilité de l’homme – via les « gaz à effet de serre » – est une fable montée UNIQUEMENT dans le but de subjuguer encore davantage les humains par le moyen de la trouille et des taxes. Car ce n’est pas la « piqûre d’épingle » que peut infliger l’humanité à la gigantesque « machine climatique de la Terre » (qui met en œuvre une énorme quantité d’énergie équivalant à des milliards de tonnes de TNT) qui peut en modifier le fonctionnement global.

3. Le rôle du CO2 : Depuis que la science permet de connaître les variations du climat que la Terre a connues (cf. les ères géologiques et l’alternance de périodes glaciaires et torrides au quaternaire, que les premiers humains ont pu connaître), il est clair que de très profonds changements, entraînant de grandes variations de concentration du CO2 dans l’atmosphère, sont survenus qui ne résultaient en rien de l’action des hommes – et pour cause !

De plus, le CO2 est le nutriment premier et indispensable au développement des végétaux (via la photosynthèse) et il est la base de l’alimentation de tous les animaux puisque les végétaux sont la ressource primaire de la chaîne alimentaire du monde animal. Accessoirement, la photosynthèse produit l’oxygène indispensable à la vie et, par ailleurs, d’autres « gaz à effet de serre » comme la vapeur d’eau et le méthane, bien plus actifs que le CO2, ne sont pas – encore – pris en compte !

4. La biosphère est, actuellement et par la faute de l’homme, dans un état de dégradation infiniment plus dangereux que ne l’est le climat pour l’avenir de l’humanité et de la totalité de la vie animale sur la planète Terre.

La biosphère est la couche d’air au contact de toute la surface de la terre dans laquelle se développe toute la vie organique (végétale, animale ou microscopique indifférenciée).

On peut l’estimer à quelques dizaines de mètres d’épaisseur sur les terres émergées et en surface des océans, sachant que, dans ces derniers, elle peut atteindre les fonds marins. En milieu aquatique, la biosphère est donc beaucoup plus « épaisse » que sur les continents.

5. Cet « espace vital » de notre planète est en grave danger d’anéantissement.

En effet, dans cette mince cou­che habitable, cohabitent, non seulement bientôt 8 milliards d’humains, mais aussi tous les organismes vivants, y compris ceux des fonds marins qui, sous diverses formes, ont de nécessaires relations avec ceux qui vivent au-dessus. Et tous ces organismes utilisent, transforment, dégradent, polluent les ressources naturelles dont dépend leur survie.

Jusqu’à une période récente, ces mêmes processus ne présentaient pas un danger majeur pour la survie de l’humanité car, d’une part, la pression d’exploitation des ressources ne dépassait pas (sauf localement et momentanément) le potentiel de récupération et reconstitution naturelles desdites ressources et, d’autre part, les « artefacts » issus du génie humain, non spontanément biodégradables, étaient peu nombreux, modérément résistants aux processus de dégradation et assez peu répandus géographiquement.

Or, au cours du dernier siècle environ, le génie des chimistes, en a créé un nombre très important (plusieurs centaines de milliers selon l’ONU), de plus en plus difficilement dégradables par les processus naturels et qui rendent dangereusement utilisables, voire inutilisables, certaines ressources de base (l’eau, l’air, les sols, etc.) dont l’humanité ne peut se passer.

Un des exemples les plus con­nus et les plus caricaturaux de ces artefacts est donné par les « sacs en plastique à usage unique » qui intoxiquent à mort nombre d’animaux principalement marins et polluent jusqu’à l’outrance les océans et le voisinage de certaines agglomérations urbaines.

Conclusion : La destruction de la biosphère par pollution irréversible, entraînera, si l’on n’y apporte pas rapidement remède, l’extinction de l’espèce humaine, bien avant que le changement climatique ne s’en charge.

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Comments (21)

  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Canada: l’automne est “anormalement froid” (météo nationale), c’est ce que relève la presse mainstream.
    Naturellement il aurait été plus aisé d’écrire que l’été indien se prolonge au Canada.

    Malheureusement la nature ne suit pas les humeurs des foldingues du giec
    Snif, snif…

    2 décembre 2018 à 18 h 53 min
  • Hagdik Répondre

    Le refroichauffement.
    Dans les années 70, on nous vendait le refroidissement climatique…
    C’est fou qu’en ces temps de violences dans les rues, dans les écoles, avec des agressions multiples au couteau, les pompiers et les policiers agressés, les juges laxistes, l’inondation invasive des clandestins, les taxes qui font de la France la championne du monde des prélèvements obligatoires, que la météo soit devenu un refuge, un lieu de repli, une tactique pour se barricader et surtout éviter le propos qui fâche !

    Pour revenir à la météo, depuis quelque temps, la présentatrice nous explique à force de dessins, ce qu’est un orage, une tornade, un cyclone, et pourquoi la pluie, et bientôt, elle nous dira ce qu’est le soleil et pourquoi il chauffe.
    À chaque présentation, elle en profite pour nous glisser une petite remarque sur le “réchauffement climatique”. D’ailleurs, depuis quelques années, il est impossible d’échapper à ce discours sur le fameux “réchauffement climatique”. Nous sommes d’horribles égoïstes qui roulons en diesel ou à l’essence, rien que pour détruire la planète ! Nous poussons même le bouchon jusqu’à vouloir utiliser nos cheminées, voire à consommer de la viande, à manger ces pauvres bovins qui polluent la planète avec leurs déjections (les bouses) produisant du méthane ! Salopes de vaches ! Jean de la Fontaine aurait vraiment de quoi se marrer !
    Ce réchauffement nous est servi à toutes les sauces ! Dans les émissions politiques bien sûr, économiques évidemment, et même dans les films et téléfilms !
    Toute la journée, à la radio, vous prenez votre dose de “padamalgame”, “trop de voitures”, “trop de viande”…
    Mais en même temps si vous lisez les sites de réinformation, vous apprenez qu’il y a à peine 50 ans, c’était le refroidissement climatique qui était diffusé sur toutes les chaînes de radiotélévision de France ! Il est vrai qu’il n’y en avait pas autant qu’aujourd’hui. Trois chaînes nationales, trois ou quatre chaînes de radios type France Inter, Europe 1, RTL, peut-être Radio Monte Carlo à Monaco, et c’était le bout du monde !
    Voici ce que l’on pouvait lire ou entendre en 1975 :
    De la National Academy of Sciences (américaine). Le climat présente actuellement des symptômes alarmants. Il y a tout lieu de craindre que la Terre subira un refroidissement dramatique de ses températures au cours des cent prochaines années.
    Un expert comme Lowell Ponte en 1976 : « C’est une évidence brute : le refroidissement global de la planète représente pour l’humanité le défi le plus important qu’elle ait dû relever depuis dix mille ans, sur les plans sociaux, politiques et adaptatifs. Votre engagement en faveur des décisions que nous allons prendre concernant ce problème est d’une importance vitale. Il s’agit de notre survie, et de la survie de nos enfants comme de toute l’espèce humaine. »
    Cela ne vous rappelle pas les discours d’aujourd’hui sur le “réchauffement climatique” ? En fait, il suffit de changer le mot refroidissement par celui de réchauffement !
    Ce qu’en disait Michael Oppenheimer, de l’Environmental Defense Fund,dans les années 70. « Le refroidissement rapide que la Terre connaît depuis la Deuxième Guerre mondiale est cohérent avec la pollution de l’air associée avec l’industrialisation, la mécanisation, l’urbanisation et l’explosion démographique. »
    Les mêmes propos de Paul Ehrlich en 1969 dans « Le Malthus du XXe siècle » ! Dans dix ans, toute vie animale importante dans la mer aura disparu. De grandes zones côtières devront être évacuées à cause de la puanteur du poisson mort ! Du même auteur en 1976, après 9 ans de réflexion : cette tendance au refroidissement va réduire la productivité agricole pour le reste du siècle ! Ou encore, je serais prêt à parier de l’argent que l’Angleterre n’existera plus en 2000. Cela aurait évité le Brexit à Bruxelles !
    Paul Ehrlich fait désormais des prédictions sur les conséquences du “réchauffement climatique”. Comme d’ailleurs Al Gore et James Hansen aux USA, Jean Jouzel, le représentant de la France au GIEC, et Hervé Le Treut, climatologue français, spécialiste de la simulation numérique du climat, avec Greenpeace en France et Rahmstorf en Allemagne.
    En 50 ans à peine, on peut retourner sa couverture chauffante pour une veste plus légère ?
    Voici ce que l’on pouvait lire à cette époque ! Aucun journaliste français n’y fait allusion, sinon c’est la porte, le placard doré au minimum ! Le GIEC sème la terreur !
    L’hypothèse d’un refroidissement climatique connu un certain succès dans les années 1970. Ainsi, le journal américain Newsweek, dans son édition du 28 avril 1975 publia dans sa rubrique science un article à retentissement intitulé « The cooling world » (Le monde du froid).
    Le 24 juin 1974, le Time avait également couvert ce sujet. Cette question nourrit les écrits de nombreux auteurs, dont les écrits du physicien Carl Sagan ou le livre The Weather Conspiracy : The Coming of the New Ice Age. (La venue du nouvel âge glaciaire).
    Le Los Angeles Times titrait pour sa part en 1978 « No End in Sight to 30-Year Cooling Trend in Northern Hemisphere » (La tendance au refroidissement sur 30 ans dans l’hémisphère nord n’a pas de fin). De même, Lowell Ponte consacrait à la question un ouvrage en 1976 intitulé The Cooling (Le refroidissement).
    En 1972, 42 climatologues écrivaient au président américain afin de l’alerter sur la gravité du refroidissement climatique en cours à l’époque. Ce qui permet de comprendre pourquoi Donald Trump se moque du réchauffement climatique comme l’ancien président Richard Nixon se moqua du refroidissement !
    On peut donc se demander si aujourd’hui, comme ce fut le cas hier, les experts ne se plantent pas encore ! D’autant plus que ce sont souvent les mêmes !
    Il n’en reste pas moins que c’est dans notre poche que ces délires climatiques provoquent un gel de notre porte-monnaie, voire un refroidissement certain dans les croyances du réchauffement !
    Dans tous les cas, cela renforce avec raison, les doutes sur le pseudo-réchauffement climatique. Mais au fait, a-t-on le droit de douter ?

    1 décembre 2018 à 20 h 48 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Un bon article sur “bvoltaire.fr
    Titre:
    L’arnaque du réchauffement climatique et de la transition écolo

    Un extrait:
    // le professeur François Gervais, directeur de recherche au CNRS et qui vient de publier un livre explosif, L’urgence climatique est un leurre.
    Un livre qui vient à point nommé avec le lancement de la nouvelle lubie présidentielle qu’est le Haut Conseil sur le climat et qui a donné l’ubuesque one-man-show de mardi matin sur la manière de réaliser la transition écologique, à des années-lumière de la préoccupation immédiate des gilets jaunes, c’est-à-dire du peuple d’en bas ! //

    Mon commentaire:
    Tout être normalement carboné le savait déjà, sauf ceux constitués d’éther jupitérien chimiquement pur.
    Le Haut Conseil sur le climat va nous accoucher des taxes supplémentaires qui vont s’ajouter à la longue mais non exhaustive liste de Gérard Pierre.

    1 décembre 2018 à 14 h 59 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    QC

    // mon fils géo-physicien et créateur d’ algorithmes dans une société londonienne à qui j’ ai demandé conseil m’ a dit de consulter Wikipédia : //

    Héhé un revenant, je vous croyais cloîtré dans un monastère du bas-Danube mais vous revoilà.
    Et vous aviez même juré de ne plus répondre à mes commentaires asthmatiques.

    Comme toujours et juste à propos vous avez un fils qui est compétent en la matière pour éclaircir le dilemme des vases communicants.
    Personnellement j’ai un voisin qui connaissait le cousin de l’oncle du voisin de palier d’Albert Einstein à Berne.
    Depuis je discute beaucoup avec ce voisin, cela me permet de rester en contact spirituel avec le père de la relativité.
    Et cerise sur le gâteau cela me rend légitime pour parler de problèmes scientifiques sur le site des 4V.

    By the way send a great salute to your son on my behalf and tell him to mind his own algorithms.
    Now please get off my back because I have to write my daily paper for JPL / Pasadena.
    Subject: Contribution of martian gravity to earth’s climate.

    Have a great day.

    29 novembre 2018 à 9 h 53 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      quand la mauvaise foi ou la bêtise dépassent certaines limites je me sens, mais pas toujours, obligé d’ intervenir

      quant à mon fils , mais en mon nom , il vous emmerde ou plutôt il vous ignore car vous emmerder serait encore trop généreux à votre égard

      p.s. vous êtes d’ une lourdeur d’ esprit qui pourrait facilement passer en proverbe

      29 novembre 2018 à 17 h 15 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        // quand la mauvaise foi ou la bêtise dépassent certaines limites //

        Je pense que vous avez dépassé cette limite depuis un moment.
        Continuez à divaguer, cela fait rire la galerie.

        29 novembre 2018 à 17 h 24 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Après avoir rabroué les gilets jaunes on apprend que le sublime Macron va s’envoler pour l’Argentine à bord de son jet privé *).
    Sa trace carbone va encore s’alourdir un peu mais entre gens de bonne compagnie, n’est-ce pas Mr.Hulot, peu importe c’est pour la bonne cause.
    Pour le plouc au gazole et à la cloppe c’est différent, celui là il faut le faire cracher au bassinet.

    *) un jet consomme entre 2 à 4 litres de kerosene pas seconde suivant le type d’avion.
    De Paris à Buenos Aires il y a environ 11000 km parcouru à la vitesse de ~800-900 km /h.
    Je vous laisse le soin de calculer la consommation en tonnes pour l’aller et le retour (~22000 km).

    28 novembre 2018 à 10 h 39 min
    • lavandin Répondre

      la consommation est aussi fonction du nombre de passagers . En se basant sur une consommation modeste de 6 t/h, le temps du
      trajet de 13 heures on aurait une consommation de kérosène de 78 tonnes, soit 97500 litres . Ce qui me permettrait à raison de 3,8 litre
      au 100km (consommation vérifiée cet été) de parcourir 2565790 km avec ma voiture, soit 171 ans de circulation, sans avoir pris en compte le trajet retour !!!

      28 novembre 2018 à 19 h 24 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        Bravo Lavandin vous avez bien cerné le problème.
        Pour “les passagers” il faudra revoir.
        Je pense qu’il n’y avait que Madame et Monsieur avec leurs laquais respectifs, soit une dizaine de personnes sans compter le pilote et le copilote.
        Cela donne uh bon ratio “passager/consommation/km” conforme aux prescriptions du giec.

        PS: nous n’avons pas compté les frais d’hôtel et de bouche de cette bande de joyeux drilles.

        29 novembre 2018 à 10 h 32 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    L’Islande et la grande île de Hawai’i pour n’en citer que quelques cas s’agrandissent régulièrement sans l’aide du “changement climatique”.
    En effet la tectonique des plaques est assez grande pour s’occuper toute seule de ce changement.
    Quand on jette de la matière dans un seau d’eau le niveau n’a-t’il pas tendance à monter?

    L’humanité et Macron le climatoloque patenté se résumant à n’être que des spectateurs passifs.

    28 novembre 2018 à 10 h 19 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” l’ île de Tangier au large de la Virginie , pêche au crabe, a perdu les 2 / 3 de sa superficie depuis 1850 ( montée des eaux ) ; ses habitants s’ en remettent à Dieu et à … Trump ”

    ( ” Le Point ” )

    28 novembre 2018 à 9 h 24 min
    • Hilarion Répondre

      A partir du moment ou toutes les mers du monde communiquent entre elles, on voit mal comment elles monteraient plus ici que là. Les mouvements tectoniques ont sûrement plus d’importance, quant au niveau relatif des mers par rapport aux petites iles en particulier, que le “changement climatique”. Et là, même Trump n’y peut rien.

      28 novembre 2018 à 12 h 26 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        chacun devrait au moins savoir qu’ une élévation de température dilate un liquide donc accroît son volume

        28 novembre 2018 à 12 h 39 min
        • Hilarion Répondre

          Certes, certes, mon bon Quinctius mais chacun devrait connaître aussi le principe des vases communicants démontrant que, les océans ne connaissant pas les escaliers, un accroissement du volume au Japon, quelle qu’en soit la raison se traduira par une hausse en Bretagne de valeur équivalente.

          28 novembre 2018 à 15 h 25 min
          • quinctius cincinnatus

            sauf que les océans ne sont pas des vases communicants de laboratoires

            28 novembre 2018 à 21 h 26 min
        • lavandin Répondre

          êtes vous sur que la température à 2000m de profondeur augmente également ? et que l’élévation de température soit homogène partout ?

          2 décembre 2018 à 18 h 51 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        Vous avez raison Hillarion vers 500 m de profondeur la température des océans atteint 5 °C.
        S’il y a dilatation due à un “réchauffement” dans les zones tropicales cela concerne uniquement la couche supérieure des océans jusqu’à ~ -100 m.
        Très peu en comparaison du volume total des océans qui sont reliés entre eux pour notre salut.

        La cause principale de l’émergence d’îles ou de leur disparition est la tectonique des plaques et son corollaire le volcanisme.
        Même Macron dans sa toute puissance jupitérienne n’y peut rien.

        PS: la Terre étant inclinée sur son axe, il y aura forcément au cours des saisons des zones d’océan moins réchauffées qui se contracteront compensant ainsi la faible dilatation des zones réchauffées.
        Cette activité est d’ailleurs essentielle aux courants marins.
        Sans ces courants le climat de l’Europe occidentale en hiver serait semblable à celui du Kamchatka.

        28 novembre 2018 à 13 h 20 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          mon fils géo-physicien et créateur d’ algorithmes dans une société londonienne à qui j’ ai demandé conseil m’ a dit de consulter Wikipédia :

          ” élévation du niveau des mers la cause ”

          vous devriez le faire vous aussi

          28 novembre 2018 à 21 h 33 min
  • bernard Répondre

    Le citoyen est pris pour un imbécile avec cette histoire de réchauffement climatique!. Faites parler les hommes et femmes de l’art ostracisés car non politiquement corrects. C’est de la fumisterie. La terre a toujours eu des changements climatiques plus ou moins heureux pour les êtres vivants. D’autre part, ce n’est pas le confetti “France” à l’échelle du globe qui changera quoi que ce soit!

    28 novembre 2018 à 1 h 31 min
    • Hilarion Répondre

      Dans les années 80/90 Il y eut quelques hivers très froids. Les médias ne nous parlaient alors que de glaciation.

      29 novembre 2018 à 11 h 20 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        Aujourd’hui à l’ère de la Vérité Unique et de l’Être Suprême “giec” on ne parle plus que d’épisodes froids ou neigeux.
        La Pravda et les Izvetias ont changé de côté.

        29 novembre 2018 à 11 h 31 min

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