Covid-19

Les micro-organismes, microbes et virus, passent à travers les mailles des masques. Ils vivent et prospèrent en milieux aqueux. La vapeur d’eau peut les propager et en faciliter la reproduction en atmosphère close. Au début de l’épidémie, il n’y avait pratiquement pas de masques pour cette raison sensée en temps normal. Depuis de très nombreuses décennies, les chirurgiens opèrent avec des protections pour éviter les projections respiratoires ou postillons sur les opérés. Aujourd’hui, les choses sont plus claires. Pour qu’il y ait contagion, il faut que les défenses de l’organisme soient affaiblies ou que l’attaque des parasites soit massive. Ainsi les gestes barrières et le confinement des malades sont les seules solutions préventives. « Mieux vaut prévenir que guérir » suivant un vieil adage plus que jamais en vigueur en l’absence d’un traitement fiable. On peut critiquer notre dépendance de l’étranger. Mais notre temps de réaction politico-médiatique a été aussi relativement élevé. On peut surtout déplorer l’indiscipline de certaines populations qui ont largement contribué à la pandémie. L’absence d’hygiène et la promiscuité dans les départements en rouge étaient bien une réalité qu’il faudra changer le plus rapidement possible. Notre économie, aujourd’hui au plus bas, sera fortement stimulée par l’ampleur des tâches à accomplir pour améliorer la santé et le bien-être de tous. L’aménagement de la salubrité des villes, l’exode urbain avec le télétravail, la télévision scolaire, et un accueil plus sélectif des migrants sont autant de facteurs à prendre en compte.