Délinquance

Délinquance

Dans le passé, les policiers assermentés avaient toujours raison.

Les caméras miniaturisées et de vidéosurveillance n’existaient pas.

Les juges n’hésitaient pas à mettre en prison les «voleurs de bicyclette».

Les séjours étaient brefs, mais très dissuasifs pour éviter la récidive.

Les peines prononcées avec sursis devenaient effectives dès la seconde condamnation.

Il n’était pas du tout nécessaire de protéger les forces de l’ordre.

Elles se protégeaient elles-mêmes.

Les particuliers pouvaient détenir chez eux librement des armes de tir semi-automatiques, de chasse ou de défense, soumises à autorisation (pistolet d’un calibre inférieur au 9 mm ou révolver sans restriction de calibre). La sécurité régnait partout.

Rien de commun avec la situation dégénérée d’aujourd’hui. Et cela avec des taux d’emprisonnement jamais atteints, sans parler des 100 000 personnes condamnées à de la prison ferme laissées en liberté faute de place, le tout avec des casiers judiciaires cumulant parfois jusqu’à 50 condamnations. En dehors du réarmement, dans toutes les acceptions du terme, de la police et des citoyens intègres, il n’existe pas de solution.

Mais aucune amélioration ne sera possible sans un changement radical des mentalités des journalistes pour qui les criminels, au sens large, sont des victimes de la société et les policiers les héritiers de la police de Vichy (CRS, SS !).

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