Écologie et régulation des naissances

Écologie et régulation des naissances

Il y a seulement 20 ans, il était impossible de poser un pied sur un rocher en Méditerranée sans le poser sur un oursin. Maintenant, ils ont disparu ou alors, il faut vraiment les chercher.

Et cela ne provient pas de la surpêche : dans ces oursins noirs, il n’y a rien à manger.

Avec eux ont disparu aussi les holothuries dites « concombres de mer », les poulpes, les bigorneaux.

On ne voit plus rien. Par contre, les humains y ont proliféré : impossible de faire un kilomètre en bord de mer entre Perpignan et Menton et même bien après, sans y voir des habitations.

Depuis l’indépendance, la population algérienne a plus que doublé, sans compter ceux qui ont émigré.

La côte française de la Méditerranée, par rapport aux autres régions du monde, est une des plus propres et où les déchets sont le mieux traités.
Cela n’a pourtant pas empêché la disparition d’une grande quantité d’espèces animales et végétales. Tout simplement en vertu du « Ôte-toi de là que je m’y mette ».

C’est pire encore en face. Les côtes d’Afrique, de poissonneuses sont devenues plastifiées. J’ai vu les pêcheurs rejeter à la mer des quantités incroyables de plastique qu’ils remontaient dans leurs filets. Ils n’ont même pas le réflexe de les ramasser pour les détruire.

Pas besoin d’être expert en écologie pour comprendre que la prolifération de l’espèce humaine est la cause principale de la pollution, du réchauffement climatique et de la destruction de notre planète, que celle-ci meurt de l’abondance d’humains qu’elle supporte et des conséquences qui en découlent.
Il faut donc diminuer le nombre d’humains. Les discours ne suffisent plus ; il faut agir et traiter le mal à la racine.

Comme il est impensable d’éliminer ce qu’il y a en trop (même ceux qui croient en une vie meilleure après la mort n’accepteront pas d’être sur la liste !), il ne reste que la solution de diminuer la natalité.

Il faut commencer par mettre devant leurs responsabilités tous ceux qui incitent à la prolifération de l’espèce humaine – et d’abord les religions qui, dans leurs livres saints, incitent les hommes à se multiplier et condamnent ceux qui égarent leur semence.

Si ces discours étaient valables lorsque les livres sacrés ont été écrits, ils ne le sont plus aujourd’hui.

La mortalité infantile a beaucoup diminué avec les progrès de la médecine, mais les religions n’ont pas évolué et sont devenus un danger mortel pour notre planète.

Il y a déjà longtemps que, dans les pays développés (et par « développés », il faut comprendre respectueux, conscients, responsables), les populations ont jeté les écrits religieux par-dessus les moulins et n’ont d’enfants que ce qu’elles peuvent élever décemment.

A contrario, dans les pays sous-développés (et par « sous-développés », il faut comprendre souvent islamisés), ils engrossent leurs femmes à la cadence de l’élevage industriel dans le but d’islamiser la terre, tout en la détruisant avec la bénédiction d’Allah qui, par contre, se garde bien de pourvoir à la nourriture de ses fidèles adorateurs.

On ne peut pas rester spectateur du massacre de notre planète sans réagir.

Comment s’y prendre ? Très simple !

Mettre des quotas internationaux, supprimer toutes aides humanitaires à ceux qui ne les respectent pas, et stopper l’immigration.

Cela devient un peu trop courant et facile de faire des gosses en invoquant la volonté divine et ensuite, par l’intermédiaire des irresponsables humanitaires et profiteurs de misère, les exporter afin de les faire élever par ceux qui ont compris le problème et adopté les mesures de limitation nécessaires.

Il ne fait aucun doute que, pour nourrir ces milliards d’humains, la culture intensive est nécessaire.

Cette culture rend obligatoire l’emploi d’engrais, de pesticides. Il faut irriguer, détruire les forêts, construire des routes des habitations, des moyens de transport fabriquer de l’énergie, etc.

Tout cela engendre de la pollution, le réchauffement planétaire, la destruction des autres espèces et, à plus long terme, comme sur toutes les autres planètes du système solaire, la fin de vie sur notre terre.

Le premier exploit sera déjà de faire comprendre à ceux qui nous gouvernent que la démagogie ne fait pas bon ménage avec l’écologie et le deuxième de leur faire appliquer les mesures qui s’imposent !

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Comments (5)

  • Hagdik Répondre

    Il y a 70 ans passés, il n’existait pas de crépidules sur nos côtes.
    Quelques unes sont venues, collées aux coques des navires du débarquement allié.
    En 1970, on commençait à en voir beaucoup sur les plages de Normandie où nous allions pêcher les coques.
    Aujourd’hui, sur la frange de haute mer, c’est un tapis puant, irrespirable, de plusieurs mètres de crépidules qu’il faut affronter pour aller à la basse mer. Une horreur !
    Aujourd’hui, on trouve régulièrement des crépidules sur les côtes d’Aquitaine et au bassin d’Arcachon.
    Un fait mineur peut conduire en silence à une catastrophe irrécupérable des années après.
    Je pense qu’on peut extrapoler à d’autres envahissements silencieux ou non, mais largement catastrophiques.

    26 août 2019 à 14 h 41 min
  • rosme Répondre

    A lire cet article, il faudrait comprendre que les moyens de l’homme, s’il est raisonnable, seraient plus forts que ceux de Dieu, qui a dit, dans la Genèse, “croissez et multipliez-vous”, et donné plus tard aux hommes les Dix Commandements, l’unique mode d’emploi pour vivre correctement sur la Terre.
    Il n’a pas dit : faites de nombreux enfants avec de nombreuses femmes, et puis avortez, tuez, stérilisez… ou tous les subterfuges utilisés par les hommes pour avoir ou ne pas avoir d’enfant.

    13 août 2019 à 17 h 03 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      Dieu n ‘ a rien dit du tout ! on lui a fait dire !

      15 août 2019 à 7 h 42 min
      • Gérard Pierre Répondre

        « Que Votre Règne vienne,
        Que Votre Volonté soit faite sur la terre comme au ciel, … »

        Ça, … personne ne le Lui a fait dire.

        C’est simplement le Christ, Son Fils fait homme, qui nous a dit de nous adresser à Lui en ces termes ! …… et cela s’inscrit dans le contexte de ce qui nous fut révélé, …… c’est-à-dire de ce que vous pensez « qu’on lui a fait dire. »

        17 août 2019 à 15 h 12 min
  • BRENUS Répondre

    Encore un doux rêveur…..

    13 août 2019 à 16 h 45 min

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