Écologisme et suicide européen

Écologisme et suicide européen

L’article que j’ai consacré à l’environnement voici deux semaines m’a valu des réactions auxquelles je m’attendais un peu.

La France, comme une large part de l’Europe, est un pays où nombre de gens ne se sont pas encore aperçus que le « développement durable » existe depuis des siècles et s’appelle « économie de marché ».

Ces gens ne se sont pas aperçus que l’écologisme qui empuantit l’atmosphère intellectuelle est le frère jumeau du socialisme. Ils ne se sont pas aperçus non plus que l’écologisme, comme le socialisme, est un anti-humanisme.

Le socialisme méprise l’être humain, en voulant construire un État Léviathan qui broie les différences et en asphyxiant peu à peu sa capacité d’initiative et sa liberté créatrice – ce qui con­duit à des sociétés stériles.

L’écologisme, en pratiquant l’idolâtrie d’une nature censée être « pure » et « bonne », oublie que la nature n’est pas « pure », mais pétrie depuis des millénaires d’interventions hu­maines, que la nature n’est pas « bonne », mais potentiellement dangereuse et, fort heureusement, maîtrisée par l’être humain. Il méprise, lui aussi, l’être humain en poussant le mépris jusqu’à la haine de l’initiative et de la liberté – ce qui conduit à des sociétés suicidaires.

La conséquence du socialisme est le glissement vers la stagnation économique et la destruction sociale. La conséquence de l’écologisme est l’ajout d’une vision malthusienne du monde à la stagnation et à la destruction sociale.

L’Europe, aujourd’hui, est non seulement très atteinte par le socialisme, mais aussi par l’écologisme. À la stagnation économique et à la destruction sociale, s’accole désormais un pessimisme malthusien qu’on ne peut dissocier des données démographiques. De fait, démographiquement, l’Europe est sur le chemin qui conduit à sa propre disparition.

La natalité dans la quasi-totalité des pays européens est désormais très inférieure au seuil de renouvellement des générations. Les seuls pays à se rapprocher de ce seuil, tels la France, sont des pays où la natalité est plus forte au sein de populations de culture non-européenne qu’au sein des populations de culture européenne, ce qui signifie une mutation profonde. Les pays éloignés de ce seuil vont voir leur population divisée par deux en un peu plus de quarante années, sauf si un redressement très net s’opère (et rien n’indique la possibilité de ce redressement), ou si s’accentue la migration de populations de culture non-européenne.

S’ajoute ainsi à la stagnation économique, à la destruction sociale et au péril démographique, un changement culturel. Car les populations de culture non-européenne s’intègrent de moins en moins, quel que soit le pays européen concerné.

Dès aujourd’hui, le cumul de ces difficultés crée un syndrome qui fait de l’Europe une région de la planète économiquement déclinante, socialement explosive, démographiquement sinistrée, culturellement naufragée, car égarée dans un relativisme « multiculturaliste » sans repères.

Aucune réponse n’est proposée à ces difficultés cumulées. D’où le désarroi ambiant, l’attirance vers les extrémismes, la montée des intégrismes religieux. D’où aussi le choix du départ pour un nombre croissant de jeunes gens, en général les plus dynamiques et les plus motivés.

Et on comprend ceux qui partent : le chômage des jeunes est bien plus élevé que celui des autres catégories de la population.

L’absence de réponses, le désarroi qui règne, les extrémismes, les intégrismes montrent un avenir désespérant.

Dans une quarantaine d’années, l’Europe comptera bien moins économiquement et sera face aux conséquences du délitement des sociétés européennes d’ores et déjà en cours.

Elle sera divisée entre une grande quantité de personnes du troisième âge cherchant à préserver des lambeaux d’« avantages acquis » et, pour l’essentiel, crispées sur divers dogmes ineptes, et des jeunes gens con­damnés à payer indéfiniment, imprégnés eux-mêmes de divers dogmes ineptes, frustrés, vraisemblablement forgés par la rancune.

Les jeunes Européens d’aujourd’hui qui auront pu partir regarderont la situation de loin. Et il vaudra mieux, hélas, sans doute, regarder la situation de loin.

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Comments (18)

  • Claudec Répondre

    Les politiques économiques et sociales et notamment leurs aspects écologiques, migratoires et de l’emploi ne peuvent avoir de sens que si sont pris en compte les fondamentaux de la démographie mondiale et les problèmes (dont la pauvreté et les atteintes à l’environnement) qu’elle génère inexorablement.
    L’empreinte écologique de l’humanité ne résulte après tout que de ses prélèvement sur les ressources naturellement limitées de la terre. C’est le prix payé par la planète pour le développement incontrôlé de l’espèce la plus prédatrice de toutes, dorénavant mondialement en surnombre.
    En conséquence, le seul combat écologique – et humaniste – qui vaille consiste à limiter la population, pour la ramener à des dimensions compatibles avec son habitat. Le reste n’est que cautère sur une jambe de bois.
    Pour approfondir cette réaction, voir :
    http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com
    Les articles et commentaires publiés sur ce blog sont accompagnés de schémas, à l’intention des visiteurs que décourage la lecture.

    16 août 2013 à 21 h 08 min
  • Jaures Répondre

    Brennus, les chiffres que j’avance sont disponibles partout. Sur le net, référez-vous au site France-Diplomatie qui donnent les effectifs des communautés étrangères vivant en France. Voici notamment pour le Sénégal: http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/dossiers-pays/senegal/presentation-du-senegal/.
    Quand la réalité ne correspond pas à vos idées reçues, ce sont elles qu’il faut remettre en cause, pas la réalité.

    12 août 2013 à 10 h 19 min
  • druant philippe Répondre

    Jaurès est le Lebras (désinformateur en chef de l’ INED) de ce site ;

    10 août 2013 à 11 h 32 min
  • BRENUS Répondre

    Comme à l’accoutumée jaurès désinforme sur tout et dans le cas présent sur les chiffres des “sub-sahariens” présents en France. Je le soupçonne de porter des lunettes spéciales modifiant les couleurs pour prétendre que les gens originaires de la “sub-saharie” (tiens un néologisme qui devrait lui plaire) ne sont que150000 en chez nous. Décidément, ce zig, plus il pédale moins vite plus il avance d’avantage!

    9 août 2013 à 20 h 07 min
  • HOMERE Répondre

    Selon le CRAN; la population subsaharienne serait de 1,850 million en France avec un accroissement constant.
    En France la communauté est basée sur la linguistique,ce qui entraîne une forte présence des ex colonisés francisés attirés aussi par le veau d’or qui est en passe de s’effondrer,laissant les populations au bord de la misère;
    Dans les pays du nord de l’Europe,la communauté est liée à l’appartenance de valeurs ce qui limite,évidemment,l’immigration de peuplement.
    On objectera que l’immigration,qui contribue fortement à la démographie,est une chance pour notre pays………surtout en terme de chômage et d’affaiblissement de notre culture !
    Les écolos qui tendent à vouloir la décroissance des consommations en tout genre,vont être gâtés lorsque revenu aux âges barbares,notre pays n’aura rien à envier aux populations des pays sous développés.

    4 août 2013 à 17 h 22 min
  • Jaures Répondre

    Les communautés subsahariennes en France sont peu nombreuses. Les principales, maliennes et sénégalaises, représentent à peine plus de 150 000 personnes. C’est l’Afrique du nord, pour d’évidentes raisons historiques et géographiques, qui fournit les plus fortes communautés hors CEE résidant en France.
    Et comme je le disais, on constate rapidement, dés la deuxième génération, un alignement du taux de fécondité sur celui du pays d’accueil. D’ailleurs, le taux de fécondité en France est le même aujourd’hui qu’en 1975. C’est plutôt les pays du Maghreb qui tendent à se rapprocher du nôtre.

    3 août 2013 à 22 h 43 min
    • Synecdoque Répondre

      Bonjour

      Je souhaiterai apporter une précision (avec la justification correspondante) à propos de l’évolution de la population de la France métropolitaine

      Pour apprécier correctement l’évolution d’une population, le taux de fécondité est une chose, mais encore il faut-il également considérer le nombre de personne en âge de procréer auquel il se rapporte.

      Concernant les chiffres officiels de cette évolution, nous disposons de deux grands repères, les recensement Insee de 1999 et de 2004.
      Le résultat du recensement 2004 montre que ” le rythme de croissance de la population a augmenté de 50% en métropole, passant de 0,39% par an de 1990 à 1999 à 0,58% entre 1999 et 2004.”
      Pour plus de détails, voir les rapports complets de l’Insee.

      Concernant vos affirmation surl’immigration d’origine sub-saharienne, vous semblez ignorer qu’elle a largement supplantée la nord-africaine depuis les années 1980. Pour plus de détails, voir les travaux concomitants de Michèle Tribalat (directrice de recherche à l’INED).

      Concernant votre appréciation sur l’évolution démographique des pays du maghreb, regardons l”Algérie:
      en 1962 : 10 millions d’habitants après le départ d’environ 1,2 millions de Pieds-noirs
      en 2012 : 37, 9 millions sur le sire officiel de la République Algérienne
      En 50 ans la population a été multipliée par 3,79 !!!! Je vous laisse calculer si leur taux se rapproche du notre.

      Bonne lecture et bonne réflexion.

      4 août 2013 à 16 h 06 min
      • Jaures Répondre

        Synecdoque, le taux de fécondité en Algérie a fortement chuté depuis le milieu des années 70. Il est ainsi passé de 7,5 à 4,5 en 1985 et 2,2O en 2010. L’augmentation de la population a baissé tendanciellement dans les mêmes proportion. Vous observerez une évolution semblable en France avec quelques décennies de décalage: le taux de fécondité dépassait 3% en 1950.
        La population subsaharienne a effectivement pris le relai du nord de l’Afrique mais surtout des européennes, espagnoles et portugaise, mais dans des proportions bien inférieures aux vagues de l’après-guerre et des années 60. La communauté algérienne par exemple est forte de 2 millions quand la malienne atteint à peine 80 000.
        Enfin, le taux de croissance de la population en France est stable: 0,58 en 2004; 0,6 en 2011. A noter qu’en 2012 ce taux n’a été que de 0,47. Quelles conclusions en tirez-vous ?

        9 août 2013 à 10 h 28 min
        • Synecdoque Répondre

          Synecdoque @ Jaures

          Bonjour

          Bien que tardive pour cause de vacances, voici ma réponse à votre question : “Quelles conclusions devrai-je tirer de votre contribution du 9 août ? ”

          En premier, que mon post vous a obligé à vous renseigner et à faire la différence entre vos appréciations personnelles (sur l’immigration sub-saharienne) et la réalité….

          En second lieu, puisque l’évolution démographique de la population vivant France semble vous intéresser, plutôt que polémiquer, pour parfaire votre information, je vous invite à regarder l’audition par une commission du Sénat le de la démographe Michèle Tribalat ( directrice de recherche à l’Inde), dont voici un court extrait :

          Michèle Tribalat : La part des jeunes d’origine étrangère en France.
          La démographe Michèle Tribalat décrit, le 27 janvier 2011 lors d’une audition de commission au Sénat, la modification considérable de la population française, en particulier en Seine-Saint-Denis.
           La part des jeunes d’origine étrangère est ainsi passée, entre 1968 à 2005, de 11% à 18% en France, de 16% à 37% en Ile-de-France, de 19% à 57% en Seine-Saint-Denis, et de 22% à 76% à Clichy-sous-Bois.
           Parmi les jeunes immigrés, ceux qui sont d’origine européenne, et qui étaient largement majoritaires jadis, sont désormais très minoritaires, supplantés par les Maghrébins et les Africains.
          “Par exemple, à Mantes-la-Jolie, vous avez moins de 5% des jeunes qui sont d’origine européenne”, annonce la démographe.
           Michèle Tribalat note que la mixité sociale tant souhaitée par nos politiques n’existe pas et n’existera sans doute pas à l’avenir. Elle ne croit pas non plus à un ralentissement de l’immigration, qu’elle semble pourtant juger souhaitable, à cause des conventions européennes.
          source ; http://videos.senat.fr/video/videos/2011/video7471.html
          Bonne vidéo et bonne réflexion.

          25 août 2013 à 22 h 19 min
  • druant philippe Répondre

    N’ oublions pas que la surpopulation s’ appelle aussi dictature démographique !

    3 août 2013 à 20 h 22 min
  • druant philippe Répondre

    La frontière US – Mexique est une immense passoire nullement dotée d’ une barrière digne de ce nom (en beton ou métallique avec des concertinas) : la surveillance d’ une telle passoire s’ avère bien sûr très coûteuse .
    Les taux de natalité des africains subsahariens sont bel et bien démentiels (Mali / Niger / Nigéria / Sénégal ) : c’est donc bien la surnatalité qui engendre la misère “noire” et pousse ces gens à tenter l’ aventure terrible de la traversée du Sahara

    3 août 2013 à 20 h 21 min
  • HOMERE Répondre

    La démographie en Afrique reste elle toujours très élevée : Niger 7.8, Mali 6.8,Congo 6.7 (100 Millions en 2050),Tchad 6.4,Sénégal 4.8……et vient conforter la nôtre par le regroupement familial.
    Si l’assertion qui consiste à dire que l’effondrement économique limite,ou fait régresser l’immigration,nous allons constater une baisse importante en France de cette immigration sociale par conséquence….Las,nos acquis sociaux sont là pour y remédier…..ouf on a eu chaud !!

    3 août 2013 à 16 h 39 min
  • druant philippe Répondre

    Damned ,me voilà d’ accord avec Jaurès à plus de 80 % !
    GM se fait recadrer d’ excellente façon .
    Petit bemol : une politique de planning familial pratiquée dans les pays lapinistes d’ immigration et un verrouillage strict des frontières européennes seraient efficaces pour lutter contre l’ immigration – invasion .

    3 août 2013 à 11 h 22 min
    • Jaures Répondre

      Je ne crois pas en un verrouillage strict des frontières, sauf à instituer en France un régime policier dont les conséquences seraient bien pires pour notre mode de vie que les tensions migratoires. Les taux de fécondité des pays qui nous apportent le plus d’immigrés montrent qu’ils ne sont en rien “lapinistes”. C’est la souffrance et la misère sans autres perspectives qui font fuir ces populations et rien ne peut dés lors les dissuader.
      Aux Etats-Unis, la frontière avec le Mexique est surveillée jour et nuit avec des gardes armés pour un coût annuel de plusieurs dizaines de milliards de dollars.Pour quel résultat ?

      3 août 2013 à 16 h 03 min
  • Jaures Répondre

    Cet article est un exemple parfait de dogmatisme: des assertions erronées, des approximations et des contrevérités affirmées avec aplomb. Cette rhétorique explique la réticence de Millière a accepter le débat public: elle ne peut être reçue que par une assistance convaincue disposée à ne lire ou entendre que ce qu’elle croit. Aucun besoin dés lors d’argumenter, de démontrer au moyens d’exemples précis.
    L’écologie n’a jamais été “l’idolâtrie de la nature”. Bien au contraire, l’écologiste sait que la nature recèle des dangers qu’il importe de ne pas négliger. Le problème est que l’écologiste, contrairement au libéral, réfléchit à long terme. C’est pourquoi les écologistes s’opposent par exemple avec vigueur aux constructions en zones inondables qui font le bonheur des promoteurs et des victimes par dizaines quand la nature reprend ses droits.
    Les écologistes cherchent également à mettre de la raison là où les lobbies imposent par leur influence pernicieuse les décisions conforment à leurs intérêts. Ainsi, pourquoi construire un EPR à (pour l’instant) 6 milliards d’euros alors que la même somme investie en économies d’énergies et en productions alternatives aurait permis plus de créations d’emplois et des factures allégées pour les familles modestes.
    Mais le long terme et la raison font mauvais ménage avec la recherche du profit immédiat.
    Autre contrevérité: le taux de fécondité des pays d’où proviennent l’essentiel des émigrés hors U.E. est proche du nôtre (France: 2,03; Algérie: 2,22; Maroc: 2,24). On sait par ailleurs que dés la deuxième génération le taux de fécondité des familles issues de l’immigration rejoint celui du pays d’accueil. Le maintien d’une natalité dynamique dans certains pays d’Europe (la France ou l’Irlande) est donc culturelle, lié notamment à un statut de l’enfant valorisant. Et la seule manière efficace de lutter contre l’immigration est l’effondrement économique: en Espagne, la ruine du pays conduit les immigrés à rentrer chez eux, accompagnés par les Espagnols eux-mêmes qui investissent les pays européens (dont la France) et même le Maroc.
    On pourrait répondre ainsi point par point mais, technique à la Zemmour, Millière assène ainsi par rafales tant d’erreurs manifestes sans les étayer que les réfuter rationnellement demanderait deux volumes. Ce qui m’interroge c’est que Millière sait probablement cela. Ma question est donc qu’est-ce qui le motive ? Quel but poursuit-il donc ?
    Enfin, cher Laudance, le taux de criminalité est bien supérieur au Canada qu’en France. Mais je doute que vous fréquentiez les quartiers populaires. A ce titre, vous seriez aussi bien en France dans un beau quartier bien protégé.

    2 août 2013 à 22 h 48 min
  • J-Y R. Répondre

    Ce genre d'”article” (confusion totale) montre où en est l’acéphalie des victimes occidentales du capitalisme mondialiste.

    2 août 2013 à 9 h 23 min
  • Laudance Répondre

    Cher Guy Millière, ne vous inquiétez pas des réactions, car l’avenir vous donnera raison. Maigre consolation. Mais tant pis pour ceux qui ayant le goût de se suicider, font tout pour accélérer le mouvement. Peut-être mourront-ils contents ? Alors pourquoi tenter encore de les en empêcher ? Cela ne sert plus à rien, si ce n’est à se faire mal voir. En tout cas, en ce qui me concerne, il y a longtemps que j’ai pris les devants. Tous mes proches sont répartis entre Vancouver et la Gaspésie, et regardent de loin, désormais sans état d’âme, le marasme né des fantasmes rouges et verts. Mon seul regret ? C’est que l’océan ne soit pas assez grand entre le Canada et l’Eurabia.

    1 août 2013 à 11 h 36 min
  • druant philippe Répondre

    D’un côté, l’ Europe est menacée de submersion à terme (moyen / long ?) par des populations lapinistes issues du 1/3 monde muz et subsaharien tandis que la natalité “blanche” est fort basse .
    D’ un autre côté , l’ Europe (hors Sibérie) est largement surpeuplée (plus de 500 millions d’ habitants répartis sur une superficie de moins de 10 millions de km2 = ddm de 50 hab/km2 , (en fait beaucoup moins si l’ on défalque de la superficie totale les montagnes , zones arides, fleuves , rivières, forêts, zones industrielles ,etc …. ) et sa biodiversité est menacée .
    La méthode malthusienne de limitation (de gré ou de force) de la taille des familles non Européennes serait la bienvenue .
    Au réalisme malthusien implacable s’ oppose la folie productiviste et croissantiste du sinistre bipède .
    Il me semble avoir entendu que le gouvernement japonais souhaitait à l’ horizon 2100 ramener le chiffre de population de 125 millions à 45 millions d’ habitants : voilà des gens avisés .
    Dame nature n’ a Absolument pas besoin de l’ homme alors que ce dernier ne peut se passer d’ elle et vit même sous l’ épée de Damoclès de son élimination physique par dame nature herself .

    1 août 2013 à 11 h 31 min

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