Fessophobie : c’est hélas l’Europe qui est affaissée !

Fessophobie : c’est hélas l’Europe qui est affaissée !

Erziehungsmethode
Dans un premier temps, on a pu se dire que l’on avait la berlue, que l’on avait mal entendu, ou qu’il s’agissait d’une « intox » gagesque, peut-être d’un poisson d’avril avancé au 1er mars. Non, pas du tout ! L’information est bien vérifiée : le Conseil de l’Europe a sommé la France et quelques autres états de se conformer parfaitement à la charte sociale européenne sur l’interdiction des châtiments corporels en prévoyant désormais en revanche des châtiments pour ces mauvais châtieurs de parents infligeant d’affligeantes fessées à leurs enfants.
Ainsi, à un moment où de par le monde des millions d’enfants subissent le pire du fait de toutes les barbaries ; à un moment où dans les écoles coraniques de tout l’univers salafiste et wahabiste on leur fait ingérer des versets coraniques à grands coups de triques ; au moment où les forcenés fanatiques de l’islam terroriste kidnappent des gosses par milliers, en massacrent en grand nombre ou en enterrent vivants, le Conseil de l’Europe, où siège notamment le doux pays de Turquie dont on connaît les traditions de douceurs et d’humanisme, se préoccupe de la question en effet fondamentale de la fessée ! On ne s’étonne pas de ce qu’en apprenant cela, certains en soient tombés… sur les fesses.
En revanche, les admirateurs progressistes de cette Europe-là, ceux du PIF (Parti de l’Interdiction de la Fessée), se réjouissent de ce qu’enfin on fasse face avec fermeté à la persistance de la fessée dont la fantasmagorie funeste a été analysée par l’excellent docteur Freud. Mais se réjouissent aussi à rebours, comment s’en étonner, tous ceux de par le monde qui veulent en finir avec notre civilisation vermoulue. Imaginons l’hilarité que, s’ils en apprenaient la nouvelle, cela susciterait même chez des gens qui ne sont pas d’ordinaire de grands rigolards comme Poutine ou Xi-Ping.
Quant à nous, très sérieusement, nous pensons qu’il n’y aurait qu’une seule manière de renvoyer chez eux les pitoyables bureaucrates grassement payés qui, avec de telles préoccupations fessophobes, se moquent du sort véritablement tragique de tant d’enfants. Ce sont des coups de pied au cul que méritent ces tartuffes de l’eurocratie.

Bernard Antony
Président de l’AGRIF et de Chrétienté-Solidarité
Son blog

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Comments (48)

  • Jacky Social Répondre

    I think that smacking is very good for children as the last resort for parents. But my take is that the Left is completely crazy and out of it once again. I can only see self-contradictions around. For example, our great “Moral Left” (oxymoron: how can you be a Leftist and have moral credentials?) tells us that prostitution is a crime. Fine, but on the other hand our Loony Left encourages extra-marital sex and gay sex. I don’t understand. Then here the Loony Left wants to ban smacking. Fine. But then it celebrates as a masterpiece the book “50 Shades of Grey”, which is about sado-masochist sexual intercourse. Again I don’t understand all the “sophisticated nuances” imposed upon us by the inconsistent “Moral Left”. Could our marxist cunt clarify those things, because it’s frustrating not to understand what the Left exactly has in mind? Thank you.

    6 mars 2015 à 20 h 31 min
    • Jaures Répondre

      Cher Jacky, vous amenez la politique où elle n’a que faire.
      La fessée n’est pas plus de droite que les relations extra-conjugales.
      La gauche a perdu des millions de voix en 2,5 années. Pensez-vous que les gens se sont mis à frapper leurs enfants dans la foulée ? Cela n’a rien à voir. Il y a des gens de droite qui excluent la fessée, des gens de gauche qui y ont recours. Bien des facteurs entrent en compte autres qu’une conception générale de l’éducation: la fatigue, la propension à l’énervement, le caractère de l’enfant, l’état du couple, l’environnement, …
      Certains sont pour la fessée mais n’en donnent jamais, d’autres sont contre mais perdent parfois leur sang-froid.
      C’est pourquoi, même si je m’affiche par principe hostile à toute punition corporelle, je me garde bien de faire la leçon à quiconque. Elever des enfants est un travail difficile et incertain.

      Pour ce qui concerne la prostitution, il en est tout autrement. Le commerce du corps est pour l’essentiel géré par des mafias sans scrupules qui font du trafic d’êtres humains.
      Les femmes qui s’y adonnent sont dans leur immense majorité en état de détresse morale ou sociale.
      Pour le reste, les relations homosexuelles et extra-conjugales, il s’agit du choix d’adultes libres et consentants qui ne regarde personne.
      L’orientation sexuelle n’a rien à voir avec l’engagement politique pas plus que la fidélité. Les exemples pullulent.
      Et qui considère « 50 Shades of Grey » comme un chef- d’oeuvre ? Sans doute uniquement ceux et celles qui ne lisent qu’un roman par an.

      6 mars 2015 à 21 h 36 min
      • Bistouille Poirot Répondre

        C’est bien la première fois que je m’autorise à m’écarter du sujet. Il donne généralement lieu à des polémiques animées d’escarmouches qui s’enveniment à loisir sans nous laisser espérer l’ombre d’une amnistie.
        Mais entendre par contre que,
        “les relations homosexuelles concernaient des choix d’adultes libres et consentants”, me fait bondir.
        Cette apparente liberté et les consentements qui l’accompagnent, relèvent plus d’une mode que d’un besoin biologique, d’une provocation plus que d’une tendance suicidaire. Mais si ces constats sont d’importance et qu’au nom de la liberté nous devions y souscrire, j’alerte les populations sur les vices induits.
        Ces libertés qui empiètent sur les nôtres quand elles devraient s’arrêter à leurs portes ne se libèrent qu’en s’exposant à un avilissement, en multipliant les échanges de partenaires et en refusant toute protection contre les risques de transmission de MST. La liberté pour ces pratiquants, c’est le choix du hasard, le pile ou face et encore une fois celui de la provocation. Soit….
        Une stat. âgée de plus de 15 ans signalait que l’homosexualité était la première responsable du Sida à Paris et la deuxième après l’échange de seringue à Marseille. Donc dans les 2 cas, bien placée….
        La liberté de nos moeurs aidant et compte tenu du diamètre et de la profondeur du trou de la SS, je préfère ne solliciter aucune aide de l’Etat pour acheter mon aspirine à la condition que le sidaïque et les associations qui le défendent, assument les frais de traitement qui s’élèveraient à quelques 2.500 € par mois et qu’en outre ces soumis portent un bracelet électronique adapté. Cà n’existe pas? Au travail les labos!
        Oui, je sais, le ballon va traverser tout le terrain et passer en touche au nom de la solidarité. Aurai-je fait oeuvre de salubrité publique ? Si ce n’est pas le cas je me contenterai d’avoir les fesses propres, sans jeu de mot avec l’article de Bernard Antony dont je vous ai déjà dit tout le mal que je pensais en l’invitant à ne se prostituer que dans les luttes contre le racisme anti blanc, seule activité où il ne mérite pas mon pied….

        10 mars 2015 à 12 h 51 min
        • Jaures Répondre

          Cher Poirot, je ne vois vraiment pas en quoi les homosexuels empiéteraient sur vos libertés.
          Si les homos refusaient, comme vous le prétendez, toute protection, vous en seriez définitivement débarrassé. Il faut savoir que les homosexuels représentent 1/4 des cas de SIDA (6000 nouveaux par an).
          Vous pouvez demander que les victimes du Sida prennent en charge leur traitement mais il faudra alors en faire de même pour les buveurs, les accidentés de chasse, les fumeurs, les chauffards, les obèses, les sportifs, les maladroits, les sédentaires, les ouvriers agricoles,…
          Il est toujours confortable de penser que ses propres moeurs sont les bons et ceux des autres à bannir.

          10 mars 2015 à 15 h 07 min
    • Jacky Social Répondre

      From now onwards, my posts willl be in English. If anybody wants to argue with me, they’re welcome to do so in ENGLISH only. Thank you. Otherwise their comments on my posts shall be considered as null and void. Pure and simple.

      6 mars 2015 à 22 h 19 min
      • Jaures Répondre

        Jacky, vous êtes un capricieux.

        7 mars 2015 à 9 h 38 min
        • philiberte Répondre

          l’avantage, c’est que je ne lis plus ses insultes débiles.

          7 mars 2015 à 9 h 53 min
          • euréka

            Sur un blog qui a des ambitions de reconquista, tolérer qu’on y poste en anglais, ce n’est pas top du tout.
            Comme si nous n’étions pas déjà assez envahis comme ça par l’anglomanie et l’américanisation à toutes les sauces. C’est scandaleux cet usage de l’anglais.

            Jacky allez sur les sites britts si vous voulez dialoguer dans la langue de Shakespeare. Ce n’est pas ce qui manque.

            10 mars 2015 à 3 h 32 min
          • Bistouille Poirot

            @ philiberte et @ Eureka,

            “Achtung, nous avons les moyens de le faire parler parler en franzais !”

            10 mars 2015 à 13 h 03 min
          • philiberte

            de LES faire parler!!! ils sont 2.

            10 mars 2015 à 14 h 31 min
          • Jaures

            Le vide sonne aussi creux en français qu’en anglais.

            10 mars 2015 à 15 h 08 min
          • Jacky Social

            Hi Eureka. I was not posturing at all by switching to English, but simply managed to get rid of Jojo-Manure’s empty comments and crass bad faith. Our lecturer’s English is weaker than weakness itself. He’s now humliated for good as any person who does not know English in the 21st century is an asshole, just like those who didn’t know French in 18th century or Latin in Roman times were assholes back then. Alors je peux continuer en français sans condition, bien que je me sens mieux en anglais.

            10 mars 2015 à 20 h 01 min
          • philiberte

            sorry, I don’t understand english at all, so I don’t read your messages.

            10 mars 2015 à 20 h 38 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      JS, the eu-parliament taking decisions on child-spanking is a proof of the uselessness of this venerable institution financed by the eu-TAXPAYERS, actually the very few paying taxes.
      On the other hand there are so many important topics waiting to be tackled, namely wild immigration, muslim terrorism, public debts, joblessness and deindustrialization.
      If there is somebody to blame it’s the eu-CITIZEN polling for the type of incompetent individuals squatting this assembly right now, most of the time left-overs of national elections.
      So I think that the eu-CITIZEN should be more choosy with future candidates.
      An alternative would be to get rid of the eu-parliament altogether.

      PS: spanking, though not a universal way to raise children should be left to the appreciation of the parents as it was until now.
      Whereas adult-spanking is a specialty of muslim countries, in Saudia there is a poor sucker promised 1000 lashes in installments, so far he got about 50.
      Nobody knows if he will survive the rest, where is the eu-parliament?

      8 mars 2015 à 17 h 01 min
  • Jacky Social Répondre

    Smavcking is very good. I mean, the Left is rea

    6 mars 2015 à 20 h 19 min
    • Bistouille Poirot Répondre

      @ jacky soial 10 mars 20h01
      “bien que je me SENS mieux en anglais”
      SVP: “…bien que je me SENTE mieux en anglais”.
      Retournez chez les britts, vous y serez en odeur de sainteté !
      Encore qu’en y réfléchissant bien, cette déviation tolérée par le MODERATEUR, me laisse supposer que vous en êtes l’expression. POTRAT et PIGIS en auraient les preuves.

      11 mars 2015 à 23 h 47 min
  • euréka Répondre

    Fessée n’égale pas gifle.

    Dans l’administration de la fessée il y a souvent (surtout si elle s’applique à des pré-pubères ou pubères) la volonté d’humilier. Dans ce cas c’est du sadisme.

    5 mars 2015 à 17 h 58 min
  • Lacan Répondre

    Très bien dit Desoyer;assimiler la fessée à un châtiment corporel est une immense stupidité. Oui,les fessées sont nécessaires car très éducatrices

    5 mars 2015 à 17 h 17 min
    • Jaures Répondre

      Regardez la photo qui illustre l’article !
      Pour vous ce n’est pas un châtiment corporel ?

      6 mars 2015 à 10 h 57 min
  • David Répondre

    Jaurès,
    Arrêtez de vous présenter comme un donneur de leçons. Vous n’avez pas la science infuse sur autant de sujets variés et complexes.
    “La correction rend sage l’enfant” – j’ai été corrigé, et malgré certains abus, je ne suis pas déséquilibré ni violent, et ni en manque de confiance. J’ai des enfants que j’ai déjà corrigés par une claque ou une fessée. Elles sont en bonne santé physique et mentale. Elles se sentent en sécurité avec moi.
    Alors, je pense comme l’auteur de cet article, qu’il vaut mieux que l’Europe s’occupe des enfants assassinés, abusés sexuellement et martyrisés dans certains pays, notamment occidentaux. La correction fait partie de l’éducation comme l’instruction. Après c’est une question d’intelligence personnelle dans l’utilisation qu’on en fait, et cela est du ressort de la sphère privée. Arrêtez de faire passer les parents comme des bourreaux.

    5 mars 2015 à 14 h 03 min
    • Jaures Répondre

      Je ne donne à aucun moment de leçons. Relisez mes posts: je pose essentiellement des questions.
      On ne peut se contenter de juger de la santé mentale des adultes après qu’ils aient subi des châtiments corporels pour admettre ces derniers. On a vu des personnes subir des atrocités et venir en parler avec une dignité et une intelligence stupéfiante. Là n’est pas la question.
      La question est: la violence, car un châtiment corporel est une violence qu’un adulte n’oserait infliger à un autre adulte, est-elle une méthode éducative ?
      Vous dîtes que l’on doit s’occuper des enfants martyrisés mais quelle est la limite entre ce que vous appelez une correction et un abus ? Pourquoi la violence physique ne serait-elle pas justement la limite que l’on se refuse à franchir ? Au moins celle-ci a le mérite d’être claire.
      Parce qu’ensuite, si vous laissez à chacun dans le cadre privé le soin de juger à quel degré de violence il a droit envers ses enfants, ne laissez vous pas la porte ouverte aux abus jusqu’à la maltraitance ?

      5 mars 2015 à 14 h 49 min
  • Jean sans peur Répondre

    J’ai pris d’excellentes fessées, bien appliquées, notamment de mon père, et aussi de mes professeurs. Chaque fois j’étais prévenu de la sentence et ce n’était que justifié. Je les en remercie vivement, car je les méritais. Cela m’a bien forgé le caractère, et m’a appris à obéir et, plus tard, à commander. Pauvres petit chérubins qui vont encore plus mal se comporter en famille puis à l’extérieur… puis voués à la délinquence. Bah, pas de problème, la gueunon ne fera pas non plus appliquer leur sentence… vive la délinquence!

    5 mars 2015 à 13 h 49 min
  • Dechardat Répondre

    La fessée ? Oh ! quelle horreur quand on y pense, pas vrai m’ame Michut !

    L’histoire ne dit pas cependant, si les partouzes pédophiles étaient encore autorisées ? Allez voir sur le site “Coral”, sur votre Google favori. Il s’y passait de drôles de choses…

    Certains de nos plus sémillants politicards s’y livraient à des jeux inavouables, avec des Gitons et quelques grands noms… La fermeture de l’établissement (proche de Nîmes)par le Juge y mit un terme. Un enfant y fut trouvé mort, sodomisé, la tête plongée dans un sceau d’excréments humains – l’affaire fut rendue publique, près de dix huit ans après les faits, et révélait un réseau pédophiles de 341 personnes, se protégeant les unes les autres. A la pédophilie, notez-le, s’ajoutaient quelques cérémonies satanistes pour faire bon poids !

    C’est-t’y pas malheureux, M’ame Michut de nous empêcher d’élever nos enfants avec bons principes, pour leurs éviter de dangereuses fréquentations ?…

    5 mars 2015 à 13 h 40 min
    • Jaures Répondre

      Les bons principes n’excluent pas la bonne méthode.
      Donnerez-vous une fessée à un gamin qui en a frappé un autre pour lui apprendre que la violence c’est mal ?

      5 mars 2015 à 14 h 51 min
    • euréka Répondre

      La guillotine devrait être remise en route pour ces 341 salauds .
      Celui qui a milité et oeuvré à la supression de la peine de mort est un illustre débile mental. Car pour les cas que vous évoquez ci-dessus, ces individus ne méritent pas de vivre même en prison.

      10 mars 2015 à 18 h 56 min
  • Jaures Répondre

    Desoyer, le Conseil de l’Europe parle du “châtiment corporel” qui inclue fessée ou gifle. Qu’est-ce donc qu’une fessée “non-violente” ? A partir de quel degré une fessée devient-elle violente ? Qui en jugera ? Celle donnée en illustration à cet article est-elle violente ou non ? Si la fessée a une vertu éducative faut-il la généraliser ? Jusqu’à quel âge ?

    Philiberte, pensez-vous que ceux qui expriment une opinion différente des vôtres ont manqué de fessées ? Est-ce à dire que ce sont les fessées qui ont forgé vos opinions ?

    Marquais, l’éducation est donc selon vous une thérapie avec la fessée pour vaccin ou médicament. Mais la fessée vaccine contre quoi exactement ? Est-on sûr que les jeunes dont on dit parfois “ceux là ont manqué d’une bonne fessée de temps en temps” n’en ont pas plutôt eu plus que leur compte ?

    5 mars 2015 à 9 h 31 min
    • DESOYER Répondre

      En tant que socialiste étatiste, ne pouvez-vous pas laisser 5 minutes les parents être juges de ce qui est bon ou non pour leurs enfants?
      Si, évidemment, un voisin, un enseignant ou une assistante sociale repère des traces de coups sur un enfant (c’est-à-dire des abus) et en saisissent le commissariat local, ok, cela se fait depuis des dizaines d’années.
      Pourquoi vouloir aller plus loin et vous mêler de ce qui ne vous regarde pas?

      5 mars 2015 à 10 h 38 min
      • Jaures Répondre

        Qu’écrivez-vous ? Qu’on a le droit aux coups mais pas aux marques ?
        Les parents ont des devoirs légaux envers les enfants: les nourrir, les protéger, veiller à leur éducation. Ils sont tenus de les emmener à l’école et de veiller sur leur santé.
        On donne donc bien déjà un cadre légal à l’éducation des enfants. Pourquoi le degré de violence qu’on peut leur infliger serait lui laissé à l’appréciation des parents ?
        Si on se dit que l’on renonce définitivement à la violence, cela n’ouvre-t-il pas des perspectives plus intéressante que de se demander si l’on a cogné trop ou trop peu ?

        5 mars 2015 à 15 h 04 min
        • De Soyer Répondre

          Vous êtes indécrottable. Comme vos pareils, vous jouez sur les mots.
          Aidez-nous d’abord à renvoyer les arabo-africano-musulmans chez eux. Après on discutera sur l’éducation des enfants, domaine dans lequel les socialistes ne brillent pas particulièrement.

          6 mars 2015 à 19 h 55 min
          • Jaures

            Je ne joue aucunement sur les mots. C’est le contraire.
            Quand on me parle de “fessée non violente” ou de “fessée sans abus”, c’est là qu’on joue sur les mots.
            Interdisons-nous toute violence envers les enfants. Cela devrait être le principe de base.

            7 mars 2015 à 14 h 23 min
          • philiberte

            j’ai le souvenir attendri et ému d’une fessée amplement méritée, donnée par mon grand-père. un seul coup, bien appliqué, à bon escient, qui ne m’a fait mal qu’à l’amour propre.
            j’ai également le souvenir de coups de martinets donnés n’importe quand n’importe comment.
            et vous dites qu’il n’y a pas 2 sortes de corrections?

            7 mars 2015 à 20 h 16 min
          • Jaures

            Je ne sais pas, Philiberte. Comment voulez-vous que je me prononce sur des souvenirs anciens ?
            Ma question est la suivante: n’y avait-il vraiment pas d’alternative éducatives à ces fessées ?
            Après, fessées ou pas, les différences entre les diverses formes d’éducation s’expriment d’une manière ou d’une autre mais pour moi, la seule méthode marquante est celle de l’exemple.
            Et je ne pense pas qu’une violence exercée sur un enfant soit une attitude d’adulte exemplaire pour cet enfant.

            8 mars 2015 à 9 h 56 min
          • philiberte

            “n’y avait-il vraiment pas d’alternative éducatives à ces fessées ?”
            dans mon cas, non. le raisonnement n’avait d’efficacité que très limitée. 5 ou 10 mn. celle de la fessée était permanente pour la journée. et… elle me faisait du bien.
            rassurez-vous, je n’ai pas de tendances SM…

            8 mars 2015 à 10 h 53 min
          • Jaures

            Pardonnez-moi mais je trouve étrange d’avoir un souvenir d’enfance aussi positif d’une fessée. “Elle me faisait du bien” dîtes-vous ?
            Je suis surpris que la violence fasse du bien à celui qui la subit. Mais cela demeure mon point de vue. Pour ma part je n’ai guère de mérite, j’aurais tout simplement été incapable de frapper mes enfants.

            8 mars 2015 à 12 h 12 min
      • Jacky Social Répondre

        Le premier minus fonctionnaire de police qui m’arrêtera pour avoir osé éduquer mon enfant, il est mort. Ce sera la guerre. Je lui pourrirai la vie. S’il croit que non, il se trompe. Cela prendra le temps que ça prendra. Idem pour le “magistrat” que j’encule à sec. La vengeance est un plat qui se mange surgelé chez moi. Messieurs les étatises, on vous emmerde.

        10 mars 2015 à 22 h 14 min
        • philiberte Répondre

          toujours aussi raffiné!
          reprenez donc l’anglais.

          10 mars 2015 à 23 h 33 min
        • euréka Répondre

          @Jacky

          Continuez en français s’il vous plait. Vous êtes sur un site patriote et je trouve inconvenant d’y faire la promotion de l’anglais.
          Même si jojo l’incube rend fou, ignorez ses messages.
          Faites comme moi. Il commente ceux que j’adresse aux autres, mais je ne réponds jamais aux siens.

          Je ne comprends pas quel plaisir il trouve à troller sur ce site étant donné qu’il serait plus à son avantage sur rue89 ou sur l’Immonde..

          11 mars 2015 à 2 h 08 min
        • Bistouille Poirot Répondre

          @ jacky social
          Vous attaquer à l’énorme troupeau des fonctionnaires du pays constituerait une lourde tâche même pour un serial killer. Sans compter que quelque magistrat non allergique à la vaseline le serait devenu au gorille.Vous n’auriez qu’un enfant ? Je suis opposé à l’avortement mais en amont, il existe la castration physique. Un conseil King Kong, cassez-vous les dents sur vos surgelés et ménagez-vous dans votre ménagerie.

          12 mars 2015 à 0 h 24 min
  • philiberte Répondre

    il y a un monde entre une fessée appliquée à bon escient, et des violences. Ceux qui nous l’interdisent en ont manqué dans leur enfance.

    5 mars 2015 à 8 h 16 min
  • Marquais Répondre

    Encore à coté de la plaque notre Jaurès national ! On parle de vaccin il répond violence. Naturellement une piqûre ça fait mal …..mais si ça peut vous préserver de la grippe …
    Quoi ? si ça ne suffit pas ?
    Bof disons qu’un rappel est toujours possible et parfois nécessaire !

    5 mars 2015 à 7 h 35 min
  • Christian D'ORSO Répondre

    Si les “commissaires” de Bruxelles préfèrent s’occuper du sexe des anges ou d’interdire la fessée, alors oui, il est urgent de quitter cette Union Européenne là !

    5 mars 2015 à 7 h 24 min
  • Oeildevraicon Répondre

    Comme le dit si justement Bernard ANTONY, les coups de pied au cul sont en effet à distribuer en très grand nombre, à certains, eu égard à leur propre éducation.

    4 mars 2015 à 20 h 24 min
  • Jaures Répondre

    Je trouve curieux que sous prétexte qu’il en existe ailleurs de pires, on ne s’interroge pas sur nos propres violences devenues traditionnelles, donc non discutables.
    Car la fessée est une violence infligée aux enfants. Qui peut le contester ?
    Il est étonnant également que le châtiment corporel semble pour beaucoup (dont B.Antony) une peccadille quand elle est infligée aux enfants alors qu’elle serait considérée gravement si on la pratiquait sur des adultes.

    Autrefois, battre sa femme était admis. Comme le disait l’adage, si son persécuteur ne savait pas pourquoi il la châtiait, elle était censée le savoir.
    On s’émeut du sort des animaux. Qui prendrait cela à la légère ? Mais qu’un enfant se prenne des claques sur décision unilatéral et sans appel de ses parents semble pour certains une prérogative si naturelle que simplement l’interroger ne mériterait que condamnation méprisante.
    Curieusement ce sont les mêmes qui s’inquiètent du sort d’enfants élevés par un couple homo alors que rien ne dit que ceci révèleraient le moindre traumatisme incombant à cette homoparentalité.

    Que le conseil de l’Europe interpelle la France est au moins l’occasion de s’interroger. La violence est-elle une méthode d’éducation ? Si oui, dans quelles circonstances ? Jusqu’à quel âge ? A quel degré ? Avec quelle fréquence ? Si la douleur et l’humiliation sont éducatifs, pourquoi les réserver aux enfants ?
    Que les laudateurs de la fessée se posent simplement ces questions avant de lever la main.

    4 mars 2015 à 16 h 21 min
    • Jaures Répondre

      Il faut lire:” que ceux-ci révèleraient”

      4 mars 2015 à 16 h 23 min
      • verdad Répondre

        DES CLAQUES?
        Elles peuvent provoquer la mort par hémorragie interne !
        Pas la Fessée ! souvent le risque de recevoir une fessée,
        c’est le commencement de la sagesse.
        UN JOUR? depuis l’Adriatique, jusqu’en Bourgogne, mes
        deux fillettes, assises à l’arrière du véhicule, deux furies,
        n’ont cessé de se battre, de hurler, rien n’y fit sauf que,
        afin d’éviter un accident, à 15 kilomètres de la destination
        après avoir été épuisé par les baggares, stop sur le bord
        de la route;, je les sors, une fessée chacune d’où la paix
        le long des 15 Kms restant !
        Je le leur raconte 20 ans après, elles n’en ont conservé
        aucun souvenir.
        Dans les cas limites, je le recommande aux inquisiteurs
        institutionnels .

        7 mars 2015 à 19 h 01 min
        • philiberte Répondre

          quelle patience!!!!!!!!!!!!!!!!!

          8 mars 2015 à 10 h 48 min
        • Jaures Répondre

          Vous croyez que cela n’arrive pas à tout le monde ?
          Confronté à la même situation, je me suis arrêté et j’ai annoncé que nous reprendrions la route qu’une fois tout le monde calmé.
          Après un café la situation s’est apaisée.
          Chaque fois que cela a pu se reproduire j’ai menacé de m’arrêter à nouveau ce qui a calmé les enfants.
          Il y a toujours une alternative à la fessée.

          8 mars 2015 à 15 h 12 min
    • DESOYER Répondre

      Bernard Antony parle de fessée, pas de claques! Ce n’est pas la même chose. Il y a quasi unanimité sur la nocivité de la gifle pour les enfants. La fessée, à condition qu’elle ne soit pas violente, est une indication à l’enfant qu’il est sur une mauvaise voie. Ce n’est pas un châtiment: c’est un signal.

      4 mars 2015 à 18 h 35 min

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