Inégalités sociales
M. Macron sera-t-il un Mitterrand, un Chirac ou un Hollande bis? Comme ses prédécesseurs, cédera-t-il sur tout? En d’autres termes, va-t-il distribuer l’argent des contribuables, des entreprises et des générations futures, à ceux qui ont déjà la sécurité de l’emploi, qui parlent le plus fort, et qui ont un grand pouvoir de nuisance? S’agissant de la SNCF et d’EDF, entreprises fonctionnant toujours sur le mode communiste, elles n’ont aucune vocation à demeurer dans le giron de l’État qui les subventionne grassement en absorbant leurs dettes abyssales. La gestion hospitalière est désastreuse. Mais la plus grande réforme à faire se situe à la base de tout, au niveau de l’éducation nationale. L’école n’a pas pour mission fondamentale de former des bonimenteurs en agitation sociale ou des tribuns récompensés ensuite par une place ministérielle pour avoir semé le désordre. La dictature de la rue n’a jamais été un modèle républicain. Sachons dire non à la démagogie catégorielle! La plus grosse inégalité sociale se situe entre le secteur surprotégé et le secteur concurrentiel, toujours plus exposé avec la mondialisation, le chômage et la grande pauvreté.
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