La France s’enfonce dans la pauvreté…

La France s’enfonce dans la pauvreté…

Le salaire moyen en France s’élève à 1 750 euros, c’est-à-dire que de nombreux Français gagnent moins chaque mois. Or, la réalité est là : il faut se nourrir chaque jour, s’habiller, se loger, payer les taxes toujours plus nombreuses. Il faut assurer sa survie, celle des enfants, celle de la famille.

Dans une grande entreprise d’automobiles, une employée commence à 1 600 euros par mois. Au bout de 10 ans, elle en est à 1900 euros et elle finit sa carrière à 2 300 euros. Ces chiffres, bien sûr, peuvent varier mais ils reflètent la réalité pour l’essentiel, même en tenant compte de primes et autres avantages. Il reste que bien d’autres Français sont encore bien moins lotis. 2 millions de salariés en France sont au SMIC, c’est-à-dire à 1 539 euros par mois.

D’autres salariés gagnent davantage mais, à partir d’un certain seuil vite atteint, l’impôt vous enlève une bonne partie du revenu, si bien que des familles bourgeoises ont beaucoup de mal à assurer leur train de vie habituel, à « tenir leur rang » comme on dit. Elles font semblant dans l’anxiété. Elles restent silencieuses dans la pauvreté.

Ce qui est sûr, c’est que 30 % des comptes bancaires en France sont déficitaires à la fin du mois. On dit qu’ils sont « dans le rouge » – ce qui représente pour leurs titulaires beaucoup de gêne, beaucoup de souci, beaucoup d’inquiétude.

Les étudiants eux-mêmes ne sont pas à l’abri du besoin. 55 % d’entre eux disent ne pas avoir assez d’argent pour couvrir leurs besoins mensuels courants.

L’endettement de l’État et des entreprises est colossal, mais aussi celui des particuliers. 143 080 dossiers de surendettement ont été présentés à la Banque de France en 2019. Chaque année, c’est la même chose avec aggravation constante.

Les chômeurs, bien sûr, sont les plus vulnérables. Leur nombre avait baissé, après des années d’efforts de toute nature pour le diminuer. On en était arrivé à 7,2 % de la population active. La crise sanitaire, dont on s’accorde à dire qu’elle est aussi grave que celle de 1929, a fait remonter ce chiffre déjà élevé à 12 % et il restera à ce niveau longtemps encore.

Bref, toutes causes confondues, on constate dans la France d’aujourd’hui un régime de type socialo-communiste et ceci depuis des décennies. 10 millions de personnes vivent sous le seuil de pauvreté, ce qui est stupéfiant et désolant. À Paris même, 3 552 personnes sont sans-abri. 500 enfants, assure-t-on, passent la nuit dehors et des milliers d’autres seraient abandonnés.

On ne peut, en ce domaine, citer des chiffres très précis parce que de nombreuses zones urbaines sont à l’abandon. On ne sait pas ce qui s’y passe. Dans ces territoires qui, pratiquement, ne font plus partie de la république, tout est possible. C’est, en France même, le tiers-monde et son anarchie quotidienne, de crimes et de délits. Lorsqu’on est correctement informé de cette situation, on a honte et on a peur.

La faute en incombe à ceux qui nous dirigent, à leur idéologie, à leur pagaille provoquée par d’innombrables textes souvent contradictoires. Le but essentiel du pouvoir reste la « chasse aux riches ». On les débusque plus efficacement que les rats qui se promènent un peu partout à Paris.

Dans ce tableau d’ensemble, on note en passant ce que nous raconte la presse et qui est pittoresque. Ainsi apprend-on que François Mitterrand raffolait d’ortolan et de sole meunière. Bravo ! Il avait bon goût et, avec ses ministres communistes, il faisait d’excellents repas. Le peuple aussi raffole d’ortolan et de sole meunière, mais en imagination. Ça ne va pas plus loin.
Comment peut-on créer et laisser se développer une telle idéologie en laissant au citoyen la liberté … de déplorer ! Payez et taisez-vous.

Nous devons réfléchir à cette situation chaque jour plus distrayante. Comme je l’avais prévu (avec bien d’autres), on en est arrivé maintenant à des combats de rue au fusil-mitrailleur. Tout récemment à Dijon, capitale des ducs de Bourgogne, les Tchétchènes, au nombre de 50 000 désormais en France, ont attaqué des Maghrébins qui, eux, sont des millions en France. Faudra-t-il dans ces circonstances renouveler les instructions données aux forces de l’ordre : « Pas de brutalité. Agissez avec discernement. » Des instructions qui révèlent l’impuissance de l’État dans un pays où l’on fait l’apologie de délinquants dès lors qu’ils sont noirs et « antifa ». J’en connais un, issu d’une famille d’immigrés venus d’Afrique, polygame aux 17 enfants, dont beaucoup ont déjà un casier judiciaire. Il ne lui reste plus qu’à se présenter aux élections …

Pourquoi pas ? J’ai beaucoup entendu parler, il y a longtemps, d’un Africain alcoolique et tortionnaire reçu en grande pompe à l’Élysée ! On s’inclinait devant Sa Majesté !
Ceci étant, pourquoi ne pas féliciter François Hollande ? Lui au moins nous faisait rire. À cheval sur une pétrolette officielle, à toute allure rue du Cirque.

Toujours à lire la presse, on en apprend chaque jour davantage sur les conséquences économiques et financières de la crise sanitaire actuelle. Dans le monde entier, 100 millions de personnes sont menacées par l’extrême pauvreté. L’industrie touristique est sinistrée. Le marasme du tourisme mondial menace 100 millions d’emplois, titre la presse du 14 mai.

Des analystes sérieux assurent qu’il faudra 10 ans pour se remettre de cette crise. On ouvre le journal pour lire : « La Société générale, banque solide, bascule dans le rouge. » Elle a déjà perdu 326 millions d’euros au premier trimestre de l’année. Encore une page et on lit dans le « Figaro » du 22 juin : Les forces de l’ordre intérieur ont renoncé à maintenir la paix civile pour se transformer en greffiers des désordres publics. Notoirement sous-financées et sous-équipées, nos armées ne sont plus en état de faire face aux changements de nature et d’intensité des menaces. Et ainsi de suite.

Un mot pour terminer. François Fillon, ancien Premier ministre, compétent et estimable, est condamné à 5 ans de prison pour s’être comporté comme tous les parlementaires, alors que viennent d’être libérés 13 000 délinquants dont certains sont radicalisés !

Je n’ai pas besoin d’en tirer ici la conclusion. Vous le ferez vous-même. Elle est évidente et désolante. Sous un tel régime, soyez prudents !

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Comments (4)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    il y a de cela une bonne trentaine d’ années une enquête sociologique avait été menée à … Bâle qui révélait que les familles bâloises les plus pauvres au XVII ième siècle étaient les mêmes que celles du … XX ième siècle ce qui ne veut pas dire qu’ on ne peut pas se sortir INDIVIDUELLEMENT de cette condition mais que POUR l’ ENSEMBLE cela est difficile malgré les ” progrès ” … démocratiques ( accès à l’ enseignement en particulier )

    9 juillet 2020 à 8 h 19 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    quand on manque le train on reste sur le quai

    8 juillet 2020 à 12 h 06 min
  • OMER DOUILLE Répondre

    Peut être, mais les “dirigeants de ce pays” pourront toujours compter sur les milices muzzs et autres qu’il leurs suffira d’arroser encore d’avantage.
    De plus, les “gueux” seront vite taxés de fachos-nazo-pétaino-racisto et j’en passe afin de trouver une bonne raison de les écraser.
    Conclusion : le grand soir des prolos (les vrais pas ceux qui font semblant de l’être) n’est pas pour demain.
    De plus, comme ils sont sensés être tous des cochons d’esclavagistes, les colorés se feront un plaisir de les assaisonner menu.
    Et notre nouveau ministre de la justice n’est pas trop réputé pour écouter tout ce qu’il voudra qualifier de RN et assimilés, ayant un penchant très affirmé pour les “pauvres” d’ailleurs.

    8 juillet 2020 à 0 h 45 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Quand la pauvreté sera bien installée et que la fin des mois difficiles engendrera la faim des ventres, l’urgence climatique et son corollaire la fin du monde seront les derniers soucis des citoyennes et citoyens de ce pays.
    On ne peut que conseiller aux dirigeants de ce pays à apprendre à courir vite car un ventre vide ne réfléchit pas.

    7 juillet 2020 à 19 h 11 min

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